Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Je me baladais la truffe au ciel regardant les oiseaux jouer entre eux, ne regardant même pas ou je mettais les pieds, d’ailleurs plusieurs fois je trébucha sure une branche ou un caillou je me laissais porter par mes pattes  en tanguant légèrement je sentais la brise chaude les odeurs des fleurs :
-la brise chaude et la senteur des fleurs!?
Je baisse la truffe, et là, je me rend compte que je ne suis plus en territoire Automnal, mais estival! Plus précisément ers la frontière.  Au moment où je m'en suis rendu compte je suis resté figée sure place comme une statue. Je me mordis les lèvres de stress: ici il pouvait y avoir des gardes qui gardaient précieusement leurs frontières contre les ennemis or je fais partie de ces ennemis. Pour l'instant il valait mieux rester caché au sol et essayer de filer en douce sans ce faire repérer. Il fait tellement chaud dans ce territoire que je senti de la sueur perler sur mon front à tel point que mon poil était tout mouillé. Seuls moyens d’échapper au massacre de la chaleur: Soit partir d'ici en vitesse surement ce faire repérer et se faire poursuivre jusqu'à que je tombe sur une pierre ou une branche ou, aller aux sortes de petit marais juste à coter et se rafraîchir.Donc je me traînai jusqu'à ce petit marais je me changeai quelques secondes en poisson rouge pour aller dans le marais et me rafraîchir de son eau fraîche, quand je ressortis mon poil étais tout mouillé donc je me secoue un peu pour me sécher, puis je voulus de nouveau entreprendre de m'éclipser en douce mais à ce moment je sentis que quelqu’un m'observait donc, je scruta minutieusement chaque détail du coin sens rien voir de particulier mais j’attendis co même d'entendre le moindre signe de vie .

Le soleil de l'été ne fut jamais aussi dur à supporter quand ses jours funeste. Plus le temps passait, plus la guerre approchait. L'événement avait prit une tel importance, que même l'évocation des simples mots "guerre" ou "combat" épuisait Eonora. Le gentil géant parcourait la mangrove à la recherche de plante spéciales qu'on ne trouvait qu'en ses lieux, mais peu à peu, le grand sage se mit à regretter de ne pas avoir demander à Bianca, une autre guérisseuse bien plus petite et svelte que lui, d'aller chercher ses plantes. Les fines branches caressèrent ses ailes de leur griffes finement taillé, ne géant ne pouvait rien faire, ignoré les démangeaisons crée par ses petites picots et griffures et continua sa route.

Les branches, par moment, s'écartèrent laissant le géant respiré et écarter quelques peu ses ailes endolorie. Il rencontra sur son chemin, une troupe de veilleurs, qu'il salua souriant, les plantes médicinal entre les dents. Il bénit l'eau dans laquelle les racines des arbres puisait eau et minéraux dont leur survie dépendait, car celle-ci apportait une certaines fraicheur qui soulageais le géant qui ne pouvait pendre la langue pour se rafraichir. Le guérisseur traversa un pont naturel, enfin plus ou moins, fait de branche et de lianes d'arbres présent de chaque coté du fleuves, relier pour permettre aux loups voulait rester au sec de traverser celui-ci en toute tranquillité. Le pont était là depuis son enfance et Eonora se demander encore aujourd'hui, avec une certaines nostalgie, qui avait put construire cet édifice.

Une fois arriver de l'autre coté, il tourne sur sa gauche et se dirigea vers un petit marais qu'un bras du fleuves avait former il y a de cela longtemps en débordant suite à une crue trop importante, le bras réapparaissait lors de certaines pluie importante qu'on pourrait nommer mousson, alimentant ainsi le marais d'une eau neuve et apportant avec elle de nouveau nutriment et quelques nouvelles vies. Pourtant, cela pouvais aussi détruire les autres vies présente, ce genre d’événement bouleversait l’écosystème du marais et Eonora déplora plus d'une fois une perte végétale importante. Durant ses dernières semaines, le grand loup avait prier pour qu'une tempête ne s'improvise pas, car au coté de se marrais se trouvait un véritable nid de ses petites plantes précieuse qu'il cherchais. Son regard s'adoucit à la vue des petites fleurs dorée rassembler, serrer ensemble comme des soeurs inséparable.

Il posa les plantes qu'il avait déjà cueillit sur une pierre plate séchè et se dirigea vers les fleurs dorées quand il entendit un bruit d'eau ruisselante. Alors qu'il allais croquer dans les tiges des plantes, il releva la tête et vit une jeune louve tremper jusqu'au os, qui venait vraisemblablement de sortir de l'eau. Un doux sourire se désigna sur ses lèvres, il connaissait tout les loups du clan, en particulier les plus jeunes, mais il n'avais pas besoin de cela pour dire que cette louve n'était pas estivale. Elle arborait des couleurs plus automnal, beige, marron, jaune. Il se fit remarquer par un petit raclement de gorge et c'est souriant, avec une douceur que son clan lui connaissait qu'il dit :

- Il n'est pas prudent en ses temps troubler de venir seule sur un territoire étranger.

Je cherche vainement quelque chose qui bouge mais je ne vis rien. J'allai me mètre  à imaginer un plan pour sortir quand j'entendis une voix masculine dire :  
- Il n'est pas prudent en ses temps troubler de venir seule sur un territoire étranger.
bizarrement cette voix ne venait pas de droit devant moi mais d'un peu plus haut, au début je crut que le loup vole mais malheureusement ce n'est pas le cas : quand mes yeux se firent lever sur la personne qui me parlait je vis UN LOUP GÉANT! Je le dévisage avec surprise et stupeur la gueule ouverte à moiter et les oreilles repliées en arrière. Je n'avais aucune chance face à ça, d'un coup de patte il me projetterait contre un arbre. Mais tout d'un coup une interrogation née en mon esprit: bizarrement le géant souriait, étais-je pour lui ça prochaines victimes? Oui c'est ça je le sent il sourit par ce qu'il se réjouit d'avance du prochain bain de sang. Je lui répondis toujours avec mon air surpris :
-Heu... heu...
oui en fait je ne lui répondis pas: j'étais tétanisé par la peur. Je devais avoir un air bien idiot comme ça : toute mouiller, apeurer et surtout impuissante. Si je m'enfuis j'aurais toute la garde estivale présente à mes trousses, Si je reste je dois avoir à faire a ce géant, deux perspectives pas très réjouissantes... Enfin cela dis, je n'ai pas trop le choix vu que la peur me fige  il ne me reste plus qu'à attendre que le géant réagisse et prier pour qu'il ne m’attaque pas.

Spoiler:

La bouche grande ouverte, les oreilles baisser, mais surtout la peur dans le regard de l'intruse traduisait au guérisseur qu'il avait impressionner un loup de plus. Son sourire ne changea pas pour autant, aussi doux cas l'accoutumer. Tout les loups qui ne l'avait jamais vu était d'abord impressionner par sa grande taille, dire que louveteau il était bien plus petit que ses soeurs. Malgré son air amicale, ils avaient tous une réaction similaire. Eonora cligna doucement des yeux et baissa la tête pour cueillir les fleurs d'or qu'il convoitait, se tournant et se déplaçant avec autant de délicatesse que les pétales des végétaux fragiles dans sa gueule, il alla les placées avec leur consœurs attendant sur la pierre sèche. Il releva la tête en soupira et dirigea son regard bicolore sur la louve terroriser.

- N'est crainte, je suis le guérisseur estival. Appelle-moi Eonora. - Sourit-il.

Était-ce une espionne ? Eonora en doutait fortement, un espion ne se serait pas laisser voir si facilement et aurait déjà essayer de fuir en toute discrétion. Pour espionner ses ennemis, il était préférable d'envoyer des loups discret et compétent. De par son pelage coloré et brun, elle aurait surement put être assez discrète, mais son jeune âge montrait également un manque d'expérience flagrant et le guérisseur ne pensait pas que le vielle Alpha automnal était assez sot pour envoyer une jeune adulte au carnage alors qu'une guerre approchait. Les plus jeunes et les plus robustes devaient rejoindre les rangs des guerriers.

Contrairement à se qu'on pourrait penser au premier abord, Eonora réfléchissait bien plus qu'il n'utilisait ses muscles, fut un temps il avait suivit l’entrainement des guerriers, mais suite à un tragique événement personnel, il suivit la voie qui lui avait dicté ses pouvoirs et il deviens guérisseur. A ce moment précis, Eonora réfléchissait, supposait, émettait des solution pacifique, loin de lui le sang et la haine, son devoir était de soigner et de protéger toute forme de vie, qu'elle soit estival, automnal, hivernal ou encore, printanière. Qu'est-ce qui pouvait bien passer par la tête de Moune en ce moment précis ? Non, en fait que pouvait bien penser son compagnon ? S'il y a bien un loup qu'Eonora n'aimerai pas surprendre dans quelques endroit que ce soit, c'est bien Oxymore. Revenant au temps présent et à cette jeune louve, Eonora continua de la rassuré, histoire de pouvoir communiquer et de l'aider à repartir chez elle avant qu'une escouade ne tombe sur elle. La gentillesse du guérisseur lui ferait-il presque oublier son devoir ? Les informations étaient importantes...

- N'est crainte, je suis le guérisseur estival. Appelle-moi Eonora.

le loup de taille gigantesque souris et moi je me calmais. mes oreilles se relevaient et ma peur s'estompait peu à peu. En fait il n'avait pas l'air si méchant que ça :

-c'est... C'est vrai? vous ne voulez pas me réduire en poussière ou m'écrabouillé comme crêpe? Enfin une bonne nouvelle. Je me sentais légèrement honteuse. Excuse moi d'être venu sur ton territoire Eonora, je ne l'ai pas vraiment fait exprès.

Mes excuses étaient sincères car je ne voulais pas venir sur ce territoire et déranger un gentil guérisseur.
Eonora avait l'air pensif mais souriait toujours. Il avait posé des pétales une pierre, surement des herbes médicinal. J'ai toujours été passionnée par les guérisseurs:
ce sont les seuls loups qui n'attaquent pas un loup ennemi à la première occasion, ils apprennent comment soigner les gens au lieu de comment les tuer. Oui pour moi un guérisseur c'est la grande classe.
Je me mis à me surprendre de lui sourire moi-même. Ma tête me disait qu'il était gentil, mais mon instinct (que j'avais étouffé) me disait surtout qu'il était d'un autre clan et qu'il était géant.

Little up ♫

Dernier up avant archivage

Archives j'ai pas le coeur à répondre.