Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Une rencontre dans un décor estival ||pv: Carnival||
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Mar 1 Sep 2015 - 20:20

Ce matin-là, c'était encore une de ces tumultueuses journées où tu sentais déjà la chaleur te rendormir. Malgré que ce n'était pas désagréable, de sentir ses rayons caresser ton pelage, il te fallait te lever, ou rien ne t'empêcherais de rester là, allongé à ne rien faire. Si il y avait bien une chose que tu ne pouvais pas faire, c'était bien de gâcher une journée à une occupation aussi futile qu'une sieste. Il te sembla que tu eut déjà un nombre d'heures de sommeil correct, alors tu n'avais définitivement aucune raison de rester plus longtemps dans ta tanière. Secouant doucement la queue, tu sortis en trottinant légèrement, plutôt joyeux d'avoir à nouveau un jour si beau. C'était le grand avantage des terres estivales, lorsqu'elles se laissaient charmer par le Soleil. Tu n'aimerais définitivement pas être en terres hivernales, rien que d'imaginer une journée de grand froid te donnait la nausée. Tu étais extrêmement frileux dès que la température chutait trop, et de plus ton pelage était vraiment fin et court.

Tu te décidas rapidement sur ta destination, et l'endroit le plus plaisant qu'il te vint à l'esprit fut la cascade. Ceci dit, tu n’appréciais pas vraiment le fait de n'avoir pas encore explorer tous les territoires, et plutôt que d'y revenir pour la quinzième fois au moins, tu préféras te diriger vers des endroits - certes ombragés pour te protéger de la chaleur- qui t'étaient moins familiers. Oh, bien sûr, tu avais déjà été presque partout, mais pas avec égalité. Ce qui était tout à fait normal, pour un adulte comme toi, de ne faire que ce qui lui plaisait dès qu'il en avait l'occasion. Tu en avais souvent l’occasion. Et aujourd'hui, tu te dérobas à ton travail de guérisseur, et renonça même à chercher des plantes sur l'aller. Tu te dis que tu te rattraperais au retour, car il y avait bien des algues qui pouvaient être utiles. En effet, tu te dirigeais vers la forêt de palmier, qui trônait près d'une plage.

Dans la forêt, tu éprouvas un grand malaise et une réticence à avancer. A nouveau, tu t'étais presque perdu dans l'épaisse masse de palmier, ce qui n'était pas très plaisant, et avait bien trop baissé ta température. Tu eus la nausée pendant un quart d'heures, avant de reprendre ton état physique tout à fait normal. Soupirant, tu te juras intérieurement de ne plus jamais retourner dans cette fournaise -ceci dit, tu avais bien conscience que ce n'était que des paroles en l'air, car tu ne comptais pas te limiter à si peu- et continua à avancer. Le soleil était déjà bien haut et la faim te tiraillait. Bien que tu n'étais pas très fort en ce domaine, tu te devais absolument d'attraper quelque chose. Ceci dit, tu n'avais strictement aucune idée de ce qui vivait ici, et trouvas bien plus plaisant comme idée de te diriger vers la plage, faire ce que tu avais à faire, et revenir rapidement. Tu espérais retrouver ta tanière en fin d'après-midi, espérant tenir jusqu’à là en ce qui concernait ton appétit.

Evidemment, c'était sans compter sur le fait qu'une personne ne tarderait pas à interrompre tes plans. Ton oreille remua, tandis que tu te retournais, observant avec le peu d'attention qu'il te restait ce qui était la source de ce bruit.
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Carnival
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Sam 26 Sep 2015 - 6:34

Une rencontre dans un décor estival

Carnival ft. Noah





La douce chaleur de l'été. Qu'existe t-il de plus agréable que cela? C'était pourtant le premier été que Carnival passait au sein de ce clan qu'il avait rejoint au milieu de la dernière mauvaise saison. Et jamais le grand mâle n'avait pu goûter de chaleur plus délicieuse que celle qui régnait sur le territoire estival pendant la saison qui était sienne, celle où les estivaux régnaient en maîtres. Certes, n'étant pas natif du clan et ayant hérité de la fourrure fournie de son paternel, il avait craint que la saison lui soit plus pénible qu'autre chose...Ce ne fut pas le cas, au plus grand bonheur du soldat coloré.

Ainsi, chaque jour que les rayons du soleil venaient le tirer de son sommeil, aucune humeur mauvaise ne parvenait à l'atteindre. Bien que toujours égal à lui même, l'été l'avait rendu quelque peu plus agréable aux autres, qu'il s'efforçait de ne pas effrayer chaque fois que sa longue langue reptilienne venait caresser ses babines noires et ses crocs, aigus et luisants; ou que son regard écarlate ne venait se poser sur qui que ce soit. Ne rêvez pas, ne vous détrompez pas, l'été ne l'aura pas rendu meilleur... Seulement fait que, pendant cette période de chaleur et d'orages détonants, il n'aspire plus uniquement à sa solitude pourtant si chérie.

Ce matin même, il s'était levé sans gronder, ni jurer entre ses crocs, avait enfilé son haut de forme et était parti pour ses habituelles patrouilles avec empressement, sans même prendre le temps de s'accorder une délicate toilette ou un petit déjeuné et en fredonnant par dessus tout cela! A quiconque l'avait vu, il avait du paraître encore plus fou qu'il ne l'était déjà! Mais évidemment, personne n'avait eu l'audace de venir lui demander quelle mouche avait bien pu le piquer.
Aucune partie du territoire n'était plus inconnue à Carnival, qui se baladait avec une telle aise partout dans les terres de l'été qu'il semblait y avoir toujours vécu, alors que cela ne faisait que quelques lunes qu'il était arrivé. Aujourd'hui donc, écoutant son devoir autant que son envie, il décida de patrouiller près de la plage, dans l'immense jungle qu'était la forêt de palmier.

Il devait l'avouer, il s'était déjà perdu parmi les arbres aux racines noueuses, la végétation luxuriante et pourtant hostile aux inconnus, et les lianes qui, se déposant dans son dos, lui avait fait croire qu'il n'était pas seul. En repensant à la paranoïa dont il avait été pris pendant ses premières patrouilles ici, qui l'avait presque fait regretter d'être parti seul, il ne pouvait s'empêcher de rire. Désormais,il ne s'y perdrait certainement plus jamais.
Tandis qu'il progressait en trottinant entre les arbres, le regard attentif aux mouvements autour de lui, le fou laissait s'échapper de sa gorge, quelques notes profondes.. :

«Come to River...I will come to River... Come to River..»

De sa voix grave, il chantait toujours très doucement, de sorte que lui seul puisse l'entendre. Sa voix profonde ne portait que lorsqu'il haussait le ton ou parlait clairement, autrement, elle n'était pas plus haute qu'un chuchotement. Carnival ne chantait pas bien juste, et ses chants n'avaient rien de bien agréable à entendre. Disons que de nuit, ses chants vous auraient hérissé le poil de la nuque et que vous auriez certainement fui cette étrange voix.

Entre deux notes, bonnes ou fausses, il s'amusait à attraper de longues feuilles entre ses crocs et à les agiter frénétiquement. Effrayant un ou deux oiseaux, ils s'envolaient avec précipitation en déployant leurs plumes colorés, semblables parfois au pelage du mâle estival. Et alors qu'un serpent tentait de filer innocemment entre ses pattes, Carnival le plaqua d'une patte experte et le tua d'un seul coup de crocs, et ce sans se faire mordre. ° Et bah le voilà, mon petit déjeuné!° Pensa le mâle tandis que son estomac se réveillait à la senteur douce de la viande fraîchement tuée.

Le serpent entre ses crocs, il reprit sa route, les oreilles et la queue droites, continuant de fredonner avec la proie serré dans sa gueule. Une odeur, tout autre que celle de sa proie, vint lui chatouiller la truffe et lui fit redresser la tête. Quelqu'un? Ici? Il plissa les yeux et renifla avec attention. C'était une odeur estivale. Carnival se détendit un peu. Mais c'était une odeur qu'il ne connaissait tout de même pas. Sans même tenter de se faire discret, l'estival suivit la piste du lupin étranger. Il parvint à lui sans le moindre mal. Visiblement, lui aussi l'avait senti et entendu arriver, car il le regardait venir sans la moindre surprise..

Carnival l'observa. C'était un mâle au pelage couleur de sable, ou de crème. Il n'était pas bien grand, comparé au soldat, mais pas minuscule pour autant. Ses yeux étaient d'un bleu si prononcé qu'ils en auraient déstabilisé beaucoup. Il semblait las, un peu perdu, pas même intéressé ou surpris par la venue du mâle coloré et pas un mot ne franchit la barrière de sa gueule. Sa carrure n'était pas celle d'un soldat, on le devinait au premier coup d'oeil... Celle d'un chasseur? ll en doutait. En tout cas, Carnival ne l'avait encore jamais aperçu. Ce fut sûrement ce qui aiguisa son étrange curiosité.
Posant sa proie à ses pattes et ignorant les protestations indignées de son estomac vide. Son regard dévisagea sans la moindre gêne le jeune mâle. Il se fit froid, mais pas agressif, et demanda, le saluant d'un simple signe de tête :

- Qui es-tu? Tu t'es perdu? Tu ne sembles pas d'ici..En tout cas, je ne t'ai jamais vu.

Il renifla une nouvelle fois dans la direction du mâle et tapota le sol de ses longues griffes noires, en signe de réflexion. Il continua, d'un air songeur :

- Pourtant, tu portes l'odeur de l'été... Je me répète mais, qui es-tu?

Bien évidemment, vous songez bien que c'est avec son amabilité sous jacente et son tact naturel que le soldat brun posa ces questions. Et que bien sûr, il ne pris pas la peine de se présenter lui même. Pourquoi aurait-il pris la peine de le faire?

Dreamy



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Jeu 1 Oct 2015 - 18:43

C'était un loup à la physionomie marquante, si bien que tu étais à moitié sûr de l'avoir déjà vu. Il t'inspirait une certaine méfiance; il te semblait des plus décalés, et ne pas apporter beaucoup de sanité. C'était un jugement rapide et peut-être stupide, mais tu n'avais pas l'impression que ce loup-là était tout à fait normal. Bien sûr, c'était quelque chose de bien, au fond. Une société pleine de copies ne serait nullement intéressante; même si celui-là dégageait quelque chose en plus. En fait, tu ne saurais dire comment; tu avais en tête des pensés bien précises; peut-être en avais-tu déjà entendu parler. Et ce n'était pas très rassurant; oh, il n'était pas bien imposant, mais il te semblait vraiment bizzarre. Tu le fixa sans broncher, bien que tu ne savais si c'était une bonne chose que de soutenir son regard plus que de raison. Lui ausi te regardait. Ses yeux rouges te perturbaient un peu; mais les yeux t'avaient toujours perturbé en général, et tu nota seulement l'expression froide qu'ils dégageaient.

- Qui es-tu? Tu t'es perdu? Tu ne sembles pas d'ici..En tout cas, je ne t'ai jamais vu.

Lui ne te connaissait pas, en tout point. Oh, ce n'était pas bien étonnant. Tu avais beau être né ici, tu supposais que les guérisseurs comme toi n'étaient pas vraiment connus. Tu ne restais pas beaucoup au milieu des autres, et tu avais toujours peur de traîner trop dans les pattes d'une même personne. Alors ce n'était pas étrange qu'il ne te connaisse pas vraiment, mais de là à ne t'avoir jamais vu...? Il t'apparut ensuite à l'esprit qu'il était peut-être récent. Assez rapidement, tu pensas à nouveau que tu devrais mieux identifier les nouvelles venues, car ça t'éviterait sûrement de mauvaises surprises. Tu remarqua son pelage assez épais, ce qui t'amena un peu plus à le penser non-natif du coin estival. Sûrement. C'était une bonne chose, on avait toujours besoin de nouveaux. Et puis, ça amenait d'autres horizons. Mais il te faisait quand même un étrange effet.

- Pourtant, tu portes l'odeur de l'été... Je me répète mais, qui es-tu?


Tu te recroquevillas un peu, comme à ton habitude face aux gens que tu ne trouvait pas rassurants. Il t'opressait trop. Il ne t'avait pas laissé le temps de parler, de réagir. Tu n'aimais pas ça, il était bien trop imprévisible pour toi. Finalement, ses yeux te parurent trop perçant et tu baissas les tiens, un peu atteint par leur froideur. Vraiment, il était d'une indélicatesse affreuses, et dieu sait que ça ne t'aide pas à te détendre. Tu sentis les poils de ta nuque se hausser légèrement, comme pour te signifier que ton corps était en alerte. Tu le sentais, ça ne te rassurais pas. Mais ta raison l'emporta; ce n'était qu'un nouvel estival, sûrement atteind de quelque impolitesse que ce soit, et il ne te ferait aucun mal. Il n'avait pas été si aggressif que ça, après tout. Juste un manque de finesse; ça arrivait à tout le monde. Et puis, il avait l'air d'avoir faim. Il s'était même retenu de manger. Peut-être un hasard, mais ça valait le coup de prendre ça pour une politesse dissimulée, ou du moins un petit réflexe. C'était plus rassurant de penser qu'il avait de la considération pour toi.

Te redressant légèrement, tu ne cessait de fixer le sol. Ton regard se posa un instant sur les griffes de ton interlocuteur; plus grande que les tiennes, bien plus grandes. Et ça te fit à nouveau détourner les yeux, tant tu te sentais mal à l'aise. Regardant le buste du loup, tu lui répondit doucement :

« Je... J-Je suis Noah, un guérisseur estival...»

Grattant doucement le sol avec tes pattes, tu remarquas la finesse de celles-ci. Vraiment, ta carrure ne t'aidait en rien. Tu continuas, en tentant de répondre au mieux à ses premières questions, essayant de hausser un peu la voix, sans grand succès:

« J'imagines que... Je suis un peu perdu... »

Relevant les yeux, tu essayais de retenir son regard. Quelques secondes, par pur politesse. Ce n'était pas une politesse bancale qui voulait simplement dire que tu avais remarqué sa présence, mais plutôt pour lui signifier que tu lui portait de l’intérêt.

« Et... Tu es? »


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Jeu 12 Nov 2015 - 10:56

Une rencontre dans un décor estival

Carnival ft. Noah


 


Carnival fronça les sourcils et agita frénétiquement les oreilles en signe d'incompréhension lorsqu'il vit le jeune mâle au pelage crème se recroqueviller nerveusement. Lui avait-il fait peur? Pourtant, pour une fois, ce n'était pas du tout là son intention première que de terroriser le jeune loup. Allons, il n'avait fait que lui poser quelque questions dut à sa curiosité indiscrète. Il était parfaitement conscient de la peur naturelle qu'il inspirait à la plupart, d'habitude, c'était volontaire et il s'amusait d'entretenir ce sentiment qu'il faisait éprouver aux autres. Mais lorsque quelqu'un se trouvait si spontanément effrayé et mis mal à l'aise par sa personne, il ne pouvait qu'en être stupéfait.

Habituellement, il aurait cherché à entretenir cette peur comme il le faisait avec les autres et en aurait tiré un profond plaisir malsain...Mais pas aujourd'hui. Il n'avait pas la tête à cela. Haussant les épaules et roulant des yeux, il attendit avec toute la patience dont il était capable que l'estival se "détende" et lui réponde finalement. Indifférent, l'estival observa le jeune loup remonter son regard des pattes de Carnival à son buste sans aller plus haut, sans doute pour éviter de croiser le regard éclatant du soldat. Enfin, toujours mal à l'aise, il parla :

« Je... J-Je suis Noah, un guérisseur estival...»

Alors il était bien de l'Eté finalement? Carnival s'en doutait, mais cette confirmation le détendit : il avait à faire à un comparse et pas un ennemi. Pas qu'il ait eu peur que le guérisseur ne lui fasse de mal, avec une carrure si fine comparée à celle de Carnival, il aurait eu bien du mal. Seulement, avoir à faire à un compagnon lui évitait un long sermon et une reconduite vers la frontière alors que son estomac criait famine et qu'une proie encore fraîche gisait à ses pattes. Sans tenter de l'interrompre - il avait déjà assez de mal à s'exprimer alors si en plus il lui coupait la parole - le soldat continua d'écouter Noah :

« J'imagines que... Je suis un peu perdu... »

Il tenta vainement de donner un peu de contenance à sa voix, ce qui fit sourire Carnival malgré lui. Simple réflexe. Noah releva avec prudence son regard pour croiser celui de Carnival. Quelques instants seulement. Avant de reprendre de nouveau la parole :

« Et... Tu es? »

Carnival considéra cela comme une invitation à prendre enfin la parole. Avec sa délicatesse naturelle, il lança, un fin sourire aux lèvres :

- Eh beh! J'ai eu peur que tu sois muet au départ mais il semblerait que non!

Il gloussa une seule fois. Puis se tut et fit disparaître son sourire aussi facilement qu'il l'avait fait apparaître. Maintenant qu'il savait ce qu'il voulait, il aurait tout aussi bien pu lui tourner le dos et s'en aller comme il était arrivé. Mais allons, comme il filait déjà une trouille bleue au pauvre petit loup couleur de sable, il n'allait pas le quitter comme cela. Cela aurait été bien mal poli, n'est-ce pas?

Tranquillement et sans se presser, car si Noah était mal à l'aise, ce n'était pas le cas de Carnival qui ne semblait posséder aucune gêne à l'égard des autres. Pourquoi se serait-il senti mal à l'aise face à un frêle adolescent probablement totalement innocent? Il n'y avait là aucune raison. Ainsi, il ne se pressait pas pour répondre, prenant autant de temps de réflexion que requierait une telle question! Au bout d'un moment, tout de même, il reprit enfin la parole, de son imposante voix grave :

- Je me nomme Carnival, je suis un soldat du clan estival.

Désormais, c'était lui qui poserait les questions. Curieux, comme toujours, et n'hésitant pas à demander ce qu'il souhaitait savoir, l'estival observa avec attention Noah, les deux oreilles dressées et l'air indéchiffrable. Il était donc de l'été...Mais alors, comment avait-il pu se perdre sur le territoire de son propre clan? Etait-il là depuis moins longtemps que lui pour ne pas encore connaître parfaitement les terres de l'été ou n'avait simplement jamais eu envie de les explorer? Après tout il semblait bien exister des loups qui n'étaient animés par aucun désir d'aventure et qui n'avaient jamais quitté le clan dans lequel ils étaient nés ne serait-ce qu'une fois. Ne quittant pas le guérisseur du regard, il demanda :

- Mais dit moi, Noah, si tu es bien de l'été, comment t'y es tu pris pour te perdre?

Proposait-il son aide pour qu'il retrouve son chemin? Non mais, pour qui avez vous pris Carnival, pour une nourrice? Il se fichait plus qu'éperdument du sort de cet adorable petit guérisseur. Tout se qu'il désirait, une fois de plus, c'était satisfaire sa curiosité malsaine. Son manque d'agressivité ne témoignait pas pour autant de la bonté de son âme. Quelle bonté? Quelle âme? Ce n'était par ce qu'il n'avait pas dévoilé ses crocs ( ou du moins pas encore) qu'il était devenu plus doux. Il voulait savoir, et c'était tout.
 

Dreamy



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Sam 27 Fév 2016 - 11:41

» Gros gros up ! ♥ «
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Dim 11 Déc 2016 - 13:01

Au vu de la petite poussière sur ce rp, il a été archivé ;)

Pour le récupérer, envoyez un mp au staff

~<3
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