Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Laisse moi te retenir, laisse moi te garder près de moi, laisse moi t'aimer. Et sutout, ne m'abandonne pas.
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Mer 2 Mai 2012 - 17:33

----> suite du tropique avec XXI.


Je savais très bien ce que Aerin avait pus penser, es ce qu'il pensait encore. Quoique, faut pas être très intélligent pour ne pas comprendre que quand la personne qu'on aime embrasse quelqu’un d'autre, elle ne vous aimes plus. Sauf que la c'était tout autre chose, on m'avait forcé. Enfin, on m'avait surtout manipulé. Dire qu'Aerin avait tout laisser pour devenir estival et vivre sur mes terres, tout ça pour moi. Et il avait fallut qu'il arrive pile au mauvais moment. Son air triste avant de s'enfuir m'avait serrer le coeur. Comment j'allais faire pour me faire pardonner ? Tout d'abord, je l'avais poursuivit. Il ne semblait pas s'en être aperçut. Il marchais mollement tout en zigouillant chaque plante qui osait se montrer devant lui. Je m'avançais tout en essayant de le contourner en un demi-cercle, pour me retrouver face à lui, qu'il ne fuit pas. Mais si il ne voulait pas parler, je ne pourrais pas lui en vouloir, après tout, j'aurais fait pareil...

Je finis par me montrer, repliant mes ailes tout en cherchant ses beaux yeux azurs, en marchant d'une allure régulière et entrainer malgré mes jambes que ne demandaient qu'à s'arrêter, se laisser tomber et moi avec. Je ne savais pas si j'avais une force mental assez grande pour pouvoir subir une crise de nerf. D'une voix enrouer et mal assuré, je commençais à lui parler.


- Ce... ce que tu as vue... ce n'ai pas ce que tu crois.

Je m'approchais avant de m'arrêter à 1 mètre de lui. J'avais peur qu'il me repousse. Je continuais de fixer sa mèche qui lui permettait de cacher ses yeux. Je voulais lire dans son regard ses sentiments. Ses sentiments... mais oui !!!

- Si.. tu peux utiliser ton pouvoir, tout pourras voir que mes sentiments sont sincères, je n'ai jamais voulu cela..


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Mer 2 Mai 2012 - 22:53

• Laisse moi te retenir, laisse moi te garder près de moi, laisse moi t'aimer. Et sutout, ne m'abandonne pas. •


Sheen ♦ Aerin




• Elle apparut devant moi. Je marchais depuis plusieurs minutes. Enfin, je crois, parce qu'honnêtement, j'ai préféré ne penser à rien. Je ne savais pas qu'aimer avait de si mauvais côtés. La trahison fait mal, encore plus si on ne s'y attend pas. Au fond je ne sais pas quoi faire. Retourner la voir et lui sortir le blabla typique de la romance à l'eau-de-rose ? Tss, pas mon genre. Oui, je suis rancunier. Oui, j'ai peut-être mauvais caractère. Mais j'aimerai vous y voir. Je n'avais aucune idée de qui excuser, qui blâmer, qui rendre responsable de ce que j'ai vu. Alors autant mettre tout le monde dans le même panier, tant que je ne connais pas plus de détails. Et Sheen venait de se montrer, sortant entre deux arbres, ailes repliées, marchant vers moi. Je ne veux pas la voir.

• « Ce... ce que tu as vu... ce n'est pas ce que tu crois. »

Ah, elle est bien bonne, celle-là. La louve ailée me dit ça sur un ton mal assuré. Malheureusement pour elle, je ne crois que ce que je vois. C'est presque la seule phrase que je suis à la lettre. Et tout ce que j'ai pu voir, c'est une estivale qui il y a à peine un peu plus d'un mois, disait encore m'aimer, en train d'embrasser un autre estival. Une estivale pour qui j'ai quitté mon clan natal. Une estivale pour qui j'aurai pu faire bien plus. Je ne peux pas me plaindre, de toute façon, je suis né avec des mensonges, des trahisons, des cachotteries et tout le bataclan. En final, ce que je peux retenir, c'est qu'on ne peut donner de confiance à personne. J'eus soudainement les larmes aux yeux ; mais je devais bien me résigner, ce sera comme ça tout le reste de ma vie. Je fais maintenant dos à la louve. Je ne veux pas la voir et c'est tout. Par chance ma mèche a caché les gouttes qui perlaient sur mes joues le temps où je me trouvai face à elle.

• « Si.. tu peux utiliser ton pouvoir, tout pourras voir que mes sentiments sont sincères, je n'ai jamais voulu cela.. »

Elle ne le voulait pas ? Vraiment ? En trente secondes interminables, elle n'a pas le temps de se détacher du loup ? De lui dire "désolée, je ne peux pas" ? C'est du délire. Et de toute façon, je ne vois pour quelle raison ce loup aurait pu l'embrasser dès leur première rencontre, comme ça, sans autre forme de discussion. Pourquoi ne peut-elle pas comprendre ? J'ai juste envie de rester seul. De retourner au Printemps, de me coucher sous le Saule Pleureur de MON territoire. Juste de rester seul. Je ne lui demande même pas de s'expliquer, elle devrait être contente. En plus, je n'ai aucun besoin qu'on me ré explique ce que j'ai vu. Dans un élan rapide, je me retournais vers la jeune louve. Je me mis à avancer vers elle d'un pas, régulier et appuyé, rapidement. Elle cherchait mon regard ? Elle allait l'avoir. Je m'approchais vite et en quelques secondes à peine, j'étais à quelques centimètres. Je me sentis imposant pour la première fois de ma vie. Immobile, face à Sheen, sa tête à une quinzaine de centimètres, les yeux dans les yeux. Un grognement m'échappa.

• Il ne me suffit que d'un bond. Je n'eus qu'à reculer d'un pas et à m'élancer sur un ou deux mètres pour mettre Sheen dos au sol. Les pattes fixées sur ses ailes pour ne pas qu'elle parte. Je ne me sentis énervé qu'à cet instant. Je repoussai ma mèche sur le côté d'un coup sec de la tête, et plantai mes yeux dans les siens, tandis qu'elle voulait certainement s'en aller.

REGARDE-MOI !

Je n'avais plus cette sensation de coton dans les jambes. Au contraire je me sentis comme possédé par une haine qui m'était inconnue. Je lui avais presque crié cet "ordre". Elle me voyait maintenant. Elle voyait mes yeux. Mes yeux humides. Mes yeux humides de colère et de saturation. Je commençai sérieusement à en avoir assez. Qu'on ne me prenne jamais au sérieux et qu'on me cache tout ce qui se passait autour. Je voyais les prunelles dorées de Sheen juste face aux miennes.

Déjà, je ne regarderai pas ton aura. Si tu parviens quand même à te souvenir, je te rappelle qu'il y a presque un an que je t'ai promis que jamais je ne la regarderai.

Je gardais le ton agressif que j'avais pris juste avant. Je plissai les yeux et inconsciemment pris l'expression que j'arborais avant de grogner. Je sentais mes pattes trembler à cause de l'agitation qui régnait en moi. Je ne pus m'empêcher de laisser couler des larmes encore une fois. Je pris un ton plus lent mais pas moins sec et implacable.

Dis-moi, Sheen. Réponds-moi honnêtement. Est-ce que tu me vois, passer le reste de ma déjà pauvre existence à rester t'attendre en me demandant si tu ne vas pas te laisser emporter par les avances des autres mâles ? Est-ce que tu me vois patienter à longueur de journée, sans dormir la nuit, sachant pertinemment que tu ne sauras pas dire "non" à un autre qui viendrait jouer les jolis-coeurs auprès de toi ? Réfléchis. Prends ton temps et réfléchis. Si tu sens que je serai capable de faire ça, ou si tu préfères que je m'en aille maintenant. REFLECHIS !

Comme elle ne répondait pas, je lui criai ce dernier mot. Elle n'a qu'une phrase à dire. Une phrase et je repars. Quelques mots et j'efface de ma mémoire la moitié de ce que j'ai vécu jusqu'à maintenant. Non, plutôt un mot. Un mot et je me barre de ce territoire qui vous laisse du sable dans les pattes et vous tape le crâne avec son soleil trop intense. Un mot et je quitte ces terres sur lesquelles je suis venu juste pour elle. Parce que je l'aime. Et aimer n'est pas sans conditions. La jalousie y est apposée comme le grain de sable au désert.





Spoiler:
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Jeu 3 Mai 2012 - 21:58

Je le regardais toujours pendant qu'il était de dos. Je sentais une douloureuse boule se former dans ma gorge. Et pour la première fois de ma vie, les sentiments de regrets et de culpabilités se mélangeaient au fond de moi. Il se retourna enfin et d'une grâce et d'une agilité incomparable, il brava les quelques mètres entre nous et avança son visage tout près du mien. Mes yeux furent immédiatement plonger dans les siens. Deux grands yeux azur, avec quelque chose de changer, un regards de haine.... envers moi. Je ne pensais pas qu'il pouvait me regarder un jour d'une telle manière. Peut-être que depuis tout ce temps je m'étais tromper sur son compte. Je le connaissait depuis si longtemps et cet ami là je ne le reconnaissais plus. Il m'avait toujours regarder de son air gentil et protecteur, et je le croyais incapable d'être violent ou de m'en vouloir à ce point là. J'avais vraiment fait quelque chose qui l'avait blesser, et qui moi même m'avait fait du mal. Je m'en voulait à présent, je me demandais vraiment de quel façon j'allais réparer les pots casser.

En même pas une fraction de seconde, mes pattes sur retrouvèrent en l'air et mon dos contre le sol. Cette situation ne m'était pas inconnu. Non, avant c'était du jeux, de l'amusement, sauf peut-être une fois, mais il ne m'avait pas reconnu à ce moment là. Alors que maintenant, il savait pertinemment qu'en jouant de sa force physique il pouvait d'une grande faciliter se retrouver au dessu de moi, comme à cet instant, en retenant ses griffes sur mes ailes pour m'empêcher de partir. Pendant quelques secondes, je regrettais de l'avoir suivit, ne ceresse pour le rassurer ou pour me faire pardonner. Je ne me sentais plus dutout en sécurité et savais très bien qu'il lui suffirait, si la haine qui éprouvait envers moi était si importante, de ses dents pleines de crocs pour en venir à bout de ce coeur qui battait si vite au fond de ma poitrine. D'un simple geste, sa mèche se dégagea et je détournais la tête. Non, je ne voulais plus affronter ça. Je voulais laisser tomber, j'avais trop peur de recroiser son regard encore une fois. Ce nouveau regard de haine et de colère, plus jamais.

"REGARDE-MOI !"


Sa voix était autoritaire et un timbre grave laisser paraitre sa colère, peut-être pas encore au maximum. Je fermais les yeux tout en me demandant qu'es qu'il ferait si je ne l'affrontais pas. Je décidais vite de les rouvrirs un par un lentement, tout en retrouvant cette même haine dans ses yeux azur de mon enfance, pas seulement de la colère, la tristesse, et je me demandais quel sens de la balance penchait le plus... Il n'était pas bien dutout, complètement détruit en faite.

Déjà, je ne regarderai pas ton aura. Si tu parviens quand même à te souvenir, je te rappelles qu'il y a presque un an que je t'ai promis que jamais je ne la regarderai.


Oui.. cette promesse. Je ne voulais toujours pas affronter la suite, ne plus rien entendre, devenir sourde ou avoir du coton dans les oreilles. j'aurais mieux fait de le bouffer ce loup.. en plus je ne savais même pas son nom, et je m'en foutait royalement. Q'un estival soit comme ça me fit beaucoup de peine. Il avait fallut que je tombe dessus pour perdre ce qui m'étais le plus cher, ou alors, peut être pas encore perdu... avec un peu de chance. Il plissait les yeux, j'étais tellement tétaniser par toute cette agitation que je ne remarquai pas les deux pattes qui me tenaient fermement trembler. Il reprit de la même voix, tendis que je sentais moi aussi le gout des larmes remonter et me brouiller la vue.


"Dis-moi, Sheen. Réponds-moi honnêtement. Est-ce que tu me vois, passer le reste de ma déjà pauvre existence à rester t'attendre en me demandant si tu ne vas pas te laisser emporter par les avances des autres mâles ? Est-ce que tu me vois patienter à longueur de journée, sans dormir la nuit, sachant pertinemment que tu ne sauras pas dire "non" à un autre qui viendrait jouer les jolis-coeurs auprès de toi ? Réfléchis. Prends ton temps et réfléchis. Si tu sens que je serai capable de faire ça, ou si tu préfères que je m'en aille maintenant. REFLECHIS !"

Je retenais ma respiration durant toutes ses paroles, pendant que j'essayais de stabiliser ce mal de tête de plus en plus douloureux. Chaque syllabe sortant de sa bouche serrait petit à petit l'étreinte de ce point qui serrait mon coeur qui semblait sur le point de s'arrêter de sa course folle à tout instant. J'avais un choix à faire. Quoi ? je ne savais pas exactement. Enfin, si, enfin, non, enfin peut-être, je sais pas tout se bouscule !!!Que voulait-il vraiment ? Je ne me sentais incapable de prendre des décisions maintenant, et surement pas quand la personne à qui vous tenez le plus est sur le point de vous quitté à jamais pour une simple bêtise, ou peut-être, pour des choix depuis longtemps redoutés et garder dans un coin cacher dans un coin de sa tête. Il m'avait hurler dessus, et je ne disais toujours rien. J'étais muette comme pas deux. Que faire ? Ma tête continuait de me brûler et je me raclais la gorge avant de pouvoir enfin sortir quelque chose de ma bouche, semblable à un murmure.

- Restes... je veux que tu restes..

J'allais craquer et finir en larme, mais je me devais de garder l'esprit clair. On ne pouvait pas refléchir en pleurant. Il n'allait pas rester jours et nuit en penssant que je pouvais me faire avoir par un autre. Car non, je n'allais plus me faire avoir. Je voulais rester avec lui, que cette journée soit très loin derrière nous. Mais oublier, non, impossible maintenant d'oublier mes erreurs. Je voulais qu'il est confiance en moi.. Je voulais n'être qu'à lui et lui réserver mes lèvres, personne d'autre n'avait le droit d'y toucher. Mes yeux toujours dans les siens, quoique, je ne les voyaient presque plus avec ses larmes et les miennes.

- Je sais... je devrais te dire de t'en aller... parce que je ne veux pas que tu souffres en pensant que tu pense que je pourrais me laisser emporter par un autre.. Sauf que je veux que tu restes. Je ne me vois pas avec un autre que toi. IL n'y à que toi. Seulement toi. Je ne veux pas avoir mal. Et là j'ai mal. Ne parts pas. Je suis une égoïste tu vois, je te veux que pour moi. Ne me laisse pas. Je réfléchis, et je pourrais réfléchir tout une année si il le faut, mais la réponse sera toujours la même. Restes. Tu peux me frapper, m'abandonner, me faire souffrir autant que tu le veux, je voudrais toujours que tu restes.

Mes mots avait était dit d'une voix toujours aussi peut confiante, mais le volume était quand même un peu plus fort. Si je le voulais, je le crierais au monde entier. Qu'il reste.


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Sam 5 Mai 2012 - 19:53

• Laisse moi te retenir, laisse moi te garder près de moi, laisse moi t'aimer. Et sutout, ne m'abandonne pas. •


Sheen ♦ Aerin




• « - Restes... je veux que tu restes.. »

Me dit Sheen après une attente. Elle se racla la gorge. Je commençai à reprendre une respiration normale et à me calmer, les pattes toujours tremblantes mais beaucoup moins. Elle me demandait trop, je ne pouvais pas supporter de faire ce que je lui avais dit. J'étais venue du Printemps jusqu'ici pour sa seule personne et elle souhaitait m'en affliger encore ? Désolé Sheen je n'en suis pas capable. Je préférais autant devenir solitaire que de la savoir en vadrouille dans le territoire, les mâles rodant partout, même en période de... Hum. Chaleurs. En sentant que l'estivale ailée était en plein dans cette période je dus étouffer un toussotement et mon coeur rata un battement. Je n'avais jamais senti ça sur Sheen et ça me troublait affreusement. Il me semblait qu'elle était encore adolescente et je ne la voyais pas du tout maman. Ça expliquait toujours qu'elle se fasse aborder par tous les estivaux du coin. Cette odeur inconnue sur elle me restait dans le nez et la tête quand elle continua :

• « - Je sais... je devrais te dire de t'en aller... parce que je ne veux pas que tu souffres en pensant que tu pense que je pourrais me laisser emporter par un autre.. Sauf que je veux que tu restes. Je ne me vois pas avec un autre que toi. Il n'y à que toi. Seulement toi. Je ne veux pas avoir mal. Et là j'ai mal. Ne pars pas. Je suis une égoïste tu vois, je te veux que pour moi. Ne me laisse pas. Je réfléchis, et je pourrais réfléchir tout une année si il le faut, mais la réponse sera toujours la même. Restes. Tu peux me frapper, m'abandonner, me faire souffrir autant que tu le veux, je voudrais toujours que tu restes. »

Sa voix avait pris de l'assurance, ou c'est ce qui me parut en tous cas. Ou alors elle parlait juste plus fort. Des larmes perlaient aux coins de ses jolis yeux dorés. Je restai immobile en répétant ses mots comme pour les apprendre. Ses prunelles humides donnèrent la pareille réaction aux miennes. Pendant de longues minutes la seule chose que nous pûmes entendre fut nos respirations régulières ; et sans doute nos pensées mutuelles. Ce qu'elle m'avait avoué restait dans ma tête et tournait à l'intérieur. Je sentais tambouriner dans ma poitrine tandis que je ne pensais plus à cligner des yeux ou même à respirer. Je ne savais plus quoi penser. Mon esprit me disait de me méfier de cet amour, mon coeur me criait de l'aimer et ma conscience me soufflait qu'il faudrait la laisser se relever. Le coeur l'emporta sur tous, peut-être grâce à la réponse de Sheen qui me troublait. Pour la conscience, j'y réfléchis mais choisi d'attendre juste un peu.

• Encore dans mes pensées, une sorte de bouffée d'adrénaline me prit de court. Une seconde après, j'embrassai la ravissante estivale. MON estivale. Je n'avais posé ms lèvres sur celles de Sheen une seule fois, durant une fraction de secondes, avant de m'envoler et de repartir au Printemps. Maintenant j'avais le temps pour le faire durer plus longtemps. Ou plutôt je m'envolais mais seulement dans ma tête. Offrir un baiser à celle qu'on aime est une sensation inimitable et à ce moment on se demande... Quoi de plus ? Je voulais rester ainsi penché au-dessus d'elle, l'embrassant pour ne penser qu'à cet instant et le faire durer autant de temps que je passerai sur cette Terre. Je voulais rester à l'aimer et comme ça ne pas la faire souffrir comme j'avais pu le faire juste avant. Je la voulais elle et seulement elle, je nous voulais ensembles jusqu'à la mort, non, même après. Je nous voulais ensembles et immortels.





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Sam 5 Mai 2012 - 22:17

Je venais d'avouer ce que j'avais sur le coeur. Jamais nous n'avions, ou plutôt je n'avais oser lui dire à quel point il comptait à mais yeux, car mon comportement et le fait qu'il est utilisé son pouvoir l'unique et seul fois l'avait fait à ma place. Des petites perles salées continuait de couler au bord de mes yeux. Ce que je venais d'avouer. Jamais aucun de nous n'avions aborder ce sujet, pourtant nous le sentions au fond de nous. Nous restâmes à nous observer, yeux dans les yeux, tendis que tout haine s’effaçait des siens. Plus que ce sentiment tant redouter et si fort à la fois émanait de lui. Il m'avait pardonner et je lui promettait d'un simple regard que cela n'arrivera plus jamais. Il restait au dessus de moi et ses pattes qui me retenaient fermement quelques instant auparavant étaient entrain de trembler. Je le sentais si fragile et fort à la fois, ce simple lien qui qui m'empêchais de détourner mon regard du sien. Mes larmes coulaient, ohlala, j'étais comme un nuage qui perdait tout seul ses gouttes de pluies et qui pourtant ne voulait pas les laisser s'en aller. Des larmes de joie, de bien être, je lisais dans ses pensées, et lui dans les miennes. Compassion, joie, amour, tout était là. Je voulais que cet instant dur toujours. Mais finalement, si je pouvais lire dans l'avenir, j'aurais laisser la suite arriver...

Tendis que son visage s'approchait du miens, je me demandais vraiment ce que j'allais faire... non, en faite, je savais parfaitement quoi faire, mon instinct me le disait, mon esprit me le dictait, tout mon être le réclamait, quand à mon coeur, il le voulait tout simplement, et le sentais tout naturellement. Tout ça n'était que pur bonheur, mon coeur battait à tout rompre quand ses lèvres sucrés se posèrent sur mes lèvres, pour la deuxième fois de ma vie. La première fois, il avait déposer un baiser furtif tout en repartant en courant, en me laissant avec les joues cramoisies et le coeurs en feu. A coté de lui, l'autre pouilleux n'était qu'un aliment à moitié digéré. Quoi de mieux... que de recevoir, de la part de celui qui faisait chavirer mon coeur, un vrai baiser franche et amoureux ? Mon coeur, Aerin l'avait fait rire, jouer, chaviré, aimer, détruit, construit et .. comblé. J'avais entrouverts timidement la bouche pour oser partager ma langue et mes lèvres avec lui. Depuis si longtemps... j'avais redouté. J'avais espéré. Et me voila réconforté et comblé de cadeau. Journée si pourris. Peur. Doute. Tristesse. Tout cela était invisible.
Je ne voulais que lui, pour moi, pour ma vie, pour toujours, lui tout entier, rien ne pouvais me rendre plus heureuse que simplement être avec lui. Cet instant sembla durer une éternité. Mais une éternité n'étais pas assez longue pour décrire ce que je ressentais à ce moment là. Nous arrêtâmes ensemble le baiser, comme si nos esprit était lisaient l'un dans l'autre. Je repris mon souffle, tout comme lui. Avant que je sente ses pattes glisser de mes ailes et de mes épaules pour se poser sur le sol et me permettre de me relever. Mes membres tremblotaient, mes larmes étaient sèches, et mon coeur ne réclamait qu'une chose : lui. Pourtant je venais d'échanger pour la première fois un vrai baiser. Car oui, Quand l'autre loup avait oser m’embrasser, j'avais serrer les dents. Il n'avait que le bout de mes lèvres rien d'autres. Pourtant il avait tenter d'allez plus loin. Je secouais la tête. Chassant ces images maudites. Je me relevais, la tête en feux. J'étais vraiment trop heureuse, c'était limite troublant, mais en aucun cas gênant.

Quand mes yeux retrouvèrent les siens. Tendis qu'il était debout en face de moi. Je ne pus empêcher mes pattes de s'avancer et ma tête de se caler dans le creux de son cou. De savourer encore un simple câlin au près de celui que j'aimais. Avant de reculer, et de le pousser délicatement en arrière, en me faisant en passant repenser à nos jeux d'enfance, qui était de chatouiller et de mettre en pétard la mèche de l'autre. Il gagnait toujours. Nous avions grandit, et la passion de l'un pour l'autre aussi. Il se laissa faire et tomba sur le sol, mes deux pattes chaqune de chaque coté de sa tête. J'admirai son doux visage et ses yeux semblable à l'océan que j'avais réussi à déchiffrer avant de fermer les yeux et de poser à mon tour mes lèvres sur les siennes. Lui offrant moi aussi un élan de passion et d'amour. Mon esprit toujours entrain de planer avec le sien. Je rêvais en même temps. De ce que pourrait être la vie à ses cotés. Toujours... Je continuai jusqu'à manquer d'air, je rompis le contacte et me laissais tomber à ses cotés. Me tournant pour replonger mes yeux dans les siens. Allait-il dire quelque chose ? Pour ma part, il n'y avait rien à dire, que à penser et à admirer, laisser le coeur s'exprimer non pas par des mots, mais pas des gestes et des regards .



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Dim 13 Mai 2012 - 21:30

• Laisse moi te retenir, laisse moi te garder près de moi, laisse moi t'aimer. Et sutout, ne m'abandonne pas. •


Sheen ♦ Aerin




• D'un commun désir Sheen et moi arrêtâmes de nous embrasser. Je me sentais léger, comme si je flottais ou que je devenais aussi peu lourd qu'une brindille. Quand l'estivale voulu se relever, j'écartai mes pattes pour la laisser faire mais sans grande volonté tant je restais dans la Lune. Je reprenais mon souffle tandis que mon coeur battait à la chamade. Elle parvint à se mettre debout pendant que la suivais du regard. Elle secoua la tête, puis se tourna vers moi, me fixant dans les yeux. Moi ayant les miens dans les siens. Les siens, ses yeux dorés et clairs qui scintillaient à cause des larmes. Larmes que j'avais causées. Son museau vint se blottir dans mon cou et j'en frissonnais. L'amour rend complètement flan-flan mais c'est n'est pas si désagréable si on passe les pattes toutes flagada.

• La tête logée dans mes poils, Sheen le resta un bon moment durant lequel je ne voulais plus respirer, juste pour pouvoir ressentir chacun de ses battements de coeur. Juste pour mieux percevoir les frissons à l'intérieur de mon ventre. J'avais en effet plus l'impression d'agréables frémissements que de papillons voltigeant. J'offris une léchouille à son museau. Après quoi elle s'aida de celui-ci et de ses pattes pour pousser mon dos au sol. Je me retrouvais les pattes en l'air mais cela m'importait peu étant donné que cette position ne nous était pas inconnue grâce à nos jeux de louveteaux et d'adolescents. Sauf que pour cette fois-là, je n'aurai pas le droit à un frottement de patte sur la tête. Du moins je pense. Je distinguais les pattes couleur sable -c'était bien le seul sable que je peux dire adorer- des deux côtés de ma tête.

• La belle estivale m'observa, et nous restions immobiles tous deux. Elle ferma soudainement les yeux et se pencha pour mettre ses lèvres contre les miennes. Le second baiser dura encore plus longtemps que le précédent. Tous deux le gardions vivant tant que nous possédions du souffle et lorsque nous décidâmes de séparer nos museaux, il nous fallut respirer un bon moment. Malgré ça je reste persuadé que jamais nous ne pourrions retenter un pareil baiser. Je préférais garder les yeux clos, simplement pour que la sensation persiste encore. Pour avoir la formidable impression que Sheen était encore au-dessus et m'embrassait. Je la sentis se laisser tomber à côté délicatement, ensuite j'entendis son corps se glisser sur le sable. Et je me rendis compte qu'elle avait son regard doré posé sur moi.

• Lentement j'ouvris les yeux et le soleil posté tout en haut m'éblouit aussitôt. Peu importe, ce n'est pas lui que je veux voir. Toujours dans une sorte de nuage à l'écart de tous les orages, je basculai à ma gauche pour me retrouver face à face avec la jolie estivale. Elle me regardait sans un mot, avec un sourire, et toujours cet air rieur qu'elle seule peut avoir. J'en profitais pour la regarder également, pour regarder ses belles couleurs, ses magnifiques formes, toutes ces choses qui avaient évoluées sans même que je m'en aperçoive. Maintenant que j'y prêtais attention, je comprenais les réactions des autres bien volontiers. Un petit frisson parcourut mon dos tandis que je continuais de l'admirer observer. D'un mouvement d'épaule contre le sol je me rapprochais de l'estivale pour mêler nos pattes, juste pour sentir quelque chose d'elle me toucher. Rien que pour le contact. Je ne voyais plus rien d'autre que le doré de ses yeux toujours absorbé par le bleu marine des miens. J'eus un petit sourire amusé et, m'imaginant déjà le futur avec la louve que j'aimais, lui dis :

- Je pense que je t'aime.

Avant de lui déposer un léger baiser sur le coin du museau.


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Sam 19 Mai 2012 - 22:27

Il rouvris lentement les yeux qu'il plongea dans les miens après avoir tournés la tête.Sourire. Pensées. fascination. Tout ceci hantait mon esprit et plus aucune douleur. Je ne m'étais jamais sentis aussi bien jusqu'à ce jours. J'avais toujours ressentis un manque enfouis secrètement au fond de moi qui était apparut pendant mon adolescence. Quand j'avais commencé.. à ressentir des sentiments en particuliers envers Aerin. Je n'y croyais toujours pas. Enfin.. j'y avais penser, ou plutôt ça m'avait carrément obséder. Des sentiments réciproques... quel bonheur.
En un rapide mouvement, il se retrouva contre moi, penché sur le coté, à mêler ses pattes aux miennes, des frissons et le battement de mon coeur s’accélérèrent, rien que sentir son pelage toucher le mien me rendait folle. Le nouvel estival me souriait d'un air franche et passionné . Il déposa un tendre baiser sur le coin de mon museau et ses douces paroles résonnèrent à mes oreilles de sa voix reflétant son sourire.

"- Je pense que je t'aime."

Je ne pus retenir des larmes de joies au creux de mes yeux. Cette phrase que j’espérais temps .. J'en rêvais. Saillais, la chouineuse au fond de moi avait encore frapper. Je ne voulais plus verser aucune larme, et ma nature émotive et sentimentale avait encore prit le dessus. Ahlala, machine à pleurer direz vous. Mes sentiments étaient comme un mélange de feuilles mortes volantes. Chamboulés, mais positifs. Je tendais la pattes pour caresser son magnifique visage et restait silencieuse avant de craquer et de me rapproche encore plus tout en fourrant encore ma tête dans son cou.

- je t'aime, je t'adore ! je t'aime à la folie !

Je me retrouvais complètement fourrer dans ses pattes. Je me sentais bien au chaud et protégée. Plus rien de pouvais nous atteindre. Même si Aerin n'était pas un des plus musclés, il était le plus fort à mes yeux. Même si on ne se comprenait pas toujours, nous ne formions qu'un. Même si je l'avais blesser, il m'avais pardonné. Même si il m'avais fait souffert, je l' aimais. Nous souffrions ensembles. Nous étions heureux ensembles. Après un temps à me serrez contre lui comme ça, je lui posais une question. Elle semblait pourtant si évidente, mais quand on est une personne qui stress pour un rien et qui est à se poser toujours un tas de questions, c'est important.

- Et maintenant ... On sera toujours ensemble ? on vivra tout les deux, comme de vrais compagnons ?





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Mer 30 Mai 2012 - 15:23

• Laisse moi te retenir, laisse moi te garder près de moi, laisse moi t'aimer. Et sutout, ne m'abandonne pas. •


Sheen ♦ Aerin




• Les yeux de Sheen se remirent à briller. Cette fois-ci, un sourire était dessiné sur ses lèvres et elle semblait heureuse. Incroyable comme elle pouvait pleurer, ma petite estivale -plus si petite d'ailleurs. Étrangement je préférais qu'il en soit ainsi, je me serais senti bizarre de ne pas la voir verser quelques larmes. C'est comme ça que je l'aime, que je l'ai aimée et sans doute que je l'aimerai. Elle se lova contre moi après quelques secondes à peine, et je ressentis quelque chose d'inhabituel mais d'assez agréable me traverser. Encore un effet des chaleurs j'imagine. Décidément elles m'embêteront jusqu'au bout. Avec je l'avoue un peu de difficulté je tentai de me concentrer sur elle -ses paroles, quoi- et sur ce qu'elle me disait. Cette entreprise se compliqua plus encore quand elle passa sa patte sur ma joue avant de la faire doucement descendre le long de ma tête jusqu'à mon museau, j'eu le temps de lui faire une léchouille dessus avant qu'elle ne s'échappe de mon visage.

« - je t'aime, je t'adore ! je t'aime à la folie ! »

• Après ces mots plus qu'agréables à mes oreilles, elle se blottit entre mes pattes, si bien que nous nous retrouvions ensembles, liés, presque soudés corps à corps à voir justement celui de l'autre -non, je n'en profitais absolument pas, voyons. Le moindre souffle faisait dresser les poils de l'estivale allongée à côté et je me sentais bien comme je ne m'étais jamais senti. On entendait juste le vent remuer le sable autour de nous et les feuilles des grands arbres. Je sentais toujours la sensation étrange se déplacer en moi, et surtout dans mon ventre, mais j'essayais de l'ignorer et de ne pas y prêter attention. Je ne pouvais pas m'empêcher de regarder Sheen. Mes yeux croisèrent les siens lorsqu'elle parla.

« - Et maintenant ... On sera toujours ensemble ? on vivra tout les deux, comme de vrais compagnons ? »

• Pour toute réponse je me rapprochais un peu plus encore d'elle et me mis à lui mordiller le cou en douceur, en souriant. Bien sûr que nous serions ensembles pour longtemps, que l'on vivra tous deux dépendants et accrochés l'un à l'autre, que l'on s'aimera et pour longtemps, que rien ne pourra nous écarter de notre chemin commun. Et puis la belle m'a promis qu'elle ne se laisserait plus avoir. Je n'ai pas le droit de douter, je n'ai plus le droit. J'ai accepté de lui pardonner et ai décidé de l'aimer malgré tout, alors je me devais d'avoir confiance. Je déposai ma truffe contre la sienne, sourire et yeux souriants avec.

- Pourquoi, tu nous vois un autre avenir ?

Oui, je plaisantais. Evidemment qu'elle ne voyait pas d'autre avenir, ça devait être la définition parfaite de la vie parfaite pour ma parfaite et sensible jolie estivale ailée.



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Dim 3 Juin 2012 - 16:40

Il se rapprocha jusqu'à se coller contre moi. Entre ses pattes protectrices, je ne cessais de l'admirer tout comme lui le faisait pour moi. Enfin, je l’espérais. Nos coeurs battaient à tout rompre et j'avais l'impression de ne plus savoir respirer. Si c'était ça ressentir des sentiments forts pour quelqu'un, je signe tout de suite. Je sentais son souffle chaud tout près de mon oreille puis devant ma truffe. Il posa la siennes, souriant à pleines dents.

- Pourquoi, tu nous vois un autre avenir ?

Je fermais les yeux avant de les rouvrir à plusieurs reprises pour chasser l’ensemble de molécule liquide qui se formait aux bords de mes yeux. Je déposais un léger petite baiser sur sa truffe, avant de descendre jusqu'à ses lèvres, mais cette fois toujours un simple frottement. Puis je chuchotais, comme le vent caressait les feuilles des arbres.

"- Non .. non bien sûr que non. Je ne peux imaginer continuer de vivre sans que tu sois là à mes cotés. "

Je descendais ma tête de son menton à son cou, tout en m'imprégnant de son odeur aux mélanges floraux et fruits sucrés, avec une touche de la mer. Rien de plus exquis comme parfum. Mon beau Aerin, si beau et maintenant devenue estivale. Toujours à moi et à personne d'autre. Je finis par déserrer mon étreinte de loup couleur de sable pour me relever tout en lui offrant une petite léchouille sur l'oreille. Je marchais, les pattes tremblante et hésitante, comme si je venais d'apprendre à marcher. Je ne savais pas trop ou nous allons, je savais juste que nous y allions ensemble. Peut-être à la recherche d'une tanière, ou bien passer de bon temps quelque part. Mais au moins, il y avait une chose dont j'étais certaine : si je m’écroulais, Aerin serait la pour m'empêcher de tomber.


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