Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !
A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !
Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !
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Lun 27 Nov 2017 - 13:10
Le monde avait repris son manteau aux couleurs du paradis pour couvrir le printemps de bienfaits. Ses habitants de semblaient pas avoir remarquer que la terre c’était égayer, à l’approche de l’automne et de la triste agonie qu’elle trainait derrière elle, mais Seira marchait désormais le cœur léger. Le Solstice était son allié, les autres nations possédait un cœur tendre, qu’après une discussion très intéressante avec son conseillé favori, elle saurait charmer. Et rien, sur sa terre, ne pouvait lui faire croire que quelque chose pourrait mal se passer.
Cela n’enlevait pas à Seira tout ses soucis, mais elle se sentait beaucoup mieux. Surtout depuis que Vierhs lui apportait ses conseils avisés. Si sa relation avec le loup blanc n’avait pas échappé aux loups du printemps, qui le voyait souvent accrocher à ses pattes, personne ne se doutait réellement à qu’elle point elle était intime. La nuit passée, l’albinos avait anéantie ce qu’il restait de soucis par ses tendresses dont Seira raffolait.
Sous l’air frais du matin, alors que les cerisiers partageaient leurs dernières couleurs avant de se laisser assassiné par l’automne, la noiraude s’étira longuement avant de poser ses yeux claires sur ce peuple qu’elle aimait tant. Les veilleurs s’en revenait de leurs patrouilles nocturnes et un autre groupe prenait la relève. Les nourrices récupéraient les louveteaux des chasseresses et les soldats, plus vaillants que jamais, entrainait leurs puissances par de nombreux entrainements non loin de là. L’alpha eut un soupire de contentement et sauta du petit piédestal qui marquait l’entrer de sa tanière.
A peine eut-elle toucher le sol que la présence discrète, mais au combien dérangeante, de Vice la fit sursauter.
- Vice ! – rouspéta-t-elle. – Je t’ai déjà dit de ne pas de poster ici.
La blonde connaissant le tueur depuis qu’il était enfant. Elle ne pouvait nier qu’il avait bien grandit et que, de se fait, ses multiples entrainements lui avait réussi. Cependant, en digne héritier de l’imposant Rage, Vice bénéficiait d’un charisme inné qui la faisait frisonne. Cela dit en passant, Seira était d’avantage impressionner par le corps vieillissant – et pourrissant – de son père que par la frimousse fourbe de son fils.
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Lun 27 Nov 2017 - 14:39
Le lychen.
With Seira & Vice.
Vice venait de se prendre des réflexions dans la figure de la part de son père. Il ne voulait plus le voir absent aux entrainements ! Certes, Vice savait se battre, il connaissait certaines techniques, il avait des réflexes et son corps avait muri et s’était musclé ; mais ce n’était pas une raison pour sécher les cours de maîtrise d’autrui. Du moins, c’est ce que disait le vieux Rage. En revanche, le fiston n’était pas de cet avis. Il n’avait que faire des entraînements, il se sentait prêt pour affronter n’importe qui. Il se l’était même prouvé lorsqu’il arrivait à mettre au sol n’importe quel adversaire lors des cours. Papa Rage raconta une énième fois son passé comme pour lui donner une leçon ; comment avait-il atteint son précédent rang, comment avait-il obtenu cette force, cette musculature ainsi que cette maturité. Vice et Herrade connaissaient son histoire par cœur, c’était redondant voir chiant. Le jeune mâle décida de s’éloigner, ignorant les propos de son père qui ne cessa de grogner contre lui.
Il était assez loin pour ne plus entendre Rage l’engueuler, assez loin pour qu’il se fasse un peu oublier jusqu’à son retour. C’est vrai qu’il passait de moins en moins en temps avec eux, ni même avec son moniteur, mais il avait trouvé bien mieux à faire. Ses aventures risquées étaient plus intéressantes que quiconque. Ca lui plaisait de rencontrer des inconnus, de voir de nouveaux paysages… Aucune sortie ne se ressemblait. L’une pouvait amener à un désaccord et une bagarre entre lui et l’inconnu, et une autre pouvait au contraire lui faire vivre une expérience de dingue ! Donc, la Plaine aux Cerisiers, il ne la voyait plus beaucoup ces derniers temps. Il en profita pour la redécouvrir à nouveau, maintenant qu’il s’y trouvait. Il observa alors autour de lui, y vit des visages encore connu que de nom, d’autres qui devaient être si discrets que Vice se demanda s’il ne s’agissait pas d’espions. Et, à contrario, des loups totalement familiers comme Herrade, Viehrs, … Et Seira. Tient. Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu. Elle était plantée en haut de son piédestal, admirant les printaniers. Il se souvenait qu’autrefois, petits, ils faisaient la course et jouaient à cache-cache. Un immense sourire nostalgique apparut sur la face du mâle et il décida d’aller à sa rencontre.
S’avançant au trot prêt de sa tanière, Seira lui fit face sans qu’il n’ait eu le temps de réfléchir à comment l’aborder…
« Vice ! Je t’ai déjà dit de ne pas te poster ici. »
Elle n’avait pas l’air très enthousiasmée de le voir… A la plus grande déception de Vice, celui-ci eu envie de s’enfuir, se rappelant qu’à présent, Seira était hautement placée dans la hiérarchie printanière et qu’elle avait surement mieux à faire que de discuter ‘enfant-joujou-nostalgie’ avec le tueur. Elle avait des responsabilités surtout en ce moment. Malgré tout, Vice, toujours souriant par politesse, la salua comme si elle était sa meilleure amie de toujours.
« Eyyyy, Seiraaaaaa ! J’passais justement par-là ! Mais ça fait un bail hein ! »
Mais quel couillon de première. Quel salut pourrit. C’était pas du tout un hasard s’il s’était retrouvé là, au pied de la tanière de la jeune dame, et ça même le plus crétin des idiots l’aurait deviné. « Ça fait un bail » ? Mais c’est quoi cette approche merdique ? Bien sûr que ça faisait longtemps qu’ils ne s’étaient pas parlé tous les deux, mais dire que ça fait « un bail », va-t-elle savoir qu’il s’absente très souvent du territoire printanier ? … Bon sang. Quel débile.
Néanmoins, malgré son malaise, Vice se permit de poser son arrière-train au sol pour paraitre plus à l’aise. Il observa la blondinette et s’avoua qu’elle changeait beaucoup de jour en jour. Elle grandissait. Comme tous ici. Et son poste, sa maturité ; tout lui allait bien. Elle méritait le printemps tout comme le printemps méritait quelqu’un comme elle. A cette pensée positive et rassurante, Vice battu l’air de sa queue, la joie noyant tout de même son petit esprit biscornu.
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Seira
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Lun 27 Nov 2017 - 19:12
Ce qui dérangeait le plus chez Vice, c’était son regard furibond. Petit déjà, l’alpha avait eut du mal à supporter son regard doré qui donner l’air briller comme le soleil, même dans la nuit la plus noire, et qui semblait vous perforé l’âme avec tant d’insistance qu’elle vous laissait pantoise. On disait que le louveteau possédait les yeux de sa mère, deux perles rosée unique et merveilleuse, dans un monde où on remettait en doute le concept de beauté chaque jour, mais Seira ne voyait pas en quoi un regard aussi perforant pouvait être beau. A vrai dire, elle n’avait qu’entrecroisé Acédie. C’était à peine si, à l’époque, elle avait levé ses yeux à peine ouverts vers les siens, alors se souvenir d’elle et de cette part d’elle qui la rendait magnifique, était mission impossible.
Le tueur remuait la queue, comme le louveteau qu’il avait été jadis et souriait avec une telle candeur que l’alpha des fleurs ne put que soupiré. Vice avait peut-être changer physiquement, mais mentalement il restait le même. Dans un sens, cela la rassurait.
- Ouai, c’est vrai. Ça fait un bail.
Ils avaient grandi côte à côte, jouer à la course et à la bagarre, mais vers l’adolescence quand ils avaient commencé leurs entrainements tout avant changer. Vice était parti rejoindre la branche des véloces tueurs, alors que Seira, promise à un grand avenir par son père, faisait ses armes chez les soldats pieux et strict. C’était à cause de cet entrainement rigoureux que la louve avait adopté un comportement ferme, mais elle ne semblait pas regretter sa jeunesse passée.
- J’ai des choses à faire ce matin… - Elle fit un petit geste de tête en direction d’un ruisseau qui courrait au loin. – Tu veux m’accompagner ?
La blonde n’aimait pas s’encombré les pattes de loup, seul Vierhs lui était assez appréciable pour marcher dans ses pattes à longueurs de temps et encore, mais le rictus enfantin de Vice l’attirait dans un monde de nostalgie où elle faisait parti de cette petite bande d’adorable tuants.
- C’est très ennuyant, mais si tu as du temps libre, alors autant en profité. Tu dois être très pris maintenant.
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Mar 28 Nov 2017 - 0:46
Le lichen.
With Seira & Vice.
La honte… Il devait passer pour le pire des idiots… Lui qui voulait juste la saluer et lui rappeler le bon temps… C’était raté… Enfin, c’était encore trop tôt pour s’avouer vaincu, la journée n’était pas terminée. Vice avait bien évidemment un côté immature et enfantin très prononcé, mais il savait se montrer adulte, responsable et mûr. Il aurait aimé le prouver à Seira d’ailleurs. Mais étant très maladroit, ça n’allait pas être chose facile. Bien souvent, lorsque Vice souhaitait bien faire, il faisait le contraire. Il s’enfonçait, passait pour un con et était vu comme un loup ayant le syndrome de Peter Pan. Ce qui n’est pas totalement faux, certes. Mais il pouvait être sérieux le petit Vice ! Oui, c’était possible. Notamment lors de ces missions les plus secrètes. Malgré ça, pour le moment, la Bêta se contenta de soupirer face à l’air niais de Vice avant d’acquiescer.
« Ouai, c’est vrai. Ça fait un bail. »
Seira n‘avait pas du tout l’air emballée de le voir, pourtant, pour la première fois depuis assez longtemps, Vice avait pris le temps de se laver, se démêler la mèche et prendre soin de lui. Donc pour une fois qu’il se présentait propre devant quelqu’un, il avait bien l’intention d’en profiter. C’était fou comme il se sentait bien d’ailleurs… M’enfin, ça, ce n’était qu’un détails… Il se redressa suite à la demande intéressante de la blondasse :
« J’ai des choses à faire ce matin. Tu veux m’accompagner ? C’est très ennuyant, mais si tu as du temps libre, alors autant en profité. Tu dois être très pris maintenant. »
Il dressa ses oreilles sur son petit crâne aussi sombre à l’extérieur qu’à l’intérieur. Avait-il bien entendu ? Vice était autorisé à l’accompagner ?! Quel privilège ! Il suivit son regard et observa également le petit et calme ruisseau qui traversait la plaine. Pendant une seconde, Vice se demanda à quoi pouvait ressembler la vie d’un être aussi haut placé. A quoi se résumait ses journées ? Faisait-elle la fête des fois ? Voyait-elle encore ses amis ? Le jeune mâle s’empressa d’accepter son invitation.
« Nan, j’suis libre comme le vent ses derniers jours. J’te suis ! »
Il était content et fier. Peut-être allait-il l’aider à agencer un nouvel endroit ? Ou peut-être allait-il l’épauler pour prendre une décision ? Cette journée risquait d’être intéressante ! Vice tourna autour de la femelle, admirant ses nouvelles formes de jeune adulte. Il était heureux de pouvoir l’accompagner. Il espérait ne pas se montrer trop oppressant avec elle… Et c’était mal partit… La pauvre…
« C’est où qu’on va en premier ? On va voir les chasseurs ? Les malades ? Les louveteaux ? On doit donner des ordres à qui ? Toi tu commences par faire quoi ? T’as des gens qui viennent te voir des fois ? Tu vois des amis des fois ? Et est-c’que tu préfères les lapins ou les écureuils ? Moi j’préfère les lapins, c’est plus drôle à poursuivre. »
Il ne pouvait la quitter des yeux, tout excité.
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Seira
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Mar 19 Déc 2017 - 9:46
Seira admirait la capacité de son ami d'enfance à caracoler comme une jeune faon, tout comme cet esprit d'enfant qui ne semblait ne pas l'avoir quitter. Dire qu'un jour, elle avait crus que Vice avait grandit quand on lui avait annoncer qu'il débutait son entrainement de soldats. Elle s'était grandement tromper.
- C’est où qu’on va en premier ? - lui demanda-t-il en lui tournant autour comme un jeune chiot. - On va voir les chasseurs ? Les malades ? Les louveteaux ? On doit donner des ordres à qui ? Toi tu commences par faire quoi ? T’as des gens qui viennent te voir des fois ? Tu vois des amis des fois ? Et est-c’que tu préfères les lapins ou les écureuils ? Moi j’préfère les lapins, c’est plus drôle à poursuivre. - Vice arrête de me tourner autour...
Il lui donnait le tournis avec ses idioties et ils finiraient pas se faire remarquer s'il ne s'arrêtait pas. L'alpha essaya d'avancer malgré son remue ménage. Elle eut l'air d'une planète qui se déplaçait avec son étrange satellite, essaya en vain de ne pas s'en formalisé, mais Vice était un bout en train qu'on ne pouvait ignoré longtemps.
- Baisse d'un ton je t'en pris. On ne va donner d'ordre à personne, on va s'assuré que tout se passe bien et, dans le pire des cas, régler des conflits entre deux loups. C'est tout.
Le travail d'alpha était palpitant, autant qu’épuisant, mais elle ne voulait pas avouer au tueur qu'elle effectuait tout les jours ce qu'il semblait brûler de vouloir faire. Être meneuse n'était pas un jeu, mais une responsabilité.
- Ce n'est pas un jeu Vice, c'est très différents que tout les postes qu'on ait put occuper.
Tout en parlant, elle s'éloigna de sa tanière pour se diriger vers le ruisseau où l'attendaient probablement la classe des soldats qui entrainement avec celle des tueurs pour parfaire leurs techniques de combats. Quel mauvais choix avait-elle fait là, car la journée se couvrait déjà de nostalgie.
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Dim 7 Jan 2018 - 22:46
Le lichen.
With Seira & Vice.
A peine étaient-ils tous deux partis pour l’aventure quotidien d’un printanier Alpha que la femelle paraissait déjà épuisée de la présence de l’andouille qui se dandinait autour d’elle… Elle ne manqua pas de le lui montrer avec ses remarques ;
« Vice arrête de me tourner autour... Baisse d'un ton je t'en prie. On ne va donner d'ordre à personne, on va s'assuré que tout se passe bien et, dans le pire des cas, régler des conflits entre deux loups. C'est tout. »
Ses oreilles dressées, bien droite sur son crâne, Vice était à l’écoute de chaque mot de Seira. Il avait conscience d’être peut-être un peu trop collant, mais il ne pouvait s’en empêcher. Il pensait faire bien, correctement. Pour lui, il posait les bonnes questions, malgré qu’elles soient nombreuses. Le tueur préféra rester silencieux quelques instants, restant aux côtés de son amie. Cette dernière s’empressa de donner un détail important et pourtant simple à deviner :
« Ce n'est pas un jeu Vice, c'est très différent que tous les postes qu'on ait put occuper. »
Vice, poliment, acquiesça d’un simple signe de la tête. Son regard était d’abord poser au sol, jusqu’à ce qu’il le redresse et vit la direction qu’ils étaient en train de prendre. Il fit les gros yeux. Merdre. Les tueurs... Les soldats… Il fallait la jouer fine… Vice avait loupé tant d’entraînement, et quelle honte pour lui de se faire remonter les bretelles devant l’Alpha Seira. Vice préféra faire comme si de rien n’était… En plein entraînement, et avec un peu de chance, les loups ne remarqueront pas l’absence de Vice parmi les tueurs, ni même sa présence près de la femelle… Hum… D’ailleurs. Si ce n’était pas la classe ça… Arriver, escorté par mademoiselle Seira, Alpha printanière en personne… Yeah.
Lançant un regard discret à la femelle colorée, Vice bomba le torse, se redressa le plus possible et entreprit une nouvelle démarche comme s’il avait un balai dans le popotin. Les lèvres en cul de poule, la queue bien positionnée, on pourrait croire qu’il se rendait directement à un repas de bourgeois de l’ancien temps. Et le pire dans tout ça… C’est qu’il pensait avoir la classe là…
« Allons-y, chère Seira. Ne perdons pas de temps. »
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Seira
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Jeu 1 Fév 2018 - 12:54
Seira était très mitigé vis-à-vis de la position que Vice. N’avait-il rien compris ? Elle lui jetait un regard déconfit, tout en se demandait si c’était une si bonne idée que cela de trainé avec son ancien ami d’enfance. Visiblement il ne savait pas faire la différence entre elle et son poste, comme tout le monde il l’associait à son rang. Ses épaules s’affaissèrent sous l’effet de son long soupir, elle n’aurait jamais cru dire cela un jour, mais l’espièglerie discrète de Vierhs lui manquait atrocement. Au moins, le loup blanc savait la considérer comme une louve et non comme une couronne.
- Vice, s’il te plait. Arrête tes idioties.
Elle voulait se montrer si douce et gentille avec son ami, mais elle avait du travail. Elle le dépassa, le visage renfermer dans une mine renfermer, mais coutumière, se dirigeant d’un pas ferme et décidé vers les berges où s’entrainait les nouvelles recrues.
L’alpha bondit par-dessus la petite bute de terre, derrière laquelle s’assaillait les instructeurs en attendant que les jeunes loups se rassemble, s’assit en silence en entourant ses pattes de sa queue touffue. Le regard sévère qu’elle posa sur les bleus n’échappa pas au vétéran qu’il la salua en silence d’un ample mouvement de tête avant de s’approcher d’elle.
- Dame Seira, qu’elle plaisir de vous voir ici.
En réalité, il n’était pas heureux de la voir. La blonde venait les voir tous les matins comme si l’entrainement des futurs soldats étaient une chose essentielle dans ses plans. D’ailleurs, le vétéran faisait parmi de ceux qui était contre la nomination de Seira au poste de dirigeant, il aurait largement préféré que ce soit l’un des fils de Myosotis qui prenne la relève de sa mère et non une bêta ambitieuse. Cependant, il avait rapidement étouffé ses protestations, mis de côté tout ce qu’il avait perdu pour mettre Myosotis sur le trône du printemps, quand il avait remarqué la détermination dans le regard de Seira. Il avait en parti fait son éducation militaire et il savait à qu’elle point elle pouvait se montrer cruel, bien plus que sa sœur qui mettait un point d’honneur à exceller dans ce qu’il y avait de plus belliqueux.
- Vous êtes venu accompagner aujourd’hui, ma Dame ? - En effet.
Le vieux loup posa un regard sévère en arrière alors que la dame colorée prêtait toute son attention aux jeunes escrimeurs qui donnait des coups de pattes et de crocs à leurs adversaires. Nul doute que la futur garde du printemps serait de qualité.
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