Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Tali tala talou ! La petite diablesse, souriante de bon cœur avec ce sourire tendre et purement adorable qui lui était propre, en bondissant comme un faon excité à travers le territoire estival en se réjouissant de la douceur de la météo, du soleil agréable malgré le territoire habituellement aride, de la petite brise rafraichissante et des oiseaux qui chantaient haut et fort. Beaux et mignons soprano qui chantait à tue-tête un charmant concerto, racontant l’histoire d’une charmante demoiselle trop éprise d’amour et don le désir insatiable la conduisit à sa perte. Enfin, la petite LibreLune ne compris pas mot de ce que chantait les oiseaux, tout ce qui l’intéressait c’était les petits battements d’ailes qu’ils effectuaient pour attirer leurs futurs compagnons. Les pupilles de l’Acédie, ses grandes prunelles rosée, se virent briller de mille feux à la seule vu des drôles d’animaux, si bien que de la petite place elle essaya de les attraper en sautant haut et en agitant les pattes en tous sens. Cependant les oiseaux bien trop haut pour qu’elle ne puisse espérer les frôler, pourtant elle ne découragea pas avant un moment et percevra même pour essayer de les attraper et les câliné par la suite !

Les oiseaux continuaient à piailliez et se mirent à se moquer de la louve, pauvre petite sotte, pauvre petite folle, qui avait essayé pendant un long moment sans réalisé qu’elle ne serait jamais assez grande et forte pour bondit jusqu’à eux. Elle rouspéta un bref instant en se disant qu’elle aurait voulu des ailes pour voler avec eux ou encore un pouvoir spéciale pour sauter comme une sauterelle. C’était cool les sauterelles, c’étaient vert, ça chantaient et sa bondissaient partout comme des folles. Comme Acédie ! Acédie aimait beaucoup les sauterelles, mais elle n’arrivait pas à en attraper beaucoup malheureusement.

Bondissant comme une sauterelle après un coléoptère qui était passé devant ses yeux nacrée, saupoudré de rose, elle ne regardait pas où elle se rendait comme à sa triste habitude, mais toujours le sourire aux lèvres avec cette joie démente qu’on arrivait à lui envier. Cependant, l’été restait la saison du soleil et de la chaleur, et Acédie, ainsi que son pelage sombre, ne c’était pas rendu sur ce territoire depuis longtemps. Alors la folle ne se souvenait pas pourquoi elle n’aimait pas l’été, la douce chaleur des tropiques, le sable chaud qui collait aux pattes et l’eau au gout bizarroïde ! Cependant, la petite folle se souvenait surtout de la chaleur intenable qui régnait en été, la langue pendu, haletante sous cette chaleur intenable qu’avait fortement accentué son effort, elle se mit en quête d’un énorme point d’eau pour boire jusqu’à plus soif.

Après cette perdu une bonne demi-douzaine de fois et cette battue contre une quinzaine bouissons qui ne voulais pas laisser passez entre les arbres de la forêt, la petite louve finit par trouver son saint Graal. Elle ne reconnus pas la cascade de Nienor, mais elle n’en avait que faire, après tout une grande cascade était parfait pour assouvir ses soifs les plus grandes. Elle remua la queue comme une enfant et fonça telle une tornade sous la cascade. Elle se prit la roche qui se situait derrière la cascade en plein museau. Elle voulut se frotter le bout du museau, comme pour essayer de calmer la douleur, mais elle ne voyait plus rien avec les trombes d’eau qui lui tombait sur la tête. Sa mèche était si plate qu’elle ne voyait même plus sa truffe. C’était bien embêtant tout ça, mais Acédie aimait beaucoup que l’eau la rafraichissait, alors elle se dit qu’elle attendra un peu pour se masser le museau.

Quand la folie se décida à sortir du torrent d’eau qui la recouvrait, elle ne voyait pas plus que quelques minutes auparavant, et quand elle avança une patte et chercha un point d’appuis elle ne trouva que le néant et chuta misérablement. Prise d’une panique soudaine, son museau recouvert d’eau l’empêchant de respiré et son épaisse chevelure l’empêchant de voir, la Librelune se mit à s’agité en tous sens pour se libéré de l’emprise machiavélique de la source et quand elle eut enfin retrouve la terre sous ses pattes elle s’en alla en jappant vers une direction inconnue, ou preste. Tout droit ! Il fallait aller tout droit, point !

Et ne voyant que sa touffe de cheveux noirs, le démon trébucha à nouveau sur une chose non-identifié et cette fois-ci elle dégusta le sol aussi goulument que l’aurait fait un mendiant du dernier repas du christ. D’ailleurs, elle se dit que le sol était trop vaseux pour avoir autant de gout qu’un lapin fraichement mort. Elle redressa la tête et sa secoua vivement, tellement fort que le reste de son corps trembla avec elle et quand ses cheveux se mirent à tenir dresser sur sa tête, à tel point qu’on aurait pu se demander à quoi elle c’était coiffé, elle put se rendre compte que la moitié de son corps était retenue par la chose sur laquelle elle avait trébuché. Acédie fut très heureuse de découvrir qu’il s’agissait d’un loup et pas de l’affreux méchant loup qui lui courrait après de temps en temps, d’ailleurs il ne lui ressemblait en rien parce qu’il avait beaucoup de couleur vive. Cependant, il était bien embêtant celui-là, il l’empêchait de bouger les fesses et ses pattes arrières courait dans le vide quand elle essayait de se retiré de sur son dos.

- Hey ! Rend moi mes fesses !

Non pas que la position était foncièrement désagréable pour la petite monstre, mais quand même ! Comment sourire et câliné un loup qu’on ne connaît pas si on ne peut même plus bouger son popotin !?

Oulala, le loup plein de couleur sur lequel Acédie avait trébuché n’avait pas l’air content. Il avait essayé de la mordre alors qu’elle avait la tête tournez et les yeux presque totalement masquer par ses propres cheveux, mais ça Acédie ne l’avait pas vu et n’en avait même pas conscience, et voilà qu’il s’était mis à grogner contre elle. Bah, pourquoi lui en vouloir ? Le diable n’avait rien fait de mal, pas encore fait de mal surtout, mais si cela se trouve le loup plein de couleur avait fait une sieste et Acédie l’avait réveillé.

La jeune louve aurait pu s’excusé, mais elle était bien trop occuper par son arrière train bloquer et ses pattes qui s’agitait dans le vide, heurtant de temps à autre le flanc du loup coloré. Et puis, tout d’un coup, il se leva, sans prévenir personne en plus ! Acédie eut un petit cri de surprise et se mit à battre des pattes comme si elle essayait de nager dans le vent, mais elle n’arrivait toujours pas à bouger et cela l’embêtait beaucoup. Elle était coincée sur le dos du loup, c’était malin de sa part de c’être lever tien.

- Hey ! Pose-moi ! – souffla-t-elle entre deux battements de pattes inutiles.

Mais non, il ne voulait pas. Restant dresser droit et dans la tête dans les nuages. La hanche d’Acédie appuyait contre la colonne vertébrale du loup et la bloquait, sa maigreur se retournait alors contre elle, pauvre petite sotte. La position n’était pas très agréable en soit, les os de l’estivale appuyant contre son petit ventre, mais les grognements du loup provoquait des vibrations rigolote sur ses flancs, qui lui firent oublier l’espace d’un instant le désagrément. Elle l'appela plusieurs fois, mais non, il préférait l’ignoré, « Hey ! Répond moi » disait alors la petite louve avant de se mettre à se débattre encore et toujours.

Puis, soudainement, il tourna la tête vers elle et elle se tut, trop étonné par l’attention soudaine qu’il lui accordait. Elle eut à la fois peur qu’il ne la dispute pour avoir fait autant de bruit, mais elle était tout aussi fascinée par les grands yeux rouges du loup. Elle voulut lui demander d’où ils venaient ses grands yeux, s’ils pouvaient les lui donner pour qu’elle les regarde une fois chez elle, mais sont rire strident mit cours à ses pensées. Elle avait fait quelques choses de drôle ? Non ? Si ? Peut-être ? Acédie ne comprenait pas pourquoi il rigolait, ses oreilles s’agitèrent dans tous les sens alors qu’elle essayait de trouver la réponse à son hilarité.

Elle ne trouva aucune réponse et si dit que s’il rigolait, cela devait forcement parce que quelque chose était drôle, alors elle se mit à faire un grand sourire. Le loup eut un comportement des plus étranges, mais Acédie ne s’en rendit même pas compte et elle l’imita, bougeant sa tête à droite et à gauche en suivant les gestes du loup tricolore. Il était drôle en fait, Acédie commençait à bien l’aimé ! Alors, qu’est-ce qu’il allait encore faire qu’Acédie pourrait imiter ? La petite noire avait hâte de découvrir la suite, quand soudainement, il se mit à hurler si fort qu’elle dut plaquer ses oreilles contre son crâne pour en diminuer la sonorité. Quelle voix puissante !

- NON J'TE LES RENDRAIS PAS! T'ES MA PRISONNIERE!
- Qu… REND MOI MES FESSES ! – Lui répondit-elle alors.

En réalité, le loup à qui avait affaire Acédie était complètement fou, mais fou et folie vont se pairs et aucuns des deux n’arriveraient à se reconnaitre comme aillant quelques séquelles mentales. Heureusement pour eux, pourrait-on dire, ils étaient aussi fou et dangereux l’un que l’autre. La petite louve atteinte de folie se mit à protester, mais le tricolore était trop occuper par son rire incontrôlé pour prêter attention à elle ou du moins lui répondre. Alors attiré par l’étrange chapeau à proximité, la petite louve tendit ses pattes les plus loin possible pour se saisir de l’objet, avec sur son visage une grimace de concentration. Quand elle l’eut enfin entre les pattes, elle eut un petit cri de joie et n’hésita pas à pointé le sommet du couvre-chef vers le loup estivale.

- Rend moi mes fesses, j’ai un chapeau je n’hésiterai pas à m’en servir !!

Le pire dans cette histoire, c’est qu’Acédie était parfaitement sérieuse ! Elle reconnaissait le chapeau, mais son esprit volatile l’avait alors imaginé comme une arme super classe et dangereuse, alors que c’était simplement un simple accessoire. D’ailleurs, la petite folle aurait très bien put adorer ce haut de forme.