Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Can you see the dark ? [feat. Faïryna]
Kafei
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Dim 31 Juil 2016 - 13:16

My life is just a shadow

Doucement, quelques flocons se déposèrent sur les fines aiguilles d'un sapin, ébranlant la feuille toute entière. Au contact du végétal, le doux flocon se brisa en milliers d'éclats étincelants avant de devenir une mince gousse d'eau qui glissa le long de la pousse tel l'encre sur la plume, pour finalement s'écraser en une myriade d'étoiles sur le sol enneigé. Dans quelques instants, la goutte gèlerait à nouveau et redeviendrait neige, rejoignant ses frères et sœurs sur le sol de l'hiver.
C'est ce que contemplait le maudit, fasciné par une telle insouciance. Etait-il donc possible de vivre ainsi, sans tourments, suivre le cours de la vie, tel qu'il avait toujours été écrit, en vivant, mourant, puis en laissant son corps à la terre ? C'était un secret qu'il ne saurait percer. En lui même, il s'en savait capable, mais une voix lui susurrait qu'il n'en était pas ainsi. Que quoi qu'il tente, la réalité le rattraperait avant qu'il n'ait eut ne serait-ce qu'un espoir. Les chaînes qui le rattachait à ses cauchemars et sa malédiction ne pouvaient être brisées, et qui le tenterait réaliserait bien vite que la tâche était trop élevée. Et dire que les ténèbres pouvaient être estompées n'était que mensonges. Kafei ne le savait que trop, et la peur qui avait autrefois dévoré son coeur était à l'apogée de son ascension. Peu à peu, l'angoisse avait étouffé l'hivernal, jusqu'à le noyer dans ses propres cauchemars. L'influence seule d'une simple image, d'un banal rêve insouciant avait suffit à allumer un feu dont les braises ne deviendraient cendres que lorsque l'aube serait levée. Mais, en le cas de Kafei, le soleil ne pointerait jamais son éclatant visage sur l'horizon.
Tout avait toujours été ténèbres. Pourquoi le changer ? Quelques papillons avaient suffit à le maudire, alors qu'en serait-il si un démon en venait à le capturer dans son piège pervers ? Le reclus s'était jeté dans la gueule des enfers, tel Perséphone, sans cependant nécessiter l'intervention d'Hadès. Les sbires de l'ombre l'avait traîné dans l'ombre. Il était devenu le pantin des monstres de la nuit, la marionnette d'un diable inconnu, inexistant et pourtant présent. A vrai dire, si Kafei semblait possédé par multitude d'entités, il n'en était rien. Un seul personnage maniait vraiment les ficelles de sa vie, et il était sa propre ombre. Il ne portait pas de nom. Aucun appellation, aucune apparence, aucune forme. Si, autrefois, il avait bien était quelqu'un, désormais, il était synonyme de démon. Le démon qui avait maudit Kafei. Le démon qui contrôlait Kafei.
"Tueur ! Tueur ! Kafei, petit meurtrier !"
Sa voix résonna dans le crâne de l'hivernal, tel un puissant écho, envahissant le moindre de ses sens, estompant toute trace de courage dans son coeur. C'était un rire glacial qui brûlait ses os, un ricanement qui, en chaque instant, ingérait un part supplémentaire de son âme. Mais l'Ombre n'avait qu'un seul but, et c'était tout simplement de dévorer Kafei pour lui voler son être. Il haïssait l'hivernal, sans pourtant une raison véritablement correcte. Il voulait le torturer, lui arracher chacun de ses cris avec un plaisir démesuré, sentir sa douleur alimenter la silhouette qu'il était. Dans une intense folie, il voulait lui ôter la moindre goutte de vie qui lui restait. Il était parvenu à assécher le fleuve d'espoir qui coulait en Kafei, alors pourquoi l'obliger à se donner la mort serait-il si compliqué ? Si, en lui-même, le maudit savait qu'il était encore possible de rêver, il ne l'osait pas tant que le vieux loup serait là. Son seul souhait aurait jamais été de pouvoir courir librement, soulagé de ses chaînes. Il aurait voulu poursuivre les étoiles, profiter de la lumière d'un arc en ciel après la pluie, de l'été après l'hiver. Mais rien. Il n'y avait rien de tout cela pour lui. Qu'une froide nuit gorgée des larmes du ciel pour tracer son chemin. Qu'un sentier sinueux barré de rochers coupants, prêts à lui mette le corps en sang sans qu'il ne puisse jamais attendre son but. Il n'y avait rien au bout de ce sentier. Qu'une énième gorge de l'enfer ouverte pour le dévorer à nouveau. Il n'y avait rien.

Le blanc posa une patte dans la neige, comme espérant trouver une quelconque chaleur dans le froid de l'hiver. Ses empreintes avaient semé un chemin dans la poudreuse, comme si il avait voulu être suivi. D'ailleurs, c'était le cas. Quelqu'un le suivait. Il ne s'en souciait qu'à moitié, mais il en était certain, celle qui la traquait ne tarderait pas à apparaître. Il dressa l'oreille, levant la truffe au ciel, avant de hérisser la crinière qui ornait son dos. La peur enserrerait son être, mais il tenterait de n'en rien montrer.

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Faïryna
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Faïryna
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Lun 15 Aoû 2016 - 14:42

http://astrala.forumactif.org
J'avais ramené Rubis aux hivernaux, et, leur demandant le chemin pour rentrer dans ma patrie, ils me l'indiquèrent. Plus pour ne pas que je reste là plus longtemps à empièter leur territoire que pour m'aider en réalité, je le savais bien, mais je m'en fichais tant que je pouvais revenir chez moi.
Mais! Bien évidemment, on ne sait comment, je réussis à me planter de chemin, malgré mon nez fin! Ah ben bravo l'automnale! Pourtant le gars m'avait bien tout droit en partant de l'est, c'est à dire à ma gauche, tourner trois fois à droite lorsque j'atteins la forêt........ Et qu'est-ce qu'il a dit d'autre déjà? Oooh meeeeeeeeerde......
Et, comme j'ai beaucoup de chance, je tombai sur les traces d'un loup qui était passé il y a peu. A l'odeur, c'est un loup d'Hiver. Il est seul, je ne sens que cette légère odeur, et aussi restait-il les empreintes qu'il avait laissé dans la neige. Chouette, je vais pouvoir lui demander le chemin!
Ainsi je le suivais, sans courir, mais à grandes foulées, histoire qu'il ne pense pas que je veuille l'attaquer. Car c'est pas du tout mon but, loin de ça!!!

Mais on, au bout d'un moment, j'en eu marre de rester à ce rythme que je considérais pas assez rapide, et je courus.
Et grâce à ma merveilleuse malchance, je trébuchai sur une racine et tombai direct sur le loup que je suivais. Mais merdeuuuuuuuuuh, pourquoi ça n'arrive qu'à moi?!
Je m'écartai vivement, et balbutiai rapidement avant qu'il n'y ait des malentendus:

- Pardon! J'ai trébuché, et je suis tombée sur toi!

Je m'assis dans la position que j'appelle pacifique, c'est à dire le cul au sol. J'entrai dans le vif du sujet, trop agacée pour tourner autour du pot:

- En réalité, je me suis perdue sur ton territoire accidentellement, pourrais-tu m'indiquer la route pour retrouver mon camp?

Je baissai les yeux, et grattait la neige de la patte pour me donner une consistance. Je relevai enfin les yeux. Je pus voir vraiment le loup sur lequel j'étais tombé dans tous les sens du terme. Les couleurs se partageaient entre le violet, le blanc, le noir, ainsi que le rouge de ses grigris qui étaient dispersés tout le long de son corps. Et bé dis donc, c'est un collectionneur de masques ou quoi? En tout cas j'espère qu'il saura me dire par où aller, en espérant que je ne me perde pas une nouvelle fois grâce à ma super poisse...
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Kafei
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Ven 9 Sep 2016 - 8:47

This is like battle scars

Comment avait-il seulement pu y croire ? Comment avait-il pu imaginer qu'il lui serait possible de contourner les tourments du vieux loup ? Il était seul, à combattre sur ce terrain qui était devenu sa prison. Lorsque ses prunelles pourpres croisèrent les yeux d'émeraude de l'automnale, un frisson le saisit. Il avait peur. Pourquoi cela le surprenait-il ? Rien n'avait changé. Rien ne changerait jamais. Tout avait été écrit ainsi, et tout le resterait.
Mais, et c'était là que se formait la faille, Kafei savait que, tôt ou tard, tout serait bouleversé. Il ne connaîtrait plus rien. Il ne verrait plus rien. Tout aurait disparu, en un battement de cil. En un battement d'aile de papillon.
Un souffle. Une onde de vie dans le corps vide qu'il était devenu ranima ses muscles engourdis par la peur d'un changement. Ses yeux figés par l'angoisse reprirent leurs couleurs pour affronter l'éclat puissant des yeux ennemis. Un ennemi. C'était tout ce que représentait la femelle automnale, pour lui. Une enième ennemie, qui ne ferait que le tailler en pièces à nouveau, pour lui voler ce qu'il ne possédait déjà plus. Pour lui voler son souffle, pour lui voler son sang, pour lui voler ses os. Qu'était-il ? Que valait-il ?
Pourquoi lui accordaient-ils autant d'importance, alors qu'à leurs yeux, il ne valait rien ? Qu'il ne valait pas la peine d'être regardé ? Lorsque la voix adverse perça le silence qui avait emprisonné ses oreilles, il eut un léger mouvement de recul.
- En réalité, je me suis perdue sur ton territoire accidentellement, pourrais-tu m'indiquer la route pour retrouver mon camp?
Mais le loup blanc n'y accordait pas d'importance. Il avait perdu foi en cet avenir qui aurait du être si beau. Il ne voyait que cette frontière, qui l'oppressait, l'écrasait davantage en chaque seconde. Il ne sentait que le souffle du vieux loup sur son échine, que ses griffes sur ses épaules, qui se mouvaient comme un serpent terrassant sa proie. Etait-ce cela, l'Enfer ?
Il n'avait pas peur de la mort, car il avait vécu bien pire. La torture que lui infligeait l'ombre ne faisait que l'achever, encore et encore, ne pouvant lui laisser échapper un souffle. Kafei aurait voulu crier. Mais quel prix était-il prêt à payer, encore une fois ? Que pouvait-il donner, lui qui ne possédait plus rien ? Il n'était qu'un corps vide, qu'une âme perdue dont tout bon sens avait disparu. Il n'était que l'ombre d'un être autrefois bercé par la lumière. Il n'était que tout ces remords qu'il avait fondé en cédant à la peur. Il n'était qu'une poussière parmi les autres, et pourtant, la plus petite.
Une larme naquit au coin de ses yeux tandis que le prisme pourpre de ses prunelles se noyait dans l'émeraude adverse.
"Allez, Kafei, dis-lui ! Dis-lui ce que tu es ! Monstre ! Monstre ! Monstre ! Avoue-lui ! Allez ! Tue là ! Tue là !"
L'hivernal serra les dents, tentant d'étouffer la voix excitée de l'ombre. Maintes fois, la cicatrice qui marquait son âme s'était rouverte, et aujourd'hui, elle se déchirait totalement. Il eut un gémissement, comme si les murmures du vieux loup lui infligeait la pire des peines.
Mais il n'y avait que la peur. Que cette peur, glaciale, miroir de la mort. Cette peur qui engourdissait le moindre des muscles de Kafei. Cette peur qui l'entraînait vers un autre gouffre. Cette peur qui le rattrapait dès qu'il fuyait. Cette peur qui n'était que l'ombre de ses pires cauchemars. La seule capable de réveiller les impulsions animales qui brûlaient dans le coeur du loup blanc.
Ses crocs se dévoilèrent en un rictus tordu par l'angoisse. Des crocs étincelants, ivoire pur sans aucune imperfection. Kafei ne comprenait pas. La seule parcelle de son corps qui lui aurait servit à tuer était la seule que le sang n'avait pas encore dévorée. Peut-être Mère Nature était-elle elle aussi tordue, en fin de compte ?
Mais pouvait-il y accorder de l'importance quand un monstre des ombres terrassait ses derniers espoirs de civilisation et dévorait son âme ? Pouvait-il encore raviver cette flamme censée qui avait deserté son coeur ?
Non. C'était la seule réponse à cette question incohérente. Aucun espoir. Aucun avenir. Juste ce vide qui le dévorait peu à peu. Juste ce sombre feu qui consummait la moindre de ses pensées, la moindre idée qui aurait pu sauver son esprit égaré.
Il fondit vers la louve bleue, crocs dévoilés. Un grondement sourd naquit dans les entrailles du gouffre que formait sa gorge. Ses yeux améthystes restaient exorbités, comme s'ils refusaient de voir que le vieux loup était parvenu à ses fins. Mais son corps tout entier ne brûlait que d'un désir ardent de sang et de chair. Il ne voulait que ça. Que ce liquide vermeil qui s'écoulerait de ses crocs tel un ruisseau, désaltérant sa soif de mort et de revanche. Mais était-ce bien la vengeance qu'il souhaitait ? Il succombait aux pulsions du vieux loup, en agissant ainsi. Etait-ce qu'il désirait ?
Sa mâchoire se referma sur le vide tandis que la femelle l'évitait sans problèmes. Kafei tourna ses yeux fous vers elle et la transperça d'un regard désordonné. Il ouvrit la gueule, pour finalement agiter sa tête dans toutes les directions possibles. Il tremblait, tel un guerrier en plein combat. Mais ce n'était pas la femelle qui le torturait ainsi. Il le voyait. Il l'entendait. Il était là, face à lui, armé d'un sourire macabre. Il le surveillait. Il le torturait. Ses yeux écarlates perçaient l'âme du loup blanc. Alors il cria. Encore et encore, jusqu'à ce que la voix lui manque.
- Laisse-moi ! Je en t'intéresses pas ! Je n'ai rien à voir avec toi ! Vas-t'en ! Fous le camp ! Tu m'entends ?! Fous le camp !
Ses yeux injectés de sang se noyèrent de larmes et il inclina la tête vers le sol.
- Vas-t'en... Vas-t'en...
Il murmurait, tel un revenant sorti de sa tombe. Et elle le voyait. Mais lui ne la voyait plus.

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Faïryna
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Mer 21 Déc 2016 - 11:43

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Je sentis une aura de danger monter, et la peur grandir au fond des prunelles du loup. Il semblait très pertubé, et en confrontation intérieure avec je ne sais quelle chose.
Il semble souffrir. Atrocement.
Mon poil se redressa, et je reculai d'un pas. Je bandis un peu mes muscles. Le loup avait dévoilé les crocs, et la peur se partageait au fond de ses yeux avec une étincelle meurtrière. Oh que oui je sais qu'elle est meurtrière, étant moi-même une assassin, je sais la reconnaître chez quelqu'un d'un coup d'oeil.
Son regard avait quelque chose de fou. BORDEL JE SUIS TOMBEE SUR UN MABOUL ON DIRAIT. Merci la chance...
Le loup aux accessoires s'approcha en grondant puis me bondit dessus, et tenta de déchirer ma chair de ses crocs. J'évitai son attaque d'un bond en arrière, et sans un mot. Je me mis en position d'attaque, les crocs dévoilés à mon tour. Très bien, s'il veut jouer à ce jeu, on va y jouer! Mais qu'il s'attende à se ramasser une pelletée d'attaque qui lui feront bien mal! Je grondai. Mon pelage se gonfla un peu. Puis le loup cria, apeuré, tourmenté, fou.

- Laisse-moi ! Je ne t'intéresse pas ! Je n'ai rien à voir avec toi ! Vas-t'en ! Fous le camp ! Tu m'entends ?! Fous le camp !

Ses globes oculaires injectés de sang se noyèrent de larmes et il inclina la tête vers le sol.

- Vas-t'en... Vas-t'en... , murmura-t-il.

J'ai comme l'impression qu'il ne me parle pas, qu'il s'adresse à quelqu'un d'autre, mais je ne vois et sens personne aux alentours. C'est très étrange. Je ne sais pas trop comment réagir.
Je me mets en position de défense au cas où il m'attaquerait d'un coup sans réaction me prévenant. On ne sais jamais avec les fous.
Mais ce qui me turlupine le plus est qu'à la fois dans ses paroles et sa façon d'agir il a l'air d'un malade mental, mais à la fois j'ai l'impression de sentir une logique moins folle que la première partie de cette phrase.
Je fronçai les sourcils et reculai encore afin de laisser un champ respectable de sécurité entre lui et moi. Je n'osai pas parler; après tout, qu'est-ce que j'aurais bien à lui dire?
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Plague
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Ven 7 Sep 2018 - 5:24

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