Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Il y a des jours ou je suis complètement épuisée alors que je vien juste de commencer ma journée et d'autre, plus énergique, plus joyeuse. Et aujourd'hui, ce n'est pas le cas. Non, ce n'est pas le cas car je vien juste de rentrer chez moi, et j'ai mal au patte. En plus de mon mal de crâne carabinée. La joie n'est pas au rendez-vous... Tant pis, ce n'est pas ma journée.

Pour dire vrai, je vien à peine de poser la patte sur mon territoire. Oui, après avoir rejet violemment Jason - mais yeux s'embrume de larmes, juste à son prénom - je suis rester plusieurs mois en territoire neutre. Un mois et demis pour être exacte. Un mois et demis à réfléchir sur se loup, sur le faite qu'il m'aimait, ou plutôt, qu'il m'aime. Oui, parce que je suis sur que ce n'est pas le genre de loup à de suite une louve pour aller fricoter ailleurs.

Enfin... Je suis donc là, sous un soleil tapant depuis une heure sur le haut de mon crâne, le sable me brûlant les coussinet, les yeux perdue dans le paysage, trébuchant sur des bosses, tout ça pour revenir à ma vie "d'avant". Oui, j'ai décider que j'aller retrouver tout ce que j'ai perdue durant ces derniers mois... Même Jason, mon Jasy'.

Flash-Back

Je suis sous la pluie, mais larmes se fondent dans le décors avec les gouttes d'eau. Bien sur que je pleure, non mais, pour qui me prenez-vous ? Je pleure parce qu'au fond, il y a bien quelque chose. Quelque chose qui m'a donnée envie de vivre, d'explosée de joie. Se sentiment m'a aussi apporté de la douceur, de la tranquillité... Mais qu'est-ce, à la fin ? En plus, lui, comme un abrutis, il est partit, me laissant sous la pluie ! Ha, bravo, les mâles ! Toujours à penser qu'a eux ! Mais c'est décidée ! Demain, je me rattrape !

Fin Flash-Back

Sauf que le lendemain, je n'ai pas eu le courage de partir, n'y le jour suivant, n'y la semaine d'après. Ainsi de suite jusqu'à ce que ça fasse un mois et demis... Je ne sais même plus quoi penser de mon courage. Je ne vaut pas la place de future Alpha. Non... Je ne le mérite pas. En plus de ça, je me laisse mourir à petit feu. J'ai encore plus maigris ; On ne voit que ça. Ma peau et mes os. Je fais vraiment peur à voir.

Alors que je continue ma route, mes yeux toujours perdues dans le vide, je trébuche de nouveau. Non, je ne me retiens pas de tomber. Alors je tombe lourdement sur le sol et je pousse un gémissement d'abbondont. Oui, j'abbondonne. Mes pattes avant son étalé sur le devant, ma tête est sur le sable chaud, et le vent souffle fort. Une tempête. Tant pis, elle m'enterreras ! Ma vue se brouille petit à petit, tout autours de moi deviens noir. Il fallait, en plus de ça, que je meurs jeune...

Spoiler:

Tel une âme en peine, j’erre sans savoir vraiment où aller. Où je suis ? Aucune idée. Je sais jute qu’il y a du sable à perte de vue... Perdu, je suis perdu. Encore. De toute façon, où que je sois, je suis perdu, perdu dans mon océan de tristesse. Mais qu’est ce qui me retient de quitter ce monde ? Pourquoi je n’y arrive pas ?

Les larmes ont coulées à flot ses derniers temps, j’en ai la trace sous mes yeux... Je suis maigre, on peut apercevoir mes cotes sous mon épais pelage qui à perdu toute sa brillance. Et en plus de ça, je suis encore couvert de cicatrices, dont une à l’œil. Celle-là restera... Depuis cette journée pluvieuse, je ne mange presque plus, à part quelques proies volées aux charognards... Voilà à quoi je suis réduis, à l’état d’un charognard, d’une hyène... je suis tombé bien bas...

Je mets une patte devant l’autre, juste pour avancer, encore et encore. De toute façon, je ne peux pas faire grand choses d’autre... J’avance dans le sable chaud, le soleil me cogne la tête depuis que je suis là. Une heure ? Deux heures ? Cinq heures ? Je n’ai plus aucune notion du temps depuis ce que j’appelle le Drame. Et de toute façon, je m’en fiche. La seule chose qui comte est de mettre une patte devant l’autre, encore et encore... Je risque de m’écrouler, mais je m’en fiche aussi. Après tout, mourir, c’est ce que je veux...

Soudain, un vent se lève, soufflant de plus en plus fort. Des millions de grains de sables commencent à tourbillonner dans les airs, une grosse tempête se lève. Je ne sens plus rien, je ne vois plus rien. Mais je continue quand même à avancer, plissant un peu les yeux pour ne pas avoir de sable dedans.

Alors que j’avance, j’aperçois une formes inerte, couchée au sol. Un loup, ou une louve, a finit par tomber, sûrement épuisé de lutter contre cette tempête. Je suis peut-être devenu une simple ombre, je n’ai pas perdu mon cœur. Enfin, ce qu’il en reste, de mon cœur...

Je m’approche du canidé, puis je me mets au dessus de lui, faisant attention à ne pas l’écraser, juste pour le couvrir. Je ferme les yeux. Le vent me fouette et mes poils volent dans touts les sens, mais je reste bien en place. Je sais que l’autre loup vit encore ; j’entends encore son cœur battre. Je reste comme ça, je ne sais combien de temps, puis le vent finit par retomber. Mais le canidé est toujours inconscient, et je ne peux pas le laisser là.

Sans trop prêter attention au loup en lui-même, je l’attrape et le hisse sur mon dos. Il est léger, tant mieux. Vu le peu de force qu’il me reste... Je l’emmène sous une sorte de palmier, puis le dépose délicatement au sol et m’assois près de lui. Je prends enfin le temps de l’observer.

Un coup de couteau me traverse le cœur. Ces longues pattes fines, cette fourrure jaune-orangée, cette petite houppette orange, ces courbes toute en beauté... Cette louve, cette jeune louve inconsciente, maigre et en bien mauvaise état, Ambre...

Les yeux de la louve était fermés, mais plusieurs grains de sable se déposèrent aux coin des ses yeux. Ses poils se retrouvaient plaqués contre sa peau à cause du vent violent, ses paupières étaient délicatement fermés, son toupet orange volait, tellement le vent était violent. Ambre était complètement épuisée, mentalement, mais physiquement aussi. Elle avait marcher trop longtemps sous le soleil, elle n'avait pas assez manger, pas assez bu, et ça lui coûterait probablement la vie. C'est vrai quoi. Après tout, personne ne venait ici, pas même l'Alpha. Elle était perdue, seule dans cette tempête... Elle y mourrait, c'était certain.

Mais ce qu'elle ne sera qu'en se réveillant, c'est qu'elle a eu de la chance qu'un loup passe part là et soit à peu prêt en bonne état pour l'emportait loin de cette tempête de sable. De plus, elle ne sait pas non plus qui c'est... Ce qui la choquera probablement en le voyant. Ha... Aujourd'hui, se ne sera pas la joie, je le sens.

* *
*

Elle ouvre lentement les yeux, ses yeux sont alors agressaient par le soleil? Elle les refermes vite, essayant de se rappeler comment elle a atterrit sous se palmier. Mais c'est juste un énorme mal de crâne qui lui revient dans la tête. Comme un coup de sabot. Elle rouvre les yeux, s'habituant petit à petit à ce soleil tapant. On était en pleine après-midi, et le soleil n'était pas prêt de cesser de taper. Elle releva doucement la tête et le cou pour s'appuyée contre le palmier et, ainsi donc, pouvoir observait les environs. Le sable était toujours présent, les palmiers aussi, mais pas encore d'eau à l'horizon. Elle soupira et tourna difficilement la tête. Elle sentit alors une odeur qu'elle connaissait. Elle tourna vivement la tête sur sa gauche et aperçus une ombre. Une ombre maigre et, marchant nonchalamment. Elle plissa les yeux, même si elle savait déjà qui c’était, juste à son odeur...

Quand il arriva prêt d'elle, elle essaya de parler, mais ce ne fut que ses mots là qui sortir à cette instant précis :

- I'm sorry.

Spoiler:

Ambre... La louve que j’aime et que j’aimerais toujours, la seule qui ai réussit à entrer dans mon cœur... Elle m’a fait mal, elle a réussit à me réduire à l’état d’une ombre parmi les ombres, mais je ne lui en veux pas... Je reste là, assis à coté d’elle, en attendant son réveil . Je ne peux pas la laisser seule dans ce désert, même si elle doit bien le connaître. Le soleil tape fort, j’ai chaud, mais je reste ici.

~

Je vois qu’elle commence à ouvrir les yeux, je tourne vivement la tête. Je ne veux pas qu’elle voit la cicatrice qui me raye l’œil, cicatrice qui restera à vie, j’en ai bien peur. Je ne veux pas non plus qu’elle me voit encore pleurer, encore une fois... Car oui, des larmes s’écoulent lentement de mes yeux, sans que je ne puise les retenir. De toute façon, je n’essaie même pas. Je sais très bien que c’est inutile.

Je m’attends à recevoir des insultes, des phrases toutes plus blessantes les unes que les autres, mais à la place, j’entends juste une petite phrase,quelques mots, pleins de sens.

- I'm sorry.

Je tourne la tête vers elle et plonge mon regard dans le sien. Les yeux sont les fenêtres de l’âme, comme on dit. C’est ma phrase fétiche, même si je n’aime pas mes yeux. En tout cas, je sais que mes yeux transmettent toutes mes émotions, touts mes sentiments. Donc normalement, elle peut voir de la tristesse mêlé à une pointe d’espoir. De l’espoir, j’en ai toujours gardé, même quand tout semblait perdu. Cet espoir ne serait donc pas vain ? Au fond de moi, je l’espère...

- Je n’ai jamais arrêté de t’aimer...

Encore une fois, je tourne le regard, cachant ainsi ma cicatrice et les quelques larmes qui recommencent à couler. Pourquoi suis-je aussi sensible ? Ça ne m’apporte que des ennuis, et je ne peux rien y faire...

Spoiler:

Il tourne la tête vers elle. Elle sens son coeur battre lentement, sa respiration reste calme malgré tout. Elle voit bien que l'énorme loup gris lui en veut. Du moin, c'est ce qu'elle pense. Elle ne voit qu'une partie de son visage, comme si il lui cachait quelque chose. Elle fronça les sourcils. Qu'avait-il à sa cacher ainsi ? Son regard gris métal la transcepèrce, elle sent son coeur se serrait, mais il reste calme quand même. Elle ne sait pas quoi dire d'autre, juste qu'elle est désolée. Elle a bien vu, dans le regard du loup, qu'il était plutôt étonnée qu'elle s’excuse. Ça veut dire qu'il ne l'a connait pas, si il s'attendait à autre chose. Malgré la douleur, elle sourit. Mais pas un immense sourire. Un tout petit sourire, celui qui disparrait à la seconde qui suit. Dans son regard, quelque chose change. Elle cherche, elle se creuse le cerveau, et enfin, elle sait se qui l'a gagnait. L'espoir. Il a de l'espoir dans les yeux... Elle est rassurée, mais elle ne sait pas comment lui dire. Il détourne soudainement la tête. Elle fronce de nouveau les sourcils. Il l'intrigue. Pourquoi se cacher ? Elle a bien vu qu'il n'allait pas bien. Il avait maigris, peut-être plus qu'elle, il avait le regard vide, sauf depuis son arrivée. Qu'avait-il, à la fin ? Alors, avec le peu de force, elle se leva. Elle prit tout son équilibre et s'approcha de lui, essayant de le voir en face.

* * *

Sa bouche s'ouvre, puis se referme. Une énorme cicatrice traverse l'oeil de son ami. Ses yeux sont grands ouverts, sa bouche aussi, d'ailleurs. Elle ne sait absolument pas quoi dire. Sous ses yeux, des cernes énormes. Il ne doit plus souvent dormir... Et aussi, à chaque coin de ses yeux, des traces foncés sont tracés. Surement à cause de ses pleurs. Elle est vraiment choquée. Qu'ai-je fait, pense-t-elle. Elle s'approche et murmure dans un souffle. Elle ne peut pas parler plus fort, ça lui est impossible. Elle sent encore son coeur battre.
- Qu'as-tu fais ? Souffle-t-elle.
Elle se sent partir, elle se sent faible, tout d'un coup. L'émotion, et surtout le choque de le voir ainsi... Elle essaye de résistait, pour qu'il lui réponde, mais sa respiration devient rapide, son coeur aussi, et ses membres deviennes mous et faibles, sous elle. Heureusement qu'elle est légère. Elle ouvre la bouche de nouveau. Elle se rend compte que sa phrase à mal était formulée. Elle ne laisse pas le temps à son amant de répondre :
- Qu'ai-je fait ? murmure-t-elle.
Les larmes ne lui vienne pas, le choque l'en empêche. Comme elle s'en veut. Elle s'en veut de l'avoir rejetait de la sorte, surtout pour voir qu'après il était devenu... Ça. Il n'y avait pas de nom pour décrire ce qu'il était devenu. Elle inspire, mais sa respiration devient sifflante, et rapide. Elle se sent une nouvelle fois tirer vers les ténèbres, mais résiste. Il doit. Il doit lui donner une réponse. Il doit la rassurer, il doit lui dire qu'il ne lui en veut pas, même si elle le voit dans ses yeux. Elle voit bien que lui aussi est désolé, mais elle l'ai encore plus. Elle tremble, ses larmes lui brouilles soudainement la vue, mais elle ne les laisseras pas couler. Elle est forte, elle est estivale, et les estivaux, ce n'est pas des chochottes. Elle veut parler, mais sa gorge se noue, alors elle déglutit et s'approche de lui, coucher. Elle lui murmure à l'oreille quelque chose. Quelque chose qu'elle pense. Ce n'est pas que du cinéma. C'est vrai. Mais lui, va-t-il la croire ? Soudainement, elle hésite à lui dire, à lui faire part de sa décision. Elle s'approche. Autant lui dire, après tout, que risque-t-elle de perdre. Elle a déjà tout perdue... Elle s'approche de son oreille, le frôlant de peu et murmure tout bas, la tristesse prenant le dessus sur ses paroles. Elle en serait vraiment capable :
- Je t'aime. Je ne veut plus de mon rang d'Alpha, si tu doit me quitter, bébé.

Spoiler:

Elle l’a vu. Ma blessure, ma cicatrice, cette traces rougeâtre qui me raye le visage. Un coup de griffe mal placé, et hop, je me retrouve avec ça. Tout va si vite... Heureusement pour moi, ça ne m’a pas rendue aveugle. La coup de griffe avait été trop rapide et n’avait pas touché l’œil en lui même.

La louve couleur soleil semble choquée, et je la comprends. Je ne suis pas beau à voir... « Ça donne un air guerrier » disent les autres. Mais moi, je suis tout sauf un guerrier... Je suis un lâche, un perdant. Je me tourne entièrement vers elle. Après tout, je n’ai rien à lui cacher. Elle réussit à me souffler doucement :

- Qu'as-tu fais ?

Qu’est ce que j’ai fais. Je suis victime de l’Amour, tout simplement... Ce gros loup noir, ce lâche, c’était lui qui m’avait fait ça. Je le hais. C’est lui, la cause de tout mes ennuis, en fait. Depuis le début. C’est dingue de ce rendre compte à quel point un parfait inconnu peut influencer le cours de votre vie.

Ambre tremble, elle respire difficilement. Va-t-elle sombrer dans les ténèbres ? Non. Je la connais forte. Elle va se battre, j’en suis sûr. Avant même que j’ai eu le temps de lui répondre, elle se corrige :

- Qu'ai-je fait ?

Je veux lui dire que ce n’est pas de sa faute, seulement de la mienne. Sa respiration devient de plus e plus sifflante, elle tremble encore plus. Je vois ses yeux briller, mais pas de joie. Ce sont des larmes retenues, des larmes qui sont là par ma faute. Je m’en veux, encore. Finalement, j’arrive à articuler quelques mots, qui sortent en un chuchotement :

- Tu n’y est pour rien...

Je baisse la tête pour masquer les quelques larmes qui coulent encore une fois. Je suis un vrai gamin... Toujours à pleurer pour un oui pour un non... Mais j’avoue que cette fois, la fatigue y joue un peu.

Elle s’approche de moi et ce couche à mes cotés, je me sens faible, sans force. Je sais qu’elle va me dire quelques chose d’important. J’attends, tendu, son verdict, qui changera ma vie.

- Je t'aime. Je ne veut plus de mon rang d'Alpha, si tu doit me quitter, bébé.

Cette phrase me fit frissonner, mon cœur rate un battement. Bébé... Ce simple mot qui me redonne espoir. Je l’aime, elle m’aime... Un nouveau « nous » est envisageable ?
Jamais, je dis bien jamais, je ne lui demanderais de quitter son poste pour moi. Si ça lui tient à cœur, alors ça me tient à cœur aussi. Même si je ne risque pas de devenir alpha, je ne veux que son bonheur.

Elle doit se relevait. Elle le doit, juste pour avoir la certitude que lui aussi il l'aime, elle le veut. Sinon, cela voudrait dire qu'elle a fait tout ce chemin, qu'elle s'est battue pour garder la vie, pour rien, et ça elle ne le supporterait pas. Surement pas. L'odeur de l'hivernal est forte, très forte. Elle est glaçait, froide, mais cela la rassure, un peu. Et ça l'effraye aussi. Et si jamais on les découvrait encore, que ferait-il ? Elle serait surement bannis, et lui aussi, et ça, elle ne le voulait pas, absolument pas. C'est vrai, elle serait prête à tout pour lui, à tout, mais elle tenait à son clan, et ce faire bannir serait la pire chose qui lui serait jamais arriver, après les mésaventures qu'elle a vécus avec Jason, bien sur. Elle soupira lentement, en entendant son amant répondre ceci à sa question :
- Tu n’y est pour rien... Susurra-t-il.
La rage monta en elle, comme des blanc en neige. Elle devint rouge pivoine, et se leva d'un bond, se mettant en face de Jason, le regardant dans les yeux. Elle se sent bouillir de l'interrieur, elle sent son coeur battre la chamade, elle sent son sang tapait contre ses tempes. Elle s'approche de lui, de son visage, elle colle ainsi son front au sien, les yeux dans les yeux. Elle lui montre qu'il ne doit pas dire ça, qu'elle sait que c'est de sa faute. Elle l'embrasse soudainement, fermant les yeux. Elle le pousse contre le palmier, et plaque les deux pattes de son amant contre le palmier avec les siennes, l'empêchant ainsi de bouger. Elle laissa passer tout son amour pour lui a travers se baiser, doux, chaud, tendre, amoureux. Elle poussa un léger soupir qui s'en alla avec le vent. Elle frissonna jusqu'à l'échine et mit fin à son baiser. Elle resta dans la même position, toujours en le regardant dans les yeux, et elle souffla lentement :
- Bébé, ne me quitte pas. Tu deviendras l'Alpha, tu seras père de mes enfants, tu seras grand-père des enfant de nos enfant.

Elle est sonner. Elle ne sait que dire. Les yeux gris du loup on une expression si hésitante... ~
Elle veut lui crier qu'elle l'aime. Qu'il ne doit pas hésiter. Qu'elle a confiance en lui. ~
Elle veut l'embrasser de nouveau. Elle veut l'enlacer jusqu'à l’étouffer. Elle veut qu'il ne l’abandonne pas. ~
Elle veut qu'il soit l'Alpha. Elle veut l'avoir tout les jours au près d'elle sans qu'il se cache... .~

♠ Alors, elle le fixe dans les yeux, tandis qu'elle sait qu'il hésite, qu'il ne se sens pas prêt. Un élan de colère la prend. Elle se fait pardonner, elle le cherche à ne plus en dormir, elle ne mange plus juste pour consacrer du temps à ses recherches, elle a bien faillit mourir pour ses beaux yeux, ses si beaux yeux métallique, et lui, il ose hésiter ! Alors, elle baisse les oreilles, son regard devient noir, ses crocs sont sortis, mais elle ne compte pas le mordre. C'est juste pour l'impressionner, lui montrer qu'elle avait confiance en lui, qu'elle comptée sur lui... Mais en même temps, il est peut-être trop tard. Peut-être a-t-il déjà tourner la page, peut-être a-t-il trouver une hivernal à son goût, peut-être est-il déjà... Père. La coeur de la jeune louve dorée bat contre sa poitrine, fort. Cette hypothèse lui fait peur. Alors, pour se rassurer, elle fixe de nouveau ses yeux. Ses yeux gris qui la font fondre, qui la font perdre toute pensées catholique. Elle s'y noierait. Elle s'approche de lui, leurs souffles s'entre-mêles. Leurs yeux plongeaient dans ceux de l'autre. Elle cligne une fois, deux fois, et son regard devient flou, ses yeux la pique. Il a osait revenir, pour tromper sa louve ? Elle recule, elle recule, elle recule. Les poils de son dos s'hérissent, ses yeux lancent des éclairs, deviennent noir de rage, ses crocs sont sorti. Il ne faut pas qu'il bouge, elle serait capable de l'attaquer. Elle est remplie de haine et de dégoûts. Deux fois? Il a oser lui faire ce coup deux fois? La première ne lui a pas suffit, avec la stupide louve blanche et grise? Elle plisse les yeux, fronce les sourcils et crache méchamment :

- Ne me dit pas qu'il en a une autre. Ne me dit pas que tu es revenue juste pour essayer de me draguer. Ne me dit pas que ces cicatrices ne sont que du pipos...


Elle ferme les yeux, sourit ironiquement à Jason. Non, non. Non, il n'est pas comme-ça. Elle secoue la tête et a toujours les yeux fermés. Un rire nerveux et forcer sort de sa gorge. Celle-ci se noue et elle rouvre les yeux. Elle a plusieurs mètres de lui, elle sent qu'elle va craquer. Sa respiration deviens rapide avec la peur et la colère. Elle sent qu'elle va lâcher, qu'elle va toucher le fond. Elle ne sent plus ses pattes, elle ne sent plus rien, juste sa respiration et son coeur battre. Elle n'y voit rien, elle n'entend rien...

Spoiler:

La louve semble avoir peur, mais peur de quoi ? Peur de mon hésitation ? Elle me fixe dans les yeux, et je vois qu’elle ne sait pas vraiment quoi penser. Doucement, elle s’approche de moi, je ne sais pas ce qu’elle va faire, ce que je dois faire. Les larmes lui montent aux yeux, puis elle recule. Ses si beaux yeux deviennent noirs, lancent des éclairs. Qu’ai-je encore fais ? Ambre me montre les crocs, prête à m’attaquer au moindre mouvement. Je ne comprends plus rien.

"- Ne me dit pas qu'il en a une autre. Ne me dit pas que tu es revenue juste pour essayer de me draguer. Ne me dit pas que ces cicatrices ne sont que du pipos... "


Elle me sourit méchamment. Je recule, horrifié par ce qu’elle vient de dire. Elle... Elle croit vraiment que je suis capable de faire ça ?! Moi ?! Je pensais qu’elle me connaissait un peu mieux... Un rire nerveux s’échappe de sa gorge, elle ferme encore une fois les yeux et secoue rapidement la tête. Quand j’arrive enfin à articuler un mot, je hurle fort :

- Non ! Tu... Tu crois vraiment que je suis capable de ça ?! Il n’y a jamais eu d’autre louve ! Tu es la seule que j’aime !

Mon cœur bat fort et de plus en plus vite, je sens le sang me monter aux tempes. Ma respiration s’accélère, mon cœur qui tambourine dans ma poitrine me fait affreusement mal. Que m’arrive-t-il ? Je vis de plus en plus flou, je tremble, j’ai chaud. Mon crâne est brûlant, mes pattes ne vont plus tenir longtemps...

Les yeux dans les yeux, les deux loups se toisaient, se sondaient l'âme, se défiaient. La colère, la rage, la haine, tous synonyme de rage et honte sont accepter. Ils se parlaient avec l'expression des yeux, c'était plus pratique. Elle et Lui. Elle, lui disait qu'elle avait confiance en lui, et Lui, essayait désespérément de lui faire comprendre qu'il n'y avait personne d'autre qu'elle, dans sa vie. Mais Elle, ne le croyait pas. Elle avait les crocs dehors, tandis que Lui, c'était lever dans un bond. Et puis, alors qu'elle comptait continuer à l'insulter, il avait parler plus vite qu'elle. Il lui avait carement hurler dessus, ce qu'elle n'avait guère apprécier :

- Non ! Tu... Tu crois vraiment que je suis capable de ça ?! Il n’y a jamais eu d’autre louve ! Tu es la seule que j’aime !

Et elle l'avait regarder, méfiante, les oreilles baissait. Elle le toisait de nouveau, alors que Lui, il tremblait devant Elle. Eux. Eux, ils étaient amoureux, bien sur, mais il fallait toujours que Lui aille voir ailleurs... Alors maintenant, alors qu'elle l'avait découvert, ils se disputaient. Elle le haïssait, elle Lui tremblait de pouvoir la perdre. Et c'est là qu'elle ne comprenait pas. Si il l'a perdait à elle, il pourrait aller fricoter avec d'autre louves. Surtout que là, ils trahissaient leurs clans. Elle était estivale - la future Alpha, qui plus est-, et Lui était un bêta hivernal. Quel beau tableau ils faisaient, tout les deux...
Elle essaya le ton sarcastique, essayant de le faire avouer avec l'humour :

-Tu veut pas d'enfants avec moi, mais les autres, ça t'gêne pas, c'est ça ? Tu peut l'dire, t'sait...

Et puis, elle avait de nouveau fermés les yeux et secouant énergiquement la tête, avec se même sourire ironique. Elle s'arrêta et tourna la tête pour ne plus croiser son regard gris métal. Elle ne le croyait pas. De plus son odeur avait changer. Ce n'était plus exactement la même. Elle était plus... Plus féminine. Ce qui voulait tout dire, pour Elle. Elle lui tourna complètement le dos, et sourit ironiquement de nouveau. Sa voix enjôleuse et ironique reprit lentement :

- Je te faisait confiance. Mais bon, comme on le dit chez moi, trop bonne, trop conn*.

Elle fit quelques pas en bombant le torse, balançant légèrement la queue de droite à gauche, puis la releva et tourna la tête vers le mâle, sans pour autant croiser son regard. Elle soupira longuement et lança un petit "franchement... Je t'aimais. Plus que raisonnablement, peut-être..."

Je ne comprends plus rien. Pourquoi une telle réaction ? Je n’ai pourtant rien fais, j’ai toujours été le loup complètement fou amoureux, prêt à tout pour elle, et maintenant, elle me rejette, pensant que je l’ai trompé avec une autre. Pff...

"-Tu veut pas d'enfants avec moi, mais les autres, ça t'gêne pas, c'est ça ? Tu peut l'dire, t'sais... "

Des enfants ?! Mais je n’ai jamais eu d’enfants ! Où va-t-elle chercher tout ça ? Je soupire et me laisse tomber sur mon postérieur. Je n’ai pas la force de la contredire, pas la force d’essayer de lui montrer la vérité... Mais qu’est ce qui a put lui donner cette idée ? Je n’ai pas vu de louve depuis la dernière fois... Ah, si, Blue. Je hume doucement l’air et constate que malheureusement, j’ai un peu de son odeur sur moi. Mais bon, j’ai le droit d’avoir des amies quand même ? Rhaaa, mais pourquoi c’est si compliqué ?

"- Je te faisait confiance. Mais bon, comme on le dit chez moi, trop bonne, trop conn*. "

Elle tourne la tête vers moi, mais sans non plus croiser mon regard, puis elle soupire longuement. Je commence à en avoir marre de tout ça. Pourquoi je ne peux pas avoir une relation normale avec la louve que j’aime ? Finalement, je lui répond d’un ton lasse et triste :

- Je n’ai jamais eu d’enfants avec d’autres louves puise que tu es la seule que j’ai aimé de toute ma vie.

Je commence à ressentir des vertiges, mes pattes tremblent sous moi. Heureusement que je suis assis, sinon je n’aurais pas tardé à tomber. Je continu, presque en chuchotant pour ne pas trop me fatiguer :

- Ça n’a rien à voir avec toi, c’est juste que... Que j’ai peur, peur de ne pas être un bon père.

Je tousse fortement, je me sens de plus en plus faible. Qu’est ce qu’il m’arrive ? Ma vue devient de plus en plus floue, je fais tout pour rester conscient.

Elle sent cette odeur, et ça la dérange. C'est une neutre, en plus. Il ose se taper une neutre. Non, ce n'est pas possible. Elle part en balançant la queue de droite à gauche, la tête haute, l'air de dire "Espèce de goujat, j'en trouverais un autre, tu verras ! Il sera mieux que toi !". Mais c'est alors qu'un murmure arrive à ses oreilles. Elle s'arrête, les yeux écarquillés, la bouche entre-ouverte :

- Je n’ai jamais eu d’enfants avec d’autres louves puise que tu es la seule que j’ai aimé de toute ma vie.

Sa voix était lasse, fragile, triste. Il ne mentait pas. Cette louve neutre, alors, c"tait quoi, pour lui ? Une connaissance, croiser en chemin ? Une amie, comme la louve grise et blanche ? Si c'était ça, elle s'en voulait d'avoir réagis ainsi... Alors, elle fermes les yeux, tourne la tête vers lui pour écouter se qu'il a à dire d'autre, pour sa défense. Même si elle sait, a présent, qu'il ne ment pas.

- Ça n’a rien à voir avec toi, c’est juste que... Que j’ai peur, peur de ne pas être un bon père.

Alors elle se tourne vers lui. Elle le fixe, alors qu'il est assit et qu'il tremble comme une feuille. Elle s'approche de lui, elle sent bien qu'il va sombrer. Elle avance pas à pas, le regard désolée, un sourire timide sur les lèvres. Elle ne sait que dire pour se faire pardonnée. Soudain, elle voit trembler de tout ses membres. Le regard de la dorée se fait soucieux; Elle s'arrête d'avancer. Elle sent son coeur battre contre sa poitrine, elle ne comprend pas se qui se passe. Elle hésite à de nouveau s'approcher. Est-ce elle qui le rend comme-ça ?

Il tombe. Il tombe sur le sol et les yeux d'Ambre s'écarquille. Elle le regarde tomber, elle sent tout s'arrêter autours d'elle. Elle sent son coeur battre, elle sent son souffle rapide, elle sent ses yeux la piquer. Puis, d'un coup, elle se raidit, elle sort de sa torpeur. Il n'y a qu'un crie persan qui sort de sa gorge, qu'un crie qui réveillerait les morts...

-Jaaaaaaaaaaaaaaaaaason !

Soudain, ses sourcils se fronce, les larmes sont aux bords, et elle débloque. Elle court. Elle court vers lui, elle s'approche mais elle ne le voit pas se rapprocher. A chaque pas rapide, on dirait qu'on lui plante un poignard dans le coeur. A chaque pas, elle sent son coeur battre la chamade. On le dirait mort, étaler ainsi. Elle est au dessus de lui, ses yeux brilles de larmes, de tristesse. Elle s'approche encore, prend son museau sur le sien. Elle ne sait pas quoi faire. Elle s'approche de sa bouche, fixe ses yeux, mais elle ne le touche pas. Elle pleure, elle laisse couler les larmes. De nouveau, un crie déchire le ciel, un crie qui déchire le coeur :

- Jaaaaaaaaaason ! Jason je t'en pries, lève-toi, debout ! Jason, reviens ! Lève-toi, lève toi ! Ne meurt pas, lève toi, debout ! Ne me laisse pas ! Debout !

Je vois de moins en moins bien, j’ai chaud, affreusement chaud. Mais qu’est ce qu’il m’arrive ? Est-ce que je vais... Mourir ? Non ! Je ne veux pas mourir ! Pas maintenant ! Trop tard, je sens que je vacille, mes yeux se ferme, je tombe lourdement sur le sol brûlant.

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Je ne sens plus mon corps, je... Je me vois ! Je... Je flotte environ trois mètres au dessus de mon corps inanimé. Mais qu’est ce qu’il m’arrive ?! Aïe, j’ai peur là... Ambre crie mon nom. J’essaye de reprendre possession de mon corps, mais il n’y a rien à faire, je reste là, à observer la scène.

La belle louve se mets à courir vers moi, enfin vers mon corps. Elle pleur, des torrents de larmes jaillissent de ses beaux yeux vairons. Elle est tout prêt de mon corps sans vie. Elle me fixe tristement, j’aimerais tellement lui dire que je suis là, tout prêt ! Puis elle hurle :

- Jaaaaaaaaaason ! Jason je t'en pries, lève-toi, debout ! Jason, reviens ! Lève-toi, lève toi ! Ne meurt pas, lève toi, debout ! Ne me laisse pas ! Debout !

Je me sens aspiré par une force inconnue, tout tourne autours de moi, que m’arrive-t-il encore ? J’ai peur, peur de partir pour de bon sans lui avoir dis au revoir.

♣

J’ouvre les yeux, la lumière du Soleil m’agresse les yeux. Je gémis, j’ai un mal de crâne affreux. Mais qu’est ce qu’il m’arrive ? J’ai chaud, je n’en peux plus de cette chaleur étouffante. Toujours couché au sol, je lance un regard à Ambre. j’essaye de parler, de dire quelque chose, mais ma gorge sèche me fait souffrir. J’ai mal...

Ses yeux sont clos, ses flancs ne se lèvent plus, elle ne sent plus son coeur battre à la chamade avec le sien. Elle panique, les larmes sont aux bords de ses yeux, elle ne sait pas quoi faire. Alors elle crie, elle crie son prénom pour qu'il se réveille, pour qu'il revienne. Il ne peut pas la laisser comme-ça, il ne peut pas l’abandonner. Sa tête tourne, mais elle reste debout, elle reste comme-ça, à le fixer. Elle ne le lâchera pas. Ses yeux se fermes, elle ne supporte pas de le voir mort, elle ne supporte pas de savoir que son amnésie est la cause de sa mort. Les larmes redoubles en pensant que c'est vraiment fini... Fini. C'est le mot. The end. Comme elle s'en veut de l'avoir tuer... C'est vrai, quoi. Elle l'a tuer. Peut-être n'était-ce pas son intention, mais elle l'a en partit tuer. Comme elle s'en veut, comme elle s'en veut ! Se n'est tout simplement pas possible qu'il soit mort. Alors, elle ne crie plus, elle se sent mourir elle aussi. Mais elle ne flanchera pas, elle restera forte, parce qu'il n'y a pas que lui qui tien à elle. Son grand-frère, sa belle soeur, Céleste, Sheen... Tout ses gens. Et Nijnihell. Non, elle ne peut pas se laisser mourir, même si elle n'aura plus jamais la force de retrouver l'amour, plus jamais la force de sourire, de rire. Non, elle n'aura plus de force, mais elle vivra. Elle vivra, essayera de défendre son clan comme elle le peut. Elle sera fantôme.

Elle sanglote longuement, marchant sans but. Les larmes brûles ses yeux. Ses si jolies vairons. Et elle pense quand ils se défiaient du regard. Un fin sourire s'étire sur ses lèvres. Comme ils étaient bêtes. Ses si jolies yeux gris, comme ils allaient lui manquer. Et ses lèvres, et ses câlins, et ses blagues... Non, elle ne peut pas vivre sans lui, c'est simplement impossible, pour elle. Elle ne ferait que penser à lui tout le temps, elle n'arriverait pas à penser sans qu'ils soit dans ses pensées, elle ne pourra pas le supporter. Elle ne le supporte déjà pas, alors dans un mois... Elle est morte, c'est sure. Les sanglots reprennent tandis qu'elle vacille, mais elle se rattrape de justesse. Elle sait que si elle tombe, elle ne se relèvera pas. Elle n'est pas bête...

Ses yeux flous se balade sur le sable, et le ciel bleu. Mais pour elle, tout est noire. Puis, elle arrive au bout du rouleau, elle ne peut plus retenir ses sanglots, alors elle tombe à genoux, sa tête enfouie dans le sable, elle hurle, elle crie sa douleur, elle souffle lentement son prénom, comme si il allait apparraitre. Mais c'est fini, c'est The End. C'est la fin. La fin de tout, de lui, de elle, de se Nous qui existait de nouveau... Puis, une dernière fois, juste avant de trouver la force pour se lever, elle hurle son prénom :

- Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaasy' ! Jaaaaaaaaason !

Elle inspire profondément, et lentement, elle se lève. Elle en a trouver la force, juste pour lui. Elle sait que c'est fini, mais elle croit au esprit, elle croit qu'il peut la voir. Elle est pratiquement certaine qu'il n'aimerait pas la voir dans cet état, et surtout pas entrain d’abandonner. Alors, pour lui et l'amour qu'elle a perdue, elle avance, penchant légerment à chaque pas. Et a chaque pas, elle se retient de tomber. Chaque pas est un coup de poignard dans son dos, elle n'en peut plus... Les larmes tombent et roulent sur ses joues pour atterrir dans sa gueule. A chaque perle d'eau salée qu'elle goûte, elle se dit que se gout, elle le gardera toute sa vie dans sa tête.

Non, elle n'en peut plus, elle s'arrête sur une colline, elle s'assoit, elle fermes les yeux. Les larmes se stoppes, mais elle hoquette toujours. Elle a des hauts-le-coeur, mais elle se contrôle. L'air lui fouette le visage, sa frange orange vole, son coeur reprend un rythme normal. Mais elle ne s'en remettra pas. Elle ne se remettra jamais de sa mort. Jamais. C'est alors qu'elle est choquer. Cette odeur. Cet odeur froide, mais douce. Cet odeur de brouillard, qui glace le sang. Cet odeur de neige, d'hivernal. Non, ce n'est pas lui. Et puis, derrière tout ça, il y a l'odeur du femelle. Il n'est pas mort... Doucement, elle se retourne. Et elle croise son regard. Se regard qu'elle ne pensait plus jamais revoir. Elle plonge dans son regard gris, cerner de cernes (bon, là, j'avais pas d'autre mot, alors no comment...). Ses yeux fatigués. Alors, elle ne se retient plus. Elle pleure de nouveau. Ils sont éloignés, mais elle n'est plus fatiguée, elle a, tout d'un coup, retrouver sa force. Alors elle court vers lui, elle court alors que ses larmes lui brouilles la vue. Elle saute doucement sur lui pour se retrouver contre lui, torse contre torse. Elle se laisse aller, elle pleure.

Une claque dure et forte. CLAC ! Il en a prit une. Jamais elle n'avait eu peur comme-ça de toute sa vie. Elle fronce les sourcils, elle grogne et puis, elle souffle doucement à son oreille, menaçant :

- Ne me fait plus jamais un coup pareil ! J'ai cru mourir !

Puis, elle capture ses lèvre comme si sa vie en dépendait. Elle fermes les yeux, les joues de Jason entre ses pattes. Elle l'embrasse comme si de nouveau, il allait partir. Les larmes coulent encore, et tombe sur le torse de son amant. Comme elle a eu peur... Comme elle l'a cru mort... Elle s'ésouffle, mais elle ne lâche plus ses lèvres. Jamais elle n'aurait cru pouvoir faire ça, mais maintenant... Elle n'arrive plus à penser. Elle vit l'instant présent, c'est tout. Puis, elle soupire et rouvre les yeux et lâche enfin ses lèvres. Il n'a pas le temps de bouger, elle a enfouie sa tête au creux de son coup pour un câlin sans fin. Elle ne pleure plus. Un fin sourire étire de nouveau ses lèvres. Ses pattes entoure le coup du pauvre loup prisonnier de l'étreinte de sa compagne...

Spoiler:

Je souris de contentement. Je l’ai enfin retrouvée, et j’espère ne plus jamais la perdre. Son odeur fruitée m’enivre, me fais tourner la tête. Avant, je n’aimais pas les senteurs de la mer ou du Soleil, mais maintenant, c’est différent. Oui, maintenant, tout à changé. Ma vie a changée. Car depuis notre rencontre, je ne vois pas ma vie sans elle...

Je sens sa douce fourrure orangée contre la mienne, son souffle chaud dans mon cou. Tout est si parfait à cet instant là, j’en oublie tout ce qui nous entour, la seule chose qui existe encore est ce Nous que j’ai bien faillis perdre définitivement.

Elle se relève et se retrouve face à moi, puis me regarde dans les yeux. Mes yeux grisés où l’on peut voir toutes mes émotions passées. Elle m’embrasse, encore et encore, nos langues dansent l’une avec l’autre, mon cœur bondit toujours un peu plus. Puis, d’un coup, elle roule au sol et se retrouve sous moi. Elle m’embrasse dans le cou, je frissonne doucement. Elle passe ses pattes sous mon torse et continu à m’embrasser, remontant jusqu’à mon oreille.

"- On continue ? "

La chaleur monte autour de nous, je lui souris tendrement. Elle m’embrasse encore une fois tout en gémissant de bonheur. Mon pelage me colle au corps, humidifié par la chaleur qui se fait de plus en plus insoutenable.

Mon corps au dessus du sien ,je sens une autre chaleur monté, une chaleur plus différente, plus... Agréable. Une chaleur qui se localise surtout au niveau de mon bas-ventre. Je n’ai jamais ressentis ça...

Je sens qu’elle est prête à franchir cette étape, et je le suis aussi. Doucement, je donne un petit coup de bassin, vite suivit par d’autres. Je l’embrasse passionnément dans le cou, continuant de donner des coups de bassin, de plus en plus rapidement.

Les lèvres, les langues, le tout dans une dansent de l'amour, du désir. Elle sent la chaleur montait en elle, elle sent le monde se stopper, s'arrêter. Plus rien n’existe. Plus rien sauf leurs corps bouillonnant entrelacés. Leurs lèvres ne se séparent plus, leurs langues s'enlaces, se caresse lentement. La chaleur monte plus vite, plus fort. Elle transpire, elle sent le bassin de Jason frottait contre le sien. Elle sait que si elle ne le calme pas ils passeront l'étape... Et cette étape lui fais un peu peur. Mais elle a confiance en Jason plus qu'e n'importe qui, alors elle se laissera faire. Elle veut lui montrer qu'elle lui voue une confiance aveugle, et elle veut savoir si c'est réciproque.

Elle souffle, elle se laisse aller contre son torse musclé. Ses yeux vairons son mi-fermés. Elle le voit, elle sent qu'il va le faire. Un coup de bassin la fait gémir de plaisir. Ses yeux se ferme violemment. Sa bouche s'est ouverte d'un coup pour inspirer. Un deuxième coup de bassin, puis des va et vien plus rapide. Ses joues rougissent sous la chaleur. Elle se sent vivre pendant plusieurs secondes. Elle l'embrasse dans le cou, son bassin devient chaud, ça la brûle. Elle retient un deuxième gémissement et lâche un soupire. Les coups de bassins devient plus fréquent et elle gémit de nouveau. C'est alors qu'elle ose ouvrir les yeux. Elle aperçoit Jason. Elle lui sourit tendrement et l'embrasse dans un soupire. Le rythme ralentit doucement. La chaleur baisse de plusieurs niveau sans pour autant qu'ils se décollent. Elle roule alors sur le sable pour lui échapper. Elle se redresse vivement et lui tourne le dos dans un soupire de contentement. Ambre secoua lentement son pelage et se tourna vers Jason. Il fallait qu'elle lui dise quelques choses. Quelques choses qui allait surement lui parraitre insupportable. Elle inspira longuement et se rapprocha de lui.

Spoiler:

Tout comme Ambre, je lâche des petits gémissements de bonheur de temps en temps. Mais je commence à fatiguer... Doucement, je ralentis le rythme, jusqu’à ce que le mouvement s’arrête complètement. Elle roule au sol pour échapper à mon étreinte, puis elle se redresse, dos à moi, lâchant un petit soupir satisfait. Ensuite, elle se secoue et me fais face. Je vois dans son regard qu’elle veut me dire quelque chose, mais quoi ?.. Elle s’approche de moi, prenant une grande inspiration. Qu’est ce qui peut la mettre dans cet état ? Inquiet, je lui demande :

- Ambre, qu’est ce qu’il y a?

J’essaye de lui faire un sourire rassurant, mais ça ressemble plutôt à une petite grimace stressée. Alala, je prends peur à chaque petit détail. Je devrais apprendre à mieux gérer mes émotions, parce que là, je suis vraiment pitoyable. Bon, je prends une grande inspiration, et je me calme. Je crois que je ressens trop les émotions des autres... Enfin c’est compliqué à expliquer.

Je lui lance un regard inquiet. Ça à l’air d’être grave ce qu’elle veut me dire... Bon, aller, stop le suspense là, je commence vraiment à stresser...

Les yeux gris pleins de bonheur de Jason s'emplirent vite d’inquiétude. Elle ne voulait pas l’inquiéter, juste lui avouer qu'elle préférait partir de chez les estivaux, d'abbondonner son clan et son rang pour vivre leur histoire d'amour. De redevenir Neutre était l'un de ses rêves, depuis que sa mère était partit, ab-bondonnant elle aussi son clan. Elle baissa la tête et la secoua lentement, souriant faiblement. Jason ne comprenait pas, cela ce voyait. Et alors qu'elle allait lui dire ce qu'elle comptait faire, il parla. Sa voix était pleine d'inquiétude. Mais cela ne servait en rien. Ce n'était pas la déscition la plus grave du monde, non plus...

- Ambre, qu’est ce qu’il y a ?

Elle s'approcha encore plus de lui et lu dans ses yeux plus que de l'inquiétude. Il était complètement mort de peur. Elle colla son front contre le sien et elle sentit la respiration chaude et douce de son amant. Elle lui fit un sourire rassurant, n'aimant pas qu'il s’inquiète ainsi pour un rien. Surtout qu'il revenait de parmi les morts, alors ce n'était pas très bon pour son coeur. Elle ferma les yeux et se détacha de lui. Elle hocha lentement la tête pour dire que tout aller bien, mais elle savait qu'il n'y avait que des mots qui pourrait complètement le soulager. Elle soupira lentement.

- Rien, je vais bien. C'est juste..., elle avait hésiter. C'est juste que j'ai pris une déscition. Je t'aime. Je t'aime et je serai prête à tout quitter juste pour vivre mon amour tranquillement avec toi. J'ai donc décider d'aller voir Mephisto, notre Alpha, et de "démissionner" du rang de future Alpha.

Elle avait dit ironiquement "démissionner". Elle n'aimait pas les choses trop sérieuse. Les larmes étaient aux bords de ses yeux vairons et elle laissa un sanglots s'échapper ainsi que les larmes en reprenant, éclatant.

- Je ne veut pas te perdre ! Même pour un stupide rang d'Alpha ! Je ne veut pas qu'on nous sépare de force, je ne veut plus rien ! Je veut juste vivre avec toi sans qu'on se cache ! J'en est marre qu'on ne puisse pas s'embrasser sans être mort de trouille qu'on nous trouve ! J'en est marre ! Je t'aime, à la fin ! Je t'aime et eux ils veulent nous séparait ! Ne savent-ils pas ce qu'est l'amour ?!

Doucement, elle reprit son souffle. Ses yeux étaient écarquillés et mouillés, sa respiration un peu plus rapide, ses poils du dos hérissaient. Elle avait éclater. Non, non, elle n'était pas en colère contre lui mais contre eux, contre tous ses loups qui ne savent pas ce qu'est l'amour. Elle ferma les yeux, inspirant profondément. Jasy' était là, il n'était pas partis en courant. Ouf, tant mieux, elle n'aurais pas eu la force de partir à sa recherche.

Spoiler:

Spoiler:

Elle s’approche de moi et colle son front contre le mien. Mon museau s’emplit de sa bonne odeur doucement fruité que j’aime tant. J’ancre mon regard métallique dans le sien, lisant dans ses yeux que ce n’est rien. Enfin presque rien. Finalement, elle se lance :

"- Rien, je vais bien. C'est juste... C'est juste que j'ai pris une déscition. Je t'aime. Je t'aime et je serai prête à tout quitter juste pour vivre mon amour tranquillement avec toi. J'ai donc décider d'aller voir Mephisto, notre Alpha, et de "démissionner" du rang de future Alpha. "

Elle veut laisser son clan pour... Pour moi ? Elle, la jeune future alpha à l’avenir prometteur, elle veut tout lâcher juste pour moi ? C’est inconcevable, impensable. Jamais quelqu’un ne m’a accordé autant d’importance. C’est pour moi un sentiment tout nouveau... Mais je ne peux pas la laisser faire ça pour moi ! La belle louve laisse échapper quelques sanglots. Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle continue :

"- Je ne veut pas te perdre ! Même pour un stupide rang d'Alpha ! Je ne veut pas qu'on nous sépare de force, je ne veut plus rien ! Je veut juste vivre avec toi sans qu'on se cache ! J'en est marre qu'on ne puisse pas s'embrasser sans être mort de trouille qu'on nous trouve ! J'en est marre ! Je t'aime, à la fin ! Je t'aime et eux ils veulent nous séparait ! Ne savent-ils pas ce qu'est l'amour ?! "

Je soupire. Elle a raison. Moi aussi, j’en ai marre de tout ça, marre de tout ses mensonges. J’aimerais vivre notre Amour comme tout les autres, normalement. Mais cette saleté différence de clans gâche tout. Elle veut donc devenir neutre. Mais moi... Suis-je prêt à quitter mon Clan ? Mon Clan, c’était toute ma vie, il m’a recueillit alors que j’étais seul et que je e connaissait rien de ce monde. Et puis la glace, mon élément, que ferais-je sans lui ? Bien sûr, je peux en créer à partir d’eau, mais ce n’est pas pareil. Et ces paysages enneigés... Il y a tant de choses qui me rattachent à mon Clan... Suis-je prêt à quitter tout ce pour quoi je vis par Amour ?

Je m’assois puis soupire encore une fois. Cruel dilemme... Et puis, il y a plein de choses à régler... Où peut-elle vivre si elle quitte son Clan ? En terre neutre ? Ou alors... Elle peut intégrer les hivernaux ? Non, c’est impensable. Déjà que l’alpha à refusé un printanier, alors une estivale... Finalement, je prends la parole :

- Ambre, je comprends, mais... Es-ce vraiment la meilleure des solutions ? Et puis, on fera quoi après ?

J’ai la tête pleine de questions, d’interrogations, de doutes, de peur... Mais pourquoi les problèmes nous tombent dessus ? Pourquoi nous ? Et puis pourquoi n’est-elle pas née hivernale ? Tout serait bien plus simple...

Les yeux dans les yeux, les sanglots et les larmes d'Ambre s'arrête. Tout est sortis, tout à exploser. Elle n'a pas honte, elle s'en contre fiche. Tous ce qu'elle a dit, elle le pense. Elle le pense jusqu'au plus profond de son âme. Jamais elle n'avait crier sur Jason, et jamais elle ne le ferait, parce qu'elle tien trop à lui. Elle l'aime; elle le pense, elle l'aime; elle lui dit. Et elle sait que c'est réciproque. C'est forcément réciproque. Elle en a plus que marre des gens qui se mettent en travers de leurs amour parce qu'ils sont de Clan ennemi. Ambre a toujours aider les loups. Quel qu'ils soit ! Même Ita, qui est automnal, même Jason qui est hivernal, même Yoake, qui était neutre ! Elle n'en pouvait plus des conflits !

C'est alors que la voix douce et douteuse de son amant la sort de ses pensées. Elle aimerait tellement crier qu'elle veut la paix, mais on la prendrait pour une folle... Alors autant se taire.

- Ambre, je comprends, mais... Es-ce vraiment la meilleure des solutions ? Et puis, on fera quoi après ?

Elle lui sourit gentillement alors qu'au fond, elle bouillonne de rage, de haine. Ils ne peuvent même plus vivre ! ILS NE PEUVENT PLUS VIVRE, BON SANG ! TOUT ÇA A CAUSE DE LA GUERRE ! Elle en avait plus que marre. Lentement, elle sépare la distance entre eux et dépose un doux baiser sur ses lèvres. Elle pose son front sur le sien et dit lentement, avec tout l'amour possible :

- Oui, j'en suis sure. Un petit rire s'échappe de sa gorge et elle reprend; on dirait une demande en mariage, mais ce n'en est pas une. Dit, mon amour, tu viendra avec moi ?

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