☼ Histoire : Il était une fois, un clan. Ce clan était nommé le Clan des Neiges. Il abritait des guerriers redoutables, des membres loyaux et une discipline de fer, que rien ou presque n'aurait pu briser. Il y avait un seul problème... mais pour l'instant, suspens...
Une jeune loupiote vit le jour dans ce Clan. Blanche comme la neige et avec les yeux bleus, ses parents étaient d'un noir de jais. Dès sa naissance, la petite fut mise à l'épreuve. Jour après jour, semaine après semaine, elle devait prouver sa valeur. Elle n'eut pas le droit à du répit. Chaque jour, elle devait se battre, chasser, protéer le clan. Contre quoi? On n'en savait rien. Les Sentinelles veillaient, c'était tout; personne n'oserait affronter ce clan plus que sanguinaire... Sanguinaire, leur seul défaut. De taille cependant.
On n'entretenait pas les vieux. Les blessés mouraient; un rhume pouvait semer la mort. Les vieux n'étaient pas entretenus; seuls les "meilleurs" était choisis. "Mais sur quels critères? " se demandait Twilla. Sur la base de leur cruauté. Et de ceux qui survivaient. Elle remis la logique de sa meute, de son monde, en question, le jour où ses parents moururent. Ils avaient étaient infectés par une épine dans la patte; rien de très grave s'il y avait des gens pour soigner; mais ils en moururent. Meme si la probabilité était infime.
Ce fut comme un déclic dans sa tete. Tous ces morts. On pouvait les sauver. Il y avait un moyen. Elle n'était pas à sa place dans cette meute de psycopathe. Comment le pourrait-elle? Elle crut pouvoir exprimer ses doutes à sa meilleure amie. Elle, elle ne trahirait jamais son secret. Enfin, c'était ce qu'elle pensait... Lorsque celle-ci alla tout raconter à l'alpha. Car Twilla avait oublié que chaque membre de la meute était censé louer une loyauté sans faille à tout membre de la haute hierarchie. Le chef déclara donc une sentence irréversible : la mort.
La loupiote avait à peine 2 ans. Mais le chef fut intransigeant. Il appela deux assaissins La meute forma un cercle autour de la victime, et tous, sans exceptions, scandèrent haut et fort : "SANG ! SANG ! SANG !" Ce mot était répété, et répété encore. Twilla devait etre mise à mort. Les assins se lancèrent à l'attaque. Il la déchirèrent. La petite ressentit une douleur fulgurante, comme jamais elle n'en avait connu auparavnt Elle ne pensait meme pas que cela pouvait exister. Le sang giclait. Une forte odeur envahissait le camp.
Comment y était-elle arrivée? On ne le sait pas, mais elle s'était enfuie. Puisant dans ses dernière ressources, Twilla détala. Elle se faufila entre les membres de la meute, et réussit à échapper aux griffes de ses assaillants. Elle courut, animée par un désir fort, un désir puissant de vivre.
Le Clan jugea inutile de se lancer à sa poursuite. Elle était inutile. On ne se fatiguerait pas pour elle.
Elle courut, encore et encore. Elle ne savait pas où elle allait, ni combien de temps était passé depuis qu'elle avait quitté ce camp de l'enfer. Elle trouva refuge chez un vieil ermite, qui vivait seul sur des terres solitaires. Ce loup, bien que très agé, était très intelligent. L'érudit se nommait Caleb; Caleb apprit à la blanche les diverses utiliations des plantes, leur noms, lui apprit ù reconnaitre les odeurs, les saveurs les yeux fermés. Il lui transmit chacune de ses connaissances en médecine. Pourtant, il était plutot refermé sur lui-meme. Elle e tannait pour avoir des réponse à ses questions, et lorsqu'elle s'en alla, Caleb put enfin retrouver la paix.
Elle s'en était allée car elle avait acquis les connaissances qu'elles désirait. Mais elle voulait partager son savoir avec ses congénères. Sauver des vies, mais aussi encaisser la mort.
Elle voyagea endant 1 mois, puis elle découvrit Four Seasons. Des terres claniques. C'était ce qu'elle cherchait. Elle chassa pendant un certain dans les territoires inccuppés, mais elle s'installa dans le jour.
☼ Caractère : Twilla est de nature froide. Cela se comprend, d'ailleurs; l'expérience l'a rendue méfiante. Elle encaisse les chocs, et ne se plains pas. Elle n'est pas du genre à raler, mais elle est mystérieuse. Vous ne saurez rien ou presque d'elle si vous ne faites pas partie du cercle de ses proches. Elle répond du tac au tac et trouve souvent la bonne vanne au bon moment. Enfin, ne vous laissez pas duper par sa froideur ni par son air désagréable, au fond, elle est plutot sympa... Mais au fond. Son tout au fond" est comme une serrure; il faut avoir la bonne clé pour y accéder.
☼ Pouvoirs : Son pouvoir n'est pas franchement en rapport avec sa saison. Mais il est utile à son poste, et c'est vrai que d'un point de vue, ça marche. Twilla a la capacité de faire apparaitre des fleurs de glace. Lorsqu'elles fondent, elles se transforment en plantes médicinales, mais elle a du mal à choisir lesquelles. Beaucoup de mal... Et puis, elle ne dispose pas de provisions illimitées mais elle n'a jamais été jusqu'à la limite, car elle préfère utiliser de vraies plantes; ce stratagème n'est réellement utile qu'en cas d'urgence, car les plantes sont moins efficaces.
☼ Physique : Twilla est une louve blanche comme la neige, ou comme le lait. Ca dépend des points de vue. Ses longs poils dont elle prend soin son très fin, qui la rend sensible au froid. Elle n'est pas franchement musclée, mais elle est fine et élancée, ce qui à pour avantage de la faire courir vite. Ses yeux, bleu glacés, s'accordent avec son museau rose, et sous l'oreille droite se cache un discret mais joli symbole vert, représentant une arabesque.
- Image :
☼ RP d'exemple (pour connaître ton niveau) :
Je m'étirai. Cette délicieuse journée de début de saison s'avérait prometteuse. Pour une fois que j'étais de bonne humeur ! Je décidai d'en profiter. Tout en baillant fortemenent, je sortis du camp prinannier. Que faire? Hmm... Une simple promenade pourrait s'avéRait ennuyeuse. Une partie de chasse? Cela ne me tentait pas vraiment. Une cueillette? Oui, s'éTait ue bonne idée. La saison des chaleurs étant lancée, je devais prendre des précautions, au cas où. Il me faudrait de la bourrahce de la menthe aquatique, et je n'avais plus d'ail sauvage. Ok !
Je m'aventurais, seule, dans la foret. Tout en trottinant, j'entendis de frottements dans les buissons, derrière moi. Qui donc cela pouvait-il etre? J'humai les odeurs autour de moi et reconnus celle d'un apprenti. Bah, il pouvait s'amuser, quand bien meme il était plutot tot.
Je m'arretais à la rivière, vers un plant de menthe aquatique. Je pris délicatemnt les plante dans mes dents, prenant garde à ne rien déchirer. Les racines sortaient de terre délicatement , lorsque une voix cria :
-Coucou ! C'est quoi comme plante, ça ? Ca sert à quoi ? Ca s'appelle comment? A quoi ça sert ? Diiiit !
C'était tellement inattendu que je sursautai, et au passage déchirai la précieuse menthe aquatique. Mon regard-de-la-mort-qui-tue fi taire cete apprenti trop bavard. Ce petit commençait à me chauffer. La menthe aquatique sert à lutter contre les maux de ventre. On presse la feuille pour extraire le jus, à avaler. Mais ne lui dit rien, èassant mon chemin, la tete haute.
Je trottinai d'un air fier jusqu'à la foret sans fin. Cela faisait quand meme un sacré bout de chemin, mais j'aimais faire de l'exercice.
Je pris entre mes dents quelques feulles de bourrache. Utile pour favoriser la montée du lait, cette plante est aussi utile pour a fièvre. Juste à coté, il y avait de l'iris. J'ignorais les 500 000 questons du louveteau, et déterrai la fleur pour en prélever le rhizome.
-Et ça, c'est quoi comme plante? C'est que le trc qui pousse là? Et cette chose sous la fleur? Et les baies, là, elles sont comestibles? Elles ont l'air troooop bonnes!
Je levais les yeux au ciel et soupirais. Je n'avais pas de temps à perdre avec un idiot. Je reprit mon travail sans me soucier de lui, et passant devant un buisson d'if. Je cueillis quelques plants d'ail sauvage lorsque du coin de l'oeil je vis une forme grise débouler sur le buisson. Il prit une baie, et... je lui sautai dessus, pour l'écarter de ces baies toxiques. Heureusement, il y a eu plus de peur que de mal... Enfin presque. Je n'étais guère connue pour mon calme et ma patience, voyez-vous. Je gueulais:
-Oh, du calme ! On ne goute jamais, jamais tu m'entends, une plante qu'on ne connait pas. Une seule de ces baies tu tuerais. Tu en as plein sur le poitrail, espèce d'imbécile! Vas te nettoyer dans la rivière. Tout de suite.
Bien sur, dans sa course contre le buisson, il avait pietiné toute les plantes de la cueillette. Qui étaient désormais, inutlisables, bien sur. Toute la matinée avait été gachée. Je retournais au camp, les pattes vides et d'humeur noire.
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