Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Pfffff... Que le temps était long. Enfin le temps n'était pas dénombrable... enfin si, mais le caractérisé de long était plus porche d'un certains terme littéraire qu'une réalité. Tout cela était compliquer, trop compliquer pour la petite Acédie qui soupirait une énième fois depuis ce matin. Elle s'ennuyait à mourir. Elle avait beau parcourir les terres printanières en long, en large, en travers, elle n'arrivait pas à trouver satisfaction. Elle ne trouva pas Rage, elle ne savais pas où pouvait bien se trouver le grand loup vert, mais sa présence en ce jour ensoleillé lui aurait fait grand bien, mais elle ne le trouvait pas et cela l'agaçait fortement. La petite princesse boutait, ses joues gonfler d'air lui donnait un air d'enfant adorable, ce qu'elle paraissait être en somme.

Pourtant, elle n'était pas cette petite fille adorable, celle dont vous tomber sous le charme quand vous la croisée dans le parc ou dans la rue. Acédie c'est la jeune fille, qui sort à peine de l'adolescence et qui est toujours une enfant. Acédie c'est la folle dangereuse que les LibreLunes s’efforce de garder près d'eux pour ne pas qu'elle devienne l'arme de l'un des quatre clans. Certains d'entre eux avait peur d'elle, elle était le pire cauchemar des jeunes membres, la douce et adorable louve dépourvu de raison risquait à tout moment de se noyer dans les méandres de la violence et de détruire tout sur son passage, mais heureusement, les aînés étaient là pour veillé sur elle, pour que ce petit wagon plein d'explosif ne quitte jamais les rails envoie profondément dans la mine de charbon.

Un bruit étira son attention, comme une chanson, des petits gazouillement de pauvres volatiles si qui elle jeta son dévolu. Plus d'une fois, elle avait voulu leur arracher les ailes pour pouvoir voler à leur coté. Sans grand succès. A chaque fois, l'oiseau qui mourrai entre ses crocs était trop petit, ou trop brouillé entre ses mâchoires de petites folles. Enfin, si par miracle l'oiseau ne s'était pas prit un coup de lianes titanesque, la louve noire avait le maudit réflexe de secouer sa proie en tout sens, lui brisant les ailes et un oiseau ne pouvant plus voler est un oiseau mort. Là, dans le petit buissons bien garnie se trouvait un groupe de pauvres pignons, de pauvres moineaux, de pauvres oiseaux destiné à mourir. Elle se préparé à sauté, les muscles des pattes tendue, les fesses en l'air, le sourire aux lèvres, la louve la moins discrète du monde bondit avec légèreté, aboya même contre les volatiles qui s'envolèrent en une grande nué noir vers le ciel bleu. Elle n'hésita pas à traverser le buisson, au combien elle se retrouvai recouverte de feuille et de branche, et que son précieux casque cassé se retrouvai esquinté, que dit-je, elle l'avait oublier à ce moment sinon elle n'aurai jamais traverser le dit buisson.

Devant elle s'étendit le grand lac de Sherkaan, mais elle l'ignora. Trop occuper à sauté haut pour essayer en vain d'attraper ne serait-ce qu'un plume de l'oiseau le plus lent. Cependant, la folie ne vole pas et après un saut de trop, un saut trop haut ou alors trop loin, le démon fut attiré par la gravité et tomba lourdement dans l'eau, toute sa grâce et sa légèreté disparu, créant beaucoup d'agitation pour pas grand chose. La folle remonta à la surface rapidement, secoua sa tête avec vivacité pour chassez l'eau qui c'était emprisonner entre ses fins poils sombre. Seul la tête et le casque dépassait de l'eau, mais le désagrément que pouvait provoquer le liquide vitale ne semblait pas la déranger pour le moment, trop occuper à soupiré, déçue de ne pas avoir put attraper un oiseau.

- Bien l'bonjour -Entendit-elle soudain.

Elle leva les yeux de son propre reflet dans l'eau qui avait attiré son attention quelques secondes auparavant et découvrit l'auteur de ce salut. Un loup ! « Halleluia ! », s’exclama-t-elle mentalement. Ses perles violacer avaient un peu de mal à le détaillé, entre les ses mèches humides qui lui masquait la vie et les gouttes d'eau qui gouttaient de ses dernières. Elle discerna que les grandes lignes de son physique, un taille imposante et une couleur brune. D'après l'odeur, mais surtout le lieu, Acédie en déduit à un printanier, mais elle ne pensa pas plus. Elle n'était pas capable d'un tel effort sans qu'on le lui demande ou qu'on l'y oblige. A la place de cela, elle fit un grand sourire qui vains illuminé sa gueule d'ange et lança d'une manière énergique :

- Bonjour !! Contente de te voir.

Up ♫

Mini Up' ♪