Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

"Eh bien… euh… Oui, je suppose… Je le trouve plutôt… normal…
Tu devrais… Vous devriez peut-être venir à côté de moi. La glace se termine ici, et la berge commence. Ce serait moins glissant. "

Je suppose? Je ne comprit pas tout de suite pourquoi le loup venait de dire, "Je suppose", je m'approcha de lui, contournant sont corps, et me retrouvant face à lui, c'est alors que je remarqua pourquoi avait-il dit cela, ces yeux, claire, témoigné que ce loup était aveugle, mais pourquoi me vouvoyait t-il? Je n'aimais pas trop cela, mais il faisait comme bon lui semblait. Je m'asseyais sur la berge tout en fixant les yeux du loup, aveugle, il avait tout ce chemin en étant aveugle, mais bon quand on est aveugle on à toujours un sens plus développer, je mis ma queue sur mes pattes avants quand  le loup vert me posa une question:

"Je me nomme Sasayaki. Et vous, comment dois-je vous appeler? Si je peux me permettre de le demander."

Je sourie, même si ce dénommé Sasayaki  ne pouvait pas me voir, je continua quand même, il était agréable pour moi de sourire, je li dit d'un ton poser:

"Je m'appelle Galaxie, je suis une Automnal, même si je pense que vous l'avez déjà certainement sentis"

Je venait de le vouvoyer car je ne le connaissais à peine, on venait de ce rencontrer et la seul chose que j'avais trouver à dire était de demander si le temps était beau à un aveugle, qu'elle gourde je faisait la! Mais je n'avais pas vue c'est yeux au début de notre conversation, si on peut appeler ça comme ça...................Mais être aveugle voulait dire ne pas avoir de rang dans sont clans ? Je ne pourrais pas supporter de ne rien faire pour mon clan! Mais bref, je devait sortir de mes pensée et reprendre la conversation, je ne s'avais pas quoi trop dire à ce loup, ni comment gagner une certine confiance, je réfléchit de quoi je pouvait bien parler quand je dit alors brisant le silence pesant:

"Qu'elle traversée périlleuse, je ne pensais pas que ça glissait autant"

Une petite brise vînt caresser m'ont pelage, le silence revenant toujours aussi pesant j'attendit une répons du loup vert.

« Je n’ai jamais marcher sur de la glace, je ne sais donc dire si c’est à ce point dangereux. Mais j’ai perçu la difficulté de votre progression. Vous me semblez toutefois biens vous portez »

J’observa le loup, en effet cela n’étais déjà pas simple pour moi, mais en plus de cela si un aveugle décider de ce promener sur ce terrain, je n’était pas certaine qui le traverserais entier et même si il réussissait il en sortirais avec quelque contusions. Je joue quelque temps avec ma mèche noir et violette attendant que Sasayaki continus de parler, je ne voulais pas, en tant que bavarde, lui couper la parole. L’ayant devinée il reparlas. Ne pas le vouvoyer ! Et bien je n’en avais pas l’habitude de tutoyer les loups que je viens seulement de rencontrer, je fît un petit signe de la tête quand je me souviens soudainement que le printanier était aveugle, prête à m’excuser je fût devancer :

« De toute façon, vous ne devriez pas me témoigner autant de… je n’en sais pas, respect, sympathie, ou peu importe ce que c’est. Autant je n’ai en effet pas manqué que vous soyez une Automnale, vous savez certainement que je suis un Printanier. Je n’ai pas envie de me battre, mais je crois que ce serait mieux pour vous de ne pas trop vous attacher. Je suis votre ennemi, au fond. Ce n’est qu’une trêve tacite entre deux loups qui n’aiment pas se battre et qui ne sont pas obligé de le faire. »

Je sourie, même si le loup ne pouvait pas le voir je trouvait  cela  agréable de sourire, de me sentir joyeuse malgré les moments difficile que j’ai passer dans ma  jeunesse, que j’ai   passer orpheline de ma mère, et presque de mon père qui me détester, rien que dit repenser mont sourire disparue et je soupira longuement, baissant la tête vers le bracelet qui appartenait à la seule louve que j’aimer.

« Désoler si cela ta parue bizarre que je te vouvoie, je n’ai pas l’habitude de tutoyer les loups que je viens de rencontrer et encore moins un loup d’un autre clans, mais dit moi, la vie doit être bien difficile lorsque ont à un sens en moins ? Aussi difficile que lorsque ont  est orpheline. »

Je soupira de plus belle, cette vie je l’aurais voulue avec un père aimant et une mère encore présente maintenant, j’espérer au plus profond de moi-même que mon père ne vienne pas à ma rencontre, même si il me supplierais et me demanderais pardon, jamais au non jamais je ne le pardonnerais pas pour le mal qu’il ma causer, car il ne sais pas qu’en faisant cela, il à fait de moi la louve la plus nostalgique et celle qui déteste le plus sont père, sans me rendre compte je me mît à grogner, j’arrêta soudainement et tourna releva la tête, j’avais oublier qu’un loup était à coter de moi et il avait était témoin d’une chose que personne d’autre n’avait due voir, je m’excusa avec hâte de l’événement qui venait de ce passer :

«  Excuse moi, je repenser à quelqu’un que je n’apprécie pas, même pas du tout, je n’aie pas l’habitude, en présence de quelqu’un de repenser à lui…. »

J’attendis alors la réponse de la question que je lui avait poser, un sens en moins, c’est comme une personne en moins dans sont cœur, une souffrance en plus, une haine envers ces gens qui ce moquaient de moi car je dormais seule, sans ma mère, sans amis, sans père, car lui avait mieux à faire de s'occuper d'un louveteaux non aimer par les autres et quand quelqu'un venait à moi, c'était bien de la pitié, car dérrière ton dos il continus de ce moquer, seule était bien le mot qui correspondait à ma jeunesse, la solitude.  

Je soupira longuement, il avait raison, je me demanda alors comment faisais t’il si il ne connaissait pas les couleur, le violet, le noir, le blanc qu’arbore mon pelage, il ne le verrais jamais, ce qui me déconcerta le plus c’est la faite que je ne puisse même pas me décrire, puisque qu’il ne connaissait pas les couleurs, peut être simplement le noir, puisque c’est ce qu’il voyait tout le temps, le noir, le néant, rien. Je bailla, la fatigue et la soif commença à me tiraillait, mais j’allais restais, cette rencontre me plaisait, pouvoir parlait à un loup d’un autre clans ne me dérangeait pas, qu’il soit aveugle ou pas, sa ne changeais pas grand-chose, une question vînt alors à ma bouche. Pourquoi ne pas avoir pris un rang, malgré sont handicap il aurait pus devenir guérisseur, il lui aurait suffit de reconnaître les odeurs des plantes avec sont odorat. Je me décida à lui poser la question mais avant cela je m’allongea, le froid donner quelque douleur à mes coussinets et le faite d’être allongée me soulagea :

« Je me permet de me coucher, ci cela ne te dérange pas, mais dit moi une question me trotte à la tête, pourquoi ne pas être devenus un guérisseur, malgré ton handicap tu sais marcher et te diriger grâce à ton odorat, alors pourquoi ne être devenus guérisseur ? Tu aurais pus trouvait des plantes. Il aurait suffi d’apprendre à connaître les odeurs des plantes et le tour et jouer non ? »

Je fixa le loup vert de mes yeux violet et profond, je savais qu’il ne verrais pas que je le fixe mais sentirais t’il le poids de mon regard sur sont pelage, je remarqua alors, en parlant de sont pelage que celui-ci était recouvert de tatouage jaunes, plus beau les un que les autres je me retînt de lui faire le compliment, savait t-il au moins a quoi ressembler sont pelage, savait t-il seulement que ces yeux était gris, le savait t-il tout ça ?
Je renia l’idée qu’il le savait, mais le pouvoir de ce loup, consister t’il à lire dans les pensée ? Rien que dit penser je frissonna légèrement, si il le s’avait, me reprocherais t-il de ne pas dire ce que je pense ? Je n’en avait pas l’habitude, je joua alors avec mon bracelet, secouant et attendant la réponse de Sasayaki, que pouvait t-il bien me répondre à ça, je me surpris de ne pas avoir briser le silence, mais j’attendais patiemment la réponse, qu’allais t-il dire ? Que ça ne l’intéresser pas peut être ou alors qu’il avait essayer, je ne le savais pas mais ma patience était longue, j’allais attendre sans r’ajouter quelque chose de plus, mais sentant le silence lourd je le brisa tout de même :

« Si tu veux me poser des question n’hésite pas, je te répondrais »

Voila, je suis bavarde, ne pas parler ne mettait mal à l’aise, bavarde ça je l’étais, mon frère me le disais souvent, trop souvent même, je l’entend encore rire quand je me mettait à parler sans m’arrêter, c’était un peu grâce à lui que je ne suis plus autant bavarde qu’avant. J’attendis sa réaction, fixant l’horizon, le lieux était vraiment calme, la glace avait l’air ce fragiliser à cause du soleil qui venait d’apparaître derrière les nuages, sentant mon pelage se réchauffer.

J’écouter ce que me disait le printanier avec attention, il ce confier quelque peux, je conclût qu’il commencer à me faire un peu confiance, mais il me posa à sont tour une question à laquelle je ne m’y attendait pas.

« Et vous? Avez-vous un rang dans votre meute? Et si oui, comment en êtes-vous arrivez là, malgré que vous soyez orpheline? »

J’en avais oui, j’étais une guerrière, un soldat depuis que je suis arriver, mais je ne voyais pas pourquoi être orpheline posait problème à cela, je n’avais pas un sens en moins et je n’était que orpheline de ma mère, je considérais, certes oui que mon père n’était pas assez présent pour que je le considère comme tel, devrait-je lui dire ? Pourquoi pas ? Ce n’était q’un ado comme il le disait et je ne pense pas que la vie d’un soldat automnal puisse intéresser l’alpha printanier, mais je ne lui dirait pas tout non plus, même si cela ne concerne que ma vie privée. Je me décida tout de même, levant la tête pour fixer Sasayaki je pris une inspiration et je lui dit tout :

« J’ai un rang oui, je suis un soldat. Mais tu sais je ne suis pas née sur les terres de Four Season, je suis née hors de ces terres. Mais je doit te dire que je suis orpheline seulement de ma mère, mais mon père ne s’intéresser pas à nous, il n’était pas assez présent pour que je le considère comme tel. Mon frère aussi ne le porter pas dans sont cœur. Mais en parlant de mon frère celui-ci est mort, noyé, il est dur pour moi de dire cela, un seul loup sur toute ces terres connaît mon passer, mais maintenant toi aussi.»

Je fît une pose, ce seul loup était une louve, mais pas la peine qu’il sache qui était cette louve, de toute façon il ne la connaîtrais pas, je ne pense pas qu’il est rencontrer la pétillante Lunatique, la seule à qui, depuis mon arriver, je fait une confiance presque aveugle, je ne ferait jamais confiance à 100% à quelqu’un, il faut toujours ce méfier, ma mère me l’avait appris, il faut s’avoir ce méfier de ces plus fidèle allier. Je sourie quelque peu, cette phrase au début je ne la comprenais pas, mais au fil du temps je la comprenait de plus en plus, cette phrase resteras toujours bien fourrée dans mon esprit. Soudain j’attendît au dessus de ma tête un corbeau, je la leva pour fixer l’oiseau qui sens allait déjà, je ne mît attendait pas et mon poil c’était hérisser sous la peur d’entendre si soudainement le croassement de cette oiseau couleur charbon. Je me calma assez vite et je rompis le silence :

« Je ne sais pas pourquoi mais, je me dit que ce sont les loups qui ont souffert le plus qui sont les plus fort, ils savent plus de chose que ceux qui ont vécus tranquillement, gâté par leur parents, je ne sais si je m’égare mais je pense ainsi, j’aimerais revoir mon frère, mais c’est impossible, il est la haut...»

Je soupira tristement une fois de plus, le revoir, je me battais pour lui, pou prouver à mon père que je suis forte et non faible comme il le prétendait. Mais ce que venais de dire je me demandée comme le printanier allez réagir, maintenant qu’il s’avait qu’il ne me restait que mon père, comment réagirait t’il ? Je ne le s‘avais pas mais j’attendait patiemment.

« Dites… est-ce que vous pensez qu’un jour, on peut arrêter de souffrir? Que nous avons tous droit à la paix et au bonheur…? »

Elle ce surprie à sourire à cette question, un jour, arrêter de souffrir ? Bien sur que ça exister, ce moment la tout le monde te considère comme il ce doit, ils te considère enfin comme un personne forte et non faible, elle leva la tête pour fixer le ciel qui commencer à prendre des teinte rosée et orangée, le Crépuscule arrivait, annonciateur de la nuit qui allait arriver, la nuit calme silencieuse, oppressante pour certain, elle réfléchie à cette question pendant tout le temps qu’elle fixer ce ciel, que devait t-elle répondre ? Elle ne savait pas trop, elle-même ce poser la question présentement, mais elle le penser que oui, oui, il y avais un jour ou on arrêter de souffrir et ce jour la on est heureux.

''Je le pense bien, ce jour la on doit être bien heureux de ne plus porter la tristesse sur ces épaules, je me pose moi-même la question, mais je te répondrais oui, car ceux qui y arrive sont ceux qui ne perdent pas espoir et je ne perd jamais espoir.''

Voila ce qu’elle avait sur le cœur, ne jamais perdre espoir était une leçon qu’elle avait apprise au cours de ça vie en tant qu’Automnal,  l’espoir était la naissance de beaucoup de chose en ce monde, si tu perd espoir tu ne peut vivre tes rêves puisque tu laisse tout tomber, laissant derrière toi des choses qui s’offrait facilement, mais bon, elle ne devait plus trop ce poser la question, elle bailla, c’est que le froid revenait et le soleil disparaissait peu à peu derrière les collines de neiges presque fondue du Fjord , devenant une boule sans trop de luminosité, maintenant elle pouvait le regarder sans que ça vision ne souffre, une boule orange, le soleil, qui partait éclairer d’autre terre, au de la des terres de Four Season.

''Le crépuscule est vraiment magnifique ce soir…..''

Elle ce rendît compte trop tard que le loup à coter d’elle ne pouvait le voir, mais seulement s’avait t’il à quoi ressembler ce moment de la journée ? Avait t-il us au moins une personne qui lui avait d’écrit ce moment que précède la nuit ? Elle s’excusa alors, sachant qu’elle ne recommencerait plus cette erreur qu’elle venait de faire, elle laissa une brise faire voler ça mèche ébène à la mèche tranchante, violette, comme ces yeux, elle le savait bien, que jamais ce loup ne verrait le physique des autres, mais au moins, lui, avait l’avantage de pouvoir connaître les gens par leur paroles et de ne les juger que sur ça, elle ce dit alors qui fallait savoir être aveugle sur le physique et voyant sur le caractère.

J’attendait la réponse du loup vert avec un peu d’impatiente, il me dit simplement que j’avais raison, oui certainement que j’avais raison, les yeux fixait sur l’horizon qui  s’assombrissait j’écoutas les paroles du printanier :

« Dites-moi, enfin si vous ne jugez pas que cela puisse nuire à votre clan, comment est-ce en Automne? Je n’y ai jamais mis les pattes et je ne pense jamais le faire… mais j’ai  entendu dire que les feuilles tombent des arbres et font un tapis sur le sol. Quel genre d’odeurs on retrouve, sur votre territoire? »

L’Automne, comment devrais-je qualifier cette saison ? Humide, belle de part les couleurs  des feuilles, non ne pas parler des couleurs serait mieux, il ne fallait pas que je refasse la même erreur,  je m’abstint de demander pourquoi il n’irait pas en Automne, un choix personnelle peut –être……Il s’avait que les feuilles tomber, c’était déjà ça, je dit alors tout simplement , évitant de commenter les couleurs:

« -L’automne est un saison agréable, même si il pleut souvent et que l’air et humide. L’odeur n’est pas désagréable, c’est un mélange de l’odeur des feuilles et de l’air humide que j’aime par-dessus tout, après la sensation des feuilles qui craques sous les coussinets n’est pas désagréable non plus. »

Je me demandais comment était le Printemps, ma curiosité était piquer, il faisait peut être chaud…..ou alors c’était un peu comme l’Automne, il devait pleuvoir souvent. Ma curiosité prit le dessus et je demandas :

« Et toi ? Comment et le Printemps ? C’est une saison un peu chaude il me semble… »

Attendant la réponse du loup, je le regarder de mon regard violet, curieuse , me demandant ce qu’il pourrait bien répondre des cette saison si éloigner de l’Automne.

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