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Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

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Aydahven, fils adoptif de Sasayaki
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Ven 31 Juil 2015 - 18:21


Aydahven

Printemps


☼ Nom : Aydahven
☼ Prononciation : È-i-da-vène
☼ Âge : Louveteau
☼ Clan : Printemps (Futur Librelune?)
☼ Rang : Louveteau
☼ Sexe : Mâle
☼ Orientation sexuelle : Indéterminée



☼ Pouvoirs : Transmission de souvenir : Aydahven peut transmettre ses souvenirs à un autre loup, soit un moment de sa vie qu’il fait revivre à l’autre comme si c’était son propre souvenir, avec les 5 sens et les émotions. Par contre, si l’autre loup n’a jamais connu l’un des sens (exemple : né aveugle, ou sourd, ou sans odorat), Aydahven ne pourra pas transmettre cette partie-là, et le souvenir en sera donc dépourvue. Idem pour une émotion, Ayd’ ne peut pas faire quelqu’un se souvenir de la joie s’il ne l’a jamais vécu dans sa vie. Même si les autres perçoivent le souvenir comme leurs propres souvenirs, ils savent cependant pertinemment que ce n’est pas eux qui l’ont vécu. Pour initier la transmission, Aydahven doit être en contact physique avec l’autre loup. La transmission ne prend qu’une fraction de seconde, mais ne peut pas se faire contre la volonté de l’autre, et elle ne remplace aucun souvenir, le souvenir s’ajoute simplement aux autres.

Baies comestibles : Aydahven peut faire pousser des fleurs de cerisier au centre desquelles se trouvent des cerises comestibles et nutritives dans la fourrure de son poignet, la fleur terminant dans sa patte pour qu’il puisse manger ou tendre la nourriture. Cependant, on ne peut pas faire un repas complet avec une portion de ses cerises et les fleurs lui « suce son sang » pour créer les fruits, ce qui l’affaiblit. Il peut faire apparaître deux ou trois rations seulement avant de perdre connaissance, dépendamment de s’il mange les baies ou les donne à un autre, car les baies étant nutritives, quand il les mange ça lui redonne un peu d’énergie, mais s’il les donne à un autre, il se prive de ce retour et les conséquences sont donc plus grave (étourdissement, faiblesse, fatigue, ce ne sont pas toujours les mêmes dépendamment de l’état dans lequel il est quand il utilise son pouvoir).

☼ Physique : Le petit louveteau est majoritairement bleu nuit. Partout sur son corps, des flammes noires parsèment sa fourrure, difficiles à distinguer la nuit, et qui créent une sorte d’effet quand il est en mouvement, comme s’il était constamment en feu, un feu sombre et inquiétant. Au travers de ce dédalle, quelques marques blanches semblent illuminer le ciel nocturne enflammé qu’est Aydahven, comme une  pleine lune qui y brillerait. Il a du blanc autour des yeux, des oreilles, sur sa crête, le bout de sa queue et le bout de ses pattes. Ses yeux sont jaunes, allumés et lumineux comme des lucioles ou des esprits au cœur du tourment nocturne. Ses griffes sont aussi jaunes, légèrement dorées, et ses coussinets sont noirs, tandis que sa truffe est gris-blanc.

Aydahven a toujours une posture droite, fière. Il est calme et son aura est neutre. Sans être intimidant, il n’a pas non plus l’air invitant. On peut difficilement lire ses émotions, et si on le peut, ce n’est vraiment pas bon signe. Bien qu’il n’ait pas l’air amical, son timbre de voix l’est, calme, doux, amical, bien que définitif, déterminé, confiant. Quand on parle avec lui, on peut souvent voir son corps envoyer des signaux de désintérêt, de distraction, comme s’il pensait à autre chose, ce qui ne veut pas dire qu’il n’écoute pas. Bien qu’en santé, son physique n’est pas extrêmement développé. Aydhaven est taillé pour l’endurance, et non la force. Au combat il n’est pas très doué, mais il peut courir longtemps.

Image :


☼ Caractère : Tout comme sa fourrure, Aydahven est sombre d’humeur. Calme, un peu taciturne, solitaire sur les bords, le louveteau est légèrement asocial et obsessionnel. Il cherche sans arrêt à se dépasser et il se tient à l’écart des autres qui pour lui sont des freins, des gênes. Il reste tout de même amical avec les étrangers, et généreux, aidant ceux qui en ont besoin, à sa manière. Peu expressif, il ne montre pas ses émotions aux autres et il n’est pas porté à chercher de l’aide quand il en a besoin, préférant régler ses problèmes seuls. Quand il a une idée en tête, il ne lâche pas le morceau et il devient limite obsédé.

Très dans sa bulle, il déteste qu’on l’envahisse. Qu’on lui crie dessus, qu’on le touche, qu’on le colle ou le câline, ou qu’on le presse (dans le temps). S’il ne répond pas, le mieux est de se la fermer et attendre qu’il soit prêt à répondre. Aydahven aime prendre son temps pour bien faire les choses, et il s’énerve en présence de personnes trop impatientes ou excitées qui ne peuvent pas s’arrêter de bouger. Même si c’est un enfant et qu’il a des réflexions d’enfant et qu’il aime jouer, parfois, il est déjà très sérieux et réfléchi, et il a le sens des responsabilités. Il a l’impression par moment que c’est lui qui prend soin de son entourage et non l’inverse. Très loyal, il sera toujours là pour la famille, et il essaiera toujours de protéger ceux qu’il aime.

☼ Histoire : Pas de mère. Si vous demandez à Aydahven de vous dire ce qu’il retient de son enfance, ça se résume à ces mots : pas de mère. Il n’y a toujours eu que lui, sa sœur, son père, et Kyo. Il ne s’en est pas vraiment inquiété, au début, il ne savait pas que c’était pas normal, en fait, mais il a toujours ressenti un vide. Il a toujours eu l’impression qu’il fallait une personne de plus dans sa vie. Il s’était toujours dit que c’était anormal qu’il boive le lait de femelles croisées au hasard. Mais il avait son père, et sa sœur, et Kyo. Et il aimait son père, qui avait l’air si fort, qui les protégeait, et qui prenait soin de sa sœur. Sa sœur… Elle avait quelque chose, sa sœur, et il était parfois triste, mais Kyo prenait soin d’elle, et donc il en était heureux. Aydahven voyait parfois le regard de son père, qui le regardait, lui et sa sœur, qui souriait. Ses yeux donnaient l’impression qu’il sondait son âme, mais ça le rassurait, car en voyant son âme, son père souriait. En général, le petit souriait aussi. Parfois, quand son père le regardait, il avait l’air inquiet, au début. Aydahven avait compris rapidement que c’était l’immobilité. Il ne bougeait pas beaucoup, et parfois pas du tout. Sa sœur ne bougeait pas non plus, et elle avait l’air de préférer quand c’était calme. Mais leur papa avait l’air de penser que quelque n’allait pas, quand Ayd’ arrêtait de bouger, donc il bougeait régulièrement pour le rassurer. Il ne savait pas où ils allaient, pourquoi ils se promenaient autant, mais le petit n’en avait rien à faire. Il faisait confiance à son père, et il se sentait bien avec lui.

☼ RP d'exemple (pour connaître ton niveau) : En pénétrant dans mes oreilles, le son cristallin que produisit ce loup provoqua mon réflexe d’abaisser les paupières sur mes yeux qui ne voyaient pas, de toute façon. Mes oreilles, comme si elles anticipaient une attaque, ou qu’elles me maudissaient de honte peut-être, vinrent se coller à mon crâne. Mon dos s’arquait déjà légèrement, par réflexe, au même moment, avant que la véritable nature des notes qui semaient l’effroi dans mon cœur ne se révèle à mon cerveau. Ce son léger et flottant avec délicatesse jusqu’à moi respirait le bonheur, le plaisir franc, et non le plaisir malsain et le mépris. Ce loup me trouvait donc drôle. Pas par désir de me faire du mal, d’en profiter pour me dominer. Non, ma réaction lui semblait tout bonnement incongrue. Et si je m’accordais la permission de pousser un peu plus loin mon analyse, l’idée qui me traversait l’esprit se présentait comme celle qu’une pointe d’attendrissement parsemait les sommets de ces pics de bien-être. La curiosité me redressa, ainsi que mes oreilles. Je savais que mon corps n’apparaissait pas comme celui d’un adulte, qu’il me rajeunissait même de quelques années, bien que mon esprit considère erroné cette allure. Ce loup me prenait-il donc pour un louveteau à peine entré dans l’adolescence et empreint de timidité à la rencontre d’un étranger? En tout cas, peu m’importait la raison. Visiblement, il ne nourrissait pas l’idée de me faire du mal, mais plutôt celle de se montrer amical. Mes muscles se détendirent instantanément alors que j’écoutais le son de sa langue lapant l’eau revigorante.

Pendant qu’il se rafraichissait, je donnai la permission à mes sens d’analyser les informations qu’envoyait ce canidé. L’odeur de métal agressait toujours ma truffe en quête d’identifier la provenance de cet inconnu, mais après un moment, m’habituant à ce désagréable parfum, je pus reconnaître en dessous une autre odeur beaucoup moins caractéristique. Elle ne me rappelait rien, sinon peut-être la terre, bien ordinaire, qui devait envahir la fourrure de ce loup. Un solitaire, donc. Tenter de percevoir sa taille, environ, fut difficile, et je dus me résoudre à attendre plus tard pour cela. L’eau brouillait sans doute l’information, que m’auraient dévoilée mes coussinets par l’intensité des vibrations produites par les pattes de mon interlocuteur à chacun de ses pas. En plus, aucun mouvement autre que celui de sa langue n’animait son corps en ce moment, ce qui compliquait l’exercice d’autant plus. Il ne restait donc que mes oreilles qui détenaient encore la possibilité de m’apprendre une chose nouvelle. Ce qu’elles s’empressèrent d’exécuter, mais pas avec la méthode conventionnelle. *Le poison coule dans ses veines.* Je savais déjà cela. L’odeur me l’avait indiqué depuis un moment déjà, éveillant mon instinct de survie qui m’intimait de me tenir éloigné de cet être dangereux. Dangereux, oui, mais aussi amical. Cependant, l’Esprit du Vent m’apportait une information de plus, dans ce message. Une émotion de plus. Je comprenais à l’intonation, à la façon dont la certitude s’était gravée dans mon esprit. Le poison contre lequel on me mettait en garde affectait aussi son porteur : le loup. Cette idée m’attristait, et je fis l’effort d’empêcher mon visage de trahir ma peine. Je venais tout juste de le rencontrer, je ne le considérais même pas comme un ami. Mais j’accordais de l’importance à chaque vie, même celle d’un étranger déjà condamné qui prenait la peine de se montrer amical envers moi.

Quand j’entendis le son lourd de quelque chose entrant en contact avec l’eau, et que je reçus une petite vague accompagnée de gouttelettes sur mon flanc, un frison de peur parcourut mon corps, lequel bondit sur le côté, m’éloignant de la source de la frayeur instantanée qui ne prit possession de mes esprits qu’une fraction de seconde à peine. N’ayant pu voir l’autre canidé s’élancer, j’avais cru, l’espace d’un instant, qu’il tentait de bondir sur moi, et non dans l’eau. Mais en constatant qu’il se baignait un peu, tout simplement, je me calmai de nouveau. L’air se rafraichissait, et bientôt la nuit tomberait, je le sentais au calme qui peu à peu s’installait avant de faire place à la vie nocturne. Ce loup resterait certainement un moment ici, et ensuite il dormirait dans la grotte où j'envisageais moi-même de passer la nuit, un petit peu plus tôt. Il devenait donc impératif que je trouve un nouvel abri pour la nuit, car l’idée de réclamer ma propriété temporaire non établie à ce loup dangereux ne me plaisait pas du tout. Je devais apprendre à m’affirmer, bien entendu, mais cela ne voulait pas non plus dire que je doive me montrer méchant et hautain. Je bénéficiais d’encore beaucoup de temps pour m’installer quelque part pour cette nuit qui de toute façon s’annonçait douce. Dormir dehors ne me causait pas beaucoup de problèmes, j’appréciais même l’expérience la plupart du temps. Je m’apprêtais d’ailleurs à m’éloigner discrètement, le laissant seul dans ses pensées, quand sa voix s’accrocha à mon oreille telle une patte à la mienne, pour me retenir.

« Tu ne viens pas? On pourrait un peu discuter ensemble à la fraicheur de l’eau et avec la délicate caresse du soleil couchant… Qu’en dis-tu? »

Cette voix sonnait de façon très douce à mon oreille, dénuée d’intention cachée, de fourberie. Ce loup me traitait en ami, alors qu’il ne me connaissait même pas. Il m’invitait à profiter de l’eau avec lui et à discuter, à faire connaissance en somme. Ma cécité ne le dérangeait donc pas. En même temps, pour un loup solitaire, que ce genre de détail ne fasse aucune différence ne me surprenait pas. Le seul autre solitaire qui avait croisé mon chemin, cependant… avait tenté de me dévorer vivant… la différence entre lui et ce loup amical me frappait étrangement. Au sein d’une meute, les loups diffèrent les uns des autres, mais ils conservent une sorte de mentalité commune, des valeurs globalement similaires sur certains sujets. Mais lui et ce monstre qui avait profité de ma faiblesse étaient à l’opposé l’un de l’autre. Ce qui créait mon malaise, cependant, ne concernait en rien ce détail. Profiter de l’eau… Une action qui se refusait catégoriquement à moi. Tout comme celle de profiter de ce soleil couchant. Comment pouvait-on ressentir le soleil? À quoi ressemblait-il? Pour quoi lorsqu’il se couchait devenait-il autrement? Ce qu’avait offert le loup différait. Il offrait de profiter de sa caresse. Une sensation physique. Une sensation physique que je ne ressentais pas. La cécité ne suffisait-elle pas à mon tourment? La réponse la plus vraisemblable, bien entendu, ne pouvait qu’être : non. Gêné, je m’assurai de bien formuler ma réponse pour ne pas vexer le loup, tout en incluant la totalité des émotions et informations que je désirais transmettre, ce qui demanda un petit moment, avant de laisser ma voix s’élever à son tour dans l’air, vers les appendices auditifs de mon interlocuteur.

« Je suis désolé, mais je ne peux pas accepter la proposition que tu me fais. En plus de ne pouvoir user de mes yeux, je suis aussi incapable de différencier le chaud et le froid. Il m’est donc impossible d’apprécier la fraîcheur de l’eau, ou la caresse du soleil. De plus, bien que j’aimerais discuter avec toi, je ferais mieux de me trouver un endroit où passer la nuit. Et puis… Une légère hésitation suspendit la phrase qui souhaitait franchir mes lèvres. De peur du ridicule, surtout. Mais après quelques courtes secondes, ma voix se teintant de honte, je déclarai : Je ne sais pas nager… »

Embarrassé, je me détournai et parcourus les quelques petits pas qui me séparaient de la berge, comme si l’eau elle-même, par son refus de me laisser y nager, me dégoûtait soudainement. La vérité, en fait, affirmait que la honte qui s’emparait de moi ne supportait pas de me garder près de la source qui l’inspirait. Restant debout sur mes pattes, prêt à partir et à laisser seul ce loup inconnu s’il préférait les choses ainsi, je tournai tout de même la tête en tendant l’oreille, pour lui montrer que j’attendais attentivement sa réponse avant de décider de ma prochaine action. Si le désir de parler importait plus que tout le reste pour lui, alors je resterais, m’allongeant sur la berge pour discuter avec lui. Il pourrait même rester dans l’eau s’il le voulait, et discuter tout en nageant, ou alors me rejoindre et s’allonger plus près de moi. Cette idée-là me mettait un peu mal à l’aise. Poison, danger, ces deux mots résonnaient dans mon esprit, mais il s’acharnait à se montrer amical, et cela non plus je ne l’oubliais pas. À l’intérieur de moi, je sentais naître le désir qu’il me demande de rester. Qu’il me parle. L’envie d’entendre sa douce voix et de ressentir son bonheur, même si cela impliquait que je sois maladroit ou que je perde le contrôle sur la timidité, inspirait en moi une étrange harmonie et un bien-être complexe relié à celui de l’autre, tous deux se contentant de simplement refléter une possibilité, un potentiel dont j’anticipais le développement avec convoitise. Ce loup me voulait du bien, et pour le peu de fois que ça m’arrivait, je désirais qu’il m’en fasse.


☼ Codes du règlement : Envoyés parmi les esprits ♠



☼ T'as un nom toi ? Yup, encore et toujours Maeya
☼ Ou peut-être un PUF ? Bah ouip, Maeya 
☼ Âge : 21 ans
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☼ Autre(s) : Je vous nem tout plein en patates aux choux <3

*PUF : pseudo utilisé sur les autres forums

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Blue
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Espèce : Hybride loup/chien
PUF * : Quelqu'un
Féminin
Messages : 1992
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Âge : 29
Ta localisation réelle : Quelque part entre rêve et réalité

Identité du personnage
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Ven 31 Juil 2015 - 19:52

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