Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Perdue [Libre]
Invité
Invité
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Jeu 26 Jan 2017 - 20:41

[Désolée, c'est court. Je me rattrape au prochain post ^^]

Je me suis levée de bon matin, ayant entendue dire que les estivaux avaient besoin d'aide. Selon, certains loups, un volcan serait entrer en éruption, expliquant les secousses que nous avions ressentis. Voulant bien faire, j'étais partis vers la terre des estivaux, mais il semblerait que je me sois perdue en chemin.

En effet, le froid dansait autour de moi, me donnant des frissons. Je n'avais pas si froid que cela, mais je ne trouvais pas que c'était agréable. Je regardai autour de moi, cherchant des indices qui me situait. Bien que je m'étais rapidement rendue compte que j'étais dans le territoire de l'hiver, je ne reconnaissais pas du tout la place. D'ailleurs, le brume m'empêchais de bien voir et je devais donc avancer à l'aveuglette. Oubliant, que j'avais des ailes, je continuai de m'enfoncer dans cette étrange forêt, cherchant la sortis.

J'étais un peu nerveuse, inquiète pour le sol des loups, me demandant s'ils allaient survivre. Au bout d'un moment, j'arretai de bouger. Un bruit ayant retenu mon attention.

-Il... Il y... y a q-quelqu'un?

J'attendis un instant, incertaine. Puisque je n'avais pas de réponse, je crus que c'était le vent ou de la neige tomber sur le sol. Je continuai ma route, mes ailes bien resserrer contre mon corps. Je pouvais les faire disparaitre, mais j'aimais bien les avoirs avec moi. C'était pratique pour retrouver son chemin.
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Invité
Invité
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Lun 17 Avr 2017 - 22:23

Ombredragon
Ombre était revenu du territoire de l’Eté pendant la nuit. Son lieu de sommeil favori étant un endroit froid, il avait prévu de retourner aider les loups de l’Eté avec le problème de volcan lorsqu’ils auraient commencer à s’organiser. Avant cela aller sur leurs terres étaient dangereux et surtout inutile selon lui. Ils avaient assez de problème à gérer il n’avait pas besoin de leur en rajouter. Il songeait donc qu’il leur viendrait en aide lorsque les choses seraient plus stables. Pour l’heure il était allé se rendormir dans le territoire de l’hiver. Plus exactement dans la forêt de brume, un lieu qu’il affectionnait particulièrement. Couché sur une branche il n’avait pas vu la nuit passer. Une patte dans le vide, ses ailes pendant de chaque côté de son corps lui faisait garder un certain équilibre.

Lorsque le matin pointa son nez et que la forêt se remit en activité, le loup ailé s’éveilla. Un peu pâteux il était victime d’un vilain mal de tête. Cela était sans nul doute lié à la fumée nausée à bonde qu’il avait humé la nuit dernière. Les maux de tête passeraient donc en restant dans un lieu où l’air est plus pur. Mais dans la brume l’air lui brûla avant tout les poumons, du moins jusqu’à ce que son corps se réhabitue à la chose malgré qu’il soit là depuis des heures. Lorsqu’il se réveillait il ressentait tout de manière plus importante, et cela ne l’aidait pas vraiment. Mais pour le moment il oublia le mal que lui causait ses voies respiratoires et descendit de son perchoir pour se mettre en quête d’un truc à se mettre sous la dent. De manière tout à fait égoïste il voulait manger du faon, mais il savait que s’il en trouvait un, alors il serait incapable de le tuer. D’abord parce que l’animal était jeune et qu’il songeait qu’il a une vie à vivre. Ensuite parce qu’il penserait à la biche qui souffrirait sans doute de la perte de son petit… Il savait que toutes ses pensées étaient futiles, qu’il était sensé être un prédateur et qu’il était toujours sensé se nourrir en tuant. Mais la plupart du temps il vivait comme un charognard.

Il envoya alors son regard se balader de partout et trouva rapidement la carcasse d’un sanglier laisser là par il ne savait qui. A cause du froid la viande était sans doute très bien conservée, et il se lécha les babines en imaginant y planter ses crocs. Mais alors qu’il avançait dans la brume en fixant cette carcasse qui était sans doute à des kilomètres, une voix se fit entende. Il se figea alors totalement avant de revenir violemment à une vision périphérique autour de son corps. Plus loin dans la brume il aperçu alors une silhouette élégante, svelte et élancé, sans doute une femelle. Celle-ci avançait à pas feutré et le dos courbée, et l’Empathie du loup lui permit rapidement de sentir le stress qu’elle éprouvait à s’être égarée ici. Il baissa le museau et replia ses ailles avant de courber l’échine, sa queue faisant de lent mouvement dans son dos. Il se fit le moins impressionnant possible afin de ne pas l’effrayer plus qu’elle ne l’était déjà.

« Il y a effectivement quelqu’un »

Sa voix avait été aussi calme que douce et tranquille. Pas une seule pointe d’hostilité dans son timbre, ni une seule marque de méchanceté d’ailleurs. Il s’approcha alors de la femelle, finissant d’entrer dans son champ de vision et de la rejoindre pour qu’elle puisse savoir à qui elle avait à faire.


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