J’explorais les endroits du territoire automnal que je n'avais encore jamais vu, je montais une colline, arrivant en haut, mes yeux s'étaientt écarquillés comme des balles de tennis en voyant cette vallée sublime. d'en haut, le vent s’engouffrait dans mes poils, quelle sensation de liberté ! Cette vallée me donnait qu'une seule idée: courir ! courir jusqu'à ne plus pouvoir bouger, courir, toujours plus vite, je m'élança à toute allure dévalant la colline, je courais, toujours plus, vite, mes muscles ne me faisaient pas encore mal, je sentais l’électricité venir à mes pattes, la terre tremblait sous mon poids, tout était parfait ! je pouvais rester encore une heure comme ça si il n'y avait pas eu une petite ferme humaine en travers de mon chemin, je m'arrêta, sentant l'horrible odeur fraîche d'un singe, ou plutôt d'un humain, moi qui n'en avais jamais vue, je ne pensais pas que les humains puaient autant !! je contourna la demeure,doucement, à pas de loup, mais soudains, quelqu'un cria :
"- attention !!! "
je fis un bon sur le côté,
j'eu à peine le temps de me retourner qu'un coup de tonnerre retentis, l'humain était là, avec un objet long qui avait une odeur de métal dans la mains, l'odeur .. de la mort, un deuxième coup de tonnerre retentit, et un trou venais de se créé dans le sol, juste à coté de moi, c'était bien l'objet que tenait l'humain qui avait créé se trou, et je su que je ne devais pas rester là, j'envoya un énorme coup d’électricité dans les jambes de l'humain, celui-ci s’étala de tout son long par terre. j'avais juste le temps de m'enfuir, je courrais à toute allure, longeant la rivière, mais un loup me suivait, c'était bien lui qui avait crié; "attention", il devait connaître l'humain, et m'en avait avertis, je réalisais qui si je n'avais pas fais ce bond sur le coté, je serais mort à l'heure qu'il est . Une fois hors du danger, je m'arrêtais puis j'attendis que mon sauveteur me rattrape.
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