Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Une inconnue, ici ? Attendez que je lui fasse la peau. ▬ Mhairie.
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Jeu 6 Mar 2014 - 2:12


La journée avait mal commencée pour Hana. La louve sable n'avait pas trouvée de nourrice pour s'occuper de ses petits. Elle était en rogne. Elle ne savait pas quoi faire d'eux, elle devait aller faire sa ronde, et si elle croisait quelqu'un de dangereux, il valait mieux qu'ils ne soient pas avec elle. Elle avait supplier Akisa, mais sa soeur avait donner une réponse négative. Bien sûr, en tant qu'Alpha, elle avait encore moins le temps qu'elle. Elle avait même demander à Eonora. Mais le c'était la guerre et le guérisseur avait bien trop de blesser. Elle ne doutait pas qu'il aurait accepter, mais le loup géant était bien trop débordé et elle avait dit qu'elle venait le voir pour... Le plaisir. Et puis elle avait traversée la plage de coquillage. Elle s'était arrêtée avec ses petits pour qu'ils puissent manger et se reposer. Bon. Et bien elle prendrait une journée de repos si c'était comme-ça, avait-elle pensée. Puis un jeune loup inconscient avait bousculé Atsu qui s'était retrouvé sur les fesses, son morceau de bois qu'il mordillait part terre. Elle s'était relever rapidement pour prendre des nouvelles de son fils, puis elle lança un regard assassin au jeune loup qui partait déjà. Banane, avait-elle pensée en grognant. Elle avait profiter encore quelques minutes de l'écume des vaques qui s'écrasaient sur le sable jaune et était repartit.

Et maintenant, elle se trouvait dans le désert d'Elessar. Elle avançait lentement, pour que ses enfants puissent la suivre comme il le fallait. Elle leva la tête vers le soleil ardent. Aucun cumulus à l'horizon. Elle se détestait d'avoir prise cette direction, mais c'était le seul moyen d'arriver rapidement à la tanière. Elle soupira et avança encore et encore. Elle se tourna vers ses enfants. Ils avaient l'air épuisés. Elle s'arrêta donc et s'assise dans le sable chaud. Puis elle vit une ombre, noire, tout au fond. Elle ne la distinguait pas bien. Elle se releva subitement et intima à ses enfants de rester silencieux et derrière elle. Elle se tapit dans le sable. Sa couleur se fondait parfaitement avec. Elle tourna la tête vers Krieger, Atsu et Faellen et eu la surprise de les voir faire comme leur mère. Elle eu un sourire bref avant de se concentrée sur l'ombre qui se faisait plus voir. Puis elle murmura quelques choses à ses enfants. Elle bondit telle une lionne sur sa proie pour atterrir tout en souplesse sur la personne. Surprise, elle découvrit qu'elle ne connaissait pas l'odeur de la louve en face d'elle. Elle montra les crocs, méfiante. Elle grogna méchamment :

« Que fais-tu ici ? Tu n'es pas sur ton territoire, tu risque d'avoir de très gros problème. »

Le ton qu'employée Hana était froid et rude, glaçant la chaleur du désert dans lequel elle se trouvait. Soudainement, Krieger arriva prêt d'elle et demanda innocement :

« C'est qui, maman ?
- Krieger ! Je t'avais demandée de rester avec tes frères ! Sort de là, dépêche-toi, sinon c'est toi que je mord. Et tu sais ce que ça fais quand je pince les fesses ! »

Sans lâcher des yeux l'inconnue, elle grogna encore plus fort, forçant Krieger de retourner de là où il venait. Elle approcha ses crocs sur visage de la louve et murmura méchamment :

« Tu vois le louveteaux là-bas ? C'est mon fils, et je te promet que si jamais tu lui fais du mal, je me charge moi-même de te tuer. Est-ce clair ? Elle baissa les oreilles et dit ; Qui est-tu et que veux-tu ? »
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Jeu 6 Mar 2014 - 14:17

Mhairie marchait depuis longtemps dans le désert. Le soleil brûlant lui tapant sur le museau. La jeune louve était partie de sa tanière en quête d'un bout de chaire à se mettre sous la dent. Elle avait finit par trouver une vieille biche qui dormait comme une marmotte couchée dans l'herbe. Elle s'était approchée mais avait marché sur une brindille dans une seconde d’inattention, ce qui réveilla l'herbivore. L'animal s'était mit à courir à une vitesse hallucinante, Mhairie sur ses talons. La biche était encore très vive et agile pour sa corpulence squelettique. Elle avait entraîné la louve dans une course poursuite longue et fatigante mais aucune des des deux ne voulait abandonner. Mhairie l'avait suivie jusqu'à perdre de vue l'animal et se retrouver dans ce désert aride, sans repaires, ni eau, ni nourriture.

Mhairie ne connaissait pas du tout cet endroit. Le sable lui asséchait les coussinets et elle ne pouvait presque plus marcher. Elle était fatiguée. Fatiguée de ne pas savoir où elle était et surtout d'avoir couru aussi longtemps sans avoir une récompense après. La pauvre louve rousse titubait dans une chaleur assommante, elle était à deux doigt de sombrer quand elle vit une silhouette se dessiner vaguement au loin. " Flutte ! J'ai été repérée ! ". Elle se concentra dessus puis ne vit plus rien, elle avait disparue. Mhairie se dit alors qu'elle était entrain de délirer jusqu'à ce que la fameuse chose lui saute dessus tel une lionne sur sa proie. La louve rousse fit plaquée dos contre le sol instable. Elle fit une légère grimasse à cause des grains de sable qui atteignaient sa peau puis ouvrit les yeux. Elle découvrit alors une louve qu'elle ne connaissait ni à l'odeur et encore moins au physique. La louve sable grondait et montrait les crocs, le poil hérissé comme jamais et la queue bien droite qui pointait le ciel. Mhairie, qui était d'habitude très méfiante et agressive avec les inconnus, n'était même pas capable de montrer les crocs et de grogner ne serais-ce que légèrement. Soudains, la grande louve s'adressa à elle :

" - Que fais-tu ici ? Tu n'es pas sur ton territoire, tu risque d'avoir de très gros problème. "

Le tons qu'elle employait était à vous glacé le sang. Mhairie ne répondit pas. Elle était à deux doigt de tomber de fatigue. Elle vit alors un louveteau s'avancer.

" - C'est qui, maman ? "

La louve sable dardas la tête vers le petit innocent tout en fixant Mhairie. Elle avait l'air terriblement énervée.

" - Krieger ! Je t'avais demandé de rester avec tes frères ! Sort de là, dépêches-toi, sinon c'est toi que je mors. Et tu sais ce que ça fait quand je pince les fesses ! "

Puis la louve sable grogna de plus belle pour faire retourner son petit derrière elle tout en continuant de fixer la louve rousse déboussolée. Mhairie lança un vif regard vers l'arrière de l'autre louve et vit qu'il y avait deux autres louveteaux aussi mignons les uns que les autres. Mais elle n'avait pas la tête à cela. Elle était tellement fatiguée et affamée qu'elle ne fit presque pas attention à ce que la grande louve lui disait.

" - Tu vois le louveteaux là-bas ? C'est mon fils, et je te promets que si jamais tu lui fais du mal, je me charge moi-même de te tuer. Est-ce clair? "

Mhairie baissa les oreilles, mis sa queue entre ses jambes et fit un léger signe de tête qui signifiait qu'elle était en accord avec l'autre louve. La femelle couleur sable baissa très légèrement ses oreilles et dit ensuite :

" - Qui est-tu et que veux-tu ? "

Mhairie ne savait pas quoi répondre, elle hésitait entre dire qui elle était ou faire face à l'autre louve. Le problème étant qu'elle n'avait plus aucune forces. Elle décida donc de répondre sur un ton hésitant.

" - Je ... Euh ... Je suis u-une ... Une louve LibreLune et je ... Euh ... Je ne vous veux aucun mal ... Je me suis perdue et j... "

Puis elle s'évanouit de fatigue et de déshydratation. Mhairie avait les yeux clos et n'arrivait plus à les rouvrir. C'était comme si quelque chose l'en empêchait. Mais quoi ? Dans son subconscient, quelque chose l’empêchait de bouger ne serai-ce qu'un seul de ses membres. " Pitié, que quelqu'un m'aide ... ! " pensa-t-elle dans l'espoir qu'un " chevalier servant " la réanime.
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Dim 16 Mar 2014 - 13:42

[Hana change les émotions des gens quand elle se sent en danger.]


Hana regardais la louve dans le sclérotique. Elle sentait son coeur battre la chamade. Elle se sentait en bonne position. Le porc qu'elle avait devant elle (bon, d'accord, c'était pas super de dire ça, je vous l'accorde, mais quand elle a parler, elle a postillonner sur elle ! Un peu de respect.) ne pouvait pas bouger d'un poil. Elle se concentra sur les émotions de la louve sable en face d'elle. Elle la regarda dans les yeux et murmura une douce phrase, comme apaisante. Puis elle se releva. Elle pouvait maintenant ranger ses griffes de tigresse. Elle avait changeait les émotions de la louve. Parce qu'un loup qui a peur n'est pas inoffensif, loin de là. Il peut être encore plus dangereux.

Une LibreLune, sur les terres Estival... Avait-elle trop froid là où elle habitait ? D'ailleurs, peut-être était-elle pour demander service au estivaux. Hana avait souvent entendue parler des LL comme des peace and love, ceux qui garder l'équilibre des saisons. L'été devait briller un peu trop à leur goût. Elle n'avait pas changer de visage. Elle était toujours aussi froide et impassible. Ses enfants s'étaient rapprochés, elle n'avait rien dit. Ils ne craignaient plus rien, les émotions de la jeune LibreLune était sous contrôle. Qu'est ce qu'elle appréciait ce pouvoir... Comme si le destin avait prévue qu'elle se méfierait plus au fil des ans. Foutue destin. Elle se mordit la lèvre et soupira.

« Bon, comment tu t'appelle ? »

Elle se releva subitement. Elle ne pouvait pas rester là. Elle devait trouver quelqu'un pour garder ses enfants, et elle devait aller faire son métier. Son métier était d'ailleurs de tuer les étrangers sur son territoire. Mais tuer une LibreLune ? Je ne pense pas que ce sois demander.... Elle hésita une demi seconde. Non. C'était trop rare les LibreLunes, elle ne pouvait décidément pas les tuer. Trop de classe en eux. Avec leurs greffes. Et puis ils apparaissent comme des mages dans les contes pour enfant. Elle fit une petite moue et demanda :

« Je n'ai pas que ça à faire. Je t'aide à retourner chez toi (c'est bête, moi-même je ne sais pas ou est ce que tu habite) et tu ne reviens plus jamais ici ? Okay ? »
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Mer 16 Avr 2014 - 7:33

[Je reprends le Rp avec "Je"]

Soudain, je rouvris les yeux et vis l'autre louve toujours au dessus de moi mais cette fois, elle était plus calme. " Moi aussi d’ailleurs.. Comment ça se fait ? Je me souviens seulement qu'elle m'avait murmurer une douce phrase à l'oreille et je me suis réveillée toute calme.. " Je n'avais plus peur mais j'étais toujours faible et affamée ! J'entendis alors la louve sable me parler :

- Bon, comment tu t'appelles ?

Celle-ci se relevas subitement, attendis quelques instants et me fit une petite moue :

- Je n'ai pas que ça à faire. Je t'aide à retourner chez toi et tu ne reviens plus jamais ici ? Okay ? "
- Je m'appelle Mhairie et je veux bien que tu m'aides à rentrer chez moi mais.. Tu sais au moins où les vivent les Libres Lunes ? Et puiiis.. Je suis à bout de force moi. Et j'ai vraiment faim..

Mon ventre gargouilla. Je pourrais manger n'importe quoi ! Même un ananas ! La louve me regarda bizarrement puis je regardai derrière elle. Ils sont vraiment mignons ses enfants. " Elle doit sûrement les adorer, mais après tout, c'est normal ! " Je me rappelai alors qu'elle m'avait sauter dessus et m'avait dit que si je touchais à ses enfants, elle me tuerait. " Mais ça se comprend. Ils sont petits et faibles. Et vu la force qu'elle avait quand elle m'a plaquer au sol, je suis sûre que c'est une très forte guerrière et qu'elle défend bien ses petits. " Je m'arrêtai ici dans cette pensée et détournai le regard vers la louve puis fois volte face et regardai autour de moi. J'aperçu alors un cocotier au loin.

- Une oasis !

Je me mis en route vers l'oasis quand je me retournai à nouveau vers la louve sable et lui dit :

- Tu viens avec moi ? Tu peux emporter tes petits, je ne leur veux pas de mal. Ni à toi, ni à eux.
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Oxymore
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Jeu 10 Juil 2014 - 14:26

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Mar 19 Aoû 2014 - 15:11

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