Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Elle se dandine sur la terre des hivernaux. Elle a peur, elle ? Non. Elle a confiance. Qui est-elle pour venir se dandiner ainsi sur le territoire ennemi ? Elle est Ambre, tout simplement. Elle n'a pas peur, elle sait se battre. Et puis, elle est endurante, elle court vite, avec ses longues pattes rayées. Alors elle continue son manège. Pour en rajouter, elle passe près, très près des loups. Elle passe sous leur cou et leur caresse doucement avec sa longue queue douce. Elle fouette l'air de sa queue près des femelles qui la regardent mal. Ho, c'est le centre du monde, aujourd'hui. Ses pattes se croisent quand elle marche. Elle respire en lançant de petits, tout petits "huumm". Elle sait que si elle croise Jason, elle est finie. Mais elle s'en fiche, elle continue son petit manège. Oh baby ; Viens me voir, lance-t-elle a un loup qui lui lance des petits clins d'oeil. Le loup trottine vers elle, la tête haute, l'air fier d'avoir été choisi dans tout ce petit monde. Mais Ambre veut seulement jouer... Alors elle s'approche doucement de ses lèvres, lentement, très lentement. Elle le voir frémir. Oh, comme c'est amusant ! Puis, elle détourne la tête pour apercevoir une ombre qu'elle ne connait que trop bien. Alors elle relève la tête, s'assoit et crie à l'ombre plus loin :

- Youhou, chéri ! Je suis venue te rendre visite, tu me manquais !

Elle trottine vers son amoureux, vers Jason. Elle sait qu'elle a l'air d'une cruche, quand elle a crié son prénom, mais elle s'en fout. C'est pour se défouler qu'elle est ici. Elle sait qu'elle risque de se faire attaquer, mais elle s'en fout. Elle s'en fout de tout, en fait. On sait qu'elle bizarre, maintenant. Elle ne se fie pas à l'apparence du mâle devant elle et saute sur lui pour déposer un doux baiser sur ses lèvres. Et c'est là qu'elle rougit, qu'elle se rend compte de sa gaffe. Oh putain de merde... Elle se relève en vitesse et fronce les sourcils, sur la défensive. Elle observe le mâle. Il lui ressemble tellement ! Comment a-t-elle pu le confondre ? C'est sûr que de là où elle était...

Sa frange orange lui tombe sur les yeux. S'il les voyaient, il serait étonné. Elle est écroulée de rire, mais elle se retient. Elle soupire violemment et se dit qu'elle devrait peut-être présenter ses excuses au mâle, sauf si il a apprécié... Qui n'aimerait pas, en même temps ? Alors, elle le regarde dans les yeux. Ses yeux vairons essayent de lire en lui, mais elle n'y arrive pas. Elle ne lit que ceux de Jason et son grand-frère. Alors, elle s'assoit en face de lui et d'une voix douce et sensuelle, continue son jeu :

-Excusez-moi. Elle haussa un sourcil vite fait, et le rabaissa. Un sourire apparut sur son visage. Désolée du désagrément, monsieur...

Elle soupire. Puis, elle ouvrit la bouche et sortit un léger "huuumm" de nouveau. Pff... A cause de cet imposteur, tout était gâché !

Les mots du loup gris résonnait dans sa tête. Elle l'observait toujours avec autant d'insistance. Elle n'avait jamais vu quelqu'un ressemblait autant à lui. Surtout ses yeux. Ses si jolies yeux gris métal. Cela ne lui ressemblait pas vraiment, mais quand même. Il n'y avait pas la même intecelle qui faisait que c'était ceux de Jason et pas ceux d'Adagio. Oui, il venait tout juste de lui dire comment il se nommer et de lui dire que son prénom lui allait à ravir. A ces mots, elle avait légerment rougis. Ses yeux vairons plonger dans ceux du loup gris, le silence se fit un peu plus léger. Mais Ambre ne pouvait s'empêcher de penser à lui, à ses yeux, à ses lèvres si froides et si douces, à ses câlins qui lui manquaient tant. Un petit sourire passa en un éclair sur son visage et celui-çi redevint vite fait dure et froid. Mais surtout triste. Après un moment à être plonger dans les yeux d'Adagio et dans ses pensées, il se racla la gorge et toussota doucement. Elle releva un peu la tête l'observa encore un peu avant de tourner la tête vers le petit groupe de loup, au loin, qui les observaient. Peut-être pensaient-ils avoir droit à un deuxième baiser... A cette pensées, le loup parla de nouveau, ce qui la fit soupirer.

- Je… Ne prenez pas mal ce que je vous ai dit, je ne savais pas, et… Je n’avais aucunement l’intention de vous blesser.

Les yeux d'Ambre devinrent noir de rage et de colère. Il ne voulait pas, mais il l'avait fait, en attendant. De plus, elle c'était excuser, elle lui avait dit pourquoi elle l'avait surprit ainsi, et lui, il l'avait quand même remballer ! Elle se leva d'un bond pour se grandir. Le loup était peut-être grand, mais elle, l'était encore plus. Elle était grande et très fine. Peut-être qu'en apparence elle était fragile, mais si ils savaient... Si ils savaient tous. Elle a déjà battu un énorme loup noir poilue de plus d'un mètre cinquante, alors lui, il ne lui faisait pas peur. Ses yeux s'assombrirent encore un peu. Le bleu de ses yeux devint foncer. Elle grogna doucement et cracha à la gueule du pauvre loup :

- Mais vous aussi, si vous ne lui ressembliez pas tant, à cet amour que j'ai perdu ! Hein ! Peut-être ne vous aurais-je pas sauter au cou ainsi, non ? Vous n'y avez pas penser, que c'était un accident ? Vous prenez toutes les louves pour des marionnettes et des putes, c'est ça ? Et bien sachez que je n'en suis pas une, que j'ai déjà quelqu'un dans ma vie !

Sur ce, elle se retourna et partit, la tête basse, les yeux remplies de larmes de rage et de désespoir. Les mots étaient absolument tout ce qu'elle pensait des loups comme celui qu'elle venait de rencontrer. A son passage, elle entendit les petits ragots et murmure se faire dans le groupe. Alors, elle devint folle. Elle se retourna vers eux et sauta sur l'un d'eux. Elle lui cracha dessus et grogna méchamment, alors que les autres tournait autours d'elle. Elle savait que si elle s'attaquait à l'un d'eux, elle aurait des problèmes. Mais sur ce coup là, elle avait véritablement exploser. Elle s'approcha dangereusement du museau de la louve sur laquelle elle avait sauter et d'un coup de patte, l'assomma. Puis, d'un bond, prête à combattre les autres, elle se tourna. Elle les regarda un part un et leurs fit face. Elle n'avait pas peur. Elle n'avait jamais peur, jamais. Puis, alors qu'elle levait la tête, elle vit au loin le loup gris. Les larmes de rage revinrent et elle sauta dans le tas, attérissant méchamment dans un "BOOM" sonore.

Sous elle se retrouva un loup blanc. Blanc comme neige. Tout le monde en les voyant avait lâcher un grand soupire d'horreur. Elle regarda le loup dans le blanc des yeux et celui-ci lâcha un rire sadique, un rictus au coin des lèvres. Les derniers loups étaient partit, il n'y avait plus qu'eux deux. C'est alors que le loup blanc lui asséna un coup dans la tête. Celle d'Ambre partit en arrière et celle-ci tomba complètement K.O sur le corps chaud du loup. La vue d'Ambre se brouilla alors qu'elle voyait une ombre approchait à grand pas. Elle murmura doucement mais assez fort :

-Jason...?

Sa tête avait violemment percuter le sol dur et glacer. Le sang ne coulait pas, elle n'avait pas toucher de veine importante. Mais elle risquait quand même de rester incocsiente un bon moment. Ses yeux se fermait lentement, sa vue devenait floue, ses membres se raidissaient douloureusement sous elle et elle sentait le souffle chaud de son adversaire dans son cou. Ses yeux se fermèrent enfin et le noir prit place. Ses idées se tassèrent les unes sur les autres et ses pensées se brouillèrent vite. Elle savait qu'elle c'était tromper, que ce n'était pas lui, qu'il ne viendrait pas maintenant, qu'il ne viendrait pas aujourd'hui. Ses yeux vairons pétillants étaient devenus triste, terne. Elle pensait presque qu'il s'était jouer d'elle, qu'il lui avait fait croire en l'amour juste pour la sauter. Ce qui était arriver avant qu'ils ne se quittent de nouveau. Mais à ce moment là, elle était estivale, et non neutre. Leur amour rester secret, pourtant. Enfin... Si il s'agissait vraiment d'amour.

Sa tête était poser part terre mais elle n'était plus vraiment consciente de ce qui se passer à côté d'elle. Ses membres raides comme un balais la faisait souffrir, bien qu'elle dormait à moitie. Puis, tout autours d'elle devint froid et chaud, et ses yeux mi-clos se fermèrent réellement. Elle sombra. Elle n'avait pas lutter, à quoi bon puis ce qu'elle était déjà à moitié assommer ? Elle murmura de nouveau le prénom de son bien-aimé... Même si il n'était pas là, elle voulait le voir, le câliner, l'embrasser, lui susurrer de ne plus jamais la quitter. Mais hélas, il n'était pas là. Ni ici, ni là-bas. Surement dans un coin sombre de la forêt hivernale. Plus rien n'importer pour lui, elle en était sure. Maintenant qu'il avait fait l'amour à l'ancienne futur Alpha, et qu'il savait qu'elle ne deviendrait pas Alpha, il s'en était aller. Jamais elle ne l'aurais crus capable d'un telle acte, et pourtant, il l'avait fait. Elle lui en voulait. Mais elle l'aimait encore. Surtout, elle s'en voulait à elle. Elle s'en voulait d'avoir était aussi naïve, de c'être laisser berner aussi facilement par ce mâle si doux et si patient avec elle... Et maintenant, ses nerfs lâchait. Elle devenait folle, furieuse, triste aussi... La colère faisait de nouveau partit d'elle. Elle était plus aggresive, prenait tout de travers, comme avec Adagio. Oh, comme elle s'en voulait !

Elle reprend lentement conscience. Elle ne se rappelle pas directement de ce qu'elle a trafiquer pour se trouver dans cet état, juste qu'elle était chez les hivernaux pour retrouver Jason. Elle avait été parler à Mephisto pour lui poser sa "démission" sans expliquer quoique ce soit et été partit le retrouver. Tout ça part amour... Mais elle s'en fichait. Maintenant elle était libre. Libre comme l'air, libre de faire ce qu'elle voulait. Juste avant de partit, elle avait dit aurevoire à sa nièce, à cette jolie petite louve qu'elle aimait tant... Calysse. Oh, comme elle allait lui manquer. Elle avait une grande famille, mais elle ne pouvait pas tous aller les voir. Cela lui prendrait trop de temps. Il y avait XXI, Seas, Céleste, Sheen, Toboe... Non, vraiment, elle ne pouvait pas. Et puis, cela la ferait trop souffrir de leurs dires Adieux. Oui, car elle ne reviendrait jamais. Elle ne voulait plus avoir affaire a cette terre. Même si elle il avait rencontrer des gens formidables. Ambre n'aura plus jamais cette odeur enivrante de fruit d'été, de soleil, de fleur d'hibiscus... Plus jamais. Et elle savait que Jason lui en voudrait un peu. Car cette odeur, c'était un peu sa marque.

Le soleil ne brillait pas fort, mais ses yeux étaient mis-clos. C'est alors qu'une ombre intervint et se posa au dessus d'elle. D'un coup, elle eu peur. Mais elle savait se battre, alors très vite, elle referma les yeux et fis mine de dormir. Qui était-il ? Que faisait-il ici ? Puis, il prononça lentement son prénom. La louve dorée ne répondit pas. Cela l'intriquer. Alors, d'un bond, elle se leva et fit face au grand loup gris. Ses yeux de métal la fixait, comme si elle était devenue folle. C'est alors que sa tempe se fit douloureuse. Mais elle n'y fit pas attention. Elle montra les crocs, grognant méchamment. Les yeux métal du loup lui faisait penser à lui, et cela l'intriquer encore plus. Elle tourna autours de lui comme un vautours et, arriver derrière lui, sauta d'un bond agile. Elle se retrouva sur lui, les deux pattes plaquant celle de son ennemi. Elle ne le connaissait pas, c'était un ennemi. Surtout qu'il était hivernal. Bon, d'accord, elle était avec un hivernal, mais lui ne sentait pas aussi mauvais, et il avait l'air... Non, en faite, elle n'avait pas de raison de l'attaquer.

- Comment sait-tu mon nom, étranger ?

Dans ses yeux, il y avait un lueur de folie furieuse. Si il ne répondait pas, elle le forcerait. Et sans hésitation. Elle n'avait pas que ça à faire, elle devait le retrouver. La lueur devint plus triste, mais cette folie ne la quiterrait pas. Pas tout de suite, pas tant qu'elle ne serait pas.

Elle l'observe. Elle le détaille. Ses yeux vairons le fixe. Le loup gris semble complètement perdu. Il n'a surement pas comprit ce qui lui arriver. Son mal de crâne redoubla, et le loup en profita. Il se débattit et quand il entendit les paroles d'Ambre, celui-ci se stoppa d'un coup. Qu'avait-il ? C'est vrai, après tout, elle ne le connaissait pas. Et lui semblait parfaitement la connaitre. Alors le loup bascula en avant pour envoyer Ambre valser à plusieurs mètres de lui. Quand elle se releva, elle était complètement sous l'effet de la folie meurtrière et était prête à rebondir sur l'ennemi. Mais le loup lui cloua le bec et dit, s'asseyant à une limite raisonnable. Mais Ambre voulait le déchiqueter, l'envoyer au plus vite dans l'autre monde. Ses crocs dévoiler, le loup gris essaya de lui parler, mais Ambre n'écoutait pas vraiment. Elle attendait qu'il finisse son histoire au plus vite pour qu'elle lui tranche la gorge. Il fronça les sourcils et la toisa durement avec ses yeux pétillant, gris métal.

- Aurais-tu oublié tout ce qui vient de se passer ? La bagarre à côté du lac, l'alpha hivernal ? Et moi, Adagio, tu ne te rappelles pas ?

Un flash-back passa devant ses yeux. Elle l'avait embrassée, elle était aller attaquer un groupe de loup hivernal puis... Plus rien. Attendez... Elle l'a embrassée ? Quand le flash-back passa, ses joues étaient rouge pivoine. Elle détourna la tête pour cacher sa gêne et ses joues rouges, puis, baissant la tête, elle bégaya :

- Je-Je vous est embrassez... Je suis vraiment, vraiment désolée. Je ne sais pas ce qui m'a prit. Mais vous lui ressemblez tellement, à lui. Lui, il s'appelle Jason, il est hivernal, comme vous. Et je l'aime plus que tout. Mais... après que nous ayant eu, hurrrmm, il est partit. Je venais de lui annoncer que je quittais ma place de future alpha pour ce Nous que nous avions créer. Et maintenant, je le cherche.. S'il te plaît, Adagio, aide moi.

Elle s'assit à son tour, calmer. Elle se rappeler. Elle se rappeler de tout. Mais surtout de se baiser. Il avait furtif, mais tellement doux. Le loup ne l'avait pas forcer, n'y repousser brusquement, n'y rien dans le genre "pervers". Il l'avait juste embrassé, sur le coup de la surprise. Elle s'avança vers lui, les yeux remplies d'une tristesse folles. C'est à cause de lui, qu'elle devenait bizarre et agressive. D'une voix douce et lente, elle parla de nouveau, s'asseyant juste en face de lui. Elle fixa ses prunelles grises, et un sourire triste s'afficha sur son visage.

- Se qui lui ressembles le plus, c'est vos yeux. Vos yeux gris. Ils sont tellement beaux, tellement brillants. Mais ils n'ont pas le même éclat. Quelqu'un qui ne le connait pas aurait dit "les vrais même yeux", mais ce n'est pas vrai. Dans tes yeux, il y règne de la joie, de la paresse, et une autre chose... Du soulagement, surement. Alors que lui... Lui il y règne de la joie, de l'amour, de la peur, aussi. La peur qu'on nous trouve ensemble et qu'on nous bannissent de FS...

Elle ferma les yeux et lentement, elle soupira. Une larme rebelle coula le long de sa joue et elle s'insulta mentalement d'être aussi émotive. Elle ne rouvrit pas les yeux. Elle avait tellement honte de s'être comporté ainsi, face à ce loup qui l'avait sauver des griffes de l'Alpha hivernal... Elle s'approcha encore et le prit dans ses pattes, l'entrégnant fortement de ses frêles pattes. Elle chuchota un doux merci et posa sa tête au creux du cou d'Adagio. Quelques soit nos différences, ont a toujours besoin d'amis...

L'odeur d'hivernal envahit son museau. Elle ne dit rien, car elle avait l'habitude, maintenant. Elle se sent apaiser, de savoir que quelqu'un est là pour elle. Elle se sent mieux, elle a le coeur un peu plus léger, même si elle ne sait pas ce qu'il en pense, de tout ça. C'est alors qu'elle sentit la douce patte à Ada' venir caressait lentement son dos, pour qu'elle se calme, pour lui montrer qu'il la comprenait. Elle lui en était reconnaissant. C'est alors qu'elle sentit une petite chose se poser sur sa tête. Adagio resserrait l'étreinte, comme si il ne voulait plus la lâcher. Elle non plus, ne voulait plus le lâcher. Jamais. Pas qu'elle l'aimait, mais elle avait tellement besoin de savoir que quelqu'un était là pour elle...

- Je vais t'aider, Ambre, ne t'en fais pas. Ensemble, on va chercher Jason, et on va le retrouver. Vous serez à nouveau tous les deux, et ce sera comme avant. Personne ne pourrait trahir quelqu'un comme toi, je suis sûr que ça va s'arranger.

Les mots de son ami l'a firent sourire. Elle passa ses pattes dans le cou d'Ada' et se rapprocha un peu plus de lui. Cette chaleur était tellement réconfortante. Ensemble, ils allaient le chercher et elle allait le retrouver, et pouvoir les présenter. Elle ne voulait pas qu'il y ait de nouveau des conflits entre eux, bien qu'elle même est été possessive et jalouse. Elle ne voulait pas de dispute, de sentiment de trahison, n'y même de le jalousie. Adagio était tellement gentil avec elle, elle ne voulait pas le perdre. Et pas perdre une deuxième fois Jason. Et puis, le faite qu'il lui dise qu'on ne pouvait pas la trahir la fit sourire une fois encore. Il n'avais à dire ça. Si il savait de quoi elle était capable quand elle était fâcher, il ne dirait pas ça. Elle était rancunière. A un point qui battait tout les records ! Elle voulait réellement qu'ils deviennent amis. Mais pas des amis qui font des promesses et qui les tiennes pas. non, pas cela. Ceux qui se réconforte, ceux qui ne se cache rien, qui n'ont aucun secret, ceux qui rigole, ceux qui pleure, ceux qui tienne leur promesse.

Elle le sentit alors bouger. Elle était presque sur le point de s'endormir sur lui, il avait bien fait de bouger. Elle se redressa à son tour et Adagio lui fit face. Il avait l'air heureux. Heureux de pouvoir aider une amie. Elle aussi, elle l'était. Elle était très heureuse.

- Je t'ai dit que je t'aiderai à retrouver Jason, mais je ne sais pas si les terres hivernales sont sûres pour toi... Je ne te sous-estime pas, loin de là, mais je ne voudrais pas que tu t'attires des ennuis, que se soit à cause de l'environnement ou des membres de la meute. Je vais m'occuper de le retrouver, ne t'en fais pas, en tant que chasseur, j'ai la disponibilité de parcourir le territoire de long en large, je devrais vite mettre la patte sur lui ! Et sachant qu'il me ressemble, je ne devrais pas avoir de mal à le reconnaître...

Elle lui fit un grand sourire. Un de ses plus beaux sourires, un qu'elle ne faisait que très rarement. Elle les offraient souvent à Jason, ou a sa nièce, mais jamais encore, elle ne l'avait offert à un ami. Tout simplement perce qu'elle n'avait pas d'amis. Céleste ? Elle ne comptait que pour une connaissance. Ita ? Pareil. XXI ? C'est un frère, pas un ami. Adagio était véritablement son seul ami... Elle leva son postérieur et, lentement, posa un doux baiser sur la joue d'Adagio. Elle se retourna d'un vive mouvement des pattes, glissant pour pivoter et commença à marcher, droit devant elle. Elle levait les pattes hautes, un sourire au lèvre. Mais ce n'était qu'un masque, car au plus profond d'elle même, elle avait peur.

Elle avait peur de ne plus jamais le voir, elle avait peur de la confrontation avec Jason et Adagio. Comment lui expliquer comment ils c'étaient rencontrer ? Elle n'aimait absolument pas lui mentir. Elle ne lui avait mentit, et elle ne voulait pas que ça commence maintenant. Puis, elle remarqua que son ami n'était pas à ses côtés. Elle fronça les sourcils et se tourna vers lui. Il était toujours là-bas, peut-être attendait-il son signale de départ. Elle lui sourit, et, d'une voix mesquine et coquine, elle lui dit :

- On fais la course ? Si on a commencer, tu est mal partit, cher ami.

Elle se retourna vivement, sachant que même si elle avait de l'avance, il gagnerais. Elle n'était pas hivernale, elle déraper facilement dans les virages, et du coup, elle ralentissait beaucoup. Elle venait tout juste de retomber en enfance. Elle laissa sa langue pendre, sa houppette volait au grès du vent. Alors, elle tourna la tête vers son ami, lui souriant de plus belle :

- Dit moi, c'est que tu es rapide ! (Elle mit la vitesse supérieur, la dernière vitesse) Bon, alors c'est partit mon kiki ! On commence part où ?

Voilà. Elle reprenait son sérieux. Elle ne pouvait s'empêchait de penser à lui, et seulement à lui...

Elle se sent presque voler. Ses longues oreilles volent en même temps que son long toupet ébouriffer. La langue pendante, elle commence juste à s'échauffer. Ses muscles roules sous son poil. Elle est à son maximum, elle ne peut pas ralentir d'un coup, se serais ce tuer. Puis, elle voit Adagio abandonner. Il ralentit alors qu'elle attend une réponse à sa question. A son tour, elle ralentit aussi. Puis, ils s'arrêtent. Et son ami lui fait face. Son air est sérieux, mais au fond de ses yeux brilles de la joie. Une joie qu'elle partage. Alors, elle aussi, son visage se referme. Ses yeux ne brilles plus autant que tout à l'heure et pas l'ombre d'un sourire sur son visage. Elle sait que les choses sérieuses reprennent. Il va lui poser des questions. Elle en est certaine.

- Je pense que le plus judicieux serait de commencer par le camp, où se regroupent tous les hivernaux, mais... Tu risques de ne pas passer inaperçue, et je crains que cela ne t'attire des ennuis... Mais au fait, tu appartiens à quel clan ??

Elle ? Oui, c'est vrai. Elle vient tout juste de quitter le territoire estivale. Mais maintenant, elle est neutre, elle ne doit pas risquer grand chose. Ambre baisse la tête. Elle ne sait pas comment lui expliquer qu'elle est partit pour lui. Elle prend une grande inspiration et se relève, les pattes droites comme des battons. Elle relève la tête, et le fixe droit dans les yeux. Elle ferme encore plus son visage. Elle a passer tellement de temps à rester stoïque, a cacher ses émotions, que maintenant, c'est comme si elle avait toujours fais ça. Ses sourcils se fronce légerment, mais si il ne la détaille pas, il ne le verra pas. Et puis, elle a cette petite barre sur le front, qui fait qu'elle a peur. Peur de la réaction de son ami. Peur qu'il la trouve stupide. Elle n'inspire pas, elle n'expire pas, elle lance tout d'un coup :

- Je ne sais pas. J'étais estivale il n'y a même pas une heure, et je suis partie. J'étais l'ancienne futur Alpha. Mais je suis partie parce que je l'aime. Et que je ne voulais pas qu'il se fasse chasser de son clan pour ça. Je savais que son clan c'était toute sa vie. Alors voilà. Je ne sais pas. Je ne suis dans aucun clan. Aucun. La liberté m'appartient.

Elle inspire alors. Enfin, de l'air. Elle ferme les yeux quelques secondes, le temps de se remettre de se qu'elle a dit. Elle lui a tout balancer comme-ça. Même qu'elle était ancienne futur Alpha. Là, c'est clair, il la prendra pour une folle. C'est sure et certain. Avec courage, elle ouvrit de nouveau les yeux pour lui faire face. Elle secoua les oreilles dans tout les sens. Elle se retourna vite, très vite, dérapant sur ses pattes arrières. Elle avait tellement peur qu'il la prenne pour une folle. Elle s'assit; un gros "SPLACHT" de neige vola quand elle assit son derrière sur un gros tas. Elle soupira lentement, la tête basse, et d'une voix un peu agressive, dit lentement :

- Désolée, mais moi, je ne suis pas comme les autres. J'aime pas la guerre. Désolée, si tu me prend pour une folle.

Elle le sentit venir prêt d'elle. Les yeux vairons de la belle Ambre se baladèrent sur le territoire. Tout était fait de neige, et seulement de neige. Les arbres n'avaient aucune feuille, et elle était sure que si un jour d'été, elle venait ici, il n'y aurait aucun fruit tropicaux. Les fruits. Comme cela aller lui manquer. Mais elle reviendrait parfois, la nuit, pour leurs en voler. Et si elle se faisait prendre... Et bien, que sait ce que le destin nous réserve. Elle sentit le regard de son ami se poser sur elle et, sous son pelage jaune, elle rougit. Elle n'avait pas l'habitude qu'on la fixe ainsi. Surtout avec ses yeux rieurs et ce sourire charmeur. Non. Non ! Bien sur que non, elle ne voulait pas dire qu'Adagio l'attirer -même si c'était le sosie de Jason en plus grand...-, mais qu'il la dévisager. Et normalement, c'était plutôt elle qui mettait mal à l'aise avec ses petits sourires charmeurs. Et pas le contraire. Prise au piège dans son propre jeu. Cela devait arriver, un jour où l'autre.

- Je comprends ton choix ; mieux, je l'admire. Ce n'est pas donné à tout le monde d'avoir le courage de sacrifier les choses qu'on connaît pour s'adonner entièrement à l'être aimé. Jason devrait être honoré d'avoir une louve si belle qui abandonne tout pour lui ; je suis sûr qu'il comprendra, par ton geste, à quel point il est important à tes yeux, et te rendra cet amour. Et puis, finalement, la liberté a une saveur particulièrement délicieuse en bonne compagnie !

Elle se força a ne pas rigoler des paroles de son ami. On dirait qu'il la charmer, en disant que Jason avait de le chance d'avoir une aussi "belle louve" à ses côtés. Bon, elle devait avouer que parfois, elle se mettait en valeur. Mais elle n'avait jamais draguer quelqu'un d'autre que Jason et que le loup hivernal de tout à l'heure... Et encore, c'était de la pur provocation ! Jamais elle ne l'aurait embrasser. D'ailleurs, en embrassant Adagio, elle avait réellement penser embrasser Jason. Mais elle n'avait pas sentit se picotement dans l'échine; n'y le frissonnement; n'y le soupir; n'y les montagnes russes de son estomac; n'y tout ce qui faisait qu'elle donnait un baiser langoureux à Jason. Elle avait sentit les lèvres d'Adagio se tendre, subitement. Elle avait alors comprit son erreur. Bien que ce baiser ne lui fut pas... Stop ! On parle de son ami, tout de même. Pas de son amant ! Un sourire s'afficha lentement sur le visage d'Ambre et Ada' reprit son discourt :

- Tu sais, c'est justement parce que tu es folle et pas comme les autres que je t'aime beaucoup. Elle sentit le regard D'adagio cherchait le sien, mais elle ne tourna pas la tête, regardant toujours l'arbre devant elle. Tu es originale et tu as un sens de la vie particulier, et agréable. Tu aurais été différente que nous n'en serions pas là aujourd'hui. Je pense que tu as fait le bon choix, pour toi aussi. Je n'ai jamais eu à me battre, et il ne me tarde pas de le faire, alors je n'ai pas à te blâmer parce que tu n'aimes pas la guerre !

Elle, folle ? C'était tout à fait le mot. Après "bizarre", bien sur. De tout façon, il fallait l'accepter telle quel, sinon, elle partait. Il n'avait pas vraiment le choix. Le surnom que lui donner souvent son grand-frère était : "Bonjour ma jolie folle". Et elle l'aimait. Oh que oui, elle l'aimait, ce surnom là. C'était le seul loup à ne pas l’appeler "Ambrouche", ou bien "Ambrichette" ou d'autre truc de ce genre. La guerre. Son ami n'avait jamais fait la guerre. Jamais. Il ne pouvait donc pas savoir ce que cela faisait de tuer des louves, ou des enfants, alors qu'ils n'avaient rien fait... Elle, elle l'avait fait. Mais pas part plaisir. Ce genre d'acte n'était jamais fait pour faire plaisir, d'ailleurs. La louve jaune tourna la tête vers son ami et le regarda dans les yeux :

- Puisque tu es neutre, la tâche est facilitée pour se rendre au camp ! Il faudra seulement veiller à ne pas rencontrer Kiba ou d'autres loups du lac, qui pourraient te reconnaître et nous attirer des ennuis. Mais je suis confiant, ça va aller ! On y va ?

Il s'était lever en vitesse et avait fait quelques pas. Elle rigola doucement et de releva. Elle l'observa pendant quelques secondes, perdant de nouveau son sourire. Jamais elle n'avait eu d'ami. Jamais. Et c'était le premier. Elle ne savait pas vraiment comment le remercier, n'y comment s'y prendre pour lui rendre la monnet de sa pièce. Alors, elle s'avança vers lui, les yeux baignés de larmes de bonheur et, doucement, la gorge nouer, murmura :

- Allons-y, Robin des Bois.

Elle se mit à marcher, à ses côtés. Elle regarda d'abord devant elle, balançant sa queue de droite à gauche, puis, elle regarda sur les côtés. Elle vit alors plusieurs loups, réunis. Elle poussa doucement Ada' en lui montrant l'endroit. Ils n'étaient pas si loin que ça du camp, en fin de compte. Elle prit l'initiative de s'avancer. Mais d'abord, elle se roula dans la neige pour masquer son odeur le mieux qu'elle le pouvait, et, sous le regard de son ami, de plaqua contre lui et se frotta le mieux qu'elle le put. Elle trottina alors vers ses "amis" les loups et les saluas d'un signe de tête. Mais soudain, elle aperçut la louve qu'elle avait attaquer. Celle-ci lui lança un regard noir et, dans un méchant sourire, balança :

- T'es revenue avec ton copain, à ce que je vois. Oh ! Fit-elle en voyant Adagio, mais qu'est-ce que je vois là ? Adagio... Mon chéris !

Elle s'avança vers lui et, dans un mouvement élégant qu'Ambre trouva répugnant, elle plaqua ses lèvres de son ami. Ambre haussa un sourcil, un sourire rieur pour son ami. Et bien, et bien... Il ne nous avez pas dit ça, le coquin !

- Et bien, l'ami. Je savais pas que tu avais une amoureuse ! Tu aurais pus le dire. Répliqua-t-elle, un brin ironique.

- Rûka, arrête ce comportement puéril je te prie ! Je n'ai pas envie de jouer à ton petit jeu ridicule et pathétique, alors laisse-moi en paix, ainsi que Ambre ! Te moque pas de moi alors qu'elle m'embête !

Rûka. Ambre savait donc maintenant comment s'apeller la petite-amie de son ami... Oui, on ne peut pas faire plus compliquer comme phrase. Ambre avait encore un peu rit, à la phrase de D'gio. Il avait prit un air enfantin, ce qui l'avait plus émue qu'amusait. Il était trop craquant, avec cet mine de reproche. Mais il redevient vite sérieux, quand la louve hivernale se leva. Déjà, Ambre avait envie de lui faire la peau. Cette Rûka n'avait pas l'air très futée, n'y très fidèle. Contrairement à Ambre, qui, pour rien au monde, ne trahirait Jason. C'est alors que le prénom fut prononcé. Mais pas par n'importe qui, par Adagio. Celui-ci, fixant les loups d'un air sévères, attendait des réponses. Pas des fausses en disant qu'on l'avait vu passer y a deux jours, non, des vrais.

- Je cherche Jason, vous ne l'auriez pas vu quelque part ??

La louve blanche et grise aux yeux bleus c'était coucher pas très loin. Elle se releva en entendant la question, et d'une vois traînante et sexy, elle adressa la parole à Jason. Ben oui, qui aurait l'idée de répondre à Ambre, alors qu'elle ne faisait pas partit du clan ? Son ami lui lança un coup d'oeil, comme si il cherchait de l'aide. Elle le comprenait ; cette louve était vraiment lourde.

- Ça fait un moment que je l'ai pas vu... C'est trop dommage... On s'amusait bien tous les deux...

Ambre dressa les oreilles, se releva d'un coup. L'amusement ne faisait plus partit de ses sentiments, à cet instant. Comment osait-elle dire ça devant la louve jaune ? Vite, la folie commença à reprendre le dessus. Les pattes bien enfoncer dans la neige, les muscles tendues, Ambre n'attendait que le signale de départ. Mais quel signal ? Il n'y en avait pas. Elle pouvait tuer cette louve à n'importe quel moment. Les yeux d'Ambre devèrent noir de rage, quand la louve aux yeux bleus passa sa langue sur ses lèvres. De suite, Ambre fut prise d'une envie de meurtre. Elle grogna méchamment. Un grognement sourd. Les loups sur les côtés reculèrent tous de quelques pas, laissant les problèmes des autres à leurs place.

Adagio, toujours à la rescousse. Il se posta devant Ambre et dit, d'une voix méchant :

- Tu n'as jamais côtoyé Jason, Rûka. Je suis même certain qu'il détesterait ta compagnie, de toute façon.

Mais les paroles d'Adagio ne firent pas effets. Ambre était rester fermer sur le "trop dommage..." de Rûka. Sans l'ombre d'un soupçon, elle plaqua son ami sur le sol. Les babines pleines de bave, elle grogna entre ses dents :

-Elle est à moi !

Ambre se détacha du loup gris, et d'un deuxième bond, elle sauta sur la louve blanche et grise. Elle lui mordit violemment la peau du cou et lui donna plusieurs coups de pattes dans la tête. De toute ses forces, elle essaya de la tuer. Pendant qu'elle donnait des coups, les larmes roulaient sur ses joues. Elle s'arrêta enfin, la louve encore consciente mais gravement blesser. Elle lui cracha dessus en lui disant d'une voix méchante et froide :

- T'avise plus de dire une chose de ce genre, sinon, tu risque de connaitre mon double...
- Je-Je... Je dis ce que je veut. Ton..., elle cracha du sang et toussa, Ton cher loup, il-il t'as trahis, c'est tout...

Ambre grogna de nouveau et lui asséna un coup à la tête- sans la tuer, bien sur. Non, il ne fallait pas dire n'importe quoi, sinon, cela coûtait la vie. Ambre, les babines pleines de sang, se tourna vers son ami. Pendant plusieurs secondes, elle le fixa des les yeux. Ces deux yeux gris, ronds comme des billes. Elle n'essaya même pas de lui sourire. Elle passa à côté de lui, le frollant de prêt. Oh, douce et pure folie, tu es mon amie... Elle s'arrêta quelques secondes, fixa Adagio, et lui dit d'une voix froide, sans trop le vouloir :

- Tu t'emmène, on a de la route.

Puis elle marcha. Elle marcha sans l'attendre. C'était son ami, bien sur, mais quand elle devient folle, il n'y a qu'elle, qui est sa véritable amie...

Lentement, elle marchait sur cette neige qui lui brûler, peu à peu, les cousiner. Mais elle n'abandonneras pas. Pas tant qu'elle ne le retrouveras pas. Jason était toute sa vie, tout son amour, son coeur, son soleil. Si elle le perdait, s'en était finie de la folle et joyeuse Ambre. La noirceur prendrait place en elle et c'est une Ambre froide et méchant qui viendrait à prendre place. Et c'est ce qui était entrain d'arriver. Depuis combien de temps l'avait-elle "perdue" de vue ? Depuis plusieurs mois maintenant, et elle ne s'en remettait pas. Les yeux vairons d'Ambre firent le tour du territoire et s’arrêtèrent sur un Adagio, assit dans la neige, l'air de pensée. Ces pensées n'avait pas l'air joyeuse. Alors, elle s'approcha de lui. Elle savait que ce qu'elle avait fait aller surement lui goûter sa place dans la meute. Elle s'en voulait. Elle commençait à culpabiliser quand Adagio ouvrit la bouche :

- On ne peut pas continuer à avancer comme ça, en comptant sur la chance. Il faut trouver autre chose. Mais quoi...

Alors qu'elle s'assit à son tour, elle sentit le désespoir de son ami lui monter jusqu'au nez. Oui, tout avait une odeur - du moi, elle le sentait, elle. Il avait la tête basse. Elle savait très bien que cherchait Jason était une tâche difficile, mais elle ne voulait pas, elle ne pouvait pas, abandonner. C'était trop dur de renoncer à l'amour de sa vie - bon, Adagio était pas mal en s'en genre mais... Ce n'était pas Jason. Ambre se gifla mentalement d'avoir penser à son ami d'une autre façon que d'une façon amicale.

- Je suis désolé, Ambre, je... Je suis incapable de t'aider... Je vaux rien comme ami.

Ambre eu envie de lui flanquer un coup de patte dans la tête. Il n'avait pas à dire de chose aussi affreuse ! Il ne valait pas "rien", en ami. C'était le loup le plus gentil et le plus serviteur qu'elle n'avait jamais rencontré. Alors, pour lui montrer - Punaise... Et dire qu'Ambre n'est pas du genre démonstrative. Profite, Ada'- elle s'approcha de lui et le serra dans ses pattes. La tête d'Adagio reposant sur le poitrail de la jeune louve - elle le séduit. Et alors ?- . Ambre lui susurra lentement à l'oreille, comme pour le rassurer - non ! Pas d'une voix suave ! Quand même... Bande de pervers- :

- Non. Non Ada', tu n'est pas nul. Tu es le loup le plus gentil, le plus patient et le plus serviteur que je n'ai jamais rencontrée. Comment peut-tu penser de toi ainsi ? Allez, vien, je sais où le trouver.

Elle partit alors vers la sortit du territoire. Il était surement en terre neutre. Ben oui, réfléchissez, elle est neutre, maintenant, alors surement est-il là-bas. Elle adressa un petit regard à Ada' et partit droit devant elle, l'attendant quand-même.