Je me réveillai au milieu des fleurs. Fleurs rouges...
Avaient-elles poussé durant la nuit où quoi ? Ah non.. C'était vrai..
La veille j'étais encore partis surveiller sur les frontière et étant plutôt solitaire de nature je n'aimais pas rester avec les autres. J'ai marché tout d'abord, le soleil était entrain de se coucher a ce moment là, et donc sous la lumière orangée de l'astre solaire je me suis éloigné, sans pour autant sortir des frontières de mon clan, de ma zone. En ce moment il était a l'honneur, vus que la saison qui le représentai était présente, c'est-à-dire le printemps. Il faisant pourtant gris, comme si l'hiver refusait partir. je n'aimais pas l'hiver, il faisait froid, la neige recouvrait tout en a un tableau blanc... J'avais contemplé l'horizon, et réfléchit, pensé au pourquoi du comment. Pourquoi le monde était-il toujours divisé, ente les jour et la nuit, les quatre saisons et puis surtout les êtres qui l'habitaient ?
Cela n'aurait-il pas était mieux d'être tous ensemble pour éviter les conflits ? La cause de tout cela je la connaissais. la divergence d'opinions, la peur de la différence, le rejet de ce qui étaient soit trop parfaits ou trop imparfait.
Bref, je suis resté un moment a contempler le ciel; comme dans un rêve, comme si j'avais tout mon temps. Mais ce n'était pas le cas. Le temps de tous était compté. Personne ne pouvais le ralentir, ou revenir corriger les erreurs du passé; je me suis endormis finalement. Et réveillé au milieu du champs, que je n'avais pas aperçut dans le noir. Enfin je n'avais pas les idées assez claires a ce moment là. Limite j'aurais été a côté d'un volcan en éruption où a côté d'un ennemi ç'aurait été pareil. Dans ces moment là j'étais en état de faiblesse. Heureusement, le vent était comme mon ami car il m'aidait. Il m'amenait l'odeur des proies ou des prédateurs. Il m'aidait a repousser mes adversaires. Il m'aidait a courir bien plus rapidement..... J'allais pouvoir en citer plein d'autre.
Et puis je me levai et m'étirai, écrasant quelques fleurs au passage. Je n'avais jamais vraiment faim, alors je décidai de reporter mon repas du matin a plus tard. Je ne voulais pas retourner vers les autres du camps. La solitude.. elle m'aidait et me faisait souffrir, elle était la maladie et l'antidote.. deux choses opposées qui n'en faisaient qu'une. Puis je commençai a marcher, de nouveau, dans ce champs qui semblait infini. La douce lumière du soleil m'accompagnait dans ma marche lente, et le vent soufflait , tout autour de moi. Au fond je pouvais apercevoir des montagnes, encore recouvertes de neiges. Le territoire de l'hiver était si près. Je frissonnai légèrement et regarda par terre. Le tapis de fleurs rouges s'étalait a mes pieds, des fleurs fragiles et pas trop grandes. Dans une excès d'énervement j'en frappai quelques une avec ma patte. Elle sont toute parties en lambeaux. Voila, j'étais énervé. Pas moyen de rester calme une minute. je m'ennuyais dans cette vie; il n'y avait personne.
Et puis une odeur me parvint, des effluves étranges, que je ne sentais pas souvent. Une odeur particulière que j'avais apprit a reconnaître avec quatre autres très distincte.Je murmurais un "merci" a l'air qui me l'avait donnée et avançai dans la direction de l'odeur. Un loup. Un loup de d'un autre clan qui venait su nos terres. Que venait-il faire là ? Ce n'était pas son heure...
Et je l'ai sans qu'elle n'ai pu me voir. C'était une louve, orangée, un peu étrange. Elle semblait au premier abord plutôt mauvaise et je voulut ne pas m'approcher. pas fuir non... Mais moi, qui suis souvent un téméraire, je m'approchai, voir sa réaction.
Si elle voulait le combat, tant pis. Etant loyal je me devais d'accepter totu adversaire qu'elle sois. Si elle voulait discuter je l'écouterais... Je verrais bien.