Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
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La folle, l’horrible et le canyon [Pv Rubis]
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Lun 18 Juil 2016 - 14:17

La folle, l’horrible et le canyon
Featurin Rubis


Mon regard était fixé sur l'horizon, je ne savais pas pourquoi, pour surveiller ? Admirer ? Ou juste parce que je m'ennui ? Mystère.... Je me trouvais sur le promontoire, heureusement, que je n'ai pas le vertige, c'est quand même sacrement haut, une chute serait probablement mortelle. J'essayai de ne pas y penser et m'accrochai, avec la neige, tout peut arriver.

Les couleurs orangées de ce lieu faisait tout son charme, elles se mariaient très bien avec le coucher de soleil, malgré le fait qu'il soit à peu près midi. J'humai légèrement l'air, aucune odeur suspecte, juste celle des hivernaux.

Par mégarde, je fis tomber un peu de poudreuse avec ma queue, celle-ci vint s'écraser plus bas. Je regardai ce spectacle avec une étonnante concentration. Ces jours étaient très calmes, je n'avais pas eu à tuer, Glycenne m'avait fichu la paix  et mon père me laissait tranquille.

Le soleil se dessinait peu à peu à travers les nuage, illuminant mon pelage noisette. Je ria tout bas. Par mon plus grand étonnement, quelque chose de froid atterrit dans mon dos. En levant la tête, on pouvait voir des milliers de petites taches blanches descendre du ciel: des flocons. Le plus beau était surement de voir un de ces petits cristaux blancs transpercés par un rayon de soleil. J'en happai un au passage, découvrant qu'ils n'avaient pas de goût. Je repris mes esprits.

° Je ne suis pas un louveteau, je suis grand !

Mais au fond de moi, j'aurais adoré retourner à mon enfance. Mes pattes n'étaient pas rougies de sang, Glycenne m'aimait toujours et je vivais paisiblement. Je soupirai, tout ça c'était du passé. Et je savais mieux que quiconque à quel point l'enfance pouvait être heureuse...





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Mer 20 Juil 2016 - 21:11

La folle, l’horrible et le canyon
La petite était toute excitée. Elle avait suivi quelqu’un depuis le camp. Rubis s’ennuyait là-bas. La nourrice lui avait ordonné de se reposer, car la veille la petite était rentrée tard de son escapade où elle avait croisé la route du solitaire Hyuri. Son ennui était tellement pesant, qu’elle avait décidée de traquer le premier loup qu’elle croisait.

Elle était tombée sur un hivernal avec un pelage avec différentes teintes de brun et quelque taches de blanc. La louvette le suivait depuis le début de la matinée. Les pas du mâle s’étaient finalement arrêtés au bord d’un  large canyon. Il semblait pensif. Avec sa queue, il fit tomber un tas de neige dans le gouffre. Le pelage de l’hivernale sentait légèrement le sang, une odeur vieille de quelques jours. Mais Rubis n’y fit pas attention.

Le soleil se réfléchissait dans les grands yeux aux couleurs chaudes de la petite. Quelques secondes plus tard, elle remarqua qu’il neigeait. Rubis avait toujours aimé pourchasser ces petits points blancs qui virevoltaient dans le ciel. Mais cette fois, elle devait se retenir, la petite ne voulait pas se faire repérer par le mâle qui était devant elle. Elle ferma bien fort les yeux, pour éviter toute tentation. L’hivernal n’avait pas encore décelé sa présence, ce n’est pas le moment de se faire remarquer.

« Ce ne sont que des flocons. Ce ne sont que des flocons » pensait en boucle la louvette.

Au bout d’un temps qui lui sembla être une éternité, un petit flocon de neige se posa sur sa petite truffe. Suite au contact froid, la tricolore ouvrit les yeux. Quand elle inspira, la petite boule blanche s’engouffra dans la truffe de la petite. Rubis éternua une bonne dizaine de fois. « C’est bon, là je suis repérée » se dit-elle. Plus rien ne l’empêchait de pourchasser les flocons qui virevoltaient ici et là.

La louvette se mit à sauter  après la première boule blanche qu’elle trouva et ainsi de suite. Le jeu ne  s’arrêta que quand Rubis était toute essoufflée. Se sentant fixée, la petite se présenta au loup possédant un pelage aux teintes brunes.
-Bonjour, moi c’est Rubis et toi ? Dit-elle gaiement.
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Mar 26 Juil 2016 - 18:01

La folle, l’horrible et le canyon
Featurin Rubis


-Bonjour, moi c’est Rubis et toi ?

Je frissonnai de surprise et me retournai directement. C'était une petite louvette rouge, blanche et noir. Je poussai un long soupir de soulagement. Je la fixai, presque méchamment, j'aimais pas trop les petits, ils étaient toujours là à vous sauter dessus et à demander de jouer avec eux. Je levai les yeux au ciel, exaspéré.

- Moi c'est Goriar

Ma voix se trouva être plus douce que d'habitude.

- Que fais-tu ici toute seule ? On ne t'as pas appris que les louveteaux ne devaient pas sortir seul.

Je voulais qu'elle parte, je voulais rester seul. Je pense qu'en ce moment, la solitude était mon unique ami. Glycenne me faisait la tête et je ne voulais pas parler à ma mère de mes occupations. Je devais trouver un moyen de m’éloigner de cette petite et j'avais une petite idée de comment faire. Je me levai et m'approchai de la louvette.

- Ça te dirais de jouer à un jeu ? Hum... Disons cache-cache, ça te vas ?

Sans attendre de réponse de la part de la petite, je partis à la vitesse de l'éclair, profitant de son hésitation. Quand j'estimai être loin d'elle, je ralentis la cadence progressivement, jusqu'à marcher, puis m'arrêter complètement. Je repris mon souffle, elle ne pourra pas me trouver ici. Je m'allongeai, exténué, qu'est-ce qu'il faut pas faire pour avoir la paix. Je repensai à quelque chose, étant petit, moi et ma sœur on jouaient à cache-cache nan ? Je secouai la tête vivement, chassant toutes mes pensées. Je posai ma tête sur mes pattes, regardant ce qu'il y avait devant moi, une étendue blanche et vide, presque mélancolique. À force de voir tout le temps le même paysage, on finit par s'en lasser, mais je me souviens qu'étant petit, je me disais que ces terres étaient les plus belles, j'avais peut-être raison à l'époque...






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Dim 7 Aoû 2016 - 19:30

La folle, l’horrible et le canyon
Le mâle soupira. Rubis ne remarqua pas la faible lueur de méchanceté qui illumina son regard, car il leva la tête au ciel.

- Moi c'est Goriar. Dit-il d’une voix avec une pointe d’agacement. La petite se demanda pourquoi.

- Que fais-tu ici toute seule ? On ne t'as pas appris que les louveteaux ne devaient pas sortir seul. Le ton de Goriar s’était adouci ce qui rassura la louvette. « Il voudra peut-être jouer avec moi ! » pensa-t-elle.

« Goriar …. » Rubis avait déjà entendue se prénom quelque part, mais elle avait un trou de mémoire « C’est bête ! ». La petite avait un peu peur que le mâle aille dire à sa nourrice qu’elle était partie en douce. Glycenne ne serai pas contente, se serai la deuxième fois de suite qu’elle a quitté le camp sans prévenir ses ainés.
Goriar se leva et regarda la petite.

- Ça te dirait de jouer à un jeu ? Hum... Disons cache-cache, ça te vas ? Il avait dit ses paroles avant de détaler. La louvette était toute contente, c’était la première fois que qu’un adulte lui proposait de jouer. Habituellement, c’est plutôt elle qui insiste. « Et si l’un de ses pouvoirs consiste à lire dans les pensées » se dit elle et son imagination débordante « je ferai attention à ce que je pense ».

La petite regarda autour d’elle, l’hivernal avait disparu « il est rapide ! ». Elle avait déjà joué à cache-cache avec les autres louveteaux un jour de tempête de neige. Rubis comprit que c’était à elle de compter.

Elle s’installa face au canyon, ferma les yeux et compta. « Il m’a pas dit jusqu’à où compter. » se dit-elle. La tricolore décida qu’elle s’arrêtera à trente.

Elle compta tout en se demanda où Goriar aurait pu se cacher.

Quelque temps plus tard, elle avait fini de compter. Pour le faire savoir à son compagnon de jeux elle cria un grand « J’arrive ! » avant de s’élancer sur un sentier à sa droite.
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Mar 6 Déc 2016 - 21:50

La folle, l’horrible et le canyon
Featurin Rubis


Je bailla longuement. Observer chaque détails de l'entendue blanche devant moi n'était pas le truc le plus passionnant du monde... J'entendit une voix me dire quelque chose que je ne réussit pas à décrypter. Je me leva brusquement, à qui appartenait cette petite voix aigu ?

Je finis, après quelques minutes où je restais immobile, par me rapeller que c'était surement la louvette rouge et blanche avec qui je "jouais".

*Si j'ai pu entendre sa voix c'est qu'elle est pas si loin que ça de moi, je ferrais mieux de reculer... on n'est jamais trop loin d'un gosse..*

Je m'ébroua, faisant dégringoler de la neige par paquet. Après un autre long bâillement à m'en faire décocher la mâchoire, je marcha sans vraiment de but, ni dans une direction précise, c'était même possible qu'il soit en train de se rapprocher de celle qu'il veut s'éloigner. Après tout jouer avec un enfant était déjà mieux que de bailler aux corneilles en observant de la neige  

En chemin, je croisa la route d'un majestueux écureuil, je le repéra facilement grâce à sa carrure rousse. Je lui brisa la nuque sans grandes difficulté après lui avoir sauté dessus. Pendant que je plongeai mes crocs dans sa savoureuse chair, la neige se remit à tomber.

*Génial... avec un peu de chance j'aurai attrapé un nouvelle espèce d'animal... un écureuil immaculé...*

Je chercha un endroit pour la déguster sans problèmes, mais rien ne pouvait me servir d'abri ici ! Je me trimbalai donc un écureuil, que je tentais de protéger avec mes poils. Génial !



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Mer 4 Jan 2017 - 14:33

La folle, l’horrible et le canyon

Rubis n'arrivai pas à se concentrer sur sa quête, à chaque détour de chemin quelque chose monopolisait son attention de louvette. Lorsqu'un amas de neige, dormant sur une branches d'arbre, s'écrase au sol dans un bruit sourd, la petite ne peut s'empêcher d'aller voir dans le coin, avec la pensé que le mâle aux différentes teintes de bruns serai monté dans de conifère. Mais à la place du lupin, ses yeux aux teintes chaudes trouvèrent un oiseau de proie, somnolant. Impressionnée, elle décida de pas l'importuner tout en regardant les serres de la bête . Elle retourna sur le chemin de neige qu'elle avait commencé de suivre. Plus loin, elle aperçut un monticule de poudreuse du quel elle pourrait avoir une vision d'ensemble, car sa petite taille lui fessait défaut et il fallait remédier au problème. Les petites pattes colorées de la louvette gravirent la bosse sans trop de difficulté. Une fois assise confortablement dessus, ses grandes pupilles se mirent à scruter attentivement la couche de neige hivernale sur laquelle poussaient bravement ici et là des arbres doté épines verdâtres. La petite en avait déjà marre, non pas du jeux, mais de l'immobilité. Ses jeunes membres ne pouvaient pas tenir en place, insufflé de jeunesse. Glyenne disait souvent qu'elle a la bougeotte et elle est pas la seule. Rubis arrêta d'y penser quand ses prunelles trouvèrent enfin une touche de châtain sur la mer de blanc pur.

"Il est là !" Pensa-t-elle, tout contente. Elle aurait pu le crier, mais cela aurait affolé son compagnon de jeux et il aurait rapidement changé de cachette. L'hivernale descendit lentement de la colline miniature, écarlate sur cette étendue aux couleurs de lis : ce n'est pas vraiment discret mais il faudra faire avec. Des petits paquets de neiges accompagnaient sa descente, dégringolant pour ensuite en bas de la pente, une fois qu'elle y fut, se souvenant de la position du mâle, elle s'y dirigea d'un pas léger et rapide. Ses fines pattes s'enfoncèrent avec une cadence soutenue dans la récente poudreuse, laissant de nombreuses traces dans son sillage. Une fois en vue du loup, la petite décida de prendre son temps, avec l'intention d'être discrète.

Il sembla que la stratégie fonctionna vu que son compagnon de jeux, légèrement en contrebas, ne releva la tête que quand la louvette cria un grand :

-Trouvé !!  Sa voix aigue retentis quand ses pattes avant touchèrent le dos café de Goriar, (elle se souvenait enfin de son prénom). Son museau brun, portant quelque chose toucha la neige pour s'y enfoncer lourdement. En fait Rubis avait tout simplement et innocemment sauté sur l'hivernal. Elle descendit de son dos, et ses coussinets plongèrent à leur tour dans la neige. On joue à quoi maintenant ? , demanda-t-elle avec un sourire.

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