Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

La frontière du territoire est facile à surveiller, les arbres aux feuilles orangées m'offrant un camouflage idéal avec mon pelage roux bordé de bleu clair, si bien que je pouvais me faufiller avec aisance parmi les arbres sans me faire remarquer par les potentiels intrus. Silencieuse ombre à l'implacable efficacité, voilà ce que j'étais, nul ne pourrait en douter. Je réfléchissais tout en arpentant la fragile limite entre mon territoire et les autres, je pensais à Orage, à ma mère, à tout,...

Un craquement de feuilles me fit tourner les oreilles, les feuilles mortes posées sur le sol fournissaient un tapis avantageux pour nous Automnaux qui s'avaient l'utiliser à notre avantage. Avantage que je détenais en ce moment, puisque je pouvais aisément déterminé avec exactitude la position de l'autre avant même qu'il remarque ma présence. Je m'avancais donc silencieux, évitant avec soin de faire craquer les feuilles sur le sol. Je la vis, son pelage gris ne se confondait pas bien dans le paysage ce qui la rendait facile à repèrer dans cet univers de couleurs flamboyantes.

Je bondis tout juste devant elle, la forcant à faire un pas vers l'arrière. J'étais satisfaite de mon entrée, fracassante et efficace comme toujours. Je me mis à tourner lentement autour de la louve, j'avais bien besoin de distraction en ce moment et cette petite printannière selon son fumet désagréable de fleur allait être mon joujou du jour. Je découvris mes dents accérés en un sourire carnasier.

- Mais que fait une pitoyable petite printannière sur mon territoire?

Voila un certains temps que je marchais dans les frontieres de l'automne sans meme me sousciait que j'etais sur leurs frontieres. Les oiseaux cessa de gazouillais t des corbeaux lachas leurs cris sinistres. La lumiene du jour commencas a s'eteindre et le soleil se couchas plus tot. Un vent leger soufflas dans mon poils. Ici, c'etais pas comme mes terres. C'est... bizarre. Puis soudain je sortis de mes pensees et je pris une minutes pour regarde ou j'etais.

-Ou...ou suis-je ?

Il faisait legerement froid dans cet endroit. Puis soudain j'entendis un bruit dans le feuillage des feuilles multicolores. Je m'approchas pour mieux voir et un coup de vent me fit basculer par en arriere. Mais qu'est-ce que ses que sa ? Puis je vint une petit silouhette fine d'une louve orange. Puis elle bondit devant moi et je fit un pas en arriere. J'entendis la louve dire:

- Mais que fait une pitoyable petite printannière sur mon territoire?

Je soufflais de stupeur et essayas de m'en aller mais elle m'en empechas.

-Qui... qui etes vous ?

Je grognas.

La printanière tenta habilement de s'enfuir, mais la retenir ici fut un jeu d'enfant. J'avais été entraîné pour cela après tout, aucune proie ne devait m'échapper tel avait été le commandement.

" Qui... qui êtes-vous?"

Une voix légèrement tremblante suivit d'un grognement, intéressant. La louve avait un air hautain, comme si elle se croyait supérieur à moi, tu vas comprendre la contraire ma jolie. Je secouais la tête pour chasser mes longues mèches rebelles de devant mes yeux pour la fixer de mon regard violet.

- Ton pire cauchemar...

Ma voix était sifflante et inquiétante, digne des pires meurtriers.

Je m'inquietas de plus en plus. Je ne peux plus lui echapper. Mais que me voulait t-elle ? Je n'es rien fait. Peut etre et-t-elle une meurtriere ? Je pense que ses sa. Puis elle souflas sa meche pendantes devant jolies yeux violets. Les apparances sont parfois trompeuse me dis-je ! Puis elle me repondit d'un ton sadiuqe en restant devant et en plongeant son regard dans le mien:

- Ton pire cauchemar...

J'etais en train de paniquer.

-Que me voulais-vous ?

Dit-je d'un ton bizarre. J'avais les pattes tremblantes et j'etais morte de peur. Je sais que je suis paspeureuse d'habitude mais une louve comme cela me parraissais assez bizarre.

-Je n'es pas peur de toi !

Dit-je en ponpant le poitrail et en levant la queue et en daptant une posture fiere. Je voulais pas qu'ont me prenne pour une trouillarde.

"Que me voulez-vous?"

Bonne question en effet, quoique la réponse est simple : m'amuser, voilà tout ce qui m'intéresse. La louve avait clairement peur de moi, ses pattes tremblaient un peu et je pouvais sentir sa peur, quel délicat fumet que celui de la peur. Cette odeur si agréable qui me fait frissonner chaque fois de plaisir.

" Je n'ai pas peur de toi!"

La louve adopta soudainement une posture fière qui allait bien avec son air hautain, légèrement méprisant je dirai, elle voulait surement montré qu'une petite gamine comme moi, c'est ce dont j'ai l'air en effet, ne l'impressionnait pas du tout. C'est ce que tu crois ma jolie, attend de commencer à souffrir et tu vas peut-être changer d'idée. D'un rapide mouvement je m'approchais de la louve pour lui passer vivement mes griffes sur les flancs, lui laissant au passage de fines marques rouges puisque mes griffes entaillèrent si facilement la peau, une faible décharge électrique passa au même moment de mon corps au sien. Ce que je pouvais m'amuser.

- Bien entendu que tu n'as pas peur... tu es morte de trouille, là est la nuance...