Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Un grain de folie vagabondait sans peine dans l'immense forêt qui paraissait sans fin. Une forêt grande, luxuriante, paraissait éternellement belle malgré le temps et les saisons. Les printemps été là depuis à peine quelques mois qu'Acédie sentait déjà le pollen virevolter de fleur en fleur, entraînant avec lui cette odeur d'impatience qui émanait des soldats d'Oxymore. Une réunion avec eut lieu il y a peu, la petite c'était fortement ennuyer, mais elle avait prit qu'une guerre se préparait. Cette nouvelle lui avait donner matière à réflexion pendant plusieurs heures : Fallait-il se réjouir ou avoir peur ? Elle en avait déduit, qu'il fallait se réjouir du divertissement personnellement, mais ne pas le montré parce que la guerre « c'était pas beau !».

La folle, la folie pure, la petite Acédie, Librelune par obligation, par peur de ses semblables de voir ce danger publique rejoindre un autre clan, vit son attention se faire attiré par un loup aux marques vertes fluo. Amusé de sa découverte, elle reconnue assez vite Requiem, l'un des siens, elle entrepris de le suivre, mais discrètement, pour s'amusé à voir où allait le loup gris et vert. Elle avait la chance d'être petite, fine et discrète, ainsi elle réussit à le suivre relativement bien, enfin elle avait également de la chance que le mâle soit plonger dans ses réflexions. Dans le cas contraire, il aurait été certains qu'il aurait remarquer la petite diablesse en train de le suivre. Elle le perdit, au moins seize fois, mais le retrouva à chaque fois. Suivant tantôt son odeur, tantôt les petits bruits qu'il lui arrivait de produire sur ce territoire étranger, et à chaque fois qu'elle le retrouvait, elle bondissait en tout sens pour le rejoindre et s'arrêtai dans les buissons, ventre, gueule, corps entier plaquer contre le sol et les oreilles dresser bien haut sur la tête. On aurait put se demander qui lui avait donc apprit la discrétion. Probablement, personne.

Quand elle le perdit une fois de plus, elle dût suivre son odeur délicate, soit un mélange de poussière, de terre et de vieux LibreLune associer à cette odeur de jeune loup mâle qui au final était sa véritable odeur, et cette dernière la mena à un vieux château cerner par les brumes. Un grand sourire et un petit cris de joie ensuivit cette découverte. La petite louve aux yeux pleins d'étoiles se rua vers l'entré de cette battisse abandonner, le coeur en fête. Il ne fallait pas demander des preuves de la raison ou lui demander de rester calme bien longtemps, cela faisait longtemps qu'on avait laisser tomber tout espoir en ce qui concerne le cas d'Acédie. On ne pouvait plus que veillé sur elle, comme une enfant, mais il fallait pas non plus qu'elle s'en aperçoive, car dans ce cas, la situation pourrait devenir dangereuse. C'était généralement les loups aguerri qui était charger de cette situation, comme le grand loup aux yeux rouges qui avait pour but de la surveillé nuit et jour.

Elle n'eut pas besoin de poussé la grande porte de bois sombre, elle passa dans l'ouverture sans même l’effleuré et découvrit avec joie l'intérieur du château. La poussières de la gêna guère et elle ne prêta pas attention aux toiles d'araignée. Le lieu avait prit à ses yeux, les lueurs et teinte de sa jeunesse. Les murs de granit n'avait pas une égratignure, le sol en marbre brillait de mille feu sans la moindre trace de poussières, même le tapis rouge des marches qui menaient à l'étage du château avaient repris leur couleur chatoyante d'hantant. Un éternuent à l'étage la fit sursauté, lui arrachant un petit jappement de surprise, et le monde fabuleux disparue pour laissez place à celui en décrépitude. Elle fut grandement déçue et si dit qu'elle frapperai celui qui l'avait fait quitter ce monde fabuleux, mais quand l'odeur de Requiem reviens lui chatouillé les narines, cette idée fut aussi vite oublier que la neige fond au soleil.

Elle se dirigea vers les escaliers aux couleurs rouges ternie par le temps et gravit les marques deux par deux, toute contente d'avoir retrouver son camarades pour la dix-septième fois. Elle bondit sur la dernière marche et trottina la tête base dos à son camarade de l'ombre. Plus elle s'approchait, plus elle accélérait et plus la semi-discrétion dont elle essayais en vain de faire preuves disparaissait. Elle finit par courir, faisant claquer son casque contre son poitrail, respirait plus fort, elle prit son élan et sauta. La petite louve agile et légère n'avait aucun mal à faire des bonds phénoménaux avec peut d'élan, ainsi elle réalisa un grand bond en riant joyeusement le nom de Requiem et atterrie ensuite devant lui. Après un petit rebond, elle planta ses pattes sur le sol, dos courbés et arrière train se dandinant comme un enfant près à jouer.

- Hey ! Qu'est-ce que tu fais ? Oh ! Des statuettes ! - fit-elle en se redressant et en allant posé ses pattes noires sur le meuble en chêne. Elle pausa son museau quelques secondes sur le rebord de ce dernier pour observer les statuettes en métal, puis son attention volage fut attiré par autre chose. - Y a plein de portes ici. Regard celle-là est ouverte !

Et puis, le petit diable, le petit démon, la folle se dirigea vers une porte, puis une autre et se mit à courir en tout sens, enthousiasme. De temps en temps, il lui arrivait de revenir sur ses pas ou de regarder si Requiem avait envie de la suivre. Elle ne voulais pas trop s'éloigné non plus, car elle n'avais pas la moindre envie d'être seul. Et puis, il fallait surveillé Requiem, sa se trouve il allait se perdre le pauvre petit. Le pauvre loup qui devait surveillé sa consœur dénué de raison. Pour le loup qui surveillait Acédie, il n'avait plus qu'à prier pour que cette journée se déroule sans encombre.

Ce château, ce monde était gigantesque. Il en fallait peu pour que la poussière se mue en paillette et que la petite folle ne voit plus les immondices présents au premier plan. A chaque porte s'ouvrait un nouveau monde qui émerveillait Acédie, quand bien même cette dite pièce était dépourvu de meuble, décoré de tapisseries déchiré et où la poussières et les araignées étaient omniprésente. Elle n'y restait pas longtemps, quelques secondes à peine, peut-être une minute tout au plus et repartait en courant vers la sortie, manquant à plusieurs reprise de bousculer son cher camarade de balade.
Le démon ne prenait pas une minute de repos, elle courait sans s'arrêter, elle paraissait de jamais s'essoufflé. Quand dormirait-elle ? N'eut-elle pas finit regarder à travers la rambarde, admirant l'espace d'un instant les motifs qui se dessinait dans le marbre, qu'elle recula et reparti avec enthousiasme dans une nouvelle pièce. Elle du poussé la porte avec son museau, cette dernier grinça lugubrement, mais ce son paru normal à la petite louve qui était bien plus absorber par sa nouvelle trouvaille que par les bruits inquiétant. Un "Ouha" s'échappa de sa gueule, mais elle reparti quelques secondes plus tard, sans prendre le temps de regarder la chambre de princesse couverte de poussière.
Pourtant, si elle aurait pris le temps de regarder de plus près, d'imaginer cet endroit emplie de la lumière de jadis, elle aurait put trouver cette pièce encore plus belle qu'elle ne l'était. Au sol, un grand tapis rose dont les motifs floraux étaient broder de fils dorée supportant un lit baldaquin dont les grands rideaux rouges tombaient jusqu'au sol. Le jeune femme qui avait occuper les lieux, avait pris grand soin à faire son lit avant de partir, à moins que cela soit l'oeuvre d'une de ses esclaves. Si le monstre était monté sur la couche, elle aurait put admiré la vue qu'offrait le tableau représentant le lac de Sherkaan et si elle aurai tourner la tête un peu plus sur la droite, elle aurait vu une petite coiffeuse fait de bois rosé, sur laquelle était posé une brosse finement décoré. Une armoire devait également se trouver près du lit, mais le reste de la pièce ne put être capté par le regard, ou du moins l'esprit fougueux de la jeune louve qui oublia cette pièce rapidement, avec toutes les hypothèses qu'elle aurait put faire. Peut-être un jour, se souviendra t-elle de ce doux rêve ? Peut-être un jour reviendra-t-elle et imaginera ce que nous venons de pensez pour elle ?

Elle accourut vers son compagnon, éprise d'une joie immense de le retrouver à ses cotés, avançant avec elle dans ce lieu sombre et sale. Pourtant, sa joie se figea, se stoppa net jusqu'à laisser place au doute et à la peur. Soudainement, Requiem venait de placer sa patte sur sa tête et la regardait d'un regard sévère. Qu'avait-elle fait de mal ? Le doute commençait à laisser place à la terreur, elle ne voulais pas qu'il cris, qu'il se fache.
Loin, très loin d'ici, un grand loup noir fronça les sourcils devant la tournure que prenait la situation.

- Peux-tu, s'il te plait, la fermer 5 secondes ?!

Ses paroles avaient été dures, mais il fallait bien cela pour faire taire le démon et le stopper dans ses élans de joies incontrôlable. Néanmoins, les larmes commencèrent à lui brouillé la vue. La peur et la peine se mêlèrent en un flots de larmes soulignant ses yeux aux allures de perles rosé. Les allures d'enfant adorable de la louve prirent la fuite devant cette démonstration de tristesse, laissant ainsi place à une pauvre louve malheureuse.

- Je suis désolé - dit-elle en sanglotant - Je ne voulais pas.

Elle baissa la tête, sa queue entourant du mieux qu'elle put son petit corps.

Les larmes du démon coulèrent à flot et tachait le sol poussiéreux d'une ombre sombre. Du fond de sa grotte humide, le grand méchant loup veillait à se qu'elle pleure, qu'elle pleure sans que sa force ne se déchaîne et qu'un veilleur apporte à ses démoniaques alpha la disparition du grand château qui se trouvait jadis sur ce territoire. Heureusement, la peine et la déception avait pris entièreté du coeur de la folle et ses yeux embuer de larmes ne pouvait désormais voir qu'un monde flou et humide. Son petit museau noir la chatouilla, elle porta sa petite patte toucher par les larmes à son museau pour le frotter, mais ses pleures ne cessèrent pas.

Elle était malheureuse, la pauvre loupiote. Triste qu'on lui reproche encore quelques chose, elle qui voulais simplement s'amusé et rire avec ses camarades, sans jamais prendre en compte ses pouvoirs et sa force. Elle était tellement prise par ses lamentations, cette pauvre petite folle, qu'elle ne remarqua pas le moins du monde les réactions de son interlocuteur. Elle put voir que son visage témoignait par des grimaces, de la peine à ton égard, un regret fou allons nous dire. De sa vision distordue, elle ne pus voir que ses pattes bougèrent qu'il disparue de son champs de vision. Elle ne le vit même pas revenir devant elle. Ce n'est que quand sa voix, qui fut étonnamment douce pour un loup sombre venant de lui crier dessus, viens lui chatouillé les oreilles qu'elle releva les yeux vers lui.

- Douce louve au beau regard, garde tes larmes et accepte ce présent. Te voir ainsi me déchire et me blesse.

La petite louve ne comprenait pas, ne saisissait pas le sens des éloges qui lui était faite. Elle le voyait à peine d'ailleurs. Elle remédia à cela en frottant ses grands yeux rose, reniflant, elle posa alors son regard sur un petit objet brillant. Tel une pie attiré par ce qu'il brilla, Acédie se perdit dans la contemplation de la brode, oubliant le LibreLune incliner devant elle.
Elle était belle, épargnée par les affres du temps, ce bel oiseau dorée représentait surement quelques chose, mais elle n'en connaissait pas la signification et elle s'en moquait bien intérieurement. C'était un présent ? Joie ! Les larmes avaient surement mouillé ses joues, mais dès lors qu'elle compris que Requiem lui faisait un cadeau, toute cette tristesse s'évapora comme de la glace sous un soleil d'été, laissant place à un grand sourire enfantin. Elle saisit la broche entre ses coussinets et la sera contre elle, toute heureuse qu'elle était.

- Ô merci ! - Elle rit doucement en serrant la broche contre elle, puis la regarda ensuite - Elle est belle !

Elle ne pensa pas comment elle allait l'accrocher. Elle ne savais pas comment faire pour ouvrir ce bijou sans le cassé ou sans se faire mal, mais elle refuserai de le rendre à Requiem ou de le donner à qui que ce soit ! Fourbe louve, démon vivant, l'avarice était en elle depuis sa naissance, bien que la lamentation avait pris une part importante de son existence.

- Hé ! Si sa se trouve, y'en a plein des jolies cadeaux comme celui-ci. Faut les trouvés !- Fit-elle avait entrain en plantant son regard dans celui du loup sombre. - Tu veux venir les chercher avec moi ?

Up o/

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