Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

- Yaël attend moi !

La petite louveteau courrait après son jeune frère, marchant moitié sur sa longue chevelure noire. Cela l’embêtait, car les nourrices avait passé beaucoup de temps à les coiffés ce matin, mais la petite fille devait apprendre à ravaler ses larmes de douleurs pour continuer à avancer rattraper son frère noir. Layla avait encore disparu, et sa grande sœur ne cessait de se faire un sang d’encre à son sujet. Leurs gardiens ne pouvaient pas passé toute la journée à les surveillés et combien même ils le voudraient ce serait leurs nourrices qui les chasserais à grands coups de pattes dans le derrière, criant qu’ils n’avaient pas à couvert ses enfants même s’ils étaient enfants d’alpha et qu’ils devaient les laisser faire leur travail de nourrices. Parfois, la jeune princesse venait à regretter un tel dévouement de ses gardiennes, cela conduisait Layla à s’en aller souvent et elle avait du mal à les croire quand elles disaient que ce n’était pas très grave.

Elle avait donc passé sa matinée à imploré Yaël de l’aider à retrouve leur sœur, malgré que ce dernier souhaite dormir ou faire autre chose, mais l’insistance de la jeune louve avait fini par payer et ils c’était mis en route sur la piste qu’avait laissé Layla. Les adultes lui avaient dit que pour retrouver une personne égaré ou un intrus sur le territoire on utilisait généralement le flair surdéveloppé que la nature leur avait donné. Iveana avait donc mit ses dires en applications et elle fut étonné de voir que cela marchait très efficacement.

Seulement, c’était sans compté sur Yaël qui semblait éprouver bien plus de facilité qu’elle à se mouvoir en sur le territoire automnal. Iveana avait beau apprécier les paysages et tous les habitants de cette glorieuse saison, elle n’arrivait pas à apprécier le fait que des feuilles s’emmêle dans ses cheveux et lui colle aux pattes. Elle appela son frère encore une fois, espérant qu’il daigne l’attendre quelques secondes à peine, mais n’eut tel eut le temps de le rejoindre qu’elle entendit la douce voix qu’elle recherchait.

- Yaël !

Les adultes ne lui avait pas dit que l’odeur des jeunes mâles étaient plus forte que celle des filles, ainsi Iveana semblait étonné que sa petite sœur ne l’eut pas senti. Quand elle put voir sa sœur, elle accourut à ses côtés et la serra dans ses pattes, ne remarquant pas encore de la beauté qui les entourait, trop obnubilé par ce bonheur que fut ses retrouvailles avec sa petite soeur adoré.

- Layla ! Tu m’as fait peur, j’ai crus que tu t’étais perdu.


Code by Layla

Tout le monde avait été mort d’inquiétude pour la tendre petite sœur lilas qu’Iveana s’efforçait à maintenir contre son cœur pour se rassuré elle-même de cette grosse frayeur. Elles ne risquaient rien, la bleue le savait pertinemment, mais elle se faisait souvent des soucis à propos de sa petite sœur qu’elle trouvait bien trop vagabonde malgré son statut d’héritière hivernal. Pourtant, elle lui pardonnait tout par le simple, mais puissant, amour qui les unissait toutes les deux. Elle relâcha quelques peu son étreinte, encore prisonnière de la tendresse de Yaël, et lui lécha doucement le front, les yeux pétillant de joie. Bien qu'ils ne furent né qu’à quelques minutes d’égards, Iveana restait l’ainée de la fratrie de par sa place dans l’ordre des naissances. Elle était la première sorti, elle le savait car on le lui avait soufflé à l’oreille, ainsi son naturel altruiste c’était vu amplifier mut par le devoir qui s’associait à la place d’ainé d’une fratrie. Ce devoir des plus importants que fut celui de protéger ses frères et sœurs, malgré tous les coups bas que ses derniers pourraient nous faire en grandissant. Iveana le savait, le vivait tous les jours, mais n’arrivait pas à haïr ses êtes chers à son cœur.

- Ne t'en fait pas Iveana, me perdre ne fait pas partit de mes projets et puis tu imagines si je revenais aux tanières avec une égratignure ?! Les nourrices deviendraient hystériques. Regarde le paysage, les Pillons sont jolis non ?

Pillon ? Iveana cligna plusieurs fois des yeux, intrigué par les dires de sa petite sœur. Qu’est-ce que pouvait bien être des pillons pour elle ? La voix enthousiasme de sa sœur mauve, qui semblait éclater dans l’air comme un petit feu d’artifice de bonheur, força la bleue à lever les yeux vers ce monde merveilleux, féérique qu’elle n’avait pas vu. « Pillon », était en fait « Papillon » et quelle beauté ! Iveana se surpris à sourire, à avoir ce grand sourire émerveillé que tous les enfants avaient lors de leurs premières découverte. Layla avait découvert un véritable trésor, un monde merveilleux et fragile, microscopique. Ses insectes lumineux qui volait en tous sens autour d’eux rendait les lieux pourtant banal d’une infinité beauté et Iveana aurait pu passer sa journée à les regarder s’il n’aurait pas fallu rentrer retrouver les nourrices.

- C’est magnifique Layla. – dit-elle l’une voix enjouer. – Tu as trouvé une vrai meute de papillon !

La jeune louve à la longue chevelure songea qu’il faudrait à un moment rentré, mais contrairement à sa nature strict et stresser, Iveana refusa cette idée et préféra oublier l’espace d’un instant tous ses problèmes qui les entouraient alors qu’il était né il n’y a que trop peu de temps. Le soleil, les papillons et l’étreinte réconfortante de Yaël l’aida beaucoup à chasser ses sombres pensés diriger par des lois et des règles qu’elle se devait de suivre aveuglement et elle voulue le remercier de ce bonheur qu’il lui procurait bien qu’inconsciemment. Cependant, quand elle leva le museau vers son frère aux couleurs sombre, elle fut surprise d’apercevoir qu’un papillon s’était posé sur le bout de sa truffe. Elle ne put retenir un rire amusé en voyant la face du fier Yaël orné d’un papillon dont les ailes fragile devaient probablement lui chatouillé horriblement le nez.

- Yaël ! – ria la jeune princesse. – Tu as un papillon sur le nez.


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