Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Mon père ne serait pas fier de moi, je n'ai pas respecter la tradition, j'ai triché, devancé le temps et les choses. Je n'aurais pas du faire certains choix, certaines choses, mais comment aurai-je pu savoir que j'allais tout simplement tomber amoureux de la louve, que mon coeur allait enfin choisir son élue et qu'il ne battrait plus que pour elle. J'avais décidé de me soumettre au reste de la tradition malgré tout, j'étais sur d'arriver facilement à résister à une autre louve.

La tradition dit que chaque loup à le droit d'aimer une seule louve pour toute la vie, mais que rien ne l'empêche dans saillir autant qu'il veut temps qu'il n'a pas trouver celle qui fera battre son coeur. La tradition veut aussi que le loup se soumette délibérément à un test pour voir si son amour pour la douce est assez fort en allant rendre visite à une autre louve en chaleur et en devant résister à l'attrait de la chair. Ensuite seulement, s'il réussi le loup peut demander à l'élue de devenir sienne à tout jamais.

J'avais décidé de m'éloigner du territoire estival pour me mettre à l'épreuve et c'est vers le territoire de l'automne que mes pas m'ont menés. Je marchais sur un tapis craquant de feuilles orangées, l'endroit était très jolie et je me promis d'y amener Bebop un jour, dans ma tête pleins d'images d'elle et moi dans les feuilles colorées se dessinaient déjà. Je souris bêtement en pensant à ma tendre princesse estivale, je que je pouvais l'aimer. Je voulais l'aimer à jamais et avoir de nombreux louveteaux avec elle, jusqu'à notre mort je la chérirai et la comblerai, voilà la promesse que je m'étais fait en la quittant ce matin.

Une odeur terreuse de feuilles humides me vint au nez et en me concentrant un peu je pu déterminé qu'il s'agissait d'une louve et en chaleur en plus. J'avais un peu de mal avec mon odorat c'est temps ci, en fait depuis que Bebop m'avait mit la tête dans l'eau. Au fur et à mesure que la louve se rapprochait j'avais l'impression de sentir le parfum enivrant de Bebop. Ce mélange d'eau salé, de fruits tropicaux et de terres humides qui me fessait perdre la tête.

La louve apparu finalement devant moi, elle avait un pelage marron clair et la marques sur ses flancs était la même que celle qui ornait le pelage de ma tendre amoureuse. Quand l'inconnue posa son regard sur moi je vu les yeux si beaux de Bebop. Aie, le test allait être un million de fois pus difficile que ce que j'en avais pensé...

Je m'approchais rapidement de la louve automnale, autant finir le test vite parce que j'avais juste une envie : retourné auprès de Bebop pour éteindre le feu qui grondait en moi. La louve ne bougea pas en me voyant approcher, mais j'étais près à parier qu'elle surveillait le moindre de mes mouvements. Je la planquais vivement sur le dos au sol, pas question de la laissé s'enfuir ni de céder aux envies de mon bas-ventre qui devenait plus difficile à ignorer à cette distance de la louve. Je respirais l'odeur douce de Bebop et c'est ses yeux qui me fixaient avec mépris.

La louve et Bebop se superposaient dans mon esprit, je n'arrivais plus vraiment à discerner la différence entre les deux. La louve coincée sous moi planta ses petites dents pointues dans ma chair et la douleur me rendis furieux. On ne s'attaque pas à plus fort que soi comme ça. Peu importe, elle pourrait abîmer ma chair, mais aucunement mon envie intense de prendre possession d'elle comme elle le méritait. Oh ca oui, elle allait y goûter, les fois précédentes sur la plage ne m'ayant pas rassasié, je la voulais toujours plus. Je commençais doucement à lui caresser le ventre pour réveiller le désir en elle.

Elle mordit ma patte et se reculais quelques peu avant l'embrasser avec fougue, comme ça elle arrêterai de me mordre, la douleur n'était pas dure à endurer et rendait le jeu très excitant, mais j'avais envie de ne pas avoir l'air d'une passoire. Le baiser n'avait pas le même goût que ceux de Bebop et un instant les deux louves se dissocièrent dans mon esprit et je relâchais la pression pour relâcher la louve.

L'automnale continuait de me montrer les crocs en se relevant. À l'instant où elle se retourna pour me faire dos, elle et Bebop redevinrent qu'une seule louve dans mon esprit. Je ne fessais plus la différence entre les deux, une seule chose restait claire dans ma tête : je voulais ma douce ici et maintenant. La louve s'éloignait tranquillement et il me fallut qu'un instant pour la rejoindre.

J'étais tout juste derrière elle et ses odeurs de femelle en chaleur fessait monter l'excitation dans mon bas-ventre. Je devais faire vite avant qu'elle se retourne pour m'attaquer. Quelques secondes plus tard, voilà que j'avais posé mes pattes sur les reins de la louve et la retenais fermement alors qu'elle se tortillait pour m’échapper, à non pas question que tu partes petite princesse.

Le mouvement fut brutal, en un puissant coup de bassin je pris possession de son corps. La louve grognait en tentant de se dégager de mon étreinte et mes griffes se plantèrent sans retenu dans ses flancs pour la retenir. Je commençais mon mouvement de va-et-vient et la belle fit quelques pas avec moi sur le dos.

- Arrête de bouger, tu n'en prendra que plus de plaisir.

Le ton avait été sans douceur, c'était un ordre point final. La louve s'immobilisa au sitôt. Je repris la cadence de mes coups de bassins, toujours de plus en plus vite. Je n'arrivais pas à croire que je saillissais Bebop pour la quatrième fois dans un même vingt-quatre heures. La louve gémissait faiblement sous l'action qui se déroulait dans son bas-ventre et je joins ma voix à la sienne. Il me fallut un peu de temps avant que mon feu commence à se répandre en elle. J'accélérais encore plus mon mouvement de va-et-vient en gémissant toujours plus fort. C'était fini, la belle était saillie, mais je restais sur son dos avec la tête poser sur son pelage fin à respirer son odeur si délectable.