Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Mais maintenant, chère soeur, j'ai des compagnons sur qui compter [PV Wal'/Eo']
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Mar 1 Juil 2014 - 19:15


Le canin s'était éloigné de la bataille, épuisé. Il n'avait peu se battre beaucoup pour cause qu'il ne pouvait rivaliser avec les guerriers printaniers ... Il n'était qu'un simple veilleur et pour ainsi dire, il n'avait quasiment pas sa place sur les champs de bataille et encore moins sur celui-ci. Il soupira malgré son sourire froid aux babines, habituel. Il marcha sur les pierres qui parsemaient ce terrain de combat. Il retournait vers la partie de ce lieu de l'Eté. Il commença à ressentir l'herbe sous ses pattes et l'odeur estival flotter dans l'air. Il rentrait chez lui, allant s'assurer que des solitaires ou autres ne profitent guère de la guerre pour se servir dans les réserves de nourriture ou pour tout autre chose. Il ne pouvait aider son Clan que ce cette manière.

Commençant à franchir la frontière, Reron chantonnant, il se sentit heureux. Il pourrait enfin être utile à ses amis, ses compagnons et à sa chef.

- Bonjour mon très cher frère, Lucian ♥

Cette voix si mielleuse, si sensuelle, fit s'arrêter net le canin. Le loup beige, les yeux écarquillés, détailla l'ombre devant lui. L'obscurité ne laissait ressortir que le sourire montrant les crocs et le regard luisant bleuté aux reflets violets de l'être à qui appartenait cette voix.

- Mais que ?! S'exclama la peluche orangée.

Des rires montèrent et dans l'ombre, des créatures semblèrent s'agiter.

- Que fais-tu là ?! Gronda Reron.

La louve aux cinq queues quitta son ombre qui semblait ne faire qu'un avec elle.

- Je suis venue voir comment vous allez ... Commença la louve. Son visage se déforma soudainement, un sourire sadique et un regard plein de folie accueillirent la fin des paroles de la louve : - Et pour vous tuer !♥

Le coeur de Lucian fit un dérapé, la peur montait en lui tandis que la louve quittait complètement l'abri de l'obscurité. Elle empestait une odeur qu'il ne reconnaissait que trop bien ... L'odeur du Printemps. L'estival se mit en position de défense tandis qu'une boule de feu se forma devant la gueule ouverte de Reron.

- Allons, vous n'allez pas m'opposer une vaine résistance quand même ...
- Tu crois qu'on va se laisse abattre sans rien faire, sorcière ?!
- Cela faisait bien longtemps qu'on ne m'avait appelé comme cela ! ♥ Mais, trêves de bavardages. Elle redevint sérieuse et un court laps de secondes, elle sembla disparaitre ...
Réapparaissant, elle se trouvait à leur côté. Lucian était à terre, bloqué par la louve tandis que Reron était pris en étau par les quatre autres peluches qui semblaient être heureuses de le revoir.

Walpurgis, la louve sortie de l'ombre, lécha la tête de son frère complètement bloqué au sol et la peur ne l'aidant pas, il perdait tous ses moyens de défenses, n'arrivant plus à utiliser son pouvoir comme il le fallait.
- Cela fait tellement longtemps ... Vous m'avez manqué .. Surtout l'odeur de ton sang mon frère. Sur ces mots, elle enfonça ses griffes dans l'épaule gauche du canin, là où une plaie tentait de se refermer. Le jeune mâle lâcha une couinement de douleur.
- Je suis décidément la seule à réussir à te faire crier comme ça ! ♥

La louve ria et continua de plonger ses griffes, ouvrant l'épiderme du canin à terre, laissant son sang coulé. Les blessures ne le tueraient pas ... Elles n'étaient là que pour le torturer encore et encore ... Tel était les véritables intentions de la louve au pelage semblable au sien mais, elle finirait par l'achever et reprendre ce qui lui était sien.
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Eonora
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Ven 4 Juil 2014 - 21:24

La guerre faisait rage. Eonora, le géant, le guérisseur, ainsi que quelques collèges avaient accompagnez les troupes sur le champ de bataille et depuis leur arriver, les blesser n’avait de cesse d’affluer à l’arrière. A peine le géant avait-il finit de soignée la plait d’un guerrier, que celui-ci, vaillant et téméraire, repartait au combat pour mieux mourir. Le géant était déjà fatiguer de tout ce stress, de toute cette haine rendant le bout de ses pattes aussi rouge que le sang qu’il faisait couler. Le zone, bien qu’entouré d’un air estivale rassurant, témoignait d’un sentiment aussi lourd qu’une montagne. Eonora ne le connaissait que trop bien, le sentiment de la peine, du deuil, ce sentiment qui surviens après la mort d’un être cher. Il n’arrivait pas tous à les sauver, beaucoup mourrait sous ses pattes et sous ses grandes ailes de géant, il ne pouvait rien faire face à cela. Il récupérait ses plumes perdu pour les utilisé pour d’autre blesser, abandonnant le corps à d’autre loups, dont la mission encore plus lourde était d’évacuer le corps pour laisser la place aux prochains blesser. Et ce blesser, risquant de mourir à son tour, pouvait malgré lui sentir l’odeur de son défunt frère, passé à cet endroit avant lui.

La guerre. Eonora l’avait tant redouté, mais il l’avait rien pu faire pour l’empêcher. Aujourd’hui, ses ailes avaient perdu une grande parti de leur plumes pour sauvés les victimes du Prince des Ténèbres, aujourd’hui, le titan courant sans jamais se reposé à travers tout l’Arrière pour sauver ses frères et sœurs. Il donnait tout ce qu’il pouvait dans ce combat, jurant de sauver ses soldats pour que leurs enfants vivent et postèrent là-bas, chez eux, en été, et vivent aussi heureux qu’ils le voulaient.
Le grand guérisseur haletait, arrivant avec peine à empêcher ses ailes de trainer sur le sol ensanglanté. Ils arrivaient. Encore. Une louve rose accourue vers lui, « encore une urgence » songea-t-il, mais à son grand étonnement Bloody Cherry ne manqua pas de lui sauter dessus pour cette raison.

- Eonora ! La troupe spéciale vient de se lancer dans le combat. Les ennemis vont se retrouver en difficulté, profite en pour te reposer.
- Mais …
- Dépêche-toi ! – le coupa-t-elle en montrant les crocs.

Le géant esquiva le coup de dent de la femelle et s’en allant en trottinant un peu plus en profondeur de la ligne réservé aux blesser. Il ralentie doucement et regarda Bloody Cherry reprendre sa course pour aider les blesser, la langue pendante à cause de la chaleur. Il admirait la louve rosée, elle faisait preuve de beaucoup de caractère et de douceur en même temps, elle savait géré ses émotions et son travail avec une grande justesse. Elle était bien la plus jeune des guérisseurs estivaux présent en cette guerre, son pouvoir n’avait pas l’égale du pouvoir de soin d’Eonora, mais le grand loup ne pouvait qu’admettre qu’elle avait mille fois plus de cœur que tous les soigneurs réunir. C’est l’une des raisons pour laquelle il aimait travailliez avec elle, aussi vaillante qu’un soldat, Bloody Cherry semblait inépuisable. Ses grands membres se plièrent et le géant se coucha. La louve avait bien fait de simuler le mordre, au moins cela avait permis de couper court aux discutions et aux refus, et lui avait permis de se retiré un peu de ce monde fait de sang.
Il leva le museau et inspira profondément. L’air frais apporta avec lui la pétillante odeur des plantes médicinales qu’il n’arrivait plus à sentir en contre-bas, il se réjouit de cette tisane artificiel qui le revigora quelques peu. Pourtant, quand il rouvrit les yeux, le vent perdit tous ses aspects curatifs et apparue comme une fausse note au milieu du massacre qui se déroulait en ce moment. Eonora détourna la tête de cette horreur, préférant regarder une terre grise et désolé derrière plus pour ne plus voir les corps sans vie qui s’empilait. Quel ne fut pas sa surprise, de voir un jeune veilleur quitter le champ de bataille. Essoufflé, il semblait se rediriger vers la terre estivale.
Eonora sourit, au moins une victime de moi. Il ne semblait pas très musclé, encore moins résistant et il se réjouit que Lucian et Reron regagne un lieu sûr, veillant sur leur famille d’accueil.

Il connaissait leur nom. Qui ne les connaissait pas ? Ses êtres venus d’une terre lointaine. Loin, très loin de FourSeason et de sa guerre. Il aurait voulu leur parler, les comprendre, surtout ce petit Lucian qui l’intriguait et le fascinait. Il rêvait de parler avec lui de sa terre natale, de ses coutumes, mais la haine d’Oxymore avait frappé au mauvais moment et il n’avait dès lors jamais eu l’occasion de parlementé avec le loup beige.
Son doux sourire paternel disparu quand le loup se stoppa net, le museau pointé sur une zone d’ombre devant lui. Un loup en sorti, ou une louve, de là où il se trouvait, il n’aurait su le déterminé surtout avec ses cinq queues que l’ennemis. Cinq ? Il vit quelque chose aux extrémités de ses dernières, mais ne sut les identifier. La pire de ses craintes se réalisa bien vite, là, à l’abri des regards et des autres combats qui les généraient, l’ennemi se jeta sur le pauvre Lucian. Il ne fallait pas être un génie pour voir que le loup à cinq queues était hostile.
Le grand guérisseur n’eut qu’un réflexe, se lever pour accourir aider Lucian, mais sa grande taille et la rapidité de son geste ne se jouant pas sur le même air, le géant fut étourdit et vit des étoiles quelques instants. Quelques instants de trop qui permirent à cet ennemi de l’été de s’en prendre à son camarade. A peine les étoiles qui obstruaient sa vision avaient-elles disparue qui s’élançaient au secours du veilleur.

Les foulés du géant était immense. Bien qu’il ne pensa pas à déplier ses ailes dans l’espoir de plané à chaque foulé, elles étaient si grande qu’il ne pris que quelques instant pour parvenir derrière la louve, car tel était son sexe, qui plantait désormais ses griffes dans l’échine de son camarades. Il n’était pas discret, il ne l’avait jamais été à dérapé ainsi sur le sol poussiéreux, mais il ne s’en soucia point quand, se dressant sur ses pattes arrière, tordant sa colonne vertébrale dans l’espoir de l’impulsion et se servant de ses grandes ailes pour maintenir son équilibre précaire, il balança sa patte de géant en direction des flancs de la louve beige pour libéré son camarade de son entrave.
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Walpurgis
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Walpurgis
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Sam 5 Juil 2014 - 19:02



Les cris des champs de bataille résonnaient jusqu'aux oreilles de la louve au pelage beige. Elle s'en délecta mais, son plus grand plaisir, actuellement, n'était pas de savoir ou de voir les autres canins mourir dans l'acte qu'elle trouvait des plus sublime : la Guerre. En effet, elle s'amusait à autre chose, préférant ignorer les cris de ses compagnons, préférant rester là, seule à torturer un pauvre petit loup sans défense. Telle était son occupation qui la réjouissait tant. Les plaintes de l'estival qu'elle torturait la réjouissait au plus au point qu'elle semblait être secouée de petits spasmes de plaisir. Sa folie n'arrangeait rien tandis que ses pattes beiges se teintaient du sang si écarlate et si odorant du pauvre torturé.


- J'aime t'entendre, Lucian ... C'est si jouissif que j'en deviendrais accro ! ♥ disait-elle en venant lui lécher le haut du crâne.

Elle sentait la peur de sa proie, ou plutôt, de son frère ainé. Elle l'avait si souvent traumatisé, elle
l'avait souvent amené à un tête à tête avec la Mort ... Tant de fois qu'aujourd'hui il en éprouvait une crainte certaine juste à la voir. Cette peur semblait augmenter le plaisir de la louve printanière. C'était une tueuse après tout et, il fallait bien qu'elle fasse cette vocation par amour de ce rang si sanglant et si répugnant. Oui, c'était pour cela qu'elle s'en était accaparée la tache. Elle ne vivait que des crimes et de la vue du sang ainsi que de la haine éprouvée envers son frère.

Walpurgis aurait pu continuer à le tuer lentement sous ces tortures qui lui arrachait une plainte à chaque fois que ses crocs ou ses griffes se faufilaient à l'intérieur de la chair de l'être à l'apparence si chétive. Mais hélas pour la louve et au plus grand bonheur surpris de son frère, un grand loup apparu près d'eux. Tournant avec vivacité la tête, elle vit le géant qui se trouvait près d'elle. Imposant était le mot et un frisson de peur la parcouru, gâchant son plaisir si jouissif. La louve beige avait entendu vaguement un bruit sec foncer vers eux, mais, elle n'en avait pas jugé utile d'en accorder plus ample attention pour cause qu'elle croyait que ce n'était que les cris et bruits de la bataille qui remontaient jusqu'à là. Son inattention avait gâché son plaisir. Mais, n'ayant pas le temps de demander qui était le loup, que faisait-il là ou bien d'autres questions, la patte du géant s'abattit sur elle, sur son flanc droit, la délogeant avec puissance du dos de sa proie.

S'effondrant plus loin, elle se releva avec peine et souffrance, fixant l'imbécile et l'infâme être qui avait osé l'interrompre, la blesser et la salir. Elle montra les crocs mais restait à une distance respectable, le foudroyant de son regard si semblable à celui de son frère.


- Qui es-tu, maudit être d'infortune ?! Cracha-t-elle avec rage.

Les peluches sur sa queue s'animèrent malgré cette présence, rendant la louve plus imposante et plus dangereuse que son corps pouvait le laisser comprendre.
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Sam 5 Juil 2014 - 19:26


Sa tortionnaire semblait se délecter de ses plaintes interminables. Il avait mal, une douleur incessante, lancinante de toute part de son corps. Il retenait parfois des plaintes mais cet acte d'infortune avait le don de faire appuyer davantage la louve beige sur les plaies déjà formées ou alors, elle en créait d'autres plus grandes et plus douloureuses. Fuir ? Il aurait bien voulu surtout que si il le désirait, il pouvait retourner sa situation à son avantage mais il ne le pouvait pour cause que la peur habitait chacune de ses cellules meurtries par ces milles et une tortures.

- J'aime t'entendre, Lucian ... C'est si jouissif que j'en deviendrais accro ! ♥ disait-elle en venant lui lécher le haut du crâne.

Elle était vraiment des plus folle et pourtant, au fond de lui, il savait qu'elle n'était pas celle à craindre le plus mais, il ne se souvenait guère de cette peur qu'il avait connu un laps de temps, quelques mois plutôt, lors du jour de la mort de ses parents ... Mais tout était flou et il en faisait des cauchemars qu'il oubliait dès qu'il se réveillait. Sa mémoire effaçait, rognait ce qui était néfaste pour le loup comme ses propres instants de folie lorsque on ose enlever Reron de sa queue ou plutôt, de la détrôner. La vie du loup n'était pas immaculée de blanc mais tâchée de sang, sans qu'il ne s'en rende compte ou s'en souvienne. C'était à la fois ironique de voire son visage si doux et son caractère froid mais si gentil, et on pouvait le prendre en pitié par le fait qu'il ignorait qu'il était l'assassin de bien des loups ... Il était un artisan de malheur mais, les seuls à savoir était mort, tous, sauf à l’exception que faisait son compagnon de voyage, Reron.

Lucian se voyait mourir à petit feu ... Il pourrait se battre comme le lui criait son ami orangé dans la tête mais, il l'ignora, laissant la mort arriver de nouveau à ses côtés. Il n'avait plus la force ou la foi de lui échapper de nouveau ... Si il fuyait encore, la Mort et la louve ne tarderait pas à le retrouver ! Alors, il préférait que son destin tragique s'achève en cet instant.

Malheureusement pour lui, ce ne fut guère le cas. Des bas bruyants de firent entendre et, alors qu'il tournait la tête, un imposant loup au pelage blanc et brun ainsi qu'aux ailes larges apparu. Le canon torturé le reconnu immédiatement : Eonora, guérisseur de son clan, de sa nouvelle famille. Il ne s'attendait pas à le voir ici e, voulant lui indiquer le danger que représentait sa soeur, il se retrouva libre d'elle. Le guérisseur avait arraché la printanière de son dos, il était libre de ses mouvements. Se relevant en vitesse, il fit volte-face et fixa son bourreau qui était furieux. Lucian venait de retrouver du poil de la bête juste en sachant que le canin géant était à ses côtés.

- Bien le merci, Sir Eonora ... Nous pensions être fichu ! S'exclama Reron, sur un ton rieur en regardant la louve tâchée de sang et au regard si enragé.
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Eonora
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Jeu 10 Juil 2014 - 20:30



Elle s’envola, emportant avec elle un peu de chair sur ses griffes ensanglantées. Rare était les loups qui subissait le couru du géant, mais … la guerre. Ce mot suffisait à justifier sa violence et l’utilisation des techniques de soldat qu’il avait appris pendant sa jeunesse. Sa haine, sa rancœur, il la ressentie de loin, bien que son esprit était pris entre surveillé son adversaire et prendre garde à ne pas écraser le jeune veilleur en retombant au soleil. Du coin de l’œil, il vit se dernier rouler et bondit loin de ses pattes avant, « Il a de bon réflexe le petit ».
Ne contrôlant que sommairement cette chute, ses pattes heurtèrent le sol avec tout le point du géant. Le choc ne fut pas agréable pour le guérisseur, qui se força à ignorer les vibrations lui remontant dans les épaules. Il devait se remettre rapidement, ses muscles avaient beau avoir en mémoire les diverse techniques qu’on apprenait aux jeunes soldats, Eonora ne s’était pas battue depuis une éternité. C’est dans ses moment-là, où l’ennemis se retourne vers vous en montrant les crocs et en hurlant sa rage, que l’on pouvait bénir celui ou celle qui lui avait donné une taille imposante pour le protéger des diverses attaques de l’adversaire.

- Qui es-tu, maudit être d'infortune ?! -Cracha-t-elle avec rage.

Le géant eut une image évitant d’une Méduse et de sa crinière de serpent, la bête mythologique allait parfaitement à cette louve dont l’odeur indiquait ses origines printanières, mais ses queues, se dressant comme celle d’un paon, arborait un tout autre attribue qui intrigua le guérisseur. Des peluches.

- Bien le merci, Sir Eonora ... Nous pensions être fichus

Eonora eut un sourire en coin face à tant de politesse de la part de ce petit et étrange familier qui suivait Lucian. Il ferma les yeux l’espace de quelques seconde et fixa la louve, refusant obstinément de la quitter du regard. Sur ses aplombs, près à bondit et à répliquer comme il l’avait fait jadis auprès de ses confrères, il adressa ses consignes au jeune veilleur, et à sa peluche.

- Pas besoin de politesse, Reron. Nous n’avons pas le temps pour cela. La dernière vague, composé par les attaquants d’élites de l’automne et de l’hiver viens d’être lancer et je n’ai que peu de temps avant que les blesser arrive. – il tourna ses yeux bicolore vers le jeune loup – Alors il nous faut reposez l’ennemis. Seul, je ne pourrais pas, cela fait trop longtemps que je n’ai pas mis en application les techniques que j’ai apprise, je suis un peu rouillé – il sourit pour appuyer ses dires et d’un autre côté, pour le rassuré – Mais ensemble, je sais qu’on pourra facilement en venir à bout, aussi effrayante cette demoiselle semble être.

Et il arrivait encore à être polit. Par moment, il se blasait lui-même à être aussi aimable, mais tel était ses mauvaises habitudes de guérisseur, grand gentleman, bel ami sans aucune arrière pensé, simplement un géant d’une sympathie sans pareil dont les pattes bleuté, couverte du sang de ses patients, devraient bientôt se teinté de la couleur du sang d’un printanier. Il avait choisi de changer de rang pour cette raison, pour ne plus avoir besoin de tuer, acte qu’il méprisait particulièrement. Déjà assassiné un loup avait été difficile par le passé, alors aujourd’hui, il devait se faire violence pour défendre son clan, ses terres et son frère à ses côtés. Frère. Peu importe que le sang ne le lie pas à Lucian, il était de son clan, alors il était sa famille. Cette pensé, cette philosophie, était propre au guérisseur et les fous qui avaient essayé de le faire changer d’avis, par le passé avait amèrement regretté que le géant ne soit pas un charmant guérisseur.
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Walpurgis
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Walpurgis
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Lun 14 Juil 2014 - 14:50

Je glissais mon regard de mon infâme frère au géant. Ce dernier était très impressionnant de sa stature ainsi que de l'aura de puissance qui émanait de lui. je savais que cet adversaire ne serait guère aisé à abattre mais bon, j'avais toujours une carte maitresse. Mon pouvoir. Bien que ce dernier me plongeait dans la folie doucement ainsi qu'il attirait la Mort un peu plus à chacun utilisation que je faisais de lui.

Je quittais du regard l'estival qui avait osé m'importuner dans la torture de Lucian, qui l'aurait mener doucement vers la Mort. Lorsqu'il se reposa au sol, je compris bien vite qu'il ne s'était pas battu depuis un moment. Sa position était bien piètre, semblable à celle des jeunes soldats au début de leurs heures d'apprentissage. Tss, je mettais fais arracher de ma proie par un piètre adversaire, étais-je donc devenue aussi faible que ça ? Etait-ce le fait de porter de stupides gamins ? Non, je pensais pas que ma grossesse - malgré moi - soit la cause de ma vulnérabilité.

- Je vois. Tu es donc un stupide chien galeux estival.

Je me mettais à ricaner tandis que je pensais à mes " camarades " printaniers qui subissaient la vague d'élite des Automnaux et des Hivernaux. Les miens avaient intérêt à ne pas se laisser marcher sur les coussinets, sinon, cette guerre serait perdue et ça, je ne le permettrais pas et ne le tolèrerais pas.

Je posais mon regard sur la peluche qui était perché sur le bout de la queue de mon frère.
- Je te trouve bien culotté, Reron. Dois-je te rappeler que tu es revenu de mon sang et tu oses de mettre sur mon chemin ? Haha ~ Tu es pitoyable.

Je détournais le regard, fixant de nouveau l'être d'infortune qui avait troublé nos retrouvailles touchantes de Lucian et de moi.
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Mar 15 Juil 2014 - 20:00



Des cris retentissaient. la vague d'élites hivernal et automnale avaient du percuter de plein fouet les demandeurs de guerre qui devaient être complètement déstabilisé face à l'alliance des 3 autres Clans. Mais, un tout autre spectacle se déroulait où se trouvait le canin au pelage beige. Il se dressait la carrure gigantesque et puissante du guérisseur de l'Eté, Eonora, et devant eux, sa soeur grognait pour cause qu'elle avait été dérangée dans la torture du veilleur estival.

Lucian hocha la tête en écoutant les propos quelque rassurant u guérisseur. Ce dernier avait raison, il fallait faire vite car un autre champ de bataille les attendait, plus " important " que celui auquel ils faisaient face. Sa soeur était folle de rage et pourtant, elle se mit à ricaner tandis qu'elle crachait les paroles qui lui servait de venin.

- En effet, j'ai trahi le sang de mon sang. Mais, si j'étais resté avec toi, tout ne serait que davantage feu et sang. Tu n'aspires qu'à une chose : la guerre. je ne veux d'un piètre maitre comme toi.

Le canin beige regarda son compère de voyage qui semblait être énervé, chose qui lui arrivait peu de fois. Ce combat commençait à se transformer en un affront verbal entre Walpurgis et Reron, liés par le sang mais opposés sur bien des principes. Le veilleur se racla un peu la gorge et, pour la première fois devant Eonora, il laissa le doux ton de sa voix se faire entendre tandis que son regard devenait bien sombre ...

- Je ne te permets pas de dire que les membres de l'Eté sont des chiens galeux. Tu ne t'es guère vu avant de sortir cela ? Tu es répugnante ma soeur. Grognassant, il poursuivit ses paroles : Je ne te permets pas d'insulter ma famille, mes compagnons de chiens galeux !

Le loup beige était en colère bien que son masque de froideur demeurait sur son visage, plus sombre et attisant une certaine peur.
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