Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Je marchais, sur mes gardes. Je n'étais pas sur mon territoire, et j'en avait bien conscience. Normalement, je suis un estival moi! En fait, je ne savait même pas ce que je fichait ici. Je regardait autour de moi, presque en sursautant à n'importe quel bruit. Un automnal pouvait me sauter dessus à tout moment, et là, je serais mal barré. Haa,mon cher Koshaïfo, franchement, quelle idée... Heureusement qu'aucun automnal ne me connaissait, j'aurais pu déclencher un incident diplomatique a moi tout seul.
Alors que je continuais à avancer doucement, je vit une louve courir. Je sursauta, et sauta dans des buissons. Elle était rousse et blanche, et avait des yeux bizarre. Elle courait après un lièvre, et ne semblait pas m'avoir remarqué. Heureusement! Je la suivi, et elle arriva près d'un étang. Ensuite je la perdu de vue, elle s'étaient cachée. On ne m'avait pas encore vu! Je décida de repartir à pas de loup, mais je fit craquer une branche, sursauta et regarda autour de moi, espérant qu'on ne me repère pas.
Je crois bien que j'ai fait une bourde sur ce coup là...

Vaquero qui marche là lit dans les odeurs que des intrus sont passés par ici. Dont deux estivaux -y compris celle de la dernière fois- et ... Mhairie ! Que fait-elle ici ? Peut importe, ce qui compte, c'est que les estivaux n'ont rien à faire ici, ce que Vaquero le fera savoir. Il court dans les feuilles mortes de l'étang. Ces feuilles lui offre l'avantage de pouvoir utiliser son don quand il le souhaite. Il peut s'offrir des ailes et une armure, assez pratique pour se battre sans se blesser, du moins, pas gravement. Il se retrouve nez-à-nez avec sa bien-aimée, l'estivale de l'autre fois et un autre loup gris mais malgré tout estival lui aussi. Le démon, qui s'est calmé depuis peu, se réveille d'un coup, prenant le dessus sur Vaquero, qui devient tout noir.

_RAAAAAAAAH LES ESTIVAUX VOUS MOURREZ ! ET TOI LE GRIS LAISSE-LA ! hurle t-il.

Vaquero se réveille, reprenant le pouvoir sur lui-même. Même si ces estivaux ne devraient pas être là, le veilleur doit s'excusez de la part du démon de les avoir menacés de mort.

_Excusez-moi, ce démon s'empare de moi dès que je croise un estival. Alors deux ... il s’interrompt, fixe celle qu'il a déjà vu et reprend : Ça alors ! C'est bien joli de faire la moral aux autres, mais qu'est-ce que tu fout la toi ?

Il regarde Mhairie, la salue d'un signe de tête de peur qu'un autre veilleur le voit et s'occupe des estivaux. Ils devraient vraiment pas être là ceux-la ... Surtout que, si le démon se re-réveille, là, ils sont morts, c'est clair.

_Bon, vous deux, vous m'expliquer c'que vous foutez-la maintenant. Braver une frontière, rien que d'une longueur de queue, c'est pas super, mais de là à vous retrouvez au beau milieu de nos terres, faut pas être stupide quand même ! On dirait des louveteaux paumés ! les raille t-il.

Il veut continuer, mais c'est pas le moment. Il veut les mordre de partout mais n'en fait rien. Il se contente d'attendre leur réponse.

Nymeria hésitait toujours quand un loup brun fit irruption. Elle le reconnaîtrait entre mille. Elle l'avait chassé du territoire estival quand il y était entré en compagnie d'un loup gris clair. Il s'appelait Vaquero comme ça ? La jeune louve avait laissé échapper son nom. Elle se souvenait surtout qu'il était automnal et en ce moment même il représentait un gros problème. Toujours là où il ne faut pas être celui-là.

- RAAAAAAAAH LES ESTIVAUX VOUS MOURREZ ! ET TOI LE GRIS LAISSE-LA !

La louve sable le regarda d'un air étonné. Il allait pas péter un câble devant eux quand même ? Elle se souvenait d'un accident étrange lors de sa dernière rencontre avec lui mais peut-être que sa perte de contrôle n'avait rien à voir. Il se calma peut après sa petite crise.


-Excusez-moi, ce démon s'empare de moi dès que je croise un estival. Alors deux ...il se tourna vers elle et repris : Ça alors ! C'est bien joli de faire la moral aux autres, mais qu'est-ce que tu fout la toi ?


Nymeria le regarda, son visage ne trahissant aucune émotion. Elle allait devoir jouer serré. Mais cet abruti l'énervait au plus au haut point. Elle ne serait jamais venue ici d'elle même et se retint de fusiller du regard l'estival. Ils avaient peut-être une chance si ils se battaient mais ils y laisseraient des poils. Il espérait sûrement leur faire peur avec son histoire de démon mais cela expliquerait bien des choses. Mais qu'il ait un colocataire dans sa tête n'était pas son principal problème. C'était plutôt comment sortir d'ici sans faire de vagues. Elle analysa la situation, la louve avait l'air de le connaître même s'il l'avait saluée assez froidement. Elle essayait de trouver une solution quand il reprit la parole. Il était bien bavard aujourd'hui ..


- Bon, vous deux, vous m'expliquer c'que vous foutez-la maintenant. Braver une frontière, rien que d'une longueur de queue, c'est pas super, mais de là à vous retrouvez au beau milieu de nos terres, faut pas être stupide quand même ! On dirait des louveteaux paumés !


La louve devait trouver ça drôle car elle eut un petit rire. Il ne fallait surtout pas l'encourager dans ses maigres tentatives d'humour. Décidément il l'horripilait. Elle allait répondre quand la louve commença de partir mais revint sur ses pas. La louve sable haussa un sourcil. Pourquoi cette attitude étrange ? Bon, elle allait essayer de sauver leur situation.


- Bon, si tu as fini de déblatérer tes idioties, laisse-moi t'expliquer la raison de notre présence. Mon ami ici présent était dans ses pensées et n'a pas vu qu'il s'aventurait hors du territoire. Je le suivais pour le raccompagner mais j'ai eu un problème en cours de route et j'ai suivi sa trace. Voilà la vérité, une bonne raison pour se trouver ici, autrement meilleure que l'excuse minable que tu avais trouvée.


Elle n'en savait rien mais bon c'était mieux de dire qu'il s'y était rendu volontairement. Elle n'avait pas pu s'empêcher de lui lancer une petite pique. Il l'énervait trop même si ça ne se remarquait pas extérieurement. Nymeria savait que c'était une mauvaise idée que d'énerver un automnal sur ses terres et qu'elle n'avait aucun droit. Elle se mordit la joue. Elle n'aurais peut-être pas du. Ce qui est fait est fait et elle attendit leur réaction.

Je crois que je m'était fourré dans les ennuis, et plutôt profondément. Ouille... Alors, entre l'automnal avec un démon, Nymétrucmuche dont je ne me souvient plus du nom, qui m'avais suivit et la LibreLune, je ne savait plus où me mettre.
°Pitié ne me faites pas maaaaaal°
Mes pensées trahissaient bien mon état du moment, et si l'un d'entre eux pouvait lire dans les pensées, je pense qu'il serait mort de rire.
Nyméchose essaya de me sauver la mise:

- Mon ami ici présent était dans ses pensées et n'a pas vu qu'il s'aventurait hors du territoire. Je le suivais pour le raccompagner mais j'ai eu un problème en cours de route et j'ai suivi sa trace. Voilà la vérité, une bonne raison pour se trouver ici, autrement meilleure que l'excuse minable que tu avais trouvée.

Je pensa très fort de rester à peut près digne, et pas cacher ma tête dans mes pattes en tremblant, pleurant et les suppliant de ne pas me faire mal.
Solution 1 : Partir en courant, et passer pour un lâche
Solution 2 : me battre et déclencher une guerre ou au moins une petite bataille.
Solution 3 : essayer de régler le problème.
Ouais. je pense que la 3 est la mieux appropriée à la situation.

- Heeuuu, c'est pas ce que vous croyez... Je n'en voulait nullement à votre louve, et je pensait même rentrer au plus vite sur mes terres. C'est juste que heeuu ça m'a surpris de la voir courir après un lièvre, et ma curiosité m'as forcé à la suivre. Pardonnez-moi je vous en supplie!

J'avais un ton hésitant, mais sincère. J’espérais que le loups me croirais...

Spoiler:

Tu entends ta louve adorée rire à ta dernière phrase. L'autre louve quant à elle t'est moins agréable, et elle te le témoigne. Elle regarde Mhairie bizzarement. Tu n'aimes pas ça. De toute façon, vous ne vous appréciez pas. Depuis que tu la connais elle t'énerves, et sûrement inversement. Ses grands airs t'énervent au plus haut point. Ce qu'elle te dit confirme ton opinion.

- Bon, si tu as fini de déblatérer tes idioties, laisse-moi t'expliquer la raison de notre présence. Mon ami ici présent était dans ses pensées et n'a pas vu qu'il s'aventurait hors du territoire. Je le suivais pour le raccompagner mais j'ai eu un problème en cours de route et j'ai suivi sa trace. Voilà la vérité, une bonne raison pour se trouver ici, autrement meilleure que l'excuse minable que tu avais trouvée. t'explique t-elle froidement.

Tu lui lance un regard haut et indifférent à sa tentative de moquerie qui ne t'affectes pas. La louve n'a probablement jamais ressenti le besoin de retrouver tes racines. Un besoin qui t'avait poussé sur les terres chaudes de l’Été ce jour là. Toi, ce louveteau estival devenu un bon guerrier automnal, tu sens parfois une envie de retrouver tes origines, tes souvenirs. Bon ou mauvais.

Tu poses tes yeux sur le gris qui t'est inconnu. Même s'il tente de rester digne, tu distingues sans mal la peur qui le ronge. Une attitude qui te répugne tellement que tu veux te moquer de lui, mais ton esprit est trop mûre pour te rabaisser à ça.

Tu regardes ensuite ta louve, lui souriant, le plus discrètement possible, pour ne pas que les deux idiots à côté jouent avec ton cœur et s'amusent à faire du mal à Mhairie.

- Heeuuu, c'est pas ce que vous croyez... Je n'en voulait nullement à votre louve, et je pensait même rentrer au plus vite sur mes terres. C'est juste que heeuu ça m'a surpris de la voir courir après un lièvre, et ma curiosité m'as forcé à la suivre. Pardonnez-moi je vous en supplie! implore l'inconnu.

A lui aussi, tu lui jette un regard froid et autain. Tu as horreur de la lâcheté. Alors ce loup te fait certes pitié, mais s'il a peur, autant qu'il ne s'amuse pas à violer les frontières. Sinon, le "louveteau" qu'il montre pourrait être blessé, le pauvre !

_Toi, le gris, dégages, j'ai pas de temps à perdre avec les trouillards. dis-tu au peureux. Tu repris, a l'intention de l'autre : Quant à toi, mon excuse ne me parait pas idiote. Je veux dire : t'as jamais eu besoin de retrouver tes racines ? Pauvre sote.

Tu t'approches de ta bien-aimée. Tu as quelque chose à lui demander. Tu te rends compte que tu pourrais la vexer,et tu te forces à te dire de ne pas oublier de te justifier.

_Mhairie, je suis désolé, mais j'aimerais que tu rentres chez toi. Je dois m'occuper de ces estivaux  et je ne voudrais pas qu'une autre sentinelle nous voit et m'engueule parce que je ne te dis rien.

Je fixai encore les deux estivaux quand la louve sable se mit à parler :

-Bon, si tu as fini de déblatérer tes idioties, laisse-moi t'expliquer la raison de notre présence. Mon ami ici présent était dans ses pensées et n'a pas vu qu'il s'aventurait hors du territoire. Je le suivais pour le raccompagner mais j'ai eu un problème en cours de route et j'ai suivi sa trace. Voilà la vérité, une bonne raison pour se trouver ici, autrement meilleure que l'excuse minable que tu avais trouvée.

Quelle arrogance. Voilà qu'elle avait répondu à Vaquero comme si c'était un moins que rien ! " Tu te rends compte que t'es pas chez toi et que te ferais mieux de te taire ? J'espère juste que tu sais ce que tu fais et que tu es conciente du danger que vous courrez.. Je ne voulais pas qu'il leur arrive du mal. Mais je n'avais quand même pas supporter comme elle avait répondu à Vaquero ! J'aurais bien aimer lui faire savoir mais jj'étais trop timide et puis il ne vallait mieux pas. Mon loup regarda alors la louve d'un air indifférent. J'en fus bien soulagée !

Le loup gris pris alors la parole. Essayant de prendre son courage à deux mains et ne pas paraître froussard. Mais c'était bien raté !

Heeuuu, c'est pas ce que vous croyez... Je n'en voulait nullement à votre louve, et je pensait même rentrer au plus vite sur mes terres. C'est juste que heeuu ça m'a surpris de la voir courir après un lièvre, et ma curiosité m'as forcé à la suivre. Pardonnez-moi je vous en supplie! i

Vaquero lui lança un regard froid et autain. Il avait l'air de pas apprécier les laches. Il répondit donc aussi froidement que son regard.

-Toi, le gris, dégages, j'ai pas de temps à perdre avec les trouillards. Il regarda la louve sable et repris. Quant à toi, mon excuse ne me parait pas idiote. Je veux dire : t'as jamais eu besoin de retrouver tes racines ? Pauvre sote.

Il se dirigea ensuite vers moi et me dit :

-Mhairie, je suis désolé, mais j'aimerais que tu rentres chez toi. Je dois m'occuper de ces estivaux  et je ne voudrais pas qu'une autre sentinelle nous voit et m'engueule parce que je ne te dis rien.
[/b]-Tu vas faire quoi si ton démon surgit ? Ce ne sont peut-être que des étrangers mais je ne veux pas qu'il leur fasse du mal. Je sais que je ferais mieux de partir mais je reste pour leur sécurité et la tienne.. Désolée.[/b] dis-je assez discrètement et sur un ton un peu hésitant.

J'avais peur qu'il n'apprecit pas ma réponse et m'en veuille mais j'étais bien contente de l'avoir dis. Je m'adressais alors aux deux loups d'en face.

- Vous feriez mieux de partir d'ici, ce serais plus prudent.. proposais-je d'un ton hésitant et assez timide.

J'attendis alors leur réponse, espérant qu'ils ne le prendraient pas mal.

Son interlocuteur ne semblait pas affecté par ses paroles, il ne semblait non plus être en train de prendre une décision. Elle jeta un coup d'oeil vers son comparse estival. Il avait l'air de ne savoir que faire. Il se décida à prendre la parole d'une voix assez implorante.

- Heeuuu, c'est pas ce que vous croyez... Je n'en voulait nullement à votre louve, et je pensait même rentrer au plus vite sur mes terres. C'est juste que heeuu ça m'a surpris de la voir courir après un lièvre, et ma curiosité m'as forcé à la suivre. Pardonnez-moi je vous en supplie!

Hum, c'était un peu ... On dirait qu'il parlait à un être supérieur or il n'en était rien. Il était sûrement rongé par la peur et se rabaissait lui-même. D'ailleurs l'air hautain de Vaquero prouvait qu'il dédaignait Koshaïfo. Elle aurait voulu lui grogner dessus mais elle garda son air impassible.

-Toi, le gris, dégages, j'ai pas de temps à perdre avec les trouillards. dis-il à Kosahïfo. Il se tourna vers elle : Quant à toi, mon excuse ne me parait pas idiote. Je veux dire : t'as jamais eu besoin de retrouver tes racines ? Pauvre sote.

Nymeria le regardait d'un air ironique, retrouver ses racines ? Quelle blague ! Il la faisait bien rire ce loup, il aurait pu trouver mieux. Et son insulte ridicule ne l'atteignait pas. Et elle n'aimait pas qu'il traite le loup gris comme de la merde. Peut-être bien qu'il avait peur. C'était même certain. Mais ce n'est pas une raison. Vaquero était un loup sûr de lui. Trop même. Un jour peut-être cela causera sa mort. Quant à la peur de l'estival, elle l'accompagnera et sera son amie. La peur incite à la prudence.

- Excuse-moi de douter de ton excuse. Pourquoi retrouver ses racines puisque tu as choisi le clan automnal ? Aurais-tu des regrets ? Tu as choisi une voix alors n'essaie pas de revenir en arrière. Tu avais autant le droit d'être en territoire estival que j'ai le droit d'être ici.

Il se dirigea alors vers l'autre louve qui n'avait pas prononcé un mot depuis que le loup brun était arrivé.

- Mhairie, je suis désolé, mais j'aimerais que tu rentres chez toi. Je dois m'occuper de ces estivaux  et je ne voudrais pas qu'une autre sentinelle nous voit et m'engueule parce que je ne te dis rien.


Alors comme ça, elle s'appelait Mhairie ? Original comme nom. Vu la façon dont il lui parlait, on remarquait facilement qu'il tenait un peu et il n'avait pas tenu sa posture froide et hautaine avec longtemps face à elle. Peut-être que cette louve était son point faible ? Elle lui murmura quelque chose qu'elle n'entendit pas vraiment mais elle cru entendre "démon". En tout cas, il était clair que l'intention de ce loup était de se battre contre eux. Mais aurait t-il une chance face à eux deux ? Bien que l'autre était envahi par la peur, il n'hésiterait peut-être pas à se battre. Vaquero devait vraiment avoir une haute estime de lui si il estimait avoir une chance à un contre deux même si un démon habitait son corps. C'est bien connu que la force ne fait pas tout, la force brute ne fait pas le poids face à des coups intelligents. Elle bondit de façon à bloquer le chemin de ladite Mhairie. Elle sentit enfin son odeur. Et cette odeur n'appartenanit à aucun des clans. Mais elle n'avait pas non plus l'odeur des neutres alors qui était-elle ?


- Dis-moi, Vaquero, tu semble beaucoup tenir à cette chère Mhairie. Aurais-tu le droit de vivre à ses côtés étant automnal ? Je n'en sais rien mais j'en doute.

- Vous feriez mieux de partir d'ici, ce serais plus prudent..

Ah elle se décida enfin à parler. Le regard de Nymeria s'adoucit. Elle aimerait bien s'en aller elle ! Elle n'attendait que ça ! Mais l'autre guguss ne semblait pas s'en apercevoir ou alors il s'en contrefichait. Elle penchait plutôt pour la deuxième hypothèse.

- J'aimerai bien mais ton ami à l'air décidé à nous barrer la route.

Et si malgré la protestation de Mhairie Vaquero ne faisait rien, son petit chantage pourrait marcher. Mais si ils  avaient le droit d'être ensemble, il ne servirait à rien mais elle n'en savait rien alors autant tenter le tout pour le tout. S'ils se cachaient, s'ils ne montraient pas leur affection peut-être était-ce pour cela ? Ou alors pour la protéger qui sait ?

-Tu vas faire quoi si ton démon surgit ? Ce ne sont peut-être que des étrangers mais je ne veux pas qu'il leur fasse du mal. Je sais que je ferais mieux de partir mais je reste pour leur sécurité et la tienne.. Désolée. dit Mhairie assez discrètement.

Tu es quelques peu surpris de la réaction de ta louve adorée, mais tu la comprends. Elle est la seule à calmer le démon par sa simple présence. Mhairie est une louve dotée d'une gentillesse incroyable, un peu trop même, mais bon. C'est pour ça que tu l'aimes. D'ailleurs, elle décide de parler aux deux estivaux, mais l'estivale parle avant :

- Dis-moi, Vaquero, tu semble beaucoup tenir à cette chère Mhairie. Aurais-tu le droit de vivre à ses côtés étant automnal ? Je n'en sais rien mais j'en doute.

Du chantage ! Quelle lâche ! Tu n'aimes pas trop qu'on essaye de t'affaiblir en s'en prenant à tes amis, mais tu laisse Mhairie parler.

- Vous feriez mieux de partir d'ici, ce serais plus prudent.. leur conseille t-elle.

Le regarde l'autre louve s'adoucit aux paroles de Mhairie. Elles ont l'air de s'apprécier, Vaquero devrait donc essayer de faire des efforts. Au moins pour Mhairie. L'autre estivale, qui d'ailleurs à l'air d'humeur bavarde aujourd'hui, reprend la parole, t'accablant de fautes pour la énième fois :

- J'aimerai bien mais ton ami à l'air décidé à nous barrer la route.

Tu décides alors de sauver votre relation. Il faut que tu les laisse partir, mais, en tant que veilleur, tu dois les raccompagner jusqu’à la frontière. Tu décides alors de le faire, et tu leur annonces :

_Bon. Désolé d'être désagréable, mais j'y peux rien. Je vais vous raccompagner jusqu'à la frontière, par principe, mais je pense pas que vous vouliez rester moisir ici.

Spoiler:

RP terminé ou pas ?