Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Je n'avais pas la moindre idée d'où venait le crie, je cherchais, j'appelais même mais aucune réponse. Peut-être était ce trop tard ? Non je ne voulais pas le croire, il fallait que je trouve le blesser coute que coute. Je me laissa donc aller vers une colline, je n'étais sur de rien mais j'espérais que l'animal était ici.

La chance tourna de mon côté ; le vent se leva et emporta avec lui une odeur déplaisante, du sang. Sa trace était toute proche, je montais tout en haut de la colline et vit en aval un chant dorée où il y avait un endroit où l'herbe était écrasé. Je ne voyais qu'une masse grise allongé sur le flanc. Il ne fallait pas que je perde de temps, alors je m'élança aussitôt dans la pente. Manque de chance j'avais oublier qu'il y avait plue et que l'herbe était mouillée. Je dérapa, ma tête heurta violemment le sol et je me mordis la langue. Soudainement j'eu un réflexe que jamais je n'aurais penser avoir ; je me rappela de ma "malédiction", je planta alors la lance dans le sol ce qui m'empêcha de dévaler la pente et de me tuer sur un rocher plus bas. En faite si vous n'avez pas compris la "lance" et en faite le prolongement de ma colonne vertébral, elle ressortait de ma queue et faisait penser à une lance bien que je ne m'en serve jamais. Au départ je crue que c'était un don comme mes coussinets mais je me rendis bien vite compte que c'était une malformation, j'en avais souffert au début c'est vraie. Mais maintenant je la cache au yeux de tous. Bref en tous cas cette chose m'avait qu'en même sauver. Je me redressa, j'avais du sang dans la bouche, ma langue saignait mais il y avait plus de peur que de mal. Mes muscles me faisait mal et j'étais épuiser mais au moins j'étais avancer sur quelque chose : je savais ce qui était arriver à l'animal plus bas.

Je descendis cette fois ci avec prudence, bien par la peur de tomber que par la peur de savoir ce qui m'attendait en bas. Je découvris bien assez vite un loup, qui avait des ailes je précise, ce que je n'avais jamais vue. Il devait avoir à peu prés mon âge, un ado quoi. Je me pencha plus prés et vis avec horreur la plaie qui s'étendait tous le long de son corps. Beurk ! Je l'examinât plus minutieusement même si la regarder me donnait la chair de poule, puis je pris son pou il était faible, très faible et enfin je lui parla ; j'agitais la queue et je parlais en espérant qu'il me réponde. Il était vital qu'il se réveille, car les malades endormies supportent très mal la cicatrisation avec mon don. Rien ni faisais, on aurait beau lui donner des claques rien n'a faire. Mais ca peut se comprendre si on a le venter ouvert... Tout à coup je me rappela du lactaire sanguin que j'avais cueille. En plus d'être délicieux, ce dernier dégage une très forte odeurs, avec ça je suis sûr de le réveiller.

   J'approcha le champignon tous prés de son museau et brusquement il ouvrit les yeux, tout en crachant du sang. Il me marmonna quelque chose avant de m'abandonner pour sombrer à nouveau dans les ténèbres. Je ne savais pas ce qu'il m'avait dit mais je m'en doutais un peu cela devait-être un truc comme "Aide moi" ou "Dépêche toi".

   Je devais vraiment me dépêcher, mais mon don ne servirais presqu'a rien dans se cas, il faut que j'arrête l'hémorragie pour pouvoir cicatriser la plaie. Sauf que je n'avais rien sous la patte pour y parvenir. Je regarda paniquer autour de moi ne sachant plus quoi faire, mais mon regard s'arrêta sûr quelque chose que je n'avais pas entendue et qui pouvait lui sauver la vie : une rivière droit devant nous, avec un buisson. Il devait surement avoir des toiles d'araignée et j'en avais besoin. Je devais absolument le transporter jusque là bas, j'espère que le loup n'est pas trop lourd...

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Au bord de l'eau je pu trouver se que je cherchais ; des toiles d'araignée pour faire office de pansement et pour essayer de stopper l'hémorragie. Je fus content de voir que cela marchais à merveille, le sang avait arrêter de couler. Le seul problème était que la plaie, elle, était toujours ouverte et je ne pouvais pas utiliser mon don pour la cautériser au risque de moi même mourrir.


Je regardais le loup avec intention, ses yeux clos faisaient penser qu'il était mort mais son poitrail qui se soulevait avec difficulté laissais par-etre une trace d'espoir. Je me creusa la tête, comment pourrais-je le soigner sans avoir recours à la magie ? Une idée me traversa la tête, telle un éclair dans le ciel : Il me fallait juste quelque chose de fin et de solide et une petite aiguille. Je sais se que vous penser, que je n'ai rien de cela et que je ni arriverai jamais, mais voilà j'avais tous le matériel nécessaire pour y arriver. Je trouvas sur ma gauche un arbre étouffé par des petites lianes, elle serai parfaite pour recoudre et bien entendue ses dernier ne risqueraient pas d'infecter la plaie puisque elle même son utiliser contre certaine infection. Je ne sais pas pourquoi mais je me dis que j'avais de la chance de trouver ce type de liane, dans un moment aussi critique.

Il ne me manquait plus qu'une aiguille, je me souvins que j'en avais une qui ressortait de ma queue, je la regarda avec dégout : comment une chose que je détestais m'avais sauver la vie aujourd'hui et me permettrait de sauver quelqu'un ? Je me mis au travail, prenant bien soins de faire passer délicatement l'aiguille dans la peau du loup. Tous ce passais pour le mieux, j'avais enfin trouver le rythme et je le faisais sens réfléchir mais soudainement le loup se réveilla et je vis dans ses yeux un mélange de peur et de douleur...