Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Survivante d'un désert (RP libre)
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Sam 14 Mar 2015 - 22:11



Survivante d'un désert ?
(RP libre)


Mais qu’est-ce qui m’a pris d’aller dans un désert ? Endroit aride le jour et gelé la nuit. Autant aller en été avant de passer sa nuit en hiver, ce serait la même chose. Mais non ! Il a fallu que je fasse à nouveau des folies. Me maudissant moi-même pour la énième fois, je marchais devant moi en créant des volutes de poussières à chacun de mes pas. Fatiguée et haletante, j’espérais trouver de nouveau la frontière ou un petit point d’eau dans lequel je pourrais me désaltérer. Et je priais pour ne pas tomber sur un loup ayant de mauvaises intentions. Dans l’état dans lequel je me trouvais, je n’aurais pas été en état de combattre. Même un louveteau aurait pu gagner facilement.


Le jour passa sans que je trouve nu eau, nu la fin de ce maudit désert. Petit à petit, la température baissa pour finalement atteindre une fraîcheur digne d’un grand froid d’hiver. Un léger vent commença à souffler. De peur qu’une tempête se lève, je regardai autour de moi pour me trouver un abri pour la nuit. Mais il n’y avait rien. Seulement du sable et des dunes de sable. Avec un léger espoir, je me mis face au courant d’oxygène pour y sentir les odeurs qu’il m’apportait. De l’herbe fraîche. De la terre récemment mouillée. Du lapin et autres proies appétissantes. Les odeurs d’une terre riche de vie comme il y en a dans les territoires printaniers et inoccupés. Je tendis l’oreille pour être sûre de pouvoir me fier à mes sens. Je ne voulais pas être victime d’un de ces mirages réputés dangereux. Mais, à part le vent, rien. Comme je ne pouvais pas rester là sans rien faire, je recommençai à avancer contre cet apport d’espoir. Avec un peu de chance, mon cerveau n’était pas encore trop perdu par ces quelques jours passés dans les chaleurs et froids extrêmes. Sans parler de ce paysage monotone qui rendrait n’importe quel animal fou.


Après quelques heures de marche pénible, mes forces commencèrent à m’abandonner. Le vent, parfois fort, et d’autres fois plus faible, m’avait aveuglée et seul son sens m’avait guidée. Moi qui, en temps normal, le laissais me pousser, allais à son encontre. Les odeurs brouillées par le sable ne disparaissaient pourtant pas et étayaient mon espoir de ne pas mourir seule au milieu de nulle part. Cela ne m’empêcha pas de m’écrouler, et de m’endormir. Le lendemain matin, je m’éveillais, la bouche pâteuse et pleine de sable. J’eu du mal à réaliser qu’un couple d’écureuil me regardait. Ils étaient très proches. Comme si j’étais un cadavre. Et lorsque je me levai, ils partirent en courant et sautillant aussi vite que le permirent leurs petites pattes. Loin de vouloir les manger, je les suivis persuadée qu’ils se dirigeaient vers leur arbre. Heureusement pour moi, ce fut le cas. Et quand j’eu enfin franchis cette frontière hautement espérée, je m’écroulais à nouveau, profitant de cette douce chaleur réconfortante. Les animaux chantaient joyeusement. Et, plus loin, la douce mélodie de l’eau me donna un peu de force pour ramper vers le ruisseau qui me promettait de me désaltérer bientôt.


Belle, clair et vendeuse de rêve, la source que je découvris me fit pleurer de joie. Lentement et précautionneusement, je me levais et m’avancer vers le bord. Puis, je bus doucement quelques lampées de ce nectar insipide et désaltérant. Brièvement, je vis ma fourrure salie par la poussière. Je m’étais méconnaissable. Méconnaissable et cruellement fatiguée. Alors, je me couchai à l’ombre d’un arbre non loin de la source et m’endormie d’un sommeil paisible et sans rêve. Que pouvait-il donc m’arriver ? Pour moi, j’étais en sécurité.


© Maeya Fleur de Neige
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Sam 4 Avr 2015 - 20:06

Dans une forêt dons je ne savais pas où j'étais, je me perdis. Me sentant mal alaise je m'étais assis et je commençais à pleurer, soudain ; je me rends que je suis proche d'un ruisseau, je me relevais et m'avança lentement en croyant qu'il y aurait quelqu'un au ruisseau. Justement je me suis cachée derrière un arbre, de loin juste sur l'autre rive je voyais une louve grise qui ne bougeait plus, moi qui suis curieuse je traversais le ruisseaux et alla voir cette louve. Elle était couverte de sable et un peu maigre.

Je me penchais près de sa truffe pour écouter son souffle, je me relevais en sursaut ; elle était bien vivante, je reculais, reculais, reculais et me cogna contre un rocher. Comme elle étais maigre et que je suis très gentille, je partis chasser du gibier. Sur le cout ce n'était pas moi qui chassais, mais le gibier, apeurée je courus à travers tous les bois jusqu'à revenir au ruisseau, j'avais réussi à le semais je me suis dit "Je ne chasserais plus jamais de gibier !".

Alors que je surveillais cette louve j'entendis un bruit, je croyais que c'était encore le gibier, c'était en fait des écureuils qui me faisaient une blague. J'ai couru après eux et mon amener a leur arbre, juste derrière l'arbre il y avait une biche, comme j'avais faim je me léchais les babine et sauta sur elle, j'ai réussi à l'attraper toute contente je retournai au ruisseau et j'attendis que la louve se réveilla.
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Dim 5 Avr 2015 - 16:17



Survivante d'un désert


Dans ma faiblesse, je sentis du mouvement. Tout d’abord, je crus qu’il s’agissait d’un quelconque animal qui aurait été curieux par ma mobilité. Mais mon odorat m’en apprit plus : il s’agissait d’un lupin. Faible, j’attendis de voir ce qu’il allait faire. D’autant plus qu’il s’agissait certainement d’un membre du clan de l’été. Je fus bien surprise de sentir sa truffe sur la mienne. S’inquiétait-elle pour moi ? Si c’était le cas, les bruits d’un corps contre un arbre, les cents pas autour de moi et les courses poursuites lointaines indiquaient qu’elle paniquait. Mais qu’en savais-je, moi qui ne comptais que sur deux de mes sens ?


Lorsqu’elle s’arrêta enfin, j’attendis un peu. Je me sentais mal et désirais dormir. Mais, je voulais aussi voir si elle était encore ici. Si elle s’inquiétait vraiment pour moi ? Quelle était ses intentions. Et, surtout, savoir qui il ou elle était. Alors, au bout de quelques minutes, je me fis violence et entrouvris les yeux. Elle était là, éblouissante et magnifique. Son pelage d’or brillait sous le soleil légèrement filtré par les arbres environnants alors que les couleurs de sa mèche, semblable à la mienne, égayaient son physique. Elle ressemblait à un ange. Non ! Que dis-je ? Une déesse, pour ne pas dire au soleil. Je l’ai regardée attentivement. Elle semblait avoir mon âge et veiller sur moi, un animal à ses pattes. Celui-ci était gracieux, même dans la mort. Son pelage d’un châtain clair était luisant comparé au moins, sale et grisé par le sable incrusté. Avec plus d’attention, je reconnu une biche appétissante. Elle n’était pas pleine et ça me rassura.


Puis, je reportai mon regard sur la chasseuse. Que lui dire ? J’étais faible, et cette faiblesse m’amenait à être méfiante. Surtout après ma rencontre avec Gaia, plus tôt. Ce lupin m’avait laissé un souvenir marquant et m’avait appris que toute personne n’était pas pareil. Il fallait donc que je sache qui elle était et quel était son intention envers moi. Alors, d’une voix très faible, voire quasi inaudible, et enrouée, je lui ai demandé :


— Qui es-tu ?


© Maeya Fleur de Neige
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Ezéckielle
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Ezéckielle
Espèce : Loup/louve
PUF * : TheGoldenSwan sur Deviantart
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Mer 10 Juin 2015 - 13:20

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