Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !
A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !
Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !
A très bientôt !
Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !
It's a fun time. ~♪ FEAT CHOUPINETTE ♥ AKA NIGHT Le soleil se levait à peine, et pourtant, Andaluz était déjà levée. Réveillée par les rayons du soleil -et de son horloge interne, bloqué au levé du soleil-. Enfin, elle avait fini par être habitué, depuis le temps. Elle se levait si tôt depuis combien de temps déjà ? Depuis qu'elle était enfant, si ses souvenirs étaient exacts. Ce n'était pas le plus important, pour l'instant, néanmoins. La louve leva lentement son museau hors de la tanière, humant doucement l'air. Une douce odeur vint lui effleurer la truffe ; celle de son clan. Ouvrant lentement ses paupières closes, Andaluz se leva sur ses pattes engourdies par le sommeil avant de partir, faisant néanmoins attention à ne réveiller personne. Il ne manquerait plus qu'un loup/louve mal réveillé vienne l'embêter, tôt le matin. Comment ça, ça serait alors de sa faute ? Chut.
Les pas de la femelle la menèrent rapidement au centre du clan. Là où elle s'allongea de nouveau, sur le flanc. Elle était mieux dehors qu'à l'intérieur, en tout cas. Andaluz aimait beaucoup sentir le vent caresser son pelage, comme sentir l'herbe frôler son ventre et ses coussinets. Vu comment elle peinait à fermer les yeux, il fallait croire que la louve ne s'endormirait pas maintenant. Un soupir désespéré s'échappa de sa gueule entrouverte alors qu'elle fixait le clan battre à pleins régime. Voir loup comme louve s'activer à leurs activités lui donnait du baume au cœur. Et en même temps... Arrête de pensée à ça. s'ordonna t-elle mentalement. Pensée à ce genre de chose la déprimerait tout le reste de la journée, et c'était hors de question. Sa bonne humeur devait rester constante, s'était ce qu'elle s'était promise. Des minutes, peut-être même des heures passèrent sans qu'Andaluz n'en ait à faire. Ce contentant seulement de regarder le monde s'activer. Enfin, bientôt elle devra retournée voir les louveteaux et s'en occuper. Mais pour l'instant, autant qu'elle profite de l'instant présent. Un instant paisible, comme elle n'en avait plus l'habitude.
Enfin, elle était tranquille ! S'étirant de tout son long, la louve se mit doucement à glousser. Elle adorait plus que tous les louveteaux, mais vu comment parfois ils pouvaient être énervant, un peu de calme ne la gênait absolument pas. Parfaitement réveillée, Andaluz se dirigea hors du clan. Elle avait besoin de se retrouver un peu au calme, sans aucun adulte ou même enfant venant la perturber. Après tout, le silence était pour elle la meilleure des occupations -après celui de jouer avec les bébés. Ses coussinets foulaient rapidement la terre séchée, tandis que la femelle partait en direction de la plage aux coquillages. Priant en silence pour que personne ne s'y trouve. Une dizaine minutes se déroulèrent avant que ne sente le sable chaud caresser ses coussinets. Et bien, en tout cas, on dirait qu'il n'y a personne ! Pfiu, un peu de calme !
La femelle avançait lentement vers la mer, humant l'odeur de l'eau salée. Une fois que ses pattes eurent rencontrées la tiédeur de la mer, elle poussa un soupir de consentement. Qu'est ce qu'elle aimait la sensation de l'eau sur ses pattes ! Ou même sur tout son corps, mais la louve n'avait pas le courage de se trempée. Son regard dériva rapidement sur l'horizon. Un ciel bleu, avec en dessous une mer d'un même bleu turquoise. Une magnifique vue. Retirant lentement ses pattes, elle recula et partit s'allonger sur le sable. Celui-ci venant coller sa fourrure humide, qu'elle tenta de nettoyer vivement à coup de langue. Un frisson lui traversa alors l'échine ; elle se sentait épiée. Andaluz releva la tête et croisa un regard doré brûlant, un peu plus loin.
« Hm... Que faites-vous... Ici ? »
Andaluz n'osa pas lever la voix. Et puis, la femelle en face d'elle... Elle ne lui disait rien. Absolument rien.
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