Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !
A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !
Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !
A très bientôt !
Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !
je marchais lentement en longeant la frontière... Je cherchais une proie,grande de préférence. Pourquoi ? J'ai juste envie de me changer les idées. voila que je suis schizophrène !me dis-je intérieurement une bourrasque de vent me siffla dans les tympans et l'humidité fraiche de la rosée matinale me mouillait les coussinets. Je ne pouvais m'empêcher d'être heureuse. Cela faisait peu de temps que j'étais au sein du clan Automnal et je ne le regrettais aucunement ! L'ambiance agréable et la sympathie des membres dÉteignent sur moi!Parfois j'étais prise par des irrépressible envies de rire. Je les refoulais tant bien que mal car je ne préfère pas rire en public. Mon père disait que ceux qui riaient devant les mâles plus fort que soi était une preuve de faiblesse ! Je levais la truffe pour flairer une piste.Rapidement je triais les odeurs il y'a au moins deux lièvres et un sanglier mais cette dernière odeur est certainement celle d'un daim. J'ai très envie d'un daim. Je rapporterais cette proie aux tanieres et loffrirais aux membres du clan. Cela me permettra de gagner la confiance des miens Je venais de parler à voix haute sans m'en rendre compte et cela attisa la curiosité de l'animal. Le daim leva les oreilles, huma l'air avec ses naseaux et finit par tourner la tête vers moi. Fort heureusement, je venais juste de me coucher dernière un talus. Mais cela ne l'appaisa pas. Il continuait de flairer nez au vent les odeurs. Il ne tarderait pas à découvrir la mienne je dois agir vite !pensais - je...
Myosotis
Nobody
Espèce : Loup/louve
PUF * : Adrenalean
Messages : 1655
Date d'inscription : 27/05/2013
Âge : 23
Ta localisation réelle : toujours dans un train
Identité du personnage Spécialité: Total des PNs: 0 PN
Ven 6 Fév 2015 - 13:41
Émeraude, n'oublie pas que nous sommes sur un forum RPG, ici un minimum de 8 lignes de RPs (hors dialogue) est demandé. Merci d'éditer ton message car pour moi ce RP n'est pas fini (;
Invité
Invité
Ven 6 Fév 2015 - 22:41
Justement j'ai oublié de préciser que ce rp est inachevé excuse moi pour le dérangement
Bon et vwala c'est fini à vos réponses !
Invité
Invité
Mer 4 Mar 2015 - 14:08
Chasse entre les frontières.
Findis et Émeraude.
Lorsque que la chasseresse s'était éveillée le matin même, elle avait décidé de se rendre hors des territoires estivaux, jusqu'en terres libres. Le beau temps attirerait certainement bien des proies curieuses et insouciantes. Elle était partie très tôt alors que l'aube apparaissait tout juste dans le ciel, teintant de couleurs orangées l'immensité qui avait, à l'heure actuelle, revêtu un habituel manteau bleu dépourvu de toutes traces de cristaux enneigés chassées aujourd'hui par l'astre solaire. Findis ignorait sa destination exacte et elle s'était dirigée un peu hasardeusement sur les vastes étendues qu'englobaient les terres libres. La louve brune éprouvait bien moins de difficultés à circuler ainsi qu'au cœur de la saison Hivernale où il lui fallait supporter les morsures glaciales du froid avec sa fourrure aux poils courts, plus adaptée aux températures estivales et au soleil qu'au vent glacial et à la neige. On ne pouvait pas encore dire que le Printemps était bel et bien là, les températures restaient parfois encore bien fraîches, notamment en l'absence de soleil Findis avait eu l'occasion de le remarquer à de nombreuses reprises aujourd'hui. Mais le doux Zéphyr qui remplaçait peu à peu le vif Mistral apportait déjà avec lui les fragrances délicates et familières de la belle saison qui progressait à un rythme tranquille, emportant sur son passage les dernières couches de poudreuse. La louve n'avait donc pas tardé à faire la rencontre de quelques proies dont une de belle taille qu'elle ne pouvait se permettre de laisser passer, il s'agissait en fait d'un jeune chevreuil qui n'avait pas encore sa taille adulte mais dont la carrure était déjà respectable. Envie folle ou désir déterminé ? Quoi qu'il en soit, Findis avait tenté d'approcher l'animal, malheureusement le vent avait brusquement trahi sa présence et elle s'était lancée dans une courte poursuite avec le chevreuil.
Son souffle saccadé raisonnait péniblement entre les rangées d'arbres silencieux et immobiles qui se dressaient noblement tout au long de la forêt dans laquelle courrait l'animal brun. Ses sabots battaient le sol à un rythme fou tandis qu'il peinait de plus en plus à progresser entre les troncs serrés et les fourrés qui lui barraient par endroit la route. Ses prunelles semblables à deux billes noires et finement arrondies trahissaient l'inquiétude qui montait lentement en lui et se glissait au plus profond de ses entrailles. L'instinct de survie du chevreuil lui indiquait le danger proche qui le poursuivait, et cela le poussait à ne pas abandonner la course et à filer toujours droit devant lui sans jeter un seul regard angoissé en arrière. Les feuilles qui tapissaient le sol par endroit voletaient sous son passage, mais également sous celui de la chasseresse qui le précédait sans se laisser distancer. Les muscles de la louve brune roulaient en rythme soutenu et rapide sous sa fourrure malgré les premiers ressentis de fatigue qui commençaient à les envelopper, marques de cette course poursuite prolongée à travers les arbres. Findis refusait de laisser filer le chevreuil qui semblait peiner un peu plus à chaque foulées tandis qu'elle gagnait du terrain malgré quelques difficultés. Un battement. Le chevreuil peinait de plus en plus, ses foulées se réduisaient considérablement même s'il maintenait son rythme, elle gagnait un terrain considérable sur lui.
Deux battements. La fatigue commençait à se faire sérieusement ressentir et elle rêvait de faire une pause en profitant de l'ombre que produisait les rangées d'arbres, elle pourrait également réfléchir au chemin du retour, car elle s'était bien éloignée des terres estivales ... Mais elle ne pouvait pas arrêter maintenant. Trois battements. Plus que quelques foulées et elle pourrait bondir sur le chevreuil, il fallait juste espérer qu'il lui restait la force nécessaire pour se propulser mais l'achever ne serait pas bien compliqué si elle était rapide et efficace. Ce n'était plus qu'une question de secondes. Quatre battements. Findis freina des quatre fers en manquant de perdre l'équilibre à cause de cet arrêt brutal et soudain. Une longue allée dépourvue d'arbres si ce n'est ceux qui l'encadraient d'une façon alignée, lui faisait désormais face et lui indiquait clairement sa position. Le parfum du chevreuil sur lequel elle était concentrée auparavant passait désormais en deuxième plan et elle pouvait observer la fragrance automnale qui émanait tout autour d'elle. Un pas de plus et elle aurait franchit la frontière Automnale ! Cependant sa proie ne s'en était pas privée elle, et la voilà désormais qui trébuchait sur la route qui marquait la frontière, tombant légèrement sur les genoux mais se relevant d'un bond et filant vers les fourrés sans demander son reste sous le regard déçu de la louve. Toute cette courte avait été inutile, la proie venait de filer et la voilà désormais dans de beaux draps, elle n'avait pas franchit la frontière mais elle ne doutait pas que certains loups ne se gêneraient pas pour l'en accuser. Un bruit attira alors son attention, elle jurerait entendre quelqu'un parler à haute voix, et ce quelqu'un devait être un loup qui appartenait à l'Automne à en croire le parfum qui émanait de lui ... La louve s'empressa de reculer de quelques pas et de jeter un regard méfiant autour d'elle, il fallait qu'elle essaie de s'en aller sans attirer l'attention de l'autre lupin mais ce n'était pas chose aisée.