Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

La matinée s'annonçait prometteuse, mon pouvoir bien en main ma pproie ne méchaperait pas. Calme et résolut je m'avançais silencieuse comme la mort. La biche ne comprit la menace que trop tard, je lui bondis dessus avec agilité. Attrapée à la guorge le cervidé ne put que donner de violent coups de sabot. Je ressentis un choque dans l'une de mes pattes mais n'y pris pas garde. Nous tombâmes à terre et tous fut finit en peu de temps. Alors que je tentais de me relever je m'aperçus que mon membre antérieur gauche ne suportait plus mon poids. La douleur en irradiant voila un instant mon regard.

Bon sang ! Elle ne m'a pas loupée !

Se relever sur trois pattes n'étant pas une mince affaire je ne pus retenir un gémissent quant mon membre blessé toucha par mégarde le sol. La douleur commençait à devenir de plus en plus vive. Non loin j'aperçut un ruisseau et mis dirigeais en sautillant maladroitement, aboandonnant pour quelques instant mon repas si durement gagné.

Prudement je pénétrais dans l'onde calme, allant jusqu'à lendroit le plus profond où l'eau m'arrivait au poitrail. La fraiîcheur disipa la douleur, à moitié assomée je regagnait la rive,descendre s'était simple mais remonter l'était beaucoup moins. Je ne possédait pas les forces nécessaire pour le moment aussi m'allongeais-je dans l'eau peu profonde, posant me tête sur un pierre plate hors du liquide bienfaisant.

J'avais dû m'endormir car lorsque je rouvris les yeux se fut pour apercevoir un loup immaculé sur la rive opposé. Comment cela se faisait-il que je ne l'ai pas entendu arriver ? Oubliant mon état je bondis sur mes pattes... manquant finir le nez dans l'eau lorsque la douleur fusa à nouveau. J'étais si vulnérable, s'en était insuportable.

Bon sang quel pétrin !

Je marché depuis pas mal de temps déjà, repensant au loups écarlate que je venais de croisé il y a quelques jours lorsque mon estomac me ramena à la réalité d'un grondement sonore. Une douce odeur de sang parvint à mon nez, tiens donc, étrange quoi que pas tant que sa puisque de plus en plus de loups circulait par ici. J'allais rebroussais chemin quant un bruit de lutte me parvint, suivit des bramement de la proie vaincu. Intrigué je me dirigeais vers leur source, quelle ne fut pas ma surprise après plusieur minutes de découvrir l'animal fraîchement tué laissé à l'abandon.

Quel gâchis ! Pensais-je tout en m'approchant de la carcasse après n'avoir remarqué aucuns signes de vie alentour. Franchement on ne manquait peut être pas de nourriture mais ce n'était pas une raison pour tuer sans consommer.

Alors que je m'apprétais à mordre dans la chair presque froide je captais l'odre d'une automnale, j'eus beau chercher partout il n'y avait personnes. Délaissant la biche je suivis mon nez, bondissant au-dessu d'un petit ruisseau je perdis sa trace. Se fut en me retournant que je la découvris, étendue dans l'eau, elle paraissait morte mais en l'observant mieux je perçus son souffle légers. Son pelage d'un beau brun laissait entraperçevoir sa fine musculature, sous l'un de ses yeux des taches rouges et vertes dénotaient son appartenance à l'automne.
Son corps ne portait nul trace de blessure alors pourquoi se trouvait-elle là ?

Elle finit par se réveiller et en m'aperçevant elle prit un air menaçant en se redressant vivement. A ce moment là je comprit en le voyant manquer tomber que s'était l'une de ses pattes qui était touché. Elle retint vaillament sa douleur.

- Est-tu blessée ?

Puis je compris, elle n'était pas parvenue à sortir du cours d'eau.

- Attend ! Je vais t'aider !

D'un bond souple je fus près d'elle et utilisais mon pouvoir pour tailler la berge afin que cela lui soit plus facile. Mon pouvoir m'obeit au quart de tour et devant nous la terre se tassa en une pente douce. Voyant sa perplexité je fis le premier pas et l'attendis, assis sur l'herbe tendre.

Malgré ma posture peu engageante le loup blanc prit une posture nonchalante, ses yeux ne reflétant qu'inquiétude et peut être une pointe de méfiance. Après un loup acculé est dangereux surtout s'il se sent menacé. La question qu'il me posa me laissa perplexe.

"Est-tu blessée ?"

A ton avis si je suie là c'est bien qu'il y a un problème ! Toutefois il n'y avais pas à chercher bien loin pour le voir. Je baissais la tête, honteuse de la situation dans laquelle je me trouvais.

"Attend ! Je vais t'aider !"

Et sur cette simple phrase il atterrit souplement dans l'eau, projetant une pluie de goutellette sur mon pelage. Je m'attendais à ce qu'il me soutienne jusqu'au bord mais il n'en fut rien, devant mes yeux ébahis la terre sembla prendre vie. Du coin de l'oeil j'observais l'étranger avec suspicion, celui-ci concentré ne le vit même pas. Qu'était-il en train de manigancer ? Imperceptiblement je bandais mes muscle dans l'attente. Mais de quoi ? Je n'en savais rien.

Devant nous le sol cessa de bouger et, perplexe, je constatais que la berge venait de prendre un aspect moins dure à gravir. Mon "sauveur" s'y engagea en premier afin de me prouver que je ne risquais rien puis il s'installa sur l'herbe. Se fut avec d'infinis précaution que je gravis la terre fraîchement retournée et tassée, sautillant maladroitement.

Je réussis à arriver à destination sans le moindre problème pour aller m'asseoir devant lui, tachant déviter tout contact avec le sol.

- Merci, sans vous je pense que j'aurais mis une éternité à sortir. Vous m'avez aidé, je vous dois donc un service, du moin si c'est en mes moyens.

Mon interlocuteur avait un aspect peu ordinaire que je ne remarquais que maintenant, son pelage blanc imacullé ainsi que la touffe de poils bleu qui tombé pêle mêle sur ses yeux étaient... comment dire, très peu ordinaire ? Oui, quelque chose dans ce genre. N'étant plus dans l'eau les douleurs revenais par touches de plus en plus vives.
Patiente, je fis face tout en attendant sa réponse.

"Merci, sans vous je pense que j'aurais mis une éternité à sortir. Vous m'avez aidé, je vous dois donc un service, du moin si c'est en mes moyens."

Quelle idée étrange, surtout venant d'une louve automnale. Oui, à présent j'avais confirmation qu'elle appartenait à ce clan, mon nez ne mentait jamais. D'agréables effluves de terre humide, d'humus, de feuilles et de mousse me parvenaient. Ainsi elle passait plus de temps en forêt que dans des endroits découverts. Sa fourrure marron, basique, n'en avait pas moins l'air douce quoique un peu rèche ; ses grands yeux s'ouvraient sur le monde, analysant chaques choses avec intelligence. Une étrange babiole... collier... hornait son cou et, durant un instant je crus percevoir un éclatau coeur de la pierre bleue.
Afin de ne pas la faire attendre d'avantage, et après avoir entraperçut la douleur qu'elle tentait de cacher par fierté ou je ne sais quelle autre lubie, je dis d'une voix himble et sans arrière pensées :

-Ne vous inquiétez pas, je ne demanderais rien d'impossible.

Mon regard se posa sur sa patte blessé, qu'elle ne posait d'ailleur pas au sol. Un loup estropié ne survivrait pas bien longtemps, se nouririr lui deviendrait difficile voir impossible. Je pris ma décision.

-Permettez moi de m'occuper de votre blessure. Je ne suis peut être pas guerrisseur mais je possède quelques notions dans ce domène.

J'avais acquis ces dernières sur le terrain, lorsqu'il m'arrivais de me blesser. Je me servais alors de mon don avec la terre même s'il m'avais fallus un peu de temps pour comprendre comment l'utiliser de cette façon.
Mon interlocutrice me lança un regard méfiant, s'attendant sans aucuns doute à une mauvaise farce.

-Je vous promet que je n'ai nul intention de vous faire du mal. Si cela peu vous convaincre je prête serment ici même ; ajoutais-je en plantant mes iris dans les siennes avant de me racler la gorge pour poursuivre. Sur mon honneur de loup, moi Blue White, solitaire, jure de ne tenter nul actes malveillant envers... euh... comment vous appelez-vous ?

Mon beau discour venait de tomber à l'eau à cause d'une faute que j'aurais pus éviter si j'avais réfléchis un temps soit peu. Je lui fournis donc un sourire d'excuse, terriblement gêné de ma stupide bêvue.

L'intrépidité du loup n'avait d'égale que son incommensurable bonté d'esprit. Peut être ses intension était-elles honorable cependant rien ne me ferais changer d'avis. Je ne laisserais pas à un inconnu le soin de penser ma blessure, s'était déjà bien assez embarassant de mettre montré à lui ainsi sans qu'il ne se sente obligé de me proposer son aide. D'un autre côté je me savais bien incapable de rentrer en terres automnale dans cet état, je ferais une cible trop tentante pour tout prédateur ou tout autre loups aux intension peu honorable. J'avais posé sur lui un regad méfiant et distant afin de l'empêcher de tenter quoi que se soit. Cependant j'avais sous-estimer la tenacité de mon sauveur car il dit une chose très étrange mais dont je ne pouvais pas ignorer la signification.

"Sur mon honneur de loup, moi Blue White, solitaire, jure de ne tenter nul actes malveillant envers... euh... comment vous appelez-vous ?"

L'effet voulut n'eut pas réelement lieu cependat il ne faisait aucun doute que l'autre était sincère dans ses propos. A présent que je savais son nom je parveint à me convaincre de le laisser agir.

-Faelwen. Je vous remercit de ne pas avoir profité de mon étourdissement pour... enfin vous savez de quoi je veux parler. Estce qu'accepter votre aide serait suffisant pour me faire pardonner mon attitude ?

Sa posture m'indiqua qu'il se sentait coupable ais de quoi, ça je n'en savais strictement rein. Il n'avait pourtant rien fait de déplacé. Moi qui n'aimais pas avoir de dettes et bien voilà que je venais d'en contracter une sans le vouloir.

-Voudriez-vous... voudriez-vous parager mon repas, c'est la moindre des chose que je peux faire pour vous remercier, enfin jusqu'à ce que je trouve une meilleur façon de vous prouver ma gratitude.

Je sourit, plus pour me prouver que j'avais eu raison d'agir ainsi que pour mettre le solitaire à l'aise.

Up aux participants. ~

C'est pas que ça me dérange qu'on m'ignore littéralement, mais prenez une décision ; vous répondez ou j'archive ?