Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Rendez-vous là ou le vent fait frémir la terre cher compagnon d'infortune[Ft. Messala]
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Sam 18 Fév 2017 - 17:32


❧ Messala

Les terres automnales... Il aimait cet endroit, il lui rappelait ses terres hivernales chéries mais inaccessibles. Et tout particulièrement cette vallée, le vent qui y couchait les herbes était imprégné de l'odeur du bois humide, des lièvres blancs, de terre meuble après avoir été chauffée par le ventre d'un loup, du lichen qui pousse le long des arbres...

Mais ce n'était pas par nostalgie qu'il était venu par ici. En effet, il avait entendu une rumeur à propos d'un "deux pattes" qui vivrait ici. Le lupin ne s'attendait point à des merveilles mais la perspective de revoir un de ses semblables lui mettait du baume au cœur. En fait, peut-être pourrait il savoir comment ce dernier était venu ici et comment en repartir... Pas qu'il n'aime pas les terres de Fs, son ancienne vie lui manquait et il était désireux d'étreindre sa compagne ou sa mère une dernière fois.



Tout son voyage durant, il avait répété son discours à l'égard de l'humain; Il s'était servi de ses dernières bases de langage terrestre afin de modeler quelques phrases qui lui semblaient un peu étranges, surtout sorties de la gorge d'un loup. 


A l'abord d'une falaise, il sentit enfin une odeur prometteuse...Celle d'un homme d'approximativement quarante ans aux vêtements élimés et sales mais desquels émanait une humanité mal dissimulée. Une humanité primitive et chancelante qui s'évanouirait en même temps que son unique représentant en ce bas monde. Cette même humanité dans laquelle il baignait inconsciemment dans sa vie antérieure, à peine plus assumée.

Duke s'approcha doucement d'une petite bâtisse qui se dressait farouchement entre les herbes battues par le vent, entourée de grillage afin de repousser ses adversaires les moins farouches et civilisés. Il resta à distance plusieurs longues minutes avant d'enfin se décider à mouvoir sa carcasse jusqu'aux abords de la maisonnée. Il observa les volailles courir dans tous les sens en le voyant sans vraiment s'y intéresser jusqu'à ce qu'un grincement ne le fasse lever les yeux.

Il était grand, trapu, carré avec un visage fermé et une expression que la terreur avait marquée. Ses petits yeux bruns étaient enfoncés dans leurs orbites. Il flottait dans ses nippes trop grandes mais il ne semblait s'intéresser qu'au Duc. Ce dernier plongea ses grands yeux bleus glacier dans ceux du fermier qui sembla tout d'abord déstabilisé puis, dans un accès de colère, il s'empara d'un fusil qu'il braqua sur la jeune mâle. Déçu, Duke recula respectueusement avant de tourner les talons et de s'éloigner sans demander son reste.



Finalement, la vue de cet humain de l'avait pas réconforté. Il n'était plus sur de ce qu'il était, et de ce qu'il voulait être.
Cet homme n'en était pas un, c'était une bête traquée aux allures simiennes et vaguement humaines mais Duke lui-même était mentalement plus humain que lui... 




Au cours de ses pérégrinations, le Duc ne remarqua même pas la silhouette imposante qui s'approchait de lui. Lorsqu'il leva les yeux, il se trouvait face à un grand mâle au pelage noir de jais et à la chevelure impétueuse... Comme la sienne, mais en mieux coiffée.  Il arborait une cape rouge sombre et avait une carrure imposante, pas comme celle du Duc, svelte et souple comme un chat.

-Bien le bonjour camarade estival Lâcha t'il sur un ton aimable afin d'éviter une altercation avec cette montagne de muscles

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