Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Plic, ploc, je suis tachée de rouge. [PV Tayla ]
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Sam 12 Avr 2014 - 20:37


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.


Je marchais doucement depuis plusieurs heures dans la gadoue, à cause de mon esprit déboussoler et de la douleur de mes articulations, je n'étais pas allé bien loin de la grotte où j'étais avec la louve au pelage bleu. La pluie roulait sur mon pelage foncé, encore tachée de mon propre sang. Mes marques noirs que j'avais sur le dos me faisaient mal, et le liquide chaud, de couleur écarlate coulait sur mon flan avant de d'aller dans l'eau qui ruisselait au sol, et ainsi lui donner sa belle couleur. Au moins, l'eau me lavait un peu, mais j'étais toujours déboussolé, cherchant un endroit où me réfugier au calme pour réfléchir, et rester au chaud.

Je ne savais plus vraiment marcher correctement,  ma vision se brouillais du fait que j'avais laisser trop longtemps mon pouvoir actif, et mes pensées était de plus en plus incohérente . J'étais aussi encore sous le choc, j'avais failli tuée une camarade de mon clan alors qu'elle n'avait rien fait. Je me repassais la scène sans m'arrêter, je m'en voulais d'avoir agit ainsi, d'avoir utiliser mon pouvoir pour quelque chose d'aussi bête, et l'avoir utiliser aussi longtemps.

Alors que je marchais en titubant de douleur, une racine m'avait fait tomber contre le sol boueux, le choc m'avait coupé le souffle quelque instant. Allongée sur le ventre, je regardais autour de moi, essayant de reconnaître ce territoire qui m'est pourtant familier depuis quelque temps, et où je chassais habituellement pour passer le temps. Je n'y arrivais pas, tout comme arrêter ma folie sanguinaire. Si je ne m'étais pas contrôlé, la louve bleue serait morte à l'heure qu'il est, son cadavre à mes pieds. Je n'avais donc personne qui pouvait arriver à me réveiller, à part l'Alpha ? De plus, L'alpha n'avait pas que ça à faire, de me surveiller et rester derrière moi.

Je me trouvais misérable, alors j'enfouissais mon museau dans mes pattes, mes poils me chatouillaient le museau. J'aurais voulu à cet instant m'endormir pour ne plus me réveiller, pour ne faire de mal à personne, même voir retournée en enfance, quand je ne savais rien, quand j'étais dans la petite clairière avec ma mère, qu'on s'amusait toutes les deux, je n'arrivais même plus à revoir son visage, c'était comme flou.
L'eau me tombait sur le museau, elle était chaude est rassurante quelque part, je ne sais trop pour quoi. La boue qui elle était froide, venait salir mon pelage, je ne ressemblais plus à grand chose avec tout ça, juste à un loup avec du brun et du rouge, mais je m'enfichais, car une fois encore ma folie m'avait entraîner trop loin.


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Sam 12 Avr 2014 - 21:10


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.

Tu étais sortie du camp pour te dégourdir les pattes, la queue trainant au sol, comme d'habitude. Franchement, tu ne pouvais jamais être au calme, surtout avec certains canins. Bref, tu trottinais au bord de l'eau, presque joyeusement, mais au fond, tu étais toujours aussi impassible. Tu t'ennuyais, tu ne pouvais t'empêcher, à chaque fois que tu fixais ton collier ou ce crâne, de repenser à cette scène. La folie t'avait emporté au loin, te laissant goûter au bonheur du sadisme. Mais au fond, tout ça t'étais égal, car tu t'étais bien amusé, au fond.
Glissant d'une manière peu naturelle, tu roulas su toi même pour dévaler une pente ronceuse. Tu atterris le museau dans la boue, car ce jour là, il pleuvait. A ce moment, tu ne pus t'empêcher de lâcher un juron, après t'être relevée, suivi d'une réflexion à l'égard du temps, de la pluie :

- Rah ! Maudite pluie, maudite boue, maudite terre ! Soyez tous maudits autant que vous êtes avec vos temps farceurs !

Tu battis un instant l'air de ta queue, dont le bout, sale par cette terre mélangée à de l'eau, trainait au sol. Tu passas tes pattes avant sur ton museau puis ton visage pour retirer cette saleté de boue. Puis tu repris ta route, fixant la pluie, le ciel, tombant rapidement. Soudain, ta vue se baissa, tes pattes se fléchirent et, encore une fois, ton museau embrassa le sol. Tu grognas, pour une des rares fois, avant de te relever et de comprendre que la chose que tu avait heurtée portait une odeur familière. Tu t'écartas, fixant la fourrure qui se levait doucement. Une fourrure noire et tâchée de marron par cette boue. Mais, mêlé à cette seconde couleur, un rouge sang imprégnait doucement l'environnement. Tu observas un long moment cette personne, avant de déclarer :

- Tu compte rester longtemps au milieu du chemin, sac à puce sale et abîmé ?! Tu bloque le chemin, et à cause de toi, j'ai sali Hikari !

Hikari, c'était le petit nom que tu avais donné à ce crâne. Pourquoi ? Parce qu'il représentait la lueur, la faible lumière, la petite douceur dans ta vie. Le soleil se reflétait dessus d'une telle manière que tu en étais tombée amoureuse, au point de lui donner un nom. Tu passas tes pattes avant, préalablement nettoyée dans une flaque d'eau, sur le crâne, pour nettoyer quelques mottes de boues accrochant la surface osseuse de ton protégé.
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Sam 12 Avr 2014 - 21:46



Plic, ploc, je suis tachée de rouge.


J'étais toujours sur le sol froid, dur, et la boue qui elle aussi était glacée s'infiltrai doucement dans mon pelage, et me glaçant mes muscles et mes os. Je ruminais mes actions passées, et ce que j'avais fait, toujours la même chose en tête, je n'arrivais pas à me chasser toute des idées néfaste, quand quelque chose avait trébuché sur moi, me sortant de mes pensées.

C'était une louve des Estivaux ça ? Et de quoi ! J'ai faillis salir son crâne, qu'elle a nommé Hikari. Cette louve était vraiment bizarre à mon goût.
Je levais doucement ma tête pour regarder ses yeux bleus qui étaient vides d'expression. Je n'arrivais pas à parler, mais j'en avais pas tout de suite l'envie non plus, il y avait du coup un long silence pendant plusieurs minutes. Surtout que cette louve était impolie, et ne m'aidait guère à me changer les idées.

Je me levais alors, après le long silence, pour être à la même hauteur de la louve. En même temps, la boue dégoulinait de mon pelage, ainsi que l'eau est le sang, ce qui me soulageait que le poids de la terre mouiller soit parti.
- J'en suis désolée se n'était pas mon intention, tout comme me trouver sur ton passage. Je te prie de m'excuser ce désagrément , avais-je dit d'un ton doux et sec à la fois.

C'était une de mes camarades, et je ne voulais en aucun cas m'opposer à elle, où l'énerver, voir pire. Je lui tournais le dos sans dire un mot de plus, pour partir dans la direction opposée de la louve le plus vite possible, ainsi, elle ne m'aurait plus sur le dos. La douleur de mes marques était devenue plus forte à chaque pas, alors je dis d'une voix assez basse, pour moi-même :
- Saleté de marque, saleté de pouvoir et saleté folie du sang.
J'en avais marre de tout ce qu'il m'arrivait, j'en avais vraiment assez, je voulais simplement me rouler en boule m'endormir et faire que se n'était qu'un rêve cette journée pourrie. Je m'adossais contre un arbre, pris d'étourdissement. Mes pattes étaient lourdes comme de la pierre, et faire un pas de plus était un supplice pour moi, alors je me laissais tomber à nouvelle tombée au sol et recommençant à parler pour moi-même :
- Je n'aurais pas dû aidée cette louve, j'aurais dû la laisser crever, car c'est moi qui ai failli y passer avec ses conneries.
Je ramenais mes pattes sous moi, attendant que mon malaise passe


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Sam 12 Avr 2014 - 22:09


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La louve s'excusa, tandis que tu la regardait d'un air supérieur. Tu semblais la connaître, elle était de ton clan, ça oui. Elle marmonna quelques paroles que tu eus du mal à comprendre, alors qu'elle s’éloignait doucement. Tu voyais bien qu'elle avait du mal à avancer, et tu retins un sourire moqueur devant cette scène. Tu la vis tomber soudain au sol, après avoir marmonné quelque chose, que tu ne sus que distinguer un peu. Tu finis par t'approcher en trottinant, imitant mentalement un air de chanson idiote. Tu t'arrêtas juste à côté d'elle, effleurant son dos avec ta fourrure de ta queue, essuyant un peu de sang. Finalement, tu te décidas à continuer la discussion :

- Eh bien, eh bien, ne serais-tu pas la folle tueuse de l'Eté ? Celle dont le nom ressemble à une fleur de la Mort ? Tu as l'air bien mal en point pour une tueuse.

Tu attendis un instant, dévisageant la louve fatiguée, lâchant un sourire satisfait et curieux. Elle te plaisais, oui. Pas de victime pour ta folie, pas de moquerie ni de franchise pour elle. Elle te plaisait dans le sens où elle semblait te ressembler, tu le savais. Tu avais peur de la décevoir, de la perdre, qu'elle ne t'apprécie pas, que quelque chose se passe... Ta folie. Oui. Tu ne savais pas quand elle reviendrais à l'assaut, tu étais sur tes gardes. Bref, cette fille, tu ne te souvenais plus de son nom. Tu voulais le savoir. Alors, plaçant ton museau sous son ventre, tu le relevas doucement pour aider cette louve à se relever puis, lui servant d'appui, tu parlas, une fois de plus :

- Moi c'est Tayla. En temps que membre de l'Eté, je dois aider mes camarades. Chère fleur de la Mort, je ne me souviens plus de ton nom, ma mémoire me fait souvent défaut, malheureusement. Si tu as le temps, j'aimerais que tu me conte ton histoire, celle qui t'a amenée ici.

Tu te souvins de cette phrase "Tayla, conte moi ce que tes yeux te permettent de voir". Combien de fois cette phrase avait été prononcé par la voix douce et apaisante de ta mère ? Aujourd'hui, tu reprenais le flambeau de cette tradition. Une tradition, un flambeau, une phrase, une voix... La Mort. Une pensée de ta folie vint te hanter, tu la masquas comme à ton habitude, réfrénant l'arrivée lente de ta folie.
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Ven 18 Avr 2014 - 22:31


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.


Alors que j'étais encore légèrement sonnée à cause de mon malaise soudain, quelque chose avait touché mon dos, j'avais envie de ma retournée pour voir ce que c'était, mais je n'étais pas arrivée, ce qui m'avait fait paniquer, puis je m'étais calmée en voyant que se n'était que la louve noire. Elle commença alors à parler, j'avais beaucoup de mal à suivre ce qu'elle disait, et ma tête tournaient encore.
La louve avait raison quand elle disait que j'étais mal en point pour mon rang. Elle s'était arrêtée, je regardais toujours le vide, mes yeux brouiller par du noir, mais je lutais pour éviter de sombrer dans les ténèbres. Elle recommença à parler, elle m'avait demandée ce qui m'avait amenée ici est quel était mon nom, en tout cas j'aimais bien qu'elle m'appelait  ''Fleure de la Mort''. C'était joli, je trouvais.

Après un long silence, je posais ma tête sur mes pattes, essayant d'utiliser le moins d'énergie possible, puis je commençais à parler :
- Je me nomme Aglaée, et tu as raison quand tu dis que je ne suis pas au meilleur de ma forme pour une tueuse. Je ricanais un petit moment avant de poursuivre. Je suis dans cet était tout simplement à cause de ma folie et mon pouvoir.
Mais je vais te raconter comment je suis arrivée ici, et que fais mon pouvoir sur moi...

Je commençais donc mon récit, je lui expliquais que j'avais du patrouillé avec une louve au pelage lbeu nommée Héra. Il avait eut de la pluie et qu'on était aller se réfugier dans une grotte. La louve était tombée dans un trou alors que je dormais, et que je l'avais suivi peu de temps après. On avait rencontré un ours et que j'avais activé mon pouvoir bêtement, ce qui m'avait fait sombrer dans la folie. Je lui expliquais les conséquences de ma folie et du pouvoir et je lui avais aussi raconté le reste de notre excursion souterraine.

- Une fois sortie de cette grotte, j'ai commencé à partir loin de la grotte, et j'étais un peu déboussolée, car j'avais utilisé beaucoup trop d'énergie bêtement. Personne n'arrive à me réveiller de ma folie, je pensais que Héra aurait réussi, mais elle avait réussi, mais pas complètement, et qu'une seule fois. Seul un Alpha y arrive, je ne sais pas trop pourquoi. Je n'arrive donc à rien faire de moi-même, car j'ai toujours cette peur que ma folie se réveille.
Je ne savais pas pourquoi je racontais tout ça à cette louve, mais j'avais besoin de me confier à quelqu'un. Sur le moment, j'avais l'impression qu'un grand poids était parti pour de bon. J'avais soupiré, puis je fermais les yeux un moment, attendant une réponse, ou quelque chose de la louve, à moins qu'elle me laissait m'endormir.


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Sam 19 Avr 2014 - 9:01


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.

Tu pensais d'abord l'avoir contrarié, car un long silence s'installa. Tu t'écartas doucement de la louve, certaine qu'elle arriverait à tenir sans ton aide. Enfin, elle commença à parler. Elle te donna son nom. Aglaée ? Un déclic se fit dans ta tête, tu te souvins. Elle rigola même un peu, peut-être sous le stress... Elle t'expliqua son état et, comme demandé, elle raconta son histoire. Tu t'assis doucement sur le sol humide, prenant soin de poser Hikari sur tes pattes pour ne pas le salir plus que maintenant. Tu hochais souvent la tête, signe que tu comprenais. Enfin, après le soupir de la femelle, tu te décidas à parler, comprenant très bien qu'elle attendait une réponse.

- Et, donc... En quoi consiste ton pouvoir... ? Tu baissas la tête un instant, avant de continuer. Il me semble, si les rumeurs sont justes, que c'est en rapport avec la marque sur ton dos... Une aile d'ange et une de démon. Je me trompe ?

Rapidement, tu levas la tête, avant de la tourner vers la forêt. Tu levas tes oreilles, pour mieux entendre ce qu'il se passait ; tu commenças à montrer les crocs, tu te levas sans prévenir, violemment, sans grâce. Ton échine se hérissa, les poils de ton dos durcirent, ton pouvoir s'activa. Tu sentais bien une présence, tu ne savais quoi... Tu ne voulais pas laisser passer un ennemi ou... Tes réactions semblaient dépassées ; déjà, tu n'arrivais plus à aligner une réflexion normale. A chacune de tes phrases, les mots ressortirent, tel des épines, comme si quelque chose voulait que tu sombre un peu plus. Tu fixais maintenant un arbre, plus loin. Cherchant la présence d'un quelconque ennemi, tu pus repérer, grâce à ton pouvoir, un loup. Environ un mètre dix au garrot... Pour un poids affligé au sol de cinquante kilos. D'après sa démarche, il semblait fatigué, peut-être même blessé... Par quoi ? Tu ne savais vraiment pas. Tu élanças donc ton pouvoir aux travers des ombres de la forêt pour repérer ce qui semblait être imposant... Un bon mètre quatre-vingt pour... Tu affichas un air terrifié un instant... Murmurant doucement tes informations, tu écarquillais les yeux :

- Un mètre dix... Cinquante kilos... Blessé... Un mètre quatre-vingt... Deux cent quinze kilos... En... Pleine forme...

Tu hésitas un instant, regardant l'état d'Aglaée. Tu relâchas tout ton pouvoir, pour te libérer de ton semblant de folie. Si tes hypothèses, mêlées à tes informations étaient justes... Aucune chance. L'état d'Aglaée était plus qu'avancé, et toi, tu savais que tu pourrais la blesser sans le vouloir. Même en t'alliant à l'inconnu, tu ne pourrais pas venir à bout de l'ours sans une bonne dose de ton pouvoir. Au moins... 30% pour dix minutes de combat, des blessures sévères. 50% Pour dix minutes et de légères blessures infligées par l'ours mais, très certainement, un état plus qu’aggravé pour la louve à côté de toi. Pour être sûre de survivre, toi et Aglaée, tu devras pousser ton pouvoir à 70%. A ce moment, l'ours ne pourra plus te toucher, tu iras trop vite, tu frapperas trop fort... Tu seras vraiment trop folle. N'oublions pas les blessures dues à ton pouvoir... Une mutation peut-être trop avancée. Tu abandonnas très vite cette idée. Tu espérais que seul le loup arriverait et que son poursuivant se lasserait avant d'arriver jusqu'à toi.
Tu jetas un vif regard sur Aglaée, comme pour lui demander pardon, avant de faire ce que tu voulais faire...
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Sam 19 Avr 2014 - 15:36


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La femelle noire s'était couchée à côté de moi, ça présence me rassurait quelque part, du coup, je me détendais, toujours autant fatiguées. Elle m'avait demandée en quoi consistait mon pouvoir. Je ne l'avais presque jamais vraiment utilisé dans sa vraie forme, mais je le connaissais, mal grès cette peur de sombrer dans la folie qui pesait toujours au-dessus de moi.
Alors que j'ouvrais la bouche pour lui répondre, la louve au pelage noir ne bougeait plus et son poil avait gonflé de volume. Elle commençait à murmurer plein de phrases que je n'arrivais pas à entendre correctement. Une brise venait de la forêt et m'apportait l'odeur d'un loup et d'un ours... Encore une des ses bestioles. Tayla me regardait, sûrement pour juger mon état de santé. L'ambiance devenait soudain froide.

Je voyais la silhouette du tas de fourrures et du canidé qui courrait. Le sens du vent avait changé, et il apportait notre odeur au gros animal. L'animal brun, c'était arrêter et regardait dans notre direction, sûrement alléchée par le goût du sang, il fonçait dans notre direction. Je fixais un moment la louve qui se trouvait à mes côtés, puis je me levais tant bien que mal. La poussant légèrement pour me mettre devant elle.

L'animal fonçait à toute allure, la bave aux babines, et j'avais une envie folle de sombrer encore dans ma folie du sang. La rencontre avec l'autre bestiole n'était pas assez suffisante, il me fallait encore un peu plus de le sang de cette espèce. La douleur de mes marques me faisait revenir à la réalité, mais je refusais et l'acceptée. Je voulais utiliser mon pouvoir, mais je ne voulais pas blesser ma camarade, mais je savais aussi ce que pouvait faire le pouvoir de la louve. De toute façon une de nous deux y passeraient dans tous les cas, et j'en avais décidé que se serait moi.

Une fois que l'animal était à bonne distance, je sortais mes ailes. Mes plumes et mes écailles souillées par le sang et la douleur, mais je tenais bon. Je regardais droit dans les yeux la bête qui fonçait sur nous. J'avais pris alors mon envol. Mais je me rendais compte que je n'avais pas encore sombré dans ma folie, c'était rare ça, mais j'en étais contente. Je m'arrachais quelque plume pour les enflammer, puis je les lançais tel des lames grâce à mon pouvoir du vent. Mes projectiles s'étaient plantés directement dans le pelage de l'ennemi, lui arrachant un cri de douleur. J'en étais fière, il restait plus qu'à s'approcher de lui pour engager un combat bien sanglant.

Alors que j'étais assez proche de l'ours, mes ailes m'avaient obligé à me poser. Une fois sur le sol, mes pattes tremblaient et devenaient, de plus, en plus froide et mon regard se brouillait. Ça ne m'avait fait jamais ça, car d'habitude, je sombrais tout de suite dans la folie. Je ne pouvais plus bouger et je tremblais de partout. Mes ailes toujours sorties étaient remplies de sang. Je crois que j'avais trop utilisé mon pouvoir. Je m'écoulais donc au sol, et l'animal était devant moi. Il levait sa patte prête à s'abattre sur moi, et moi je n'arrivais à plus rien faire, juste à la regarder terrifier et ma conscience s'était faite engloutir par les ténèbres.


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Sam 19 Avr 2014 - 17:33


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A l'instant même où les deux animaux sortirent du bois, Aglaée se plaça devant toi. "Brave petite", pensais-tu, elle allait pouvoir occuper l'ours un bon moment, le temps de te préparer. Tu lui fis confiance, tu t'assis au sol, fermant les yeux. Tu sentais l'air, le sol, chaque petite feuille, chaque son... Tu pouvais comprendre ce combat sans problème. Tu rouvris tes yeux, la folie s’empara de toi un peu plus, tes yeux luisirent, ta pupille vira à un bleu légèrement plus foncé, très légèrement, que ton iris qui s’étalait sur tout ton oeil. Enfin, après quelques secondes, les derniers reflets de tes yeux furent engloutis par ce que tu nommais "l'Appel". Cet Appel, tu le ressentais lorsque tu activait ton pouvoir et, grâce à lui, tes aptitudes étaient augmentées. C'est lui aussi qui te faisait sombrer ; mais il était si utile que tu ne voulais pas l'abandonner. Et, de plus, grâce à lui, tes yeux pouvaient voir plus que les ténèbres. Tu appréciais ce moment. Un instant de silence s'installa, alors que tu finissais de laisser crôitre ta folie et ton pouvoir au seuil le plus lucide. Enfin, tu parlas :

- Aglaée, ne reste pas là.

Inutile de le répéter. Ta folie n'attendit pas lorsque tes yeux ténébreux virent la patte de l'ours se lever. Tes pattes arrière t'entrainèrent, bondissant en l'air. Au dernier moment, juste avant l'impact avec le monstre, tu te retournas, usant de ton pouvoir pour durcir les longs poils de ta queue, qui formait maintenant une massue épineuse. L'ours se prit donc ton arme symbiotique dans le museau, ce qui le fit reculer. Tu atterris au sol, en position défensive, ta queue retrouvant sa souplesse, Hikari tâché de sang. Tu adressas un rapide coup d'oeil à ta camarade, avant de déclarai, observant l'ours :

- Essaye de t'occuper du loup Hivernal, ne le laisse pas fuir.

Tu fonças à nouveau vers la bête, hérissant les poils de ton crâne, renforçant tes os. Au dernier moment, sentant que son poids commençait à se concentrer sur ses trois pattes, tu compris son initiative. A l'instant même où l'ours entreprit de te donne un violent coup de patte droite vers la gauche, tu te téléportas vers l'ombre la plus proche, qui n'était autre que celle de la bête. A cet instant, tu lui bondis dessus, avant de lui planter les griffes dans le dos. Il se débattit, t’agrippant un instant en essayant de te faire tomber puis, ses coussinets se mirent à saigner ; il retira violemment sa patte, emportant quelques épines avec. Tu semblais victorieuse jusqu'à ce que l'ours se laisse tomber sur le côté, t'écrasant à moitié. Tu retins un grognement en essayant d'atteindre le visage de ton ennemi, lui lacérant ce que tu trouvais sur ton chemin. Après quelques minutes de lutte, tu sentis tes griffes s'accrocher à une sorte de rebord ; esquissant un sourire, tu plantas pleinement tes griffes dans ses yeux.
Comme prévu, l'ours se releva, se dressa même sur ses pattes arrière en poussant un cri de douleur. Tu étais toujours agrippée à son dos, tu sautas donc de sa tête au sol, sauf qu'une patte enragée vint changer violemment ta trajectoire, t'envoyant contre un rocher. Sur cet obstacle, tu laissas quelques marques de griffes, et une tâche de sang, que tu venais de cracher ; mais déjà, tu te relevais en titubant, fixant l'animal d'un air enragé... Il te fixait aussi, décidé, plus que jamais.
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Sam 19 Avr 2014 - 20:39


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Tayla m'avait sauvée de l'ours, et elle m'avait ordonné d'aller attraper le loup ennemi. J'exécutais ses ordres tout de suite, sans attendre un seconde de plus j'avais ressorti mes ailes et je m'envolais. J'étais dans ma folie, mais pas complètement, je volais, profitant de ses quelque seconde de bonheur avant de foncer sur l'ennemi.

J'avais endurci mon aile d'écaille pour donner un coup à l'intrus qui portait un lapin blanc dans sa gueule. Il n'aurait jamais dû faire ça, ce gibier était à nous. Il m'avait envoyé une boule de glace, mais d'un coup d'aile de feu, j'avais réduit à néant sa glace. Il me fonçait dessus et me mordait la cuisse, moi, je lui avais mordu la nuque l'envoyant valsée au loin. Je lui envoyais alors des rafales de vent pour le plaquer contre l'arbre, mais celui-ci avait réussi était malin et a éviter mon attaque de justesse. Apparemment, il n'était pas que un chasseur, il était aussi tueur pour être aussi agile. Je pestais tout de même, car je voulais en finir au plus vite, mais se serait légèrement plus compliquer que d'habitude. Il me tombait alors sur mon dos, car j'avais eux un moment d'inattention, ce qu'il n'aurait pas dû faire, je commençais alors à m'enflammer et celui-ci était obligé de partir à cause de la chaleur. Je lui donnais alors une baffe de flamme, ce qui avait l'air de faire très mal et je le plaquais contre l'arbre, ma folie commençait à revenir, il me donnait un coup de ses pattes arrière, je reculais un peu déboussoler, et assoiffée de sang, l'hivernal m'avait glacée d'une attaque, il m'avait visé les pattes. Sans aucune importante, je les dégelait d'un coup d'aile, mais maintenant, c'était assez jouer, je voulais avoir du sang. Je rigolais un petit moment, puis je la plaquais contre avec une grande rafale de vent, je m'approchais lentement de lui, mes yeux brillaient dans le noir, tel un démon qui sortait des ténèbres. Je plaçais une patte à sa gorge, et je l'assommais, et je me répétais, car je n'étais pas tout à fait engloutie par mes ténèbres, qu'il ne fallait pas que je le tue, mal grès mon envie irrésistible d'en finir avec lui. Je le regardais l'inconnu, j'avais pris sa queue entre mes crocs pour le traîner jusqu'à Tayla pour demander ce que je devais en faire. Il était lourd et difficile à porter, mais j'y arrivais et j'étais contente.


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Dim 20 Avr 2014 - 9:05


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Aglaée t'écouta finalement, tu la regardas un instant, alors que tu venais de percuter le rocher. Tu lui souris en abandonnant l'ours pour aller rejoindre l'ombre de ton amie, puis tu parlas, d'une voix faible, mais tu parlas :

- Fais ce que tu veux... Mais fais attention...

Tu lui adressas un petit clin d'oeil avant de te téléporter dans l'ombre de l'ours au mauvais moment car tu te pris un coup de patte dans les côtes. Tu lâchas un juron au passage en te réceptionnant sur tes pattes de justesse. Tu entrepris de lui bondir dessus et, comme prévu, au moment où l'ours se leva pour t'administrer un coup de patte, tu utilisa ton pouvoir pour te téléporter en dessous de l'ours. Tu matérialisas une ronce en dessous de l'ours ; cette ronce lui lacéra un instant le ventre, avant que celui-ci ne l'écrase. Toi, tu t'étais contenté de reculer d'un bond. L'ours semblait beaucoup plus agressif et, lorsque tu croisas son regard, tu ne pus t'empêcher de souffler :

- Ooooh.... Merde...

Tu détalas, l'ours à ta poursuite. Malgré les blessures de l'animal, il courait vite. Tu grimpas à un arbre pour lui échapper, manquant de tomber au moment du saut. Le monstre frappa l'arbre de toutes ses forces avant de tourner autour, de recommencer son action plusieurs fois. Il grogna même en te regardant. Tu n'avais pas peur, mais tu ne préférais pas l'attaquer de front, pour maintenir ton corps en bonne santé. Une fois que l'animal eut le dos tourné, tu lui bondis dessus en lâchant un grognement, toi aussi, au passage. Agrippée à son dos, tu lui lacérais le visage pour l'affaiblir ; tu touchais ses yeux, son museau et, quelques fois, ses oreilles. Il ne semblait pas plus dérangé que ça, mais il avait tout de même mal, essayant de te déloger. Finalement, il t'attrapa et, comme toujours, d'un coup de patte, il t'envoya au loin... Près d'Aglaée. L'ours déjà se rapprochait tandis que tu te relevais doucement, prenant une petite pose.
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Mar 22 Avr 2014 - 18:45


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.


Je regardais le combat de la louve contre l'ours dans l'ombre des arbres, seulement mes yeux écarlate étaient visibles dans les ténèbres que produisait l'arbre. La louve prenait dans un premier temps le dessus, mais après elle avait de plus en plus de mal, l'ours l'avait même écrasée à un moment, et elle avait dit une injure au passage. Je regardais le corps de l'ennemi qui se trouvait à côté de moi, je souriais, j'aurais bien voulu le tuer, mais je n'en avais pas reçu l'ordre, alors ça ne servait à rien de le faire.

Un moment, la louve s'était fait envoyer à côté de moi, se prenant l'arbre derrière moi. L'ours grognait
se rapprochant dangereusement. Il marchait d'un pas lourd et lent. Je me mettais en position d'attaque, puis je sautais à la gorge du gros animal, ignorant mes muscles douloureux. Je donnais des coups avec mes pattes arrières à l'ours. J'activais alors mon pouvoir quelque second pour brûler la tête de l'ours, et aussitôt, je le désactivais. L'ours était parti en arrière. Il commençait à donner des coups dans le vite pour se débarrasser de moi, car je lui griffais le ventre et mes mâchoires se refermaient de plus en plus sur son cou.

Une grosse douleur était apparue au niveau de mon flan puis au dos. L'ours pour se débarrasser de moi m'avait donner un gros coup avant de m'envoyer projetée contre un arbre. J'étais contre le sol, et chaque petit muscle et os me faisaient souffrir à chaque respiration, mais le pire était ma pattes avant droite, je n'arrivais plus à la bouger, elle était trop douloureuse. Je ne voyais plus rien, et je trempais dans un liquide chaud et rouge. Mais au moins l'ours ne voyait plus rien et saignait abondamment du ventre et de la gorge. Après avoir pensé à ça, je commençais à m'endormir, à partir de plus en plus loin dans mes songes...


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Mar 22 Avr 2014 - 19:35


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.

Aglaée se décida à attaquer elle aussi ; tu hésitais à y aller, à y retourner... Mais tu savais que le combat était perdu d'avance. Instinctivement tu lui crias :

- Recule ! Même à deux, on y arrivera pas !

Trop tard... L'ours l'avait déjà envoyé contre un arbre. Tu fermas les yeux au moment du choc puis, lorsque tu rouvris les yeux, tu constatas que l'aveuglement et les blessures n'étaient pas suffisantes pour arrêter le monstre. Alors qu'il s'approchait d'Aglaée, tu te téléportas devant elle, pour lui souffler :

- J'espère te revoir, et en bonne santé cette fois. Rentre, et soigne-toi, repose-toi, tu l'as bien mérité.

Lorsque l'ours approcha, tu te crispas, prête à bondir. Au moment où le choc devait avoir lieu, tu donnas un violent coup de pattes arrières dans le flac de la louve, pour la dégager, dans un buisson. Tu ne pus donc pas éviter l'ours, qui t'écrasa contre l'arbre. Il tenta de plonger ses crocs dans ta gorge, tu pus te décaler avec le peu de pouvoir que tu pouvais utiliser, juste pour qu'il ne touche que l'arbre et quelques de tes poils. Tu sautas au sol, interpelant l'animal par des surnoms tels que "Sac à puces", "Boule de poils", "Puanteur sur pattes". Puis, tu fuis le plus vite possible vers la forêt, l'ours, grognant, sur tes pas. Finalement, ton plan fonctionna, l'ours te suivait sans penser à Aglaée, mais il courait plus vite que toi. Tu dus user de ton pouvoir plus d'une fois, pour espérer lui échapper. Tu courais en zig-zag, manquant d'énergie quelques fois... Glissant, roulant, tombant et, te relevant. Finalement, l'ours abandonna sa chasse alors que tu grimpais une pente vraiment coriace... Pour l'instant, la blessure que le monstre t'avait infligée au flanc n'avait pas été remarqué, tu avais cru qu'il t'avais loupé de peu, lorsque tu avais trébuché dans un trou.
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Ven 25 Avr 2014 - 15:05


Plic, ploc, je suis tachée de rouge.


Tayla m'avait glissé quelque mot avant de repartir au combat, c'était du suicide ! Seul contre un ours, elle en mourrait, mais je ne lui étais plus utilise, je ne ferais que la gêner. J'avais alors prévu de me mettre en sécurité en haut de l'arbre. Je plantais mes griffes de loup abîmées comme je pouvais dans l'écorce du chêne, m'aidant de mes ailes pour essayer de grimper. J'étais tombé plusieurs fois, mais au bout d'un moment j'avais réussi à aller sur la branche la plus basse et la plus solide de là je pouvais observer se qui se passait.

J'avais vus la louve noire combattre férocement l'ours, se prenant plusieurs attaques de celui-ci qui aurait fait reculer n'importe quel loup, mais pas elle. Mal grès qu'elle se battait bien, elle avait dû partir, et l'ours lui ne l'avait pas suivi heureusement. Le gros animal était même parti, avec toutes ses blessures qu'on lui avait infligées, c'était un peu normal.

J'étais descendu de mon perchoir, me cassant les griffes pour éviter de tomber la tête la première.
J'allais vers l'endroit où ma camarde noir était partie. Il y avait du sang sur le sol, elle avait dû être bien blesser.

Je remarquais que j'avais toujours mes ailes, qui étaient en sang, d'activée. Une fois que je les rangeais, j'avais eu comme un spasme puis je voyais noir pendant quelque minute, une fois le petit malaise passer, je me mettais à nouvelle droite, puis je regardais mes marques, qui étaient en sang. C'était bien la première fois que ça m'arrivait, enfin, je crois, il fallait bien un début à tout. Je commençais donc à lécher le liquide écarlate.
Je regardais la clairière pour le chemin du retour, je m'y engageais tant bien que mal, mais cette foi je rentrais.
J'avais pris au passage le loup ennemis avec moi pour savoir quoi en faire. Je sentais déjà la douce odeur du camp, j'allais rentrée chez moi, enfin mon chez moi...


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