Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Exercice, rencontre, et nostalgie

feat Lu chan

Dean s’était éclipsé de sa tanière l’air de rien après une bonne séance sadomasochiste avec son cher Banshee. Finalement il l’avait complètement convertit depuis le temps… en tout cas il ne faisait plus sont timide et Dean savais apprécier cela. Il l’appréciait aussi car au final Banshee était l’un des rares à tout savoir de lui et à le comprendre complètement du moins si l’on pouvait dire cela comme ça. En tout cas c’était un des rare avec qui il pouvait partager ses penchants sans aucune crainte. De plus c’était un très bon compagnon pour ce genre de jeu étrange auquel aimait se livrer notre rouquin cornu.

Mais le cornu avait maintenant des responsabilités. Il était devenu bêta et ce n’est pas parce qu’il avait des activités quelques peu inconvenantes vis à vis de la norme du peuple. Mais c’était son petit plaisir à lui et jamais on ne le changerait de ce coté là.

L’automnal sortit donc de sa tanière le corps en corps emplit et frissonnant encore de plaisir. Ça le picotait encore un peu de façon la plus agréable qui soit.  C’est donc parfaitement détendu un léger sourire sur les babines que le bêta se dirigea alors vers les frontières du territoire auquel il appartenait. Le pas tranquille il s’avança dans le chemin bordé d’arbre de leur frontière saluant quelques veilleurs au passage. Il n’y avait visiblement rien à signaler. Mais le rouquin avait envie de se dégourdir encore un peu les pattes pour l’instant après il fallait aussi savoir s’entretenir et un peu d’exercice lui ferait le plus grand bien.

Il prit son temps et commença par s’étirer, laissant quelques articulations cracouiller au passage puis trottina un petit peu avant de se mettre au galop.  Accélérant ses foulées au maximum il voulais voir jusqu’où il pouvait aller et surtout à quelle vitesse. Il courut ainsi un certain temps, mais ce n’était pas son endurance qu’il testait, mais sa rapidité, or cela ne dura pas bien longtemps.

Le souffle court Le loup crème et chocolat s’arrêta et trottina pour se mettre au couvert des arbres la langue pendante. Il faudrait qu’il passe se désaltérer tout à l’heure. Il s’allongea contre un grand chêne et ferma les yeux quelque instants tout en reprenant sa respiration. Lorsque qu’un bruit dans les buissons tout proche le tira de son repos. Il ne bougea pas mais attendit avec curiosité de voir qui apparaitrait bientôt sous ses yeux.