Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !


Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Des nouvelles pages qui s'ajoutent à ce doux monde [LIBRE SEULEMENT SOUS DEMANDE]
Faïryna
Nobody
Faïryna
Espèce : Loup/louve
PUF * : Faïryna
Féminin
Messages : 329
Date d'inscription : 08/05/2015
Âge : 21
Ta localisation réelle : Dans le monde sombre et distordu de la malédiction de Gaïordos.

Identité du personnage
Spécialité:
Total des PNs: 0 PN
Ven 27 Juil 2018 - 1:39

http://astrala.forumactif.org
Faïryna avançait tranquillement, son lourd ventre balançant doucement au rythme ralenti de ses pas. Elle inspirait profondément les effluves de l'air nocturne, se complaisant dans l'ambiance calme et apaisante que lui apportaient les lieux. La journée avait été moins rude pour la jeune louve enceinte, tout du moins du côté de la température, ce qui expliquait qu'elle arrive à ne pas être trop amorphe pour l'une de ses récurrentes balades de nuit, sur le Territoire de son Clan. Elle appréciait la douce fraîcheur que lui apportait l'Etang tandis qu'elle le longeait, puisqu'elle en avait la force ce soir.
Son ventre n'avait cessé de gonfler, tout du long de ces dernières semaines. La journée, elle angoissait, car elle sentait qu'elle était sur la fin de sa grossesse, que bientôt ses petits chéris seraient livrés en pâture à la gueule vorace du monde. Surtout avec ces périodes de tension qui règnent entre les loups des différents Clans. Elle soupira. Elle espérait que ces troubles-là cesseraient vite, et bien. Déjà pour la paix de Four-Seasons, et ensuite parce que la maman qui fleurissait petit à petit en elle depuis quelques semaines s'inquiétait du futur de ses petits amours. Elle ne veut pas qu'il leur arrive du mal, elle fera tout pour qu'ils soient heureux autant qu'elle le pourra.
Elle s'arrêta un moment au bord de la rive clapotante, celle qui était décidément devenue sa meilleure amie à force de venir la rencontrer de nombreuses nuits. Elle baissa la tête pour laper la surface miroitante de l'eau, se désaltérant, haletant très légèrement malgré tout. Marcher ne lui avait jamais paru aussi épuisant, et encore elle s'y était habituée, ses pattes étaient maintenant rodées à ce poids inhabituel qui renversait l'équilibre de tout ce que son corps avait connu avant.
Elle s'ébroua légèrement, prise d'un long frisson annonciateur d'un de ses vertiges fréquents. Elle s'assit sur son postérieur en prévoyance. Tomber était encore moins une bonne idée à ce stade de son état qu'avant.
Elle ferma les paupières, se ramollissant tout d'un coup, le temps que le vertige passe. L'eau fraîche de la source d'eau avait eu pour mérite d'apaiser une de ses subites montées de nausées. Une fois l'étrange frisson ayant fini son passage sur son corps, elle reprit de nouveau de son habituel tonus, et re-but quelques nouvelles gorgées de l'eau claire. Elle releva la truffe, humant l'air, observant les environs tranquillement, reprenant doucement son souffle. Tant de choses se sont passées ici.
Elle se remit sur ses quatre pattes, et continua sa promenade habituelle. Ce soir, elle s'était fixée comme objectif d'aller jusqu'au Temple de Bandï, qui est non loin de son présent lieu fétiche. Elle n'y était quasiment jamais allée, une ou deux fois à peine, et avait envie de parcourir de son regard émeraude les fresques qui s'y dessinent.
De plus, l'ambiance solennelle et calme de cette endroit l'inspire tout particulièrement ce soir. Il faisait beau, la lune brillait dans le ciel dégagé, accompagnée de ses myriades d'enfants étoilés. A chaque fois elle avait l'impression que cette assemblée céleste la surveillait, bienveillante. Elle espérait que si jamais elle a une influence sur le monde, qu'elle saura faire en sorte que tout se passe bien dans les événements bientôt à venir. La Tueuse était à la fois impatiente de savoir quand ça se produirait, et en même temps craintive. Elle se demanda aussi si cela fait plus mal que des blessures de combat.
Le guérisseur l'avait un peu houspillée qu'elle continue d'aller se balader à tout va sur le territoire, même s'il s'agissait de ses endroits certainement les moins dangereux, alors qu'elle est si proche d'accoucher. Il lui avait dit, ça peut se passer n'importe quand. Mais Faïryna est quelqu'un d'actif, frôlant parfois l'hyper-activité, elle n'aime pas rester à ne rien faire. Déjà qu'elle reste à peu près assommée toute la journée par la chaleur ambiante, et fatiguée par tout, il lui semblait qu'elle avait largement assez d'heures de sommeil pour pouvoir bouger la nuit, seul moment non mouvementé où elle peut esquisser quelques pas sans tomber dans les pommes à cause de ses stupides vertiges. Faïryna est entêtée, et de surcroît instinctive. Si elle sent qu'elle a besoin de quelque chose, elle sait en général exactement de quoi il s'agit.

Elle remua doucement les oreilles, avisant non loin le Temple. Elle avait hâ...

Et c'est là qu'une contraction la plia soudainement, lui coupant le souffle sans prévenir. Se courbant, elle essaya de respirer profondément comme lui avaient dit les guérisseurs, emplissant ses poumons et un peu son ventre qui se tordait dans ce spasme imprévu. Des contractions, elle en avait déjà eues, quelques unes, ces derniers jours. Mais celle-ci l'avait prise par surprise, fortement.
Quand elle sembla finie, Faïryna resta quelques secondes immobile à récupérer de son souffle qui la fuyait depuis qu'elle s'était alourdie ainsi, puis reprit sa marche.
Elle parvint lentement aux premières marches de l'imposant édifice, qu'une nouvelle contraction, plus puissante, de nouveau la prit, lui arrachant même un gémissement silencieux tandis que ses pattes se pliaient légèrement.
Son pelage s'était terriblement gonflé, et ses mèches de cheveux paraissaient légèrement hérissées. Grimaçant, elle se concentra sur la texture de la pierre qui s'offrait sous ses pattes avant.
Quand cette nouvelle apparition cessa à son tour, elle laissa la louve bariolée plus essoufflée que jamais, assommée par ces deux douleurs consécutives, la tête bourdonnante. Prise d'incontrôlables frissons, elle sentait ses pattes faiblir de plus en plus. Elle se focalisa sur son ventre qui lui faisait mal.

Ca s'agitait. Ils s'agitaient. Plus que les légers coups donnés quelquefois auparavant par les petits.

Et elle comprit.
Ses yeux s'écarquillèrent d'angoisse, et elle se mit à trembler un peu. La panique prenait petit à petit place dans ses veines, glaçante. Elle faillit aller s'étaler méchamment sur les marches.
Que faire ?!
Terrifiée, elle laissa ses pattes flageolantes grimper avec une difficulté immense les quelques marches qui la séparaient de l'intérieur qui lui inspirait plus de sécurité que l'extérieur. Son instinct se mettait progressivement à hurler, lui crier de se dépêcher avant qu'une nouvelle contraction ne la plonge sans autre forme de procès sur les marches de grès. Elle gémit en silence sous l'effort, serrant les crocs, bandant ses muscles, la détermination passant au travers de son voile d'effroi. Agir d'abord, flipper après.
Sentant une nouvelle contraction arriver, elle se précipita autant qu'elle put sur le sol lisse et frais, un peu plus loin que l'entrée. Après avoir cherché une place à peu près confortable et isolée, non loin de l'entrée, car ses forces ne lui permettaient guère de s'en éloigner de trop, elle s'allongea le plus délicatement qu'elle put sur les dalles, frémissant violemment.
Quel soulagement quand elle se fut reposée au sol.
Cette troisième contraction lui arracha un faible gémissement douloureux. Sa respiration s'accélérait.
« Ne panique pas. Tout va bien. Tout va bien se passer. Tu vas faire comme t'ont dit les guérisseu... OUTCH ! »
Elle se tendit, couinant.
Elle posa sa tête sur le sol, la mine douloureuse, se sentant convulser légèrement.
Elle se força à se détendre comme elle le pouvait, mais c'était plus compliqué que cela. Avisant une branche paraissant solide non loin d'elle, elle tendit la patte, essayant de l'atteindre du bout des griffes, la respiration sifflante et de plus en plus souffrante, s'accélérant. Elle s'obligeait à prendre de profondes inspirations et d'expirer lentement.

Les contractions parurent la laisser tranquille pendant quelques minutes, lui permettant de reprendre son souffle éparpillé, ainsi qu'enfin de saisir la branche qui n'était ni trop courte, ni trop longue.

Des bruits de pas résonnèrent discrètement à l'entrée, et elle s'immobilisa en les entendant, glacée.
...Qui ? ...Qui est-ce ?
Ses prunelles s'arrondirent d'effroi, mais une nouvelle contraction la fit couiner piteusement malgré elle. Les pas s'approchaient, augmentant en cadence son flux de terreur. Elle-même n'arrivait plus à sentir rien d'autre que sa peur dans l'air.
Et une tête bleue bien connue émergea de derrière un pilier.

-... apa ?  , s'étouffa-t-elle à moitié, crispant ses paupières sous un nouvel assaut.

Que fiche-t-il là ? C'est une de ses planques ?

-Eh bien, il n'a pas tardé, le Lathraios, à ce que je vois. , constata-t-il avec neutralité, de sa voix grave, s'arrêtant juste en face de sa fille. Comment te sens-tu ? , fit-il en se baissant légèrement vers elle.
-J... j'ai mal
-C'est bien normal. Je vais te chercher de l'eau ; j'imagine qu'il est inutile de te dire de ne pas bouger.
, dit-il de sa voix froide et flegmatique de nature.

Faïryna expira dans le but de rire, mais elle ne parvint pas à aller plus loin, et affala de nouveau la totalité de son corps sur le sol. Il ne changerait jamais. Et jamais elle n'aurait cru qu'il accepte de l'aider, et sans qu'elle ne lui demande rien. Son père avait une large bibliothèque de connaissances dans sa tête, et il avait aidé sa mère à les mettre au monde, son frère et elle. Elle était un peu plus rassurée déjà.
Elle poussa un nouveau geignement douloureux, se crispant, et saisit la branche entre ses crocs, serrant, grognant légèrement contre elle-même.
Encore, ces contractions-là n'étaient que les précurseurs, qu'un avant-goût de la mise au monde.

Elle attendit sa bonne âme de père qui décidément tombait toujours dans les moments compliqués, encaissant les spasmes comme l'on sonne un gong, courageusement. Le temps qui les séparait s'écourtait, et ils ne cessaient de gagner en puissance, mais de façon parfois variable, l'empêchant souvent de s'habituer à cet événement. Les petits voulaient sortir, et rien ne les empêcherait.
Alors, à travers la brume douloureuse qui assiégeait son corps, son esprit se mit à voguer.

-Voilà.

Elle rouvrit les yeux quand la voix de son père retentit, sortant de ses pensées mouvementées. Il lui présentait une sorte d'écuelle remplie d'eau. Elle tendit la gueule, et but de cette eau miraculeuse, le souffle agité. Elle reposa sa tête sans finir, la fatigue commençant déjà à l'assaillir. Sentant deux pattes sur son ventre, elle comprit que son père tâtait et massait délicatement pour faire un bilan médical comme il sait si bien le faire. Ca ne lui prit pas plus d'une ou deux minutes. Les yeux de nouveau se fermant, elle l'écouta.

-Ils ont l'air vigoureux. A toi de jouer, je reste non loin de là s'il y a un problème.

Meilleur père du monde hm, se disait-elle des fois. Elle voulut soupirer, mais un des petits la coupa en pleine inspiration, la tendant, comme électrisée. Au moins il est là. Déjà sa présence la rassurait un peu plus que toutes ses angoisses que la solitude amplifiait.

-... LATH....AÏE !...  , gémit-elle.

Où était-il pendant que cela se déroulait ?
Tremblante, souffrante comme jamais, elle aurait tout donné pour qu'il soit à ses côtés à cet instant précis, la rassurant de quelques mots doux et calmes, l'effleurant de ses ailes. Elle avait tellement mal ! Elle essayait de se contenir, mais sa respiration était assez bruyante, aspirant ses plaintes désespérées. Suivant son instinct et les conseils qu'on lui avait prodigués, elle poussa, mordant férocement la branche prisonnière de ses mâchoires. Son père s'était approché, comptant sur son ouïe prodigieuse pour lui indiquer le moindre souci, évitant la vue du sang. Puis, il s'avança plus près encore d'elle, se postant à peine à quelques centimètres, lui donnant un coup de museau encourageant, chose rare chez ce rocher froid. Ce contact permit de la rassurer un peu. Elle n'était pas seule.

Elle se souvint d'une histoire que Lathraios lui avait racontée pendant ces doux mois où ils étaient réunis, heureux. Ca parlait de.... de.... d'une héroïne à la recherche de liberté. Liberté....
Le premier enfant arrivait.
Elle se souvint que cette histoire lui avait plue, mais elle ne se rappela pas de tous les détails à cet instant étrange où son esprit accaparé arrivait déjà à penser à ça. Mais le nom de l'héroïne lui était restée mémoire, d'autant plus qu'il lui avait semblé qu'il plaisait aussi à son Ange adoré. C'était...
Le premier enfant arriva.
Achéran.
Elle donna quelques coups de langues hâtifs et stressés, mais délicats, pour l'animer. Vis ! Aller, vis !! Les larmes coulaient doucement sur ses joues. Elles devinrent un temporaire soulagement quand la petite chose se mit à respirer. Elle voulut la contempler plus longtemps, mais son ventre lui fit bien comprendre qu'il lui restait du pain sur la planche, et elle s'affala de nouveau.

-C'est une fille.  , annonça Spraïder.

Le deuxième enfant arriva, et elle s'occupa lui aussi de l'animer, toujours cette angoisse la prenant en tenaille. Il ne fit pas de misères et, rapidement, toussota lui aussi avant d'aspirer de l'air par ses poumons tout neufs.

-Un garçon.

Faïryna avait réfléchi aux différents noms qu'elle donnerait à ses enfants, sans arriver réellement à décider. Elle sentit que lorsque ce serait enfin fini, elle saurait.
Mais ce n'était pas fini, pas encore, car apparemment il restait un troisième luron qui souhaitait sortir au grand air.
Après moult et ultimes efforts épuisants, il le fit. Elle l'aida à respirer.

-Une fille.

Les contractions cessèrent, et Faïryna s'écrasa au sol, éreintée, quelques larmes de douleur et de joie se mêlant dans son regard brouillé par sa respiration instable. Spraïder tâta de nouveau avec délicatesse son ventre pour vérifier si personne d'autre ne s'y cachait.

-Apparemment il n'y en a pas d'autres. C'est bon, tout va bien, tu as réussi.  , lui dit-il pour la rassurer, posant légèrement sa patte sur son encolure hérissée comme le reste de son pelage.

« Tu as réussi. »
… Vraiment ? Ils sont vivants ? Je n'en ai tué aucun ?

-Bois de l'eau.


Elle grimaça légèrement, mais après quelques instants parvint à sortir sa langue pour laper quelques gorgées rafraîchissantes. L'eau l'y aidant, elle releva légèrement la tête et colla avec une prudence remplie de délicatesse les trois petits contre son ventre, et fut rassurée qu'ils aient l'instinct de téter. Sa tête retrouva de nouveau le sol dur, approfondissant sa respiration. Pas très confortable, mais au moins il était frais, et dans cette ambiance légèrement moite, c'était plus qu'appréciable.
L'imposant Solitaire s'assit juste à côté d'elle, lançant un regard bienveillant aux quatre individus qui se trouvaient en face de lui, grand et petits. L'automnale parvint de nouveau à relever la tête, et regarda avec amour les trois petites boules contre son ventre, un sourire heureux s'affinant doucement sur son visage empreint d'un profond épuisement. Expirant une nouvelle fois, une larme de soulagement tomba de nouveau de son œil, roulant sur sa joue bleue marquée de violet.

-Tu as réfléchi à leurs noms déjà ?
, demanda Spraïder.
-Achéran pour la première. Ensuite, Zeirop pour le garçon et Nephtys pour la petite dernière me plaisent assez.
-J'ai du mal à croire que je suis grand-père.
, ricana-t-il tranquillement.
-J'ai du mal à croire que je suis mère, et pourtant j'ai eu à peu près soixante jours pour me répéter en boucle que je le serai bientôt. , sourit-elle, n'ayant pas la force de rire.
-Félicitations.

Le silence s'installa, perturbé par le souffle encore légèrement sifflant de la jeune louve, s'ajoutant à cela trois nouvelles respirations en ce monde.

-Le père est dans le coin ?  , demanda nonchalamment Spraïder.

Faïryna soupira.

-En voyage. Du moins je le présume. , murmura-t-elle, la voix vide voir livide.

Spraïder gronda et grogna, mais ne fit aucun commentaire.

-Ecoute, je vais faire la garde le pendant la nuit, et au matin, après t'avoir confié quelque chose d'important, j'irai chercher un guérisseur de ton Clan. Repose-toi, tu en as besoin.  , déclama-t-il, stoïque.

Il se remit sur ses quatre pattes et s'éloigna un peu, s'allongeant plus loin, insomniaque. Faïryna le regarda passivement s'éloigner, une lueur reconnaissante au fond de ses prunelles vertes. Puis, elle attribua un léger coup de langue affectueux aux trois petits monstres, ravie, une douce chaleur entourant son cœur attendri.
Ainsi l'Arracheuse de vies donna vie.
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Outa-Ranos
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Mer 27 Fév 2019 - 11:31

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Outa-Ranos
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Ven 6 Sep 2019 - 16:15

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