Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

T

u étais partie jouer canyon, on disait qu'il avait les couleurs de l'automne mais une neige éternelle, et une fois là-bas tu n'étais pas déçut. Pour changer de ma vilaine habitude de jouer chez les autres, tu étais venue ici, on pouvait vraiment tout voir, c'était vraiment merveilleux.

Shyva était sur ton dos comme à son habitude, ça lui permettait de pas marcher avec ses petites pattes de peluche et ainsi te ralentir, mais tu t'enfichais qu'elle te ralentisse ou pas, sa compagnie était le plus important pour toi.

Tu sentais une drôle d'odeur, mais elle te disait quelque chose en même temps... Maître walpurgis ? Non, c'était celle d'un mâle, et le parfum du loup en question était encore différent de maître Walpurgis... Tu essayais de trouver d'où venait l'odeur, et de ton petit perchoir de pierre orange et de glace, tu avais enfin réussi à voir celui qui sentait ainsi.

Tu descendais de pierre en pierre, sauf qu'au moment où tu avais posé ta patte sur la pierre, la glace qui permettait de la retenir, c'était enlever, donc tu dégringolais la pente pour arriver devant le loup. Tu relevais la tête, il était vraiment très grand, et il ressemblait un peu à la louve que tu avais rencontré il n'y a pas si longtemps... Tu te permettais alors de lui poser la question :

- Dit monsieur le géant... Tu ressembles un peu à Maître Walpurgis et tu as presque la même odeur, tu fais partie de sa famille ? Et pourquoi tu es aussi grand ? Tu es bizarre, tu viens d'où ? Qu'est-ce que tu fais en territoire ennemi ?

Tu souriais joyeusement en remuant ta queue blanche, mais au fond, tu étais dégoûtée à la vue de ce mâle, mais bon, tu devais te forcer à jouer la comédie. Tu regardais aussi autour de toi, car tu avais perdu de vue ta peluche, mais il se trouve qu'elle était tout simplement derrière toi, tu en étais rassurée.

Tu attendais tranquillement la réponse du loup tout en te nettoyant un peu, tu ne supportais pas que ta fourrure blanche soit salie. Tu enlevais les traces orange comme tu pouvais sans dire un mot...

Codage © FieryAmaryllis

L

e mâle avait trouvé comme pour seule réponse, '' ce n'est pas tes affaires '' puis il s'était éloigné comme si de rien était... Comment pouvait-on oser faire comme si tu étais invisible, et il s'était éloigné, on ne t'avait jamais manqué autant de respect de toute ta petite vie ? !

Tu réfléchissais à ce que tu pourrais bien jouer comme tour à ce loup si mal lécher, il fallait que tu trouves une bonne idée comme ça le mâle ne ferait plus comme si tu étais invisible à ses yeux, car c'était la chose le plus énervant pour toi.

Tu arrêtais donc le temps, tu allais vers le loup qui était donc figé grâce à ton pouvoir, tu savais que tu pourrais ainsi t'amuser avec lui qui le veuille ou non... Tu regardais où il prenait appui avec ses pattes, ton plan était très simple, tu allais creuser en dessous de lui ainsi, il perdrait l'équilibre est ne se retrouverais pas terre puis te passerais a là deuxième étapes. Tu te mettais alors à creuser sous les deux pattes ou le grand mâle prenait appui. Tu faisais un trou assez grand, et ta peluche noire t'aidait à accomplir ta petite blague.

Tu remettais vite le temps, pour entendre tomber le loup, en même temps comment ne pas perdre l'équilibre avec ce que j'ai fait. Tu arrêtais à nouveau le temps, et je commençais à mettre de la neige sur le loup pour un peu le paralyser. Tu étais complètement gelé, mais ça en valait la peine.

Tu te mettais sur le museau du loup, puis encore une fois, tu remettais le cours du temps normal.
- Bon maintenant, tu peux m'accorder un peu de ton temps pour répondre à mes questions ?

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L

e grand mâle avait réussi à ce dégagé de la petite prison de neige que tu avais fait spécialement pour lui, et que tu t'étais donné du mal, et il avait en même temps grogné, ce que tu trouvais vraiment mal polie, mais en même temps, tout est fait pour qu'il craque au bout d'un moment. Toi tu te retrouvais au sol, le loup t'avait enlevé de ton petit perchoir, et tu n'avais toujours pas les réponses aux questions que tu avais posées il y a peu de temps, et ça commençait à vraiment t'énerver, mais à un point inimaginable.

- Et pourquoi tu ne veux pas répondre hein ? J'ai essayé d'être gentille, puis après j'ai essayé autrement, ce n'est pas si compliquer de répondre pourtant ! Et si tu réponds, je promets de te laisser tranquille...

Tu essayais de faire une tête mignonne, quand tu voulais savoir quelque chose, tu ne lâchais que très rarement l'affaire, et tu ferais la même chose si tu n'avais de réponse du géant devant toi. Tu te plaçais bien devant lui, et tu te tenais droite avec ta petite bouille de louveteau, tu espérais que ça fonctionnerais...

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L

e grand mâle n'avait pas l'air d'apprécier le fait que tu fasses ta bouille de louve angélique toute mignonne et qui aurait fait craquer plus d'un loup au cœur dur, mais cette fois-ci, ça n'avait pas fonctionné, et il avait la gueule du loup qui était encore plus de mauvais poil.

- Tu mimes l'innocence telle cette hideuse créature qu'était Walpurgis.

Il avait parlé de maîtres Walpurgis au passé, pourquoi donc ? Tu voulais absolument savoir pourquoi il avait dit ''qu'était'', il aurait pus dire ''qu'est'', ou bien, ils ne sont pas vus depuis longtemps, ou bien, il ne l'aime pas, ce qui expliquerait beaucoup de choses.

-Pourquoi tu parlais de maître walpurgis au passé ?

Tu courrais assez vite de tes petites pattes pour arriver à le suivre, le loup qui était si énorme, mais tu avais besoin de savoir, tu étais très curieuse sur le moment, c'était un de tes gros défauts, mais aussi parce que ce mâle t'intriguait, il avait une odeur éloigner de la louve que tu connaissais, mais bien là, il faisait forcément partie de sa famille...

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Q

uand le mâle avait prononcé sa phrase, je ne bougeais plus. Walpurgis morte ? Impossible, elle m'avait promis de m'aider, elle ne pouvait pas être morte, non, tu ne pouvais y croire, même si tu savais que ce canin au fond de toi ne pouvait mentir, tu l'avais vu dans son regard de glace. Tu commençais à voir flou, tes larmes chaudes coulaient sur tes joues, tu pleurais une ennemie, mais tu te disais qu'en restant avec la louve, son cœur de glace pouvait devenir le cœur d'une louve gentille, tu aurais t'en voulu essayer, mais maintenant, c'était trop tard, elle n'était plus là.

- Pourquoi l'appelles-tu maître ? Vous n'êtes ni liées pas le sang ni par votre clan. Que t'avait-elle promis ? Gloire ? Beauté ? Ou alors, vengeance ?

La colère commençait à monter en toi, tu te contentais de répondre avec rage.

-Elle m'avait promis quelque chose de bien ! Moi, je voulais juste l'aider aussi, elle avait comme un cœur de pierre, je me suis dit qu'avec le temps, il se briserait...

Ta petite peluche venait te réconforter, tu lui faisais un énorme câlin, tu étais bien contente qu'elle soit là, mais pour le moment, tu ne disais plus rien, tu te contentais de rester comme ça, à tourner le dos au loup pour faire un câlin à ce que tu avais crée et qui t'aidais souvent à effacer les larmes de ton visage.

Tu tournais ta tête vers le loup une fois que tu ne pleurais plus, tu étais en colère contre lui de t'avoir balancé la nouvelle comme si de rien n'était, et si ça se trouve, c'était aussi lui qui lui avait ôté sa vie. Tu arrêtais le temps un moment, sortant par la même occasion tes ailes, tu aillais lui faire la même chose qu'à Darsky, mais cette fois-ci, tu allais en profiter pour le blesser, voir plus.

Tu allais alors sur son dos, et tu faisais des petits allers et retour pour lui glacer son dos, puis tu fermais doucement ses paupières avec une griffe, puis tu les gelais, maintenant, il était dans le noir, c'était parfait, maintenant trouver comment le blesser. Tu regardais autour de toi, il y avait un magnifique glaçon en pique non loin de toi, tu trottinais jusqu'à lui, tu essayais de le dégager, en faite, il était assez petit, mais pas grave. Une fois le glaçon dans ta gueule, tu aillais à nouveau sur le dos du loup.

Tu l'avais alors planté juste derrière son épaule, tu étais contente, et tu étais prête à recommencer plusieurs fois l'étape, mais tu avais déjà trop utilisé ton pouvoir, donc tu descendais du dos du loup, tu allais en hauteur, pour être en sécurité, tu avais pris ta peluche avec, puis tu remettais le temps.
-Alors, tu aimes mon petit cadeau ?

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