Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Rubis avait enfin quitté les terres de l'hiver, s'aventurant ainsi pour la première fois, sur les territoires orangé de l'automne. Le printemps se fessait bien plus remarquer que sur les terres faites de neiges, ici le chant des oiseaux retentissait harmonieusement dans les oreilles sensibles de l'adolescente, émerveillée 'hivernale sentait sa joie sans raison et curiosité revenir, depuis un bon bout de temps, elle flânait en pensant à ce qui elle était ainsi que son futur au sein de l'hiver. Une remise en question ? Normale pour son âge non ? Mais il semblerait que cette atmosphère, plus chaleureuse que celle des terres de glaces, l'ait faites revenir en enfance. Oubliant ses questions existentielles et courant après un papillon aux éclats jaunes, la jeune slalomait entre les arbres imposants sans prêter attention au chemin qu'elle emprunta, ni aux rencontres douteuses qu'elle pouvait faire. 



Le paysage aux teintes chaudes, était plutôt inhabituel aux yeux de l’adolescente, les plaines faite de neige et glace était son quotidien aussi loin qu’elle se souvienne. Elle se fondait également on ne peut plus mieux, dans cette foret possédant des pigments ocres. Il faut préciser que sa belle fourre écarlate ne la rendait évidement peu discrète sur les terres immaculées hivernales. La jeune n’en était pas spécialement complexée, mais son apparence lui avait posé problème lorsqu’elle s’était essayée à la traque, et aussi lors d’interminables parties de cache-cache. Son pelage fait de rouge principalement, blanc et noir se trouvait inévitablement à sa place. Mais les deux clans n’étaient pas comparables, n’oublions pas qui a recueilli la petite boule de fourrure quand elle était seule.



L’insecte jaune ne cessait d’échapper aux membres, devenu plus habile de l’hivernale, elle tenta donc de l’attraper en s’élançant dans les airs. Malheureusement  pour la jeune, sa patte arrière s’introduit dans un trou, vicieusement caché par le tapis de feuille morte. Le lépidoptère jaune pu s’enfuir, vers de nouvelles aventures. Rubis grogna, mécontente, « Tien on dirait Goriar », cette pensée afficha un sourire en coin sur les babines de la femelle, « il déteint sur moi ». Elle se releva et s’ébroua, enlevant les quelques feuilles collées à sa fourrure. En traversant la clairière du regard, une vision peu commune s’offrit aux prunelles de l’hivernale : un édifice fait de pierres blanches, noircies, et effondré à certains endroits. Il était assez haut, trois ou quatre fois la taille de Rubis.

-Wow ; et aussi sec elle alla s’aventurer dans les vestiges. Heureuse de les avoir trouvés. Les pattes de l’adolescente s’enfoncèrent dans le sol fait de sable, où quelques brindilles d’herbe pointaient. On lui avait dit que l’on en trouvait que dans les déserts et les plages, mais en fait non, c’était la première fois qu’elle en touchait. Car en hiver il y avait un désert et les berges du Lac Gelé était fait de multiples galets sombres. Le sable ressemblait à la neige mais en plus chaud.



Au détour d’un mur blanc, elle trouva quelqu’un : un loup dont le pelage possédait bien des couleurs, du blanc, du gris, du doré, du jaune, du beige, de l’orange. Lui n’ont plus ne devait passer inaperçu. Tout cela avec des yeux à la belle teinte d’ambre. Elle avait stoppée sa marche. Dévisagent encore un peu le nouveau venu. Se rendant compte de sa non discrétion, il léger malaise monta en elle.


-Euh, bonjour. Ce n’est que peut après qu’elle comprit qu’elle ne sera pas obligatoirement la bienvenue dans ses ruines et en ses terres automnales.

Aujourd'hui la journée semblait s'annoncer assez belle, le soleil, habituellement moins présent, a l'air moins timide aujourd'hui, il semble même avoir inviter ses amis passereaux qui se prenaient aux joies du beau temps en sifflant leurs chansons et comptines incompréhensibles aux oreilles du encore jeune Spark.

Ce beau lui donna envie d'aller faire une petite virée extérieur, ni une, ni deux et il sorti du clans pour le moment apparemment suffisamment occupés pour ne pas l'avoir vu sortir.
Super ! Se dit le canidé grisé alors qu'il courait et sautait un peu partout dans les tas de feuilles alentour avant de s'arréter brusquement.Je me demande si j'arriverais à attraper un oiseau ici !
Il se fit alors tout petit en essayant de calmer son excitation de pouvoir peut être attraper sa première proie pour le clan et surtout il écouta, il écouta les alentours en essayant de se faire une petite carte mental des sons produits par les différents oiseaux et par les quelques petits lieux qui lui a déjà été donné d'explorer.

Il pense en avoir repérer un, peu discret, au niveau des "pierres empillés", comme il aimait appeler le temple de Bandï. Par chance, il n'était pas trop loin de ce lieu si spectaculaire pour ses yeux encore très enfantins pour son âge.
Il se dirigea là bas en évitant de faire trop de bruit, l'oiseau devait être énorme tellement énorme qu'il fait presque le bruit... D'un autre loup...
Il finit par comprendre que ça ne serait pas aujourd'hui qu'il pourrait triompher d'une proie, mais plutôt qu'il se ferait enguirlander si il c'était une patrouille de son clan.
Il s'assit en espérant que la pseudo-patrouille ne le trouverait pas, ^mais il entendit du bruit juste derrière lui.

Zut... Je vais me faire gronder...

Il se retourna et vit, un peu surpris, une femelle qui semblait avoir son âge, elle avait une fourrure principalement rousse avec par ci par là du blanc et du noir, il ne l'a jamais vu, ce qui le rassura un peu, mais pas trop, peut être allait t'elle t'attaquer ? Vu qu'elle semblait mal à l'aise, il comprit vite que apparemment non.

-"Euh, bonjour."

Elle semblait mal l'aise mais sympa, il s'approcha comme à son habitude, assez brusquement tout en souriant joyeusement.
Son odeur était différente, elle est nulle doute d'un autre clan ou elle doit être une solitaire, mais elle semblait tellement sympa que ça ne doit être qu'un malentendu d'après que canidé électrique.

-"Salut ! Je ne t'ai jamais vu ici, tu t'appelle comment ? Tu vis dans un clan ou tu es une solitaire ? Tu t'es perdue ?"

Il enchainait les questions aussi rapidement qu'un lièvre saute vite, il finit par s’arrêter en reprenant son souffle tout en regardant joyeusement la femelle foncée .

L’adolescente appréhendait la réponse du nouveau venu, nerveusement. Fessant un dessin dans le sable chauffé par les rayons du soleil printanier, avec l’espoir de se détendre. Son regard de feu sur le sol.

 

-Salut ! Je ne t'ai jamais vu ici, tu t'appelle comment ? Tu vis dans un clan ou tu es une solitaire ? Tu t'es perdue ? Il parlait assez vite, de manière précipitée peut être un peu maladroite. La tricolore leva les yeux de son art et découvrit un visage tout souriant à seulement à quelques pas d’elle. Une lueur positive dansait dans ses prunelles. Le chant des oiseaux accueilli joyeusement le sourire que lui rendit l’hivernale. « Il ne reconnait pas mon odeur ? », elle croyait que l’on apprenait à tous les petits les senteurs des autres clans. Bon après réflexion, elle en savait reconnaitre que celles du printemps, grâce à Lukhe. Elle se senti bien bête. Elle huma l’air, cherchant en vain à identifier le clan  du loup. L’écarlate mis un point d’honneur à la gentillesse du parfait inconnu. Se disant qu’elle évitera des ennuis dont elle n’avait pas besoin.

 

-Je suis Rubis, une hivernale. Oui on peut dire ça ainsi, je ne sais pas où je suis. Sans le vouloir, la tricolore avait été un peu sèche. Mais décida de se rectifier. Et toi c’est quoi ton petit prénom ? Elle se leva un peu maladroite, sur les bords et s’approcha à son tour. Toujours souriante.

-"Je suis Rubis, une hivernale. Oui on peut dire ça ainsi, je ne sais pas où je suis.  Et toi c’est quoi ton petit prénom ?"

Il avait eu un peu peur au début de sa phrase car elle s'était montré... Froide ? peut être n'était elle pasz aussi sympa que prévu. Mais finalement elle repris et finit sur un ton plus calme, elle lui avait même sourit ! Cela rassura un peu le canidé électrique qui n'avait pas perdu son sourire.

Rubis, ce nom lui allait assez bien, le canidé s'avait qu'il s'aggissait avant tout du nom donnée à un pierre de couleur rouge assez foncés, tout comme le pelage de Rubis.
Une hivernale ... C'était cool ! Son clan s'entendait plutôt avec eux d'après ce qu'il avait pu comprendre en entendant les différents rapports des loups adultes. De toute manière, elle aurait pu être tout aussi bien printanière, estivale ou encore solitaire, cela ne laurait pas plus géné que ça.


Il répondit avec toujours son ton joyeux :
-"Je m'apelle Spark ! Ici tu es sur le territoire du clan de l'autonme, soit mon propre clan !" Spark pris une attitude qui montra qu'il était clairement fier de son clan, sans pour autant allez dans l'excès avant de reprendre une attitude plus normale. Comment tu as fais pour te retrouver ici ? Tu chassais les oiseaux ?"
Cela fit sourire un peu de canidé électrique de s'imaginer qu'elle s'était peut être retrouver ici pour les mêmes raisons que lui.

L'hivernale n'avait pas l'habitude de porter grande attention aux différents clans de ses multiples rencontres, bien qu'elle soit assez fière de la tribu qui l'avait recueillie avant qu'elle ait l'âge de raison. Mais cette fois, faisait exception à la règle : elle appréhendait légèrement la réaction de son interlocuteur. Le jeune loup ne sembla pas tiquer au son du clan peuplant les plaines de givre et glace, au soulagement de l'adolescente. Elle tenta d'arrêter de se poser des questions, mais bon elle avait toujours été ainsi ? Et puis le mâle ne semblait pas avoir non plus prêté attention à son ton rude, au début de sa présentation.

 

-Je m'appelle Spark ! Ici tu es sur le territoire du clan de l'automne, soit mon propre clan ! Etais-ce une menace ? Impossible, son sourire fier contredisait pleinement cette hypothèse. Sourire fessant presque écho à celui de la rousse quelques instants plus tôt. Comment tu as fait pour te retrouver ici ? Tu chassais les oiseaux ? Pourquoi une proposition aussi précise ? Le dénommé Spark était-il médium ? Dans ce cas il s’était trompé.

 

-Je chassais un papillon tout jaune et je suis tombée sur ses murs et colonnes, dit-elle en pointant l’édifice semi démoli. Tu connais le coin ? Tu sais à quoi servait toutes ses pierres blanches empilées les unes sur les autres ? La jeune hivernale se doutait qu’il y avait quelque chose de spécial, ce qui titillait sa curiosité enfantine. Curiosité qui, il semblait, même l’adolescence ne pourrait lui prendre. Ce petit défaut qui n’en était pas vraiment un aux yeux de la tricolore.