Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

En cette journée d'hiver, je survolais le territoire du clan de l'automne. Je devais traversé beaucoup de terres pour arriver au terres abondantes, là ou se trouvait des proies en cette saison d'hiver. L'hiver était dur pour les chasseurs comme moi, les proies se font rares. Seules les terres abondantes avait encore quelque proies. De plus, si une guerre arrivé comme prévue, il fallait faire le plein de nourriture pour les combattants. J'étais épuisé par le soleil, oui le soleil d'hiver est plus fort pour faire fondre la neige. Remarque, je devais avoir l'habitude pour une louve du clan de l'été! J'avais bien envie de me rafraichir, le ruisseau de cette vallée me tentais...Mais je devais a tout pris rentrais au plus vite dans mon clans! Je pourrais être attaquer. Je me retournais pour voir si justement, aucun loup ou louve du clan de l'automne m'aurais poursuivit. Encore heureux, j'avais l'air d'être seule. Mais pour être sur, je regardais de gauche a droite, en haut comme en bas, sans arrêt. Mais a force mon cou me fessais souffrir. Alors je rester a regardais le bas, si un loup ou une louve me repérè je devrais m'engager dans le combat ou alors décamper tel qu'un lapin volant l'aurais fait.

Tout ce soleil avait le don de me taper sur la tête, il était au zénith et ses rayons faisaient fondre la neige. Cette chaleur sur mon visage était tout de même bien plus agréable que le froid qui entrait dans mes pattes par la neige dans laquelle je mettais les pattes. Je marchais sans réel but vers la vallée d'Orient. J'avais un peu envie de me changer les idées seule sans mon frère. C'est rare que je voulais être séparé de lui, après tout nous étions pratiquement toujours ensemble Takeo et moi, mais parfois une fille a besoin de se retrouver seule pour réfléchir. Le vent me caressait la fourrure et agitait quelque peu mes grandes oreilles pendantes. Bien des loups s'étaient moqués de mes oreilles au départ, mais ils avaient vitre compris qu'ils devaient se taire quand je leur avais lancé un regard plein de sous-entendu ou peut-être quand il avait vu Takeo arriver. C'est vrai que mon frère il fait vraiment imposant avec sa grande taille et son pelage épais. S'il n'était pas, justement, mon frère je crois que je n'aurai pas tendance à me tenir avec lui.

Je marchais tranquillement, les yeux presque fermé en étant perdu dans mes pensées quand une odeur étrangère me vint au nez. Une odeur de fruit, une odeur douce et sucrée qui me rappelait l'été et le temps chaud. C'était agréable. Pas commun par ici, surtout que nous étions loin de la frontière de l'automne, mais au combien attirant. Je rouvris les yeux et descendis plus bas dans la vallée histoire de voir ce qui pouvait bien avoir une telle odeur alléchante. Je finis par trouver ce que je cherchais, mais ma surprise fut grande. Ce n'était pas un fruit ou quelque chose porté par la rivière qui dégageait cette odeur, mais une louve! Une louve au pelage marron qui était en train de s'abreuver à la rivière. De ma position, je pouvais voir qu'elle portait un collier. J'ignorais d'où elle venait, son physique ne me disait rien. Elle ne faisait donc pas parti de mon clan de naissance. Je m'approchais en affichant un grand sourire.

- Tu sens bon tu sais, cette odeur de fruit réchauffe le corps en ce temps froid.

Dans les airs, je ne repérè aucun loup! Je releva la tête et remarqua que un groupe de grues me fonçait dessus! L'une d'entre elle me blessa l'aile. Je me mit a chuter petit a petit le sol blanc se rapprochait, j'ai eu juste le temps de lâchais un crie de désespoir bien sûr j'étais conciente que un loup pouvais me voir mais c'était plus fort que moi... :

-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!

Mon corps tournais telle une torpille l'aurais fait. Je mit mes ailes contres mon corps pour ne pas les abimais.Je ferme les yeux, les oreilles en arrière, mon coeur battais comme jamais au paravent, dans l'espoir de ne pas mourir a cause de simple grues! Grâce a la neige, ma chute fus amortie, un gros PLOUF se fit attendre. Je glissais sur quelque mètres, j'étais sonner. J'étais attiré vers le ruisseau, je voyais flou et j'entendais mal. Je vis une ombre grise avec des taches rose et je pense avec des yeux bleu... Je croie qu'elle me dit:

-Tu sens bon tu sais, cette odeur de fruit réchauffe le corps en ce temps froid.

Sonner je répondis d'une façon la plus intelligente que possible, mais hélas j'avais de la neige dans la gueule. :

-Hmmmfff......Dis-je sonner.

Je m'approchais un peu plus, pas certaine de la réponse de la louve. Elle m'avait pas l'air bien ou peut-être sonnée. En m'approchant, je pu voir qu'en fait elle ne buvait pas. La louve à l'odeur de fruit était étalé de tout son long dans la nez, la gueule plein de la dite substance. Visiblement, elle n'était pas venu boire un peu, sinon c'était bel et bien raté en tout cas. Je me permis de l'observer quelques instants, elle avait un pelage marron, de grandes mèches noires, un collier autour du coup et comble de chance pour elle... des ailes! Des belles grandes ailes blanches et bleues. Je commençais à me demander pourquoi je devais rencontrer tous les loups possédant des ailes, moi qui aurait aimé pouvoir voir le monde du ciel ne serait que quelques secondes, c'était une forme d'injustice.

Peu importe. Je me concentrai sur la louve. La relevant par la force de mon esprit, c'était difficile, mais je fini par arriver à soulever le devant de son corps juste assez haut pour la reposer assis. Je sentis aussitôt les effets de l'utilisation de mon don : un mal de tête. J'avais l'impression que quelqu'un s'amusait à taper avec une roche dans mon esprit. Une douleur très agaçante, mais pas insurmontable. J'allais m'en sortir. Au moins, la louve à l'odeur fruité était désormais assise et elle devait être bien plus confortable pour reprendre ses esprits. Je m'avançais de quelques pas me mettant à environ 2 mètres d'elle. Mesure de sécurité tout de même.

- Est-ce que ça va? T'as l'air sonnée? Il t'es arrivé quelque chose?

J'étais un peu inquiète de son état, elle avait l'air d'être tombé, peut-être du ciel qui sait. Je me demandais si je n'étais pas mieux de prévenir ma mère ou juste de m'en occuper moi-même... je pouvais quand même résoudre certains soucis avec mon don, mais je sentais déjà la migraine venir.

Je reprit mes esprit, j'allais me lever mais avant toute action, je fus dans les airs et puis pouf! J'étais assise, un peu surprise je remarqua que cette œuvre venez de la jeune louve grise au marque rose. Je lui dit gentille ment :

-Merci beaucoup, mais tu n'avais pas besoins de ton aide, mais je suis reconnaissante quand même. Dis-je, sa dû lui demander beaucoup d'effort surtout vue ma taille.

Je remarqua en hument l'air, qu'elle était automnal, et que j'étais sur leurs terres, mais si elle me tender un piège et que tout a un coup un loup me sauter dessus! Je ne pense pas que cette louve me veuille du mal a ce point. Mais au cas ou je pouvais voler! J'avais perdue juste quelque plume. Je plein ceux qui ne peuvent pas avoir le poil au vent, toucher les nuages, être a côtés des oiseaux les plus beaux cette sensation que personne ne peut savoir sans l'avoir fait. Mais avant que je me perde trop dans mes pensée cette belle et jeune louve me dit:

- Est-ce que ça va? T'as l'air sonnée? Il t'es arrivé quelque chose?

-Oui, j'ai perdue quelque plume et deux ou trois égratignure, rien de grave. Je me suis fait percuté par de simples oiseaux, trop occupé a admirez cette rivière. Mais quelle idiote je fait! J'ai oublier de me présenté, je me nomme Espoir, je suis chasseuse du clan de l'été, je survoler vos terres car je me rend au terres inbodante, vous savez, les proies se font rares en hiver, et en ce temps de guerres qui menace, je dois faire en sorte que la nourriture sois abondante.

La louve marron me remercia avant d'ajouter qu'elle n'aurait pas eu besoin de mon aide. Ce genre de réponse avait le don de m'agacer. À quoi bon aider les gens s'ils ne sont pas reconnaissants au final? Je préférais ne pas y penser, c'était pas dramatique non plus, juste agaçant. J'aurai tellement aimé être utile pour quelqu'un quelque part et ce n'était certainement pas ici que j'avais l'impression d'être utile. Dans le clan, j'étais bien traitée parce que je suis la fille de la guérisseuse, mais je savais que certains avaient des doutes qu'en aux origines de notre père. Ce qui restait toujours un mystère pour moi d'ailleurs, je finirai bien par le savoir.

-Oui, j'ai perdue quelques plumes et deux ou trois égratignures, rien de grave. Je me suis fait percuté par de simples oiseaux, trop occupé a admirez cette rivière. Mais quelle idiote je fais! J'ai oublié de me présenter, je me nomme Espoir, je suis chasseuse du clan de l'été, je survolais vos terres, car je me rend aux terres abondantes, vous savez, les proies se font rares en hiver, et en ce temps de guerre qui menace, je dois faire en sorte que la nourriture sois abondante.

Maintenant que j'étais rassurée sur son état physique, nous pourrions discuter surement elle et moi. Elle m'avait l'air sympathique et pas très menaçante, de plus je savais désormais son nom c'était donc bien plus facile de converser. Espoir, joli nom et joli message à la fois. Je réfléchissais à ce qu'elle venait de me dire. En effet, les proies se font de plus en plus rares durant l'hiver et je ne doute pas que les territoires neutres peuvent offrir ce qu'on ne trouve pas dans les clans. Après avoir bien réfléchi, une dizaine de secondes en fait, je souris à Espoir.

- Viens, je te ferrai traverser le territoire sans embrouille si tu le souhaites. Il vaut mieux rester au sol avec tous ses oiseaux qui quittent vers le Sud.

Je regardais cette jeune louve. Elle réfléchit un simple instant puis me sourit. Elle me répondue calmement et gentille ment, d’ailleurs j'étais surprise de sa réponse! :

- Viens, je te ferrai traverser le territoire sans embrouille si tu le souhaites. Il vaut mieux rester au sol avec tous ses oiseaux qui quittent vers le Sud.

Je la regarde surprise puis je pris quelque minute pour réfléchir... Allons, elle est jeune, gentille et peu me laisser traversé le territoire de l'automne. Peut être que même vue son jeune âge elle était menaçante, elle peu me tendre un piège et m’amener au cour de leurs terres pour que je passe au peigne fin des loups. Mais je ne sais par quelle moment j'ai décidé de suivre mon instinct. Cette instinct que tout être à, qui vous prend au tripe, qui vous met dans une pêche de folie que vous pourrez faire trois fois le tours des terres estival! Je me levais et dit d'un ton tranquille et confiante.

-Bien, je te suis. Il faut avouer, je suis une estival pas une automnal. Je garderai le secret, je ne dirais rien sur vos terres. Ce n'est pas mon rang après tout. dis-je en pensant la tête.

Attention Espoir, un minimum de huit lignes hors dialogue est demandé sur le forum (:

Et, attention à cette faute sur laquelle nous avons travaillé :

Espoir a écrit:

Je me leva

Lever est un verbe en -er et tu es au passé simple à la première personne donc la terminaison seraaaa .... ? (;

Il ne me fallut pas attendre bien longtemps pour obtenir une réponse de la louve à l'odeur de fruits tropicaux. Je l'observais tout en attendant sa réponse, j'étais certaine qu'elle allait douter de mon honnêteté. Après, quel membre du clan ferrait traverser son territoire à un loup d'autre clan sans encombres... pas grand monde. Mais j'aimais me rendre utile et si je pouvais l'être pour Espoir, c'était tant mieux!

-Bien, je te suis. Il faut avouer, je suis une estivale pas une automnale. Je garderai le secret, je ne dirai rien sur vos terres. Ce n'est pas mon rang après tout.

Je lui souris franchement en me redressant. Son rang m'importait peu. Tous étaient dignes d'intérêt selon moi, peu importe que l'on soit chasseur, guerrier ou même alpha. C'est la noblesse de cœur qui permettait de déterminer l'importance que devait avoir un autre individu dans notre vie, ma son titre honorifique décerné par un quelconque loup ayant prit le pouvoir par le sang ou la lignée. Je m'avançais de quelques pas, m'éloignais un peu de la rivière qui avait commencé à geler sur ses bords tandis que la température diminuait avec le soleil.

- Alors viens et n'ai pas d'inquiétude, je n'ai nul intérêt à te tendre un piège ou quoi que ce soit du même genre, je me tus un instant. Je tenais à ce qu'elle sache qu'en ma compagnie nul mal ne lui serait fait hormis si elle tentait de s'en prendre à moi. Au fait, je m'appelle Liya, fille de guérisseuse.

Je me mis en route, n'attendant pas sa réponse quelle qu'elle soit. Nous avions une longue route à faire et j'espérais avoir le temps de rentrer avant la nuit. Disons que par les temps qui court, il fallait mieux rentrer chez soi auprès des siens quand le soleil avait disparu derrière les dernières montagnes de l'ouest.

Alors viens et n'ai pas d'inquiétude, je n'ai nul intérêt à te tendre un piège ou quoi que ce soit du même genre, au fait, je m'appelle Liya, fille de guérisseuse.


Je partais d'un pas décidais, et admirez le coucher de soleil...QUOI! Déjà, le temps passe si vite en hiver...Une seule solution, que le vent soit de mon côté, pars je ne sais qu'elle miracle le vent se lever, dans la bonne direction! Je recula, mit mes ailes a l'horizontal puis courra en direction de Liya, je la prit entre mes pattes et je m'envolais avec elle. Telle un phénix qui prend son envole. Je montais, encore, encore et encore, jusqu'à que je puisse bien voir les terres des automnales, le sol couvert de neige, le soleil se couchant a l'horizon donnais naissance a un magnifique spectacle. La neige avais un dégradé orange, je souriait et fit une petite pirouette dans les airs avec toujours Liya. La belle neige poudreuse me réchauffait, qui aurait pu croire que le feu étais dans la blanche neige? Personne, mais moi je le savais. Je dit simplement a Liya:

-Regarde moi ce paysage, c'est ce qui me réchauffe le cœur, rien de telle pour rendre le loup le plus triste au monde au plus joyeux! Et puis cette air, cette douce brise haa qu'elle bonheur! Moi je suis fille de solitaire mais après tout, qui pourrais gâcher se bonheur?

Nous marchions tranquillement l'une à côté de l'autre. Je regardai le soleil qui descendait à l'horizon, c'était raté pour rentre avant la tombée de la nuit. Espérons que ma mère comprennent mon excuse cette fois, mais surtout qu'elle croit à mon excuse. C'était ça le plus difficile en fait. Disons que j'avais beaucoup inventé d'excuses de tout genre quand j'étais encore une petite louve qui avait une forte tendance aux bêtises à répétition. Je m'étais quelque peu calmée depuis, mais le goût de l'aventure courait toujours dans mes veines. J'étais incapable de rester en place, sans pour autant être impatiente. Un vrai paradoxe.

Soudainement, Espoir s'arrêta, mais je n'y prêtais pas vraiment attention. Elle me rattraperait bien assez vite avec ses grandes pattes d'adulte. Je continuais à marcher, suivant une trace fraîche d'écureuil au passage. Sans que je m'y attende, une force inconnue me souleva de terre. J'eut d'abord un instant de panique avant de réaliser qu'Espoir me tenait entre ses pattes et que... nous volions. Mon coeur rata un battement, non pas par peur, mais bien par joie. Si seulement l'estivale avait pu savoir à quel point je rêvais de voler un jour. La louve nous fit faire une pirouette gracieuse dans les airs, je m'amusais comme une gamine.

-Regarde moi ce paysage, c'est ce qui me réchauffe le cœur, rien de tel pour rendre le loup le plus triste au monde au plus joyeux! Et puis cet air, cette douce brise haa qu'elle bonheur! Moi je suis fille de solitaires mais après tout, qui pourrait gâcher ce bonheur?

Je regardais le paysage. C'était tellement magnifique de voir le monde d'en haut. Je pouvais voir le feu du jour embrassé la blancheur de la neige, c'était quelque chose qu'on ne pouvait voir du sol. Tout simplement sublime. Je serai restée ici toute la nuit, j'aurai pu voir les étoiles de plus près et qui sait si j'aurai pu toucher la lune un instant. Mais je me doutais bien qu'Espoir n'allait pas pouvoir me porter si longtemps, je pesais déjà bien plus lourd qu'un maigre lièvre.

- Merci, dis-je en un soupir de bonheur. Si seulement tu savais à quel point j'ai toujours rêvé de venir dans le ciel, c'est si magnifique. Dit, est-ce que la nuit... tu peux toucher la lune? J'étais un peu gênée de ma question.

Toujours au le poil au vent, de magnifique ailes déployer, je me sentais telle un oiseau. Liya elle avait leur aussi de s'amuser. Ah! Même si je savais que je n'allais pas rester longtemps dans les airs, je pouvais faire la moitié du chemin. Je me demande si Liya ne va pas se faire 'gronder' pour être rentré tard...

- Merci, dit-elle avec un soupir de bonheur. Si seulement tu savais à quel point j'ai toujours rêvé de venir dans le ciel, c'est si magnifique. Dit, est-ce que la nuit... tu peux toucher la lune?

Je souris, a cette questions, aaah l’insouciance, les questions qui vous trotte dans la tête, le changement, le comportement, l'éloignement...la souffrance aussi...ainsi que la solitude... C'est idée sombre prit ma tête je restait un regarde neutre puis reprit mon esprit et je lui dit de la voix la plus douce et la plus confiante, telle une mère l'aurait fait pour rassurer c'est petit.

-Si tu y crois, si tu l'imagine si fort, si tu le rêve, si tu n’abandonne pas oui tu peut. Sa te dit d'essayer ? Je lui tendit un doux sourire d'amusement.

Elle se posa doucement puis se leva debout, sur c'est deux pattes je retenais toute mon énergie, j'avais toujours Liya dans mes pattes puis je relâchas toute mon énergie stocker puis je me propulsais dans les airs et je fonçait a toute allure, comme une vraie fusée! La lune était prêt de nous, j'avais dépassé les nuages, même si je savais qu'on ne pouvais pas je voulais essayer pour Liya, puis le manque d'air ce fit sentir de plus en plus. Je respirait fortement pour répondre au besoins d'air je restais en place. Je dit essoufflé:

-Je pense que nos Dieu ne veule pas que nous atteignons ce magnifique astres de la nuit entouré de c'est petite sœur, les étoiles. Je suis désolé.

Nous continuons de voler, je profitais du vent dans mon pelage et je respirai profondément pour emplir mes poumons du doux air froid. Je n'aurai probablement plus la chance de voler prochainement, alors je me devais d'en profiter à fond. C'était une telle chance de pouvoir vivre cette expérience enivrante.

-Si tu y crois, si tu l'imagines si fort, si tu le rêves, si tu n’abandonnes pas oui tu peux. Ça te dit d'essayer?

Réellement!?! Si j'y croyais, je pouvais y arriver... ce serait si merveilleux. Espoir se posa un très court instant avant de se pousser avec force à l'aide de ses pattes arrières. Elle était vraiment forte parce que nous montions, sans nous arrêté. Bien vite, je pus toucher aux nuages pour la première fois. C'était doux et un peu humide, ça me faisait tout drôle comme sensation, ça me rappelait l'air humide de rosée au printemps. Nous venions tout suite de franchir la limite des nuages quand Espoir s'est arrêtée, elle semblait à bout de souffle. Je sentais aussi un manque d'air, l'altitude je crois.

-Je pense que nos Dieu ne veulent pas que nous atteignons ce magnifique astre de la nuit entouré de ses petites sœurs, les étoiles. Je suis désolé.

Je n'ai pas déçu, mais plutôt tellement ravie d'être montée si haut dans le ciel. C'était merveilleux, tout simplement magique. Espoir avait raison, la lune était si belle entourée des étoiles, on la voyait encore mieux d'ici. Je l'admirais, regardant le soleil qui finissait de disparaître derrière les montagnes. Si près de la lune, mon pelage ne mit pas bien longtemps avant de commencer à changer de couleur pour virer au blanc immaculé. Ça ne devait pas être agréable pour Espoir d'être éblouie par mon pelage, je ne souhaitais pas qu'elle soit aveuglée par ma faute.

- Ne soit pas désolé, c'est déjà tellement beau ici. Je ne pourrai jamais assez te remercier. Je crois qu'on devrait redescendre, y a pas beaucoup d'air ici, ça me donne un peu le tournis.

- Ne soit pas désolé, c'est déjà tellement beau ici. Je ne pourrai jamais assez te remercier. Je crois qu'on devrait redescendre, y a pas beaucoup d'air ici, ça me donne un peu le tournis.

Elle me dit sa d'une voix très douce, Liya avait un pelage un peu plus blanc, remarque sa me permettait de voir ( mon délire XD ). Je réfléchie un peu puis je fit un pic, les ailes légèrement plus près de mon corps me permettais de descendre plus vite sans me faire mal au ailes. Je les déploya brusquement puis je me laissa emporter par le vent. Voila on avait enfin de l'air, du vraie! Je me posa délicatement au sol on était déjà bien loin! D'ailleurs je dit:

-On est où?

Nous étions entouré d'arbre, et de neige, des arbres qui donner un air froid. Je regardais autour de moi, je pris un peu le devant si on étais dans un autre territoire. J'entendis un bruit de feuille et de neige. Je me releva pour me faire la plus haute que possible....

Up ♪

Je continuais à observer les étoiles, elles me semblaient si près, mais si loin à la fois, mais toujours si magnifiques. Plus qu'auparavant, j'avais envie de les voir toujours plus près, de sentir leur chaleur même si on m'avait un jour dit que les étoiles ne produisent pas de chaleur. Que ce sont des corps froids et distants, éloignés des simples mortels. Je ne pouvais y croire. Les étoiles étaient si belles, si lumineuses. Elles ne pouvaient pas n'être que de simples corps froids telles les pierres des cavernes. Espoir ramena ses ailes le long de son corps, nous plongions vers le sol à une grand vitesse. Je sentais mes yeux piquer et des larmes qui coulaient sur mes joues malgré moi. Il va s'en dire que je n'avais pas souvent le plaisir de profiter d'autant de vitesse et de vent à la fois, ce n'était pas mon domaine.

L'estivale finit par rouvrir ses ailes avec précaution et se laissa porter par le vent. Je pouvais sentir toutes les odeurs du monde, c'était merveilleux. Un peu comme si un millier de fleurs avaient mêlé leurs parfums aux fruits de l'été sous une pluie d'automne alors que la sol était couvert de neige. Je fermais les yeux un instant, me laissant plonger dans mes rêveries. Les saisons ne pouvaient pas toutes arriver en même temps, c'était impossible. Et pourtant cela aurait été merveilleux et spectaculaire. Espoir nous ramena finalement au sol. Je ne savais plus où nous étions exactement. Notre vol n'était pas un moyen de déplacement conventionnel dans mon cas et cela avait dérouté mon sens de l'orientation. La louve posa la question à laquelle je m'attendais.

- On est où?

J'observais le paysage. Il y avait ici beaucoup de neige, mais surtout beaucoup d'arbre. À coup sûr nous n'étions plus en automne puisque ce territoire ne m'était aucunement familier. Je pris un instant pour humer l'air, mais rien ne pouvait me révéler l'endroit où nous étions. J'étais complètement perdue. Je laissais Espoir seule une fraction de seconde pour m'éloigner un peu vers l'est, je devais trouver. Je souris en voyant la plaine s'étendre devant moi. J'avais résolu le mystère. Je me retournais pour parler à la louve estivale.

- Viens, nous sommes juste à côté des terres abondantes. Nous devrions trouver du gibier à ramener à ton clan ici. Si tu veux, je t'aide à chasser. Je ne suis pas la plus habile, mais je me débrouille bien avec les écureuils et les lièvres.

J'accompagnais mes paroles d'un grand sourire amical. J'aimais la compagnie d'Espoir et il me faisait drôle de penser que nous ne pouvions réellement être amie à cause de nos différentes allégeances. Un concept que je n'aimais guère.

Up ♪