Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Tout était gelé dans cet endroit sinistre, je ressentais le froid qui entrait dans mon corps au contact de mes pattes sur le sol glacé. D'ailleurs mes pattes collaient légèrement sur la surface froide du sol et chaque pas me fesait souffrir un peu plus. J'aurais tant voulu retourner dans mon territoire tout chaud et acceuillant, mais j'étais perdu. Je n'avais pas vu le chemin parcouru pour venir ici, je me souvenais d'avoir traversé une plaine fleuri et d'autre paysage, mais le froid encourdissait mon esprit et m'empêchais de réfléchir efficacement. J'étais pris au piège dans cet immense étendu glacé. Moi qui croyais aimer l'hiver, j'étais mal parti pour l'apprécier maintenant... peut-être que je m'abituerai un jour à sentir en permanence mes os gelé, à avoir l'impression de fonctionner au ralenti. J'étias sur que je tournais en rond, je ne pourais dire où commencait et où terminait le désert, mais tout ce que je savais, ce dont j'avais la certitude c'est j'étais perdu et personne n'était là pour me venri en aide. Et qui le ferai, je n'étais pas des leurs, je n'étais qu'un printannier et un automnal, je n'étais pas réellement le membre d'un des clans de ses terres.

À bout de force, j'avais fini par m'arrêter et ma m'étendre sur le sol gelé. Je m'étais rouler en boule, tâchant de conserver le plsu de ma chaluer corporelle, mais j'avais tellement froid ici, moi petit poil tout court de Pritannier n'était pas très efficace contre le froid mordant des territoires hivernaux. En plus, il ventait faiblement, un vent froid qui contribuait à mon congelé encore plus. Je restais là, immobile, respirant à peine, le nez enfoui dans mon pelage. J'étais sur que je tremblais, mais j'étais tellement engourdis que je ne pouvais en être sur.

Je m'étais vite remise de mes petits bobos après mon petit accident au lac gelé. Toute heureuse d'avoir retrouvé l'usage de mes ailes, je ne posais plus patte sur le sol et je parcourais le territoire blanc en me laissant porter par les vents que je controlais de mieux en mieux.
Papa m'avait expliqué que le vent était fait de température et qu'en le controlant bien, je pouvais changer la température. Il m'avait aussi dit que l'air pouvait créer de l'électricité statique, mais je n'avais pas trop bien compris ce dernier point.

Je volais donc, baignée par ce sentiment de liberté que j'appréciais tant. J'avais décidée d'être patiente et d'attendre d'avoir atteint plus d'expérience pour voler jusqu'aux nuages. Mais je volais quand même à une hauteur respectable et à un allure bien plus rapide qu'à pattes. Le désert gelé ne me faisait pas peur, il y avait beaucoup de vent en hauteur et je savais que je pourrais le traverser vite et sans danger. Mon poil d'hiver était toujours présent, étant de l'hiver et habituée au froid de l'altitude.

Je regardais sous moi le sol blanc et les pics de glaces. Aussi j'appercut vite une tache de couleur brune qui n'avait rien à y faire. Je descendit un peu et vit qu'il s'agissait d'un jeune loup plus âgé que moi. Il s'était roulé en boule et semblait sur le point de geler sur place.
Sans réfléchir, je descendit plus bas encore jusqu'à me poser doucement devant lui. Il avait les yeux clos, cherchant la chaleur dans son ventre. Il n'avait pas du m'entendre alors je le léchais gentiment sur le front.

Il releva les yeux vers moi et parut un peu surpris de me voir. Je lui souris. Il frissona sous le vent froid.
Fachée contre le vent, je lui aboya dessus et il tomba. Relevant la queue d'un air fier de l'avoir fait s'arrêter aussi facilement, je retournais mon attention sur le loup.
Il me regardait toujours avec surprise.
Voyant qu'il ne pouvait plus bouger tant il avait froid, je me coucha contre lui et le recouvrit de mon aile. Mon poil épais et mes plumes douces auraient tôt fait de le revigorer.

En attendant, je lançait la conversation, curieuse:

-Bonjour, je m'appelle Melinya. Et toi ?

Un battement continu me venait au oreilles, on aurait cru entendre un immense oiseau qui voulait au dessus de ma tête. Les battements ralentir et puis s'arrêtèrent aussi soudainement qu'ils étaient apparu, je me demandais si j'étais ent rain de devenir fou. Je sentais une présence près de moi et je sentis quelque chose d'humide sur mon front, quelqu'un ou quelque chose était en train de me lécher le front. Je levais le nez vers la présence et quelloe fut ma surprise de voir une louve devant moi. Elle était assez jolie, apparamment de l'hiver. Son pelage était gris et noir et elle avait de grandes ailes avec des touches de bleus aux extrémités, le même bleu que sur le bout d'une de ses pattes. Ses yeux étaient aussi de la même couleur et un frôle de signe apparaissait sur sa joue. À la voir comem ca debout, je dirais quelle avait à peu près mon age, peut-être un peu plus jeune.

La louve me sourit, moi je frisonnais à cause du vent, incapable de lui rendre son sourire. Elle sembla comprendre mon inconfort et se mit à aboyer férocement contre le vent qui tomba aussitôt. J'étais impressionné, ca devait être pratique de parler au vent. Je la regardais toujours aussi surpris. Elle s'étendit contre moi, me recouvrant de son aile. Son corps dégageait beaucoup de chaleur et son pelage était très doux, je recommencais à sentir mes oreilles et mes pattes peu à peu.

" Bonjour, je m'appelle Melinya. Et toi ? "

Melinya, j'avais beau réfléchir se nom ne me disait rien, mais c'était jolie. Je me demandais ce que ca voulait dire, car je sais que nos parents choississent toujours des noms qui veulent dire quelque chose. Ma me`re par exemple avait choisi Calion qui veut dire courage, je sais pas pourquoi elle a choissi ca, mais elle est plus là pour que je lui pose la question. Je réussis enfin à sourire à la louve.

- Bonjour, je m'appelle Calion

Il sourit. Je trouvais que c'était plus agréable à regarder que quand il était frigorifier.

- Bonjour, je m'appelle Calion.

Je ne le reconnaissais pas et il avait un pelage de couleur chaude. Il n'était pas de l'hivers. Pourtant, il avait une marque de flocon sur sa cuisse.

-Que fais-tu ici ? Tu n'es pas de l'hivers, si ?

Il m'intrigait de plus en plus.
J'avais un peu peur aussi, qu'un autre hivernal nous trouve. Je bougeais mes oreilles pour écouter les bruits autours de nous.

Melinya semblait très intriguée de savoir qui j'étais.

"Que fais-tu ici ? Tu n'es pas de l'hivers, si ?"

La louve bouga les oreilles, guettant les moindres bruits. Je fis de même réfléchissant à ma réponse. Je ne savais pas trop ce que je pouvais lui dire, lui parler de mon sang métisser...

- Je cherche mes vraies origines...

Melinya me regardait encore, elle était très amsuante, j'aimais bien sa présence près de moi. Je me retournais pour lui faire face, soufflant doucement sur son museau. Une légère couche de givre se forma sur le museau de la louve, givre qui fondu vite au contact de la chaleur de son corps.

- ... une partie de moi est hivernale... tout comme je suis aussi printannier et automnal...

Je souris à Melinya, j'avais l'impression que je ne devais rien lui cacher, que tout pouvais lui être dit.

- Et toi qui est-tu ? D'où viens-tu?

"Je cherche mes vraies origines..."

Il appuya sa réponse en me soufflant sur le nez. Je sentit le froid me prendre le museau, mais le givre fondu vite.

" ... une partie de moi est hivernale... tout comme je suis aussi printannier et automnal..."

Il était donc issu d'un mélange de plusieurs clans. Sa part d'hivernal me rassura, si un adulte nous trouvais, cela serait un avantage. De plus, cela faisait de lui un neutre, il n'était donc pas un ennemi aux yeux du clan. J'espérais qu'il choisisse l'hivers comme clan, j'avais envie d'apprendre à mieux le connaitre.

"Et toi qui est-tu ? D'où viens-tu?"

Je redressais la tête d'un air fier.

-Je suis la deuxieme filles des Alphas hivernaux. J'ai un grand frère, une grande soeur et une petite soeur.

Je secoua un peu mes ailes.

-Je les tiens de maman. Mon frère aussi en a, mais il ne vole pas encore très bien. Moi j'ai toujours su voler, maman dit que c'est parce que je suis l'amie du vent.

Calion commença a se relever et je l'imita.

-Qui sont tes parents ? demandais-je.

Je voulais savoir, pour pouvoir l'aider à chercher.

Melinya redressa la tête, prenant un air fier qui lui allait assez bien. Elle m'annonca qu'elle était la fille des Alphas hivernaux. Je me sentis mal tout d'un coup, je risquais d'avoir de gros ennuies si un hivernal me trouvait en sa compagnie. De plus, la réputation des Alphas hivernaux les disait froids et cruels, mais j'aimais mieux ne pas me fier au rumeurs qui courent dans le vent. D'ailleurs, Melinya remua les ailes, me tirant de mes pensées.

" Je les tiens de maman. Mon frère aussi en a, mais il ne vole pas encore très bien. Moi j'ai toujours su voler, maman dit que c'est parce que je suis l'amie du vent."

Alors cela expliquait comment elle pu faire tomber le vent et pourquoi elle volait si bien à son age. Melinya -était douée, ca c'était sur... Je me relevais doucement, la sensation revenait doucement dans mes pattes et bientôt je pu me tenir debout sans problèmes. Melinya m'imita, me demandant qui sont mes parents.

- Mon père est un automnal appellé Henneke, je ne l'ai jamais vu, mais je sais que s'est un Béta et qu'il a eu des ennuies à cause de son amour avec ma mère. Ma mère est une printannière nommée Sheyla...

Je soupirai et dit dans ma tête tant pour Melinya que pour moi.

...elle est décédé

- Je ne l'ai jamais connu. C'est de ma mère que je tiens mon côté hivernal, mon grand-père étant un hivernal...

- Mon père est un automnal appellé Henneke, je ne l'ai jamais vu, mais je sais que s'est un Béta et qu'il a eu des ennuies à cause de son amour avec ma mère. Ma mère est une printannière nommée Sheyla...

Au mot "automnal", je pensais à Ypso. Le seul automnal que j'ai pu rencontrer. Par contre, la seule printannière que j'avais vu je ne la connaissais pas. C'était cette louve blanche avec le ventre rouge que papa et Ypso avait menacé ce jour là. Maman s'était même évanouie.

Je sursautais en entendant la voix de Calion alors qu'il n'avait pas ouver la bouche.

...elle est décédé.

Ce devait être son pouvoir.

- Je ne l'ai jamais connu. C'est de ma mère que je tiens mon côté hivernal, mon grand-père étant un hivernal...

C'était bien compliqué.

-Mais alors, qui s'est occupé de toi si ce n'est pas ton papa ni ta maman ? Dans quel territoire tu as grandis alors ?

J'étais vraiment intéressée. Je voulais en savoir plus sur l'histoire de Calion.
Nous commençames à marcher, je le guidais distretement pour sortir du désert. Ayant parcourut le territoire plusieurs fois en volant, je connaissait bien le chemin, bien que je ne l'ai pas souvent parcouru à patte.

" Mais alors, qui s'est occupé de toi si ce n'est pas ton papa ni ta maman ? Dans quel territoire tu as grandis alors ? "

Pendant que nous parlions, nous nous étions mis à marcher. La marche me réchauffer et me redonnait peu à peu mes forces.

- C'est Canaan, l'amie de maman, qui c'est occupé de moi et mes frère, nous avons grandi sur les territoires du printemps, seule ma soeur a été séparée de nous et a grandi chez les automnaux.

Le froid devenait de moins en moins mordant au fur à mesure que nous approcions de la sorti de ce maudit désert. Je devrais m'habituer au froid avant de revenir ici, car si Melinya ne m'avait pas trouver, je serais probablement mort congelé dans ce désert infernal.

"C'est Canaan, l'amie de maman, qui c'est occupé de moi et mes frère, nous avons grandi sur les territoires du printemps, seule ma soeur a été séparée de nous et a grandi chez les automnaux. "

Je ne comprenais pas pourquoi sa soeur avait été séparée de la portée. Mais je me disais que cette Canaan devait être gentille pour s'être occupé de Calion et de ses frères.
Par contre, je ne savais rien sur son grand-père, ce genre d'histoire était tabou.

-Je suis désolée Calion, je ne sais pas pour ton grand père.

Nous arrivâme à la frontière de l'hiver. Frontière que je n'avais jamais franchit par peur des représailles de papa. Sinon j'aurais bien suivit Calion pour découvrir son territoire avec lui.

"Je suis désolée Calion, je ne sais pas pour ton grand père. "

La frontière fut rapidement en vue, cette stupide fontière qui séparait les clans... concept que je n'arrivais pas à saisir. Je m'arrêtais, vite imitée par Melinya, et me retournais pour regarder la louve dans les yeux.

- Ne soit pas désolé, ce sont des choses que seul les plus vieux membres de ton clan doivent savoir... on cache habituellement les histoires d'amour entre les clans... aucun loup n'ose en parler de peur de représailles...

Je souris à Melinya, elle devait se poser plein de questions à moi sujet. Je me devais de répondre à certaines d'entre elle avant de franchir la maudite frontière.

- C'était la volonté de ma mère que ma soeur soit élevé par une louve Automnal, le nom de ma soeur veut dire pardon et je penses que maman voulait faire comprendre à la louve automnale qu'elle lui pardonnait... j'ignore ce qu'elle devait lui pardonner, mais un jour je le saurai...

Je m'avancais un peu, franchissant la frontière invisible qui séparait nos territoires. Rien ne laissait penser qu'il y aviat une limite à cet endroit, la nature n'était pas consciente de ce que les anciens loups avaient décidés... comment peut-on séparer les éléments les uns des autres...

- Il ne devrait pas avoir de frontière pour nous séparer... toutes les saisons ont besoin les unes des autres... l'été à besoin de l'Automne... sinon tout tomberai en poussière par la sécheresse... l'Automne a besoin de l'hiver pour prendre une pause... pour laisser la nature ce reposer... l'hiver à besoin du printemps pour rennaître... sinon à quoi cela servirait-il de garder la nature constament morte... froide.... le Printemps a besoin de l'Été pour que les fleurs nouvelles puissent s'épanouir... et le cyvle continu... tout comme l'Automne a besoin du Printemps... s'il les fleurs et les feuilles ne naissaient jamais.... comment pourrait-on les faire mourir...

Calion se retourna pour me regarder droit dans les yeux.

" Ne soit pas désolé, ce sont des choses que seul les plus vieux membres de ton clan doivent savoir... on cache habituellement les histoires d'amour entre les clans... aucun loup n'ose en parler de peur de représailles..."

Je trouvais qu'il parlait avec beaucoup de maturité. Moi j'étais encore très jeune pour avoir l'air aussi classe.

"C'était la volonté de ma mère que ma soeur soit élevé par une louve Automnal, le nom de ma soeur veut dire pardon et je penses que maman voulait faire comprendre à la louve automnale qu'elle lui pardonnait... j'ignore ce qu'elle devait lui pardonner, mais un jour je le saurai..."

Je me demandais si Ypso était au courant de cette histoire.
Calion franchit la frontière et j'eu un petit pincement au coeur. En tant que sang mêlé, il était libre d'aller ou il veut, car il était neutre. Mon sang à moi était pur, du moins c'est ce que je croyais, et en tant que fille du couple Alpha, je devais montrer l'exemple.

"Il ne devrait pas avoir de frontière pour nous séparer... toutes les saisons ont besoin les unes des autres... l'été à besoin de l'Automne... sinon tout tomberai en poussière par la sécheresse... l'Automne a besoin de l'hiver pour prendre une pause... pour laisser la nature ce reposer... l'hiver à besoin du printemps pour rennaître... sinon à quoi cela servirait-il de garder la nature constament morte... froide.... le Printemps a besoin de l'Été pour que les fleurs nouvelles puissent s'épanouir... et le cyvle continu... tout comme l'Automne a besoin du Printemps... s'il les fleurs et les feuilles ne naissaient jamais.... comment pourrait-on les faire mourir..."

Je l'écoutais avec attention. Personne ne m'avait jamais expliqué ce genre de chose, mais j'avais l'impression de déjà le savoir instinctivement. Comme le vent qui se nourrissait de températures contraires.
J'ouvris mes ailes. L'altitude me manquait chaque fois que je posait patte sur terre.
Le vent se glissa doucement sous moi et me souleva. Je flottais à quelques centimètres au dessus du sol, sans battre des ailes.

-On se reverra ? demandais-je.

L'envie de le suivre était de plus en plus forte. Mais je ne pouvais partir. Je ne voulais pas que mes parents s'inquiètent ou se mettent en colère.

Melinya ouvrit ses ailes et le vent la souleva en douceur, elle flottait maintenant à quelques centimètres du sol. J'étais sur qu'elle aimait mieux voler que marcher, après tout ca devait être comme pour les oiseaux qui se sentent plus menacé quand ils sont au sol.

" On se reverra ? "

Je l'espèrais bien, j'hésitais entre partir et rester. J'avais tellement envie de découvrir les territoires hivernaux... peut-ête y avais-je ma place après tout. Je fis un pas vers Melinya, franchissant à nouveau la limite des territoires. Je n'arrivais toujours pas à comprendre comment un seul pas pouvait faire en sorte de tomber en territoire ennemi...

- Je te le promet

Je pris une fleur près de moi, après tout j'étais sur le territoire printanniers maintenant que j'avais reculer d'un pas. Je soufflais délicatement sur la fleur pour la givré et l'offris à Melinya.

Il revint un peu sur ses pas.

"Je te le promet."

Sa réponse me réjouit et me géna à la fois. Ces quatres mots auraient été prononcé par une louve que cela ne m'aurait pas fait cet effet là.

Il emprissona une fleur dans du givre qu'il me donna.

-M ...Merci, balbutais-je.

Je saisis délicatement la fleur entre mes dents. J'hésitais à lui offrir moi aussi quelque chose, mais qu'aurait il fait d'un peu de vent ? Ce n'était rien de visible ou d'utile et je n'en avais pas encore le controle parfait.
A la place, j'arrachais une plume bleue à mon aile droite. Ca me piqua un peu, mais je la lui donnais avec plaisir.
Cet échange me convenait. Je lui souris.

-Au revoir, dis-je. Je vais essayer de parler à ma maman, peut-être qu'elle voudra bien me dire quelque chose. Bonne chance.

Je me sentais un peu triste, pour ne pas qu'il le voit, je m'envolais d'un coup, portée par le vent. Sans m'en rendre compte, j'atteins les nuages et disparu dans l'un d'eux. Je venais de réaliser sans l'avoir voulut ce qui avait accaparé mon esprit si longtemps, j'avais touché les nuages. Je réalisais que c'était grace au vent. Peut-être aussi un peu grace à Calion. Depuis que je l'avais rencontré, j'étais parvenu à un meilleur contrôle. C'était vraiment étrange, mais cela me convenait bien. J'avais encore plus envie de le revoir.

Melinya murmura un faible merci, elle semblait troublé, mais là n'étais pas mon intention, loin de là. La louve se tourna un instant et arrcaha une belle plume bleue de son aile, sa devait faire mal. Elle me tendit la plume, je la pris dans mes pattes, personne ne m'avait jamais donné de cadeau comme cela, je me devais d'y faire attention comme à la plus fragile des fleurs.

"Au revoir. Je vais essayer de parler à ma maman, peut-être qu'elle voudra bien me dire quelque chose. Bonne chance. "

Melinya s'envola avec le vent aussitôt après avoir prononcé ses paroles. Je ne la voyais plus, elle était dispura dans les nuages porté par le vent. Je restais là, assis bêtement sur le sol à regarder en l'air. Je repensais à ce qu'elle m'avait dit... sa mère... je devais parler à Herenya, peut-être avait-elle les réponses que je cherchais.

Fait attention à toi petite fleur