J'ouvrais les yeux, lentement, pour une fois que je pouvais un peu rester en territoir hivernal ! Mon travail d'espion me prenait de plus en plus de temps, je dormais très peu. Vu qu'on m'avait accordé un congé, j'en ai profité pour dormir un peu à la "sauvage".
Je me réveillais en sursaut, j'en avais marre, chaque nuit le même rêve : celui de la mort de ma mère par un bande d'estivaux. Et comme à chaque réveil, je réfléchissait à un plan pour me venger, j'en avais trouvé un bon : tuer un de leurs louveteaux. Le hic était que si il y a bien une chose que personne ne pouvais cotionner, c'étais bien le meurtre d'enfant ; Serais-je près a risquer ma place dans le clan pour une histoire de vangeance ? J'hésitais encore peser le pour et le contre. J'en arivais a la conclusion sue ce n'étais pas la meilleure chose a faire pour le moment.
Histoire de me changer les idées, je me décidais de voir a quoi ressemble cette partie du terioir, car étant petit, ma mère m'e défendais d'y aller car je risquais de glisser et tomber.
Alors que je me baladais pour rentrer aux cavernes, je vis des traces de pattes qui avaient l'air fraiches. Curieux de nature, je les suivis pour tomber sur la faille, tient un petit rebord de neige sans caillou en dessous et j'étais dessus.
Je battais des ailes du plus rapidement que je pus, finalement, je comprends pourquoi ça m'étais interdis. J'étais un peu égratigné mais tout allait bien. Alors que je je repris mon chemin je tombai sur, sur ... L'alpha ?! En tout cas c'est bien ce que je croyais, mais que fait-elle seule ici ? Et pourquoi elle a l'air si triste ? Je me posais tellemnt de questions que j'en oubliais pendant un instant ma mère et mes noirs desseins.
Je prenais mon courage a deux pattes et allai vers elle en lui demandant sur un ton neutre :
"Bonjours ma chère Alpha. Pourais-je savoir de que faites-vous ici de si bon matin ?"
Rien que avec cette phrase j'avais l'impression d'en faire dix fois trop et d'être plus en train de la déranger que autre chose. Néenmoins je restai, je ne savais pas pourquoi. la peur peut-être ?