Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Cela fait un certain temps que j'ai décider de me balader sur les terres hivernales, je me sent un peu mal, comme souvent en venant ici, ou sur un autre territoire. Je suis toujours tranquille, certes, mais le fait que, d'une part, je force l’accès d'un territoire dont on ne désire pas ma présence, mais aussi car je sais parfaitement que c'est mal de faire cela. Un cas de conscience ?... Non, je ne peux pas en avoir. J'ai laisser la plupart de ma conscience, il y a longtemps, en arrière. Je marche aux bords de ce précipice , tentant de percer l'obscurité du regard, c'est assez dur de voir les ténèbres avec des yeux qui se terraient souvent dans ces mêmes ténèbres. Je racla ma gorge d'un coup ma gorge et chercha un moyen de me pencher en bas de cet abîme, je n'ai pas envie de tomber et de me briser le cou, ou m'ouvrir le crâne, ou tout simplement me briser le corps dans des effusions de sang qui, surement, gicleraient bien haut. Je trouve une petite corniche, un peu basse et m'avance le plus loin possible dessus, évitant de glisser sur mes griffes et mes coussinets, le bout est dur, mais surement fragile. Je me met par dessus et regarde en bas en cherchant des yeux l'intérieur et surtout, cherchant des traces de quelconques créatures, bonnes ou mauvaises. Mon corps s'est presque régénérer entièrement, ne laissant que quelques cicatrices pas bien méchantes. Cet endroit est plus que dangereux, et lorsqu'un craquement sinistre retentie, je me jette en arrière avant de voir le sol tomber sous moi, je m'accroche de justesse en plantant mes griffes dans la glace et la neige de ces territoires où régnaient constamment le froid, même en été. Je force dessus plus fort en entendant un brusque craquement sonore, montrant que les dégâts seraient plus que gros si je tombe. Je remonte en grognant et regarde en bas, je ne parviens pas a trouver les débris de la corniche de glace. Je recule plus loins, inutile de me tuer pour la simple curiosité qui m'anime. Je sent une odeur, mais je n'y fait pas attention. J'ôte rapidement la poussière et les débris de glaces sur moi. Je reprend mon chemin et ne cherche même pas a savoir qui est là, et quel serais sa réaction.

Je marchait lentement, ayant un petit peu de mal à ne pas glisser, le sol était dur, mais je continuait de scruter de loin les abîmes, quel créature peux vivre là dedans ?
Surement quelque chose de mal, de mauvais. Je m'arrête lorsque, quelque chose me fit tressaillir. Un bruit derrière moi, un autre loup. Au sol, je me mit a faire glisser des fils au sol, non pas tranchant, mais collant, histoire que, si il ce loup se jette sur moi, je pourrais surement le parer. Je me retourna, mes fils se confondant avec le sol, très peu visible. Je regarde un loup gris devant moi, je sent qu'il ne me veux pas que du bien. Je prend on ton qui ne peux que montrer le fait que je ne veux pas de mal.

-Je me ballade.

Je ne comprenait pas ces histoires de batailles et de combats entre les différentes meutes de loups, je ne pouvais pas comprendre ça, alors que certaines conneries bien pire que celle là, je les comprends parfaitement. JE le regarde, prêt a l'action et demande :

-Et toi, qui est tu ?

J'acquiesce, je n'ai pas répondu a sa question, mais dois je lui donner mon véritable nom ? On m'as dit que les hivernaux étaient loin d'êtres accueillants. Je regarde autour de moi, était-il seul ? Si il était accompagner, les autres étaient vraiment bons, ils savaient bien se cacher. Je regardais le loup, espérant qu'il ne prépara aucun plan tordus, aucune attaque surprise. Je penche la tête sur le coté et affiche un sourire :

-Hé bien, je suis Tidaro.

Il me parle de guerre, je hais ces conneries, ils jouent a la guéguerre, ne sachant pas vraiment ce qu'ils faisaient, après tout, le simple esprit de paix qui habite un simple loup.

-Je me fout complètement de vos jeux entre territoires. Si on me dit neutre, c'est qu'il doit bien il y avoir une raison, non ?

Il est vraie que tout cela me laisse indifférent, toutes ces morts, toutes ces familles décimés, et je tourne ça avec un petit air comique dans mon esprit. Est-ce mal ? Aucune idée... Et je m'en fou.

Je le regarde en soupirant, tout cela est sérieux ? Franchement, pense t-il ce qu'il dit ? J'hausse les épaule et lui dit :

-Tout cela n'est qu'une question de point de vue.

Pour moi, tout est simple : si quatre clans se battent, trois vont faire équipe pour en détruire un, puis ce seras aux trois restants de se battre, deux vont faire équipe pour détruire le troisième, les derniers clans se battrons ensuite entre eux, et lorsqu'il n'y auras plus personne pour se battre, ceux du clan restant se boufferons entre eux, donc désoler, mais pour moi, c'est comme jouer a celui qui a la plus longue queue, c'est un jeu idiot. Je le regarde, puis je me cambre légèrement :

-Et, être mal vue peux m'attirer des ennuies, ou tu va m'attirer des ennuies ?*

Si la réponse est lui, alors je n'hésiterais pas une seule seconde a m'en prendre a lui.

Je le regarde, il ne veux pas me combattre, mais as t-il le choix ? Après tout, si sont alpha lui avait ordonner de faire du mal aux intrus, il aurait dû me tuer depuis un moment. j'hausse a nouveau les épaules avec indifférence et lui dit :

-Hé bien, si ton alpha veux que je bouge mon cul d'ici, il viens me le dire en face. En attendant, hé bien, je pensais essayer de voir les abîmes.

Sur ce, je fait volte face, c'est légèrement malpolie, mais j'en ai rien a carrer. Je continue ma route, laissant seul, le laissant réfléchir a ce qu'il devait faire, attaquer un loup innocent et inoffensif pour son clan, ou alors laisser se balader un loup qui pourrait parfaitement être un envoyer d'un clan ennemie ici pour récolter des renseignements quelconques qui pourraient conduire a la perte immédiate de son clan. C'est le genre de dilème que je n'aimerais pas a avoir perso : Tuer un innocent ou laisser partir un coupable ? Moi, je ne sait pas ce que je ferais, je le laisserais partir, mais le surveillerais de près ou de loin, sans doute. En tout cas, je vais rester sur mes gardes, histoire de voir si il me suit ou pas. Il peut très bien me suivre, il est chez lui après tout, non ? Mais moi, je me tient toujours près a l'action.

-Hé bien, si ton alpha veux que je bouge mon cul d'ici, il viens me le dire en face. En attendant, hé bien, je pensais essayer de voir les abîmes.

Cette fois ce fut un grognement qui s'échappa des mâchoires serrées d'Adagio, puis il poussa un soupir exaspéré. Ces neutres qui se croyaient tout permis et invincibles... Quelle arrogance. Quel mépris des clans. Quelle vulgarité envers sa chère Alpha ! Fronçant de nouveau les sourcils, le chasseur répondit avec hargne.

- L'Alpha Hivernale a des soucis bien plus importants que ta présence ici !

Rien à faire, le loup faisait volte-face et s'éloignait, ce qui agaça encore plus Adagio. D'un coup, il n'avait plus du tout envie de dialogue mais aurait bien aimé bien pousser cette racaille neutre tout au fond de l'Abîme... Une belle chute en somme, avec de gros bobos à l'arrivée. S'il ne mourait pas sur le coup. En quelques foulées, le loup gris rattrapa Tidaro, et se plaça devant lui, barrant sa route, mais conservant une distance de sécurité avec le bord. Ses yeux gris fixaient le loup blanc avec un début de colère.

- Si tu tiens tant à voir les abîmes, je peux te filer un coup de patte... Tu vois, un bon coup de patte, dans le dos. Tu vas les voir de très près, mais ça risque d'être la dernière chose que tu verras.

Il ne fallait pas se montrer irrespectueux à propos de Meneldil face à un de ses plus fervents serviteurs. Même un neutre méprisant des clans devrait savoir que médire du chef face à une de ses ouailles n'est pas une bonne idée. Plissant les yeux, Adagio darda son regard froid sur Tidaro.

- Je n'ai franchement pas envie de te nuire, mais pour éviter cela il faudrait que tu y mettes un peu du tien...

J'avançais lentement en continuant ma route, scrutant les abîme à la recherche du moindre mouvement. Je sais, vous vous dites " a quoi ça sert, c'est qu'un gros troue noir", mais c'est un gros trou noir qui m’intéresse, voilà tout. Adagio revient se mettre face a moi, et il ne semble pas de bon poil. Il me menace de me jeter dans l'abîme juste a coté de nous, qu'il essaye un peu, non seulement je l'emporterais avec moi, mais en plus, je ferait en sorte qu'il ne meurt pas sur le coup, et je resterais en vie un petit moment pour le voir agoniser en souffrance avant de mourir. Je lui fait un petit sourire insolent en gronde dans un torrent de rocaille :

-Tente pour voir.

Je ne bouge plus, j'avais était un petit peu sympathique avant, mais c'est finit. Je ne m'écraserait pas devant un toutou d'alpha, juste bon a exécuter les ordres et rien de plus. Je n'hésiterais pas à le tuer, ou a mourir, de toute façon, plus rien ne me fait peur. Je le regarde et redépose autour de moi mes fils, légèrement tranchant cette fois-ci, non pas fait pour tuer, mais pour faire souffrir.

-Si ton alpha a des problèmes plus important, pourquoi tu ne va pas lui filer un coup de patte au lieu de me les briser ? A mon avis, si vous êtes en temps de guerre, il doit bien y avoir des problèmes plus important qu'un neutre qui fait une balade de santé.

Je me fout éperdument de ce que je pourrais comprendre ou pas, j'emmerde ce type, cet Adagio. Je me positionne en position de combat, ça n'allait pas se passer en douceur, autant pour moi que pour lui. Je me doute qu'il ai un pouvoir, qu'il ai une chose en plus que je n'ai pas, mais moi aussi, j'ai quelque chose qu'il n'as pas. Nous ne somment ni plus faible, ni plus fort que notre adversaire, nous somment égaux, mais la façon dont on se bat départageras l'issue d'un combat. Je suis prêt, prêt a parer toute attaque, a tenter de lei piéger en évitant ses piège, et je lui dit avec un sourire narquois, un air méchant et une voix rocailleuse et mauvaise :

-Va te faire foutre, toutou.

Le combat est maintenant inévitable, et je sais que, maintenant, notre jeu arrive à son terme, ça deviens serieux. Mes poils se dressent dans mon dos et mes oreilles se rabaissent, je montre une belle paire de croc qui ont déjà fait pas mal de dégâts. J'écarte mes coussinets et prend l'habitude du terrain, malaxant le sol. Il n'est qu'a quelques centimètres de mon piège, mais je ne fait rien qui pourrais me trahir, je ne regarde pas le sol, je garde mon regard dans ses yeux, je ne le quitte pas des yeux. A t'il réussi a voir mon piège ? Va t'il s'en défaire ? Je suis prêt a tout Adagio, mais je vais attendre que tu fasse le premier pas.

Je souris, attendant patiemment le combat, quand deux choses auxquels je ne me suis pas attendus arrivent. La première, c'est la glace qui me fonce dessus, le premier morceau égratine juste ma cuisse, le second, lui, se dirige droit vers ma cage thoracique, d'une patte,je crée une lame qui brisa ce morceau de glace, quelques morceau vinrent se loger dans mon corps, mais rien de bien méchant. La seconde chose fut que, au lieu de m'attaque directement, il passa a coté de moi, tentant surement de me jeter dans l'abîme. D'un geste de mon autre patte, je soulève sur lui le piège que j'avais fait, il va déguster. Certes, ça ne va pas le tuer, ni le blesser gravement, mais ça va être assez désagréable. Moi, je pars un peu sur le coté, mais ne le quitte pas des yeux. Je m'éloigne de l'abîme, tant pis pour l'idée que j'avais en tête, faire du mal au toutou d'un alpha, ça peux se montrer bien plus jouissif. Je ferais bien de faire attention a ses morceaux de glaces, il pourrait facilement couper les mailles de mes filets. Je regarde le sang qui coule de mon torse, là où se sont loger les petits éclats qui ont maintenant fondu... ça risque d'être un affrontement plus qu'intérréssant, mais il faut que je reste sur mes gardes, n'importe quel autre hivernal peut arriver a tout moments.

Je recule rapidement de l'hivernal, mieux vaux éviter de se prendre un mauvais coup. Il a vite fait de se dépatouiller de mes fils, mais ce que je voulais s'est réaliser, il saigne d'un peu partout, le sang pourras peut-être entraver ses techniques et ses mouvements si j'ai de la chance, mais le mieux est que, maintenant la peau entaillé, je percerais plus facilement la chair à ma prochaine attaque réussie. Le combat n'est pas qu'un art de muscle et de force, mais aussi d'intelligence et de réflexion, un colosse peux se faire battre par un loup normal si le loup normal sait se battre correctement. Je le vois enfin attérir non loin de moi et soulever un nuage de poudre blanche. Il me fallut quelques instant pour voir que la poudre s'était transformer en cristaux de glaces, et j'eût a peine le temps de me jeter sur le coté de nouveaux pour les éviter que plusieurs s'étaient déjà planter en moi. Je gronde, sur le coup, ça fait assez mal, il faut l'avouer. Adagio est plus doué que ce que je pensait, et il viens de réduire mes capacités de la même façon que j'ai réduits les siennes, cette attaque n'aurais pas pus me tuer, sauf si un de ces trucs avait atteint mon cerveau en traversant mon oeil, mais ça, faut pas trop y rêver. En contractant rapidement ma patte arrière gauche, là où la plupart des morceaux de glaces se sont loger, pour les faires tomber au sol, et reprend reporte rapidement mon attention sur l'hivernal.

Adagio est loin d'être un minable, ça, c'est vraie, mais je suis sûr d'être capable de le vaincre, pas de le tuer, peut-être, mais de le vaincre au point qu'il ne puisse pas continuer le combat. D'un coup de queue, je faisait tomber les quelques cristaux de glaces qui n'étaient pas tomber avant lorsque j'ai contracter mes muscles, puis je voie une autre de ces armes se planter non loin de moi. SI je l'avais prise celle là, j'aurais facilement pus y rester, il faut que je reste sur mes gardes si je ne veux pas voir ma dernière heure arriver plus tôt que prévu. Le loup gris se jette de nouveau sur moi, mais cette fois-ci, il ne me prendras pas par surprise comme la dernière fois. Tant pis pour la douleur, du moment que je parviens à m'en sortir. Lors de son saut, je m'élance en me couchant au sol, le plus bas possible pour ne pas me heurter à lui, et je passe sous lui. Ce n'est qu'au dernier moment que je mord un grand coup dans sa queue, j'utilise cette dernière pour contrôler ma glissade dans la neige et me retourner, il n'as pas dû avoir vraiment mal, mais ça as écourter la distance de son saut. Je recule à nouveau pour me mettre hors de porté de celui-ci, et je profite d'un instant de répits pour reprendre mon souffle. Le sol sur lequel j'ai glissé est tapissé d'une couleur rougeâtre, le sang coulant d'une de mes pattes. Un petit sourire passe sur mes lèvre, j'aime les défis, et Adagio en est un bon finalement.

Je souri, mon petit tour semble l'avoir mis d'encore plus mauvaise humeur, et pour tout dire,je pense que je retombe dans le jeu peu à peu. Il change de technique, il priviligie la défense en utilisant ses cristaux de glace comme une éspéce de bouclier, je n'ai qu'à bouger assez rapidement pour esquiver ses cristaux, mais en aucun cas je ne peux m'approcher assez pour le frapper sérieusement sans risquer de me faire embrocher. Il est intelligent. Il faut que je trouve une faille à sa technique, et vite, sinon je serais trop vite épuisé et ce seras la fin de Tidaro. Je ne doit pas relâcher ma concentration, je doit tenter quelque chose. Je voie une minuscule faille, il faut que je la perce ! Je crée deux lames de lumière le long de mes pattes, je choisie un passage où il y a le moins de glace tranchante et je me jette dedans, tendu droit. Je brise la glace qui veux heurter mon visage, et bien que certains morceaux frôlent mes pattes, je ne suis pas réellement blesse. J'attéri dérrière lui et le griffe à une de ses patte avant, puis recule encore. Je commence réellement à fatigué là, et je commence à me demander si une retraite , une fuite, ne serait pas totalement inutile.

Il commence a fatigué, comme moi. Le problème étant que, fatiguant tout les deux, nous étions toujours au même niveau tout les deux, et la seule chose que nous arriverons à faire comme ça, c'est nous entretuer. Je prépare une nouvelle attaque, créant de nouveau de belles lames sur mes pattes, ces lames là me demandaient plus d'énergie que les fils, mais en même temps, je m'affaiblie plus vite, je ne sais pas combien de temps elle tiendrons, car les maintenir sur mes pattes me demande bien plus de puissance que de les crées, et si je tombe a court d'énergie, ça risque de me couter cher. Il tente encore une attaque, mais j'était tellement plonger dans mes idées que je n'ai pas vue arriver sa salve de glace, j'ai a peine eut le temps de sauter que mes pattes arrières en était cribler. Je tombe au sol en grognant, mes muscles ne sont pas réellement atteint, mais je commence a perdre beaucoup de sang. J'ai tout juste le temps de bouger afin que son morceau de glace ne se loge pas dans ma tête et frappe mon épaule, je pousse cette fois-ci un petit jappement de douleur, puis me retourne à nouveau vers lui, et dans un dernier éspoir, je fonce vers lui. La douleur est insupportable, mais la défaite le serais ben plus, mon sang coule sur la neige en la teintant de rouge, et enfin, forçant sur mes pattes rouge maintenant, je lui rentre dedans. Je lève une de mes patte et l'enfonce dans son épaule avant, la traversant en frôlant l'os sans le toucher. Je recule à nouveau, ma vision se trouble un peu, la fatigue em prend, je pense qu'il va falloir que je quitte cet endroit au plus vite. Je recule lentement, je ne pense plus pouvoir me battre aussi aisément que tout à l'heure.

Ma petite attaque a fait son effet, mais je commencer lentement a sombrer moi aussi dans la fatigue, je m'approche de plus en plus de point de non retour. Je regarde la neige qui n'est maintenant qu'une grosse masse rouge parsemée d'espace blanc autour de nous. Le combat a été bien mené, autant par moi que par lui. Je n'aime pas abandonner ce genre de combat, car j'ai toujours envie de savoir qui survivra réellement à la fin. Il a quand même l'air fatigué de cet bataille, et je le suis moi aussi. Je tangue un petit peu en souriant tout de même, c'est pas tout les jours que je croise un loup comme lui. Dire que tout cela avait commencer à cause d'une banale histoire de territoire, une petite balade, de la curiosité et un problème vraiment excessif avec l'autorité, cela me fait sourire, voire même ricaner. Je finis par pousser un long soupir de soulagement et répond :

-Hé bien, en tout cas, on peut dire que c'était assez marrant comme combat, tu te débrouille bien.

Sur ces mots, je fait volte face et pars de son térritoire qu'il as bien défendue, il peux être fier de lui, et son alpha aussi, fier de son toutou. Je tangue légèrement, mais j'arriverais surement a quitter cet endroit en un seul morceau.