Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Je t'aime
Cette simple phrase restera gravé à jamais dans mon coeur,
j'aimais Léynéa et elle m'aimait,
On pense alors que la vie à été généreuse avec vous,
Qu'elle a créé quelqu'un vous correspondre,
Le chance était avec nous,
nous étions deux automnaux,
rien ne pouvait se mettre entre nous.
Nous étions arrivés jusqu'à la rivière de beauté, là où nos pattes nous avais portées.
Ensemble, Léynéa et moi nous remémorons cette endroit, ou Bebop c'était fait attaqué par Aki,
je me demandais bien où pouvait se trouver la sœur de Léynéa, celle-ci n'avait pas l'air de s'en soucier .
je léchais le museau de leynéa au bord de la rivière.
cette ange si précieux, ma vie entière, était là, à mes cotés.

Léynéa était soucieuse.
Heureuse, mais soucieuse.

Elle n'avait pas revu Bebop depuis qu'elle s'était fait attaquée, et par-dessus tout Ypso ne voulait plus qu'elle revienne en Automne.

Enfin, il y avait Zayt, alors tout n'allait pas mal.

Lui avait l'air parfaitement bien en ce moment.

La Bêta décida de l'imiter et marcha, essayant d'être sereine, avec lui.

La rivière caressait les pierres du fond de l'eau, sans bruit, les refets dansant sur les beaux galets polis.

Un vent léger vint effleurer le couple d'Automnaux, ébourrifant leur poil car allant dans le même sens.

La peau rafraichit, Léynéa soupira de satisfaction, se serrant contre Zayt pour lui faire partager son frisson de joie.

Les loups avancèrent sans réfléchir, longeant la rivière, entendant parfois l'eau s'écouler tranquillement, comme pour leur dire de se relaxer.

Ils s'arrêtèrent, queues mêlées, juste au bord de l'eau pure et transparente.

Le loup passa tendrement sa lanque sur le nez de sa louve.

°Ca pourrait être pire...° songea Léynéa en souriant.

Elle fit une léchouille le long de la tête de Zayt et lui mordilla gentiment l'oreille, toute douce.

°Je t'aime°

Léynéa n'avait plus besoin de le dire, Zayt le savait bien, maintenant.

L'Automnale se posa contre le loup, regardant la rivière s'écouler tranquillement.

Nous nous arrêtions, au bord de l'eau si pure, coller, poils contre poils, nous étions ensemble, mon bonheur était tellement beau, je ne m'étais jamais sentis si aussi bien . A ma place, dans l'endroit qui me plaisais le plus, tout étaient là, absolument tout.
je lécha tendrement le nez de ma louve .
celle si me la rendit traversant le long de ma tête avec le bout du son nez, pour arriver à un endroit qu'elle adorait, mes oreilles. Elle me mordilla, cela me chatouilla, je ronronna de plaisir.
Léynéa fut surprise du bruit qui sortait fond de ma gorge, oui je veux bien le dire: je ronronne... comme les chats.
je souris
toujours aussi heureux.
je pensais quand même à Melda, comment allons nous lui annoncer que nous n'étions pas .. ses vrai parents .. ça me manque d'être le "papa à sa fifille" Melda était grande maintenant, elle peux se promener où elle veux, cella me fait penser à moi, adolescent, la première fois que j'ai eu le droit de vagabonder seul ...
je regardais Léynéa :
- Meda ... on ..
je ne pus que balbucier ces mots ..

"- Melda ... on .."

Léynéa n'avait aucune envie d'en parler.
Certes, elle aimait plus que tout sa "fille", mais leur dernière rencontre avait été... bouleversante.

Elle se contenta de dire :

-Elle sait.

Elle eut un sourire nostalgique et, couchée au bord de la rivière, trempota le bout de sa patte brune.

Maintenant, l'Automnale pensait à Melda.
Elle tenta de sortir ça de son esprit.

Elle réussit tout de même.
Sa joie revint et elle eut un soupir soulagé lorsqu'elle arriva à cesser son inquiètude.

-Tu sais...., commença la louve.

La Bêta hésita à continuer.

-Si Melda te manque.... Parce qu'elle est autonome, maintenant. Eh bien peut-être qu'on pourrait se débrouiller pour avoir de nouveau des petits à s'occuper.

Même si Léynéa regrettait que Melda ne soit plus louveteau, et qu'elle ne pourrait jamais l'oublier ni la remplacer, elle sentait que Zayt -et même elle- était plus triste.

Il avait toujours apprécié Melda, et s'était peut-être plus donné dans la parenté que Léynéa.

-Elle sait.

J'eu un choc .. alors notre fille savait qu'elle n'était pas notre vrai fille. J’espérais de toute mes forces que celle-ci ne nous en est pas voulu d'avoir garder le secret tout sa vie de louvetaux, et une partie de sa vie d'ados.
Oh, et elle était un peux comme moi aussi, elle n'aimait pas qu'on l'enferme sur un territoire, comme moi avec mon maitre avant ..
Notre Melda était grande maintenant.
Leynea semblait songeuse.

Elle commença une phrase.


-Tu sais....

Elle hésita .. mais pourquoi hésitait-elle ? elle pouvait tout me dire.

-Si Melda te manque.... Parce qu'elle est autonome, maintenant. Eh bien peut-être qu'on pourrait se débrouiller pour avoir de nouveau des petits à s'occuper.

je lui fit un grand sourire, mon visage reprit son éclat.
Alors, ma tendre compagne voulais être mère.. de louvetaux de moi !
J'étais si heureux.

- mais bien sûr !! se serait super !

j'étais tellement content, quand même un peux inquiet .. car la mère de Melda était morte en lui donnant naissance ..

"- mais bien sûr !! se serait super ! "

Le loup commença à trépigner sur place.

Léynéa rit de tant d'enthousiasme.
Soudain il s'immobilisa.

Il parut plus inquiet, dévisageant la louve.

-A quoi tu pense ?, demanda Léynéa en penchant la tête et fronçant les sourcils.

Si ça ne lui plaisait plus, tant pis, mais au moins savoir pourquoi...

Leynéa fronça les sourcils :

-A quoi tu pense ?

je réfléchis un instant, méditant mes paroles.

- Tu sais, j'ai peur pour toi .. la mère de Melda est morte en lui donnant la vie, à elle et ses frères, ce n'est peut-être pas terrible.. Peux être il faudra qu'un guérisseur soit présent, lors de la naissance ..

C'est vrai, j'avais très peur pour elle.. je ne me pardonnerais jamais si il lui arrivait quelque chose ...

"- Tu sais, j'ai peur pour toi .. la mère de Melda est morte en lui donnant la vie, à elle et ses frères, ce n'est peut-être pas terrible.. Peux être il faudra qu'un guérisseur soit présent, lors de la naissance .. "

La louve brune sourit à son compagnon, en se disant qu'il était vraiment très anxieux de nature...

-Ne t'inquiètes pas. La... mère de Melda, était très fragile, de l'intérieur surtout, au moment où elle a mis bas. Tout se passera bien, conclut-elle en léchouillant Zayt.

Même si son allusion l'avait elle ausssi laissée soucieuse, il fallait avoir confiance.

-Allez, arrête de t'inquièter pour tout ce qui se passe.

-Ne t'inquiètes pas. La... mère de Melda, était très fragile, de l'intérieur surtout, au moment où elle a mis bas. Tout se passera bien dit-elle en me léchouillant gentiment.
mmmmm.. je comprenais, mais j'était quand même inquiet.



-Allez, arrête de t'inquièter pour tout ce qui se passe.


Elle avait raison, je m'inquiétais trop. Tout allaient bien se passer, et melda allait avoir un(des) frêre(s) et soeur(s)....

J'étais si heureux, j'embrassa ma tendre aimer passionnément, ne pensant plus qu'à elle. A nous deux.

Zayt embrassa Léynéa qui fit de même.

L'Automnale savait que le tendre chasseur attendrait les louveteaux avec impatience.

Elle aussi.
Melda serait sans doute contente, elle qui était tendre et sensible également.

La louve imagina la scène : Zayt jouant avec des petites bouilles brunes, Melda venant les voirs, les petits lui sautant au cou, contents de voir leur "grande soeur".

Elle sourit et se laissa aller à leur amour, encore plus heureuse.