Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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[EVENT] Hum... château hanté ? C'est pour les superstitieux ! (Libre)
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Sam 19 Avr 2014 - 16:13

Kronos avait déjà entendu vaguement parler de ce château hanté, par les blabla incéssent des jeunes de son Clan. Il les avaient écouter avec la plus grand intention. "Blabla fantôme, blabla bipède" mais le mot qui lui avait fait redoubler d'attention était la phrase " Bipède d'ancien temps." Ah le temps ! Une notion qui ne lui échapper guère. C'était son domaine. De nature non superstitieuse, Kronos ne s'y serai jamais aventurer si les louveteau n'avait pas parler d'ancien temps. Ce mystère avait piqué sa curiosité. Le Bêta avait décider, que la nuit tombé, il irait. Les "fantômes" et tout ses sensations que les autres imaginer qui pensait être vrai se développer davantage la nuit. Pourtant, Kronos ne voulait pas y aller seul. Pourquoi ne pas emmener quelqu'un avec lui ? Eclairssir un mystère avec une personne qui avait des idées et version des choses différentes de les siennes étaient le bienvenue ! Surtout si ce loup avait alimenter son moulin de connaissance et de savoir. Il aimait partager cela, et ceux avec n'importe quel loup, quelque soit son physique, son caractère ou son passé, il s'en moquait du moment qu'il pouvait partager son savoir avec lui ou vice-verca. Kronos, tout en vaquant à ses occupantion pendant cette belle après-midi riche en ressource, demanderait au premier loup qui lui parlait. Histoire de laisser jouer le hasard, ou le "destin."
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Dim 20 Avr 2014 - 16:00

J’airais, sans but précis. 'Fin si, j'en avais un. Aller au Printemps. A ce qu'il paraissait, les loups se réunissaient là-bas parce qu'il y avait un château hanté. Ah, si seulement Answer avait été là. On y serait aller ensemble. C'était notre délire, quand on était gosse, de partir voir des endroits hantés. Et nous n'avions jamais eu l’occasion de rentrer dans un Château Hanté. J'avais un stupide sourire accroché au lèvre. J'avais vraiment hâte de voir à quoi cela ressembler, en vrai. Tremblant d'excitation, je me mis à trotter. Puis a courir, mon long toupet volant sur sur mes yeux. Je secouais la tête, m'ébrouant en pleine course. Mes yeux brillaient de joie et d'excitation et ma langue pendait dehors, comme si j'avais trop courus. Mais en réalité, je n'étais pas du tout fatigué. Je me sentais vivant. Extrêmement vivant. Je levais la tête tout en courant. La nuit était là et pourtant, j'y voyais assez bien encore. La lune était bien pleine, elle m'éclairait, comme si elle savait ou j'allais. Puis je me recentrais sur la route. Une bonne odeur de fleur envahit mes narines. Sans pouvoir m'en empêcher, j'éternua. Merde. J'étais allergique au parfum des fleur. Tout au long de ma course, j'éternua sans cesse, fermant les yeux parce qu'ils me brûlaient. Tss. Sur le coup, je me trouvais vachement intelligent d'être venu ici. Je soupirais mais continuais ma course, les yeux fermés. Soudainement, je trébuchais lourdement, tombant lourdement sur un tapis de fleur. J'ouvris les yeux et regardais autours de moi quand je me sentis glisser. Oups. La colline était en pente raide. Je déboulais donc comme une grosse bille, butant parfois sur des rochers. Outch. Aïe. Ouïïïïe. Ma descente brusque s'arrêta enfin. Je me relevais et regarda autours de moi.

Le château. Enfin. Mes yeux s'illuminèrent et j'oublia immédiatement la douleur dans mes membres. Le château hanté était là, devant mes yeux, plus luminant que jamais, énorme, restauré. Je n'arrivais pas à en croire mes yeux. Un drôle de son s'échappait des fenêtres immenses et je ne pouvais m'empêcher de sourire bêtement. Si Answer avait été là. Il fallait que j'aille le chercher ! Mais non, je ne pouvais pas... Si ça se trouve, le château disparaîtrait, et je ne voulais louper le spectacle pour rien au monde. J'avançais alors, ne regardant que le château. Quand, encore une fois, j'heurta quelque chose. Mais cette fois, je ne m'étalais pas sur la chose. Je me rattrapa de justesse et me retourna pour grogner. Il fallait absolument que je regarde ou j'allais. Mais mon grognement resta bloqués dans ma gorge. Une sorte de... D'animal. Deux, en fait. Plus grands que moi, énorme, énooooorme. Je n'en croyais pas mes yeux. Avec, accrochés derrière eux, un truc en bois, noir, ou marron, je sais pas, trop bizarre. Mais ou suis-je tombé ? Puis les animaux s'arrêtèrent et le truc derrière eux aussi. J'écarquillais les yeux quand je vis deux machins... Enfin. C'était bizarre. Un avait un pelage noire et blanc, avec des trucs au pattes. Mais c'était quoi ce binze. Et l'autre, plus petit, était avec un long pelage bleu clair, avec des paillettes. Je les regardais, émerveillé. Oh mon Dieu. C'était trop beau pour être vrai. Je savais ce que s'était ! Des Humains ! Des Humains ! Mon sourire s'élargit encore plus. C'était comme dans l'histoire que maman nous raconter ! J'essaya alors de leur parler, peut-être me comprendrait-il. Mais ils avancèrent sans me voir. Puis la plus petite, avec le pelage bleu, dit un truc que je ne comprit pas. Sauf peut-être le prénom. Jonh. Je reculais, éberlué. On ne parlait pas la même langue, comme l'avait dit maman.

Pour la troisième fois de la soirée, j'heurtais quelque chose. Mais cette fois c'était un loup. Je m'excusais même pas, je lui offrit un grand sourire, ébahit par ce qu'il se passait. J'arrivais vraiment pas à le croire. Je lui dis alors, sautant tout autours de lui, surexité :

« T'as vu ça, t'as vu ça ? »

Le son ne cessait pas, au contraire, il se fit plus fort. Je n'arrêtais pas de trembler, surexcité. Puis je me tournais vers le loup, le détaillant deux secondes. Un peu plus grand que moi, surement plus âgée aussi, beige, avec des pics violets sur la tête. Sans prendre la peine de savoir son nom, je m'approchais vite de lui et lui demanda, enjoué comme jamais :

« C'est des Humais ! Ça te dis d'aller voir à l'intérieur ? Alleeeeeeer ! S'il te plaît ! Tu es le seul loup que j'ai croisé de la soirée !! Aller ! Viens, ça peut être amusant, ils ne nous voient pas, en plus ! »

Mes yeux pétillaient de bonheur. Je m'assis devant lui, secouant la queue comme un chiot qui attendais un cadeau. Mais je ne pouvais pas rester en place, je me levais donc et dis :

« Mouuuua, c'est Aralion. »
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Dim 20 Avr 2014 - 18:21

Bon et bien puisque personne de son Clan ne lui avait signe de la journée, Kronos irait tout seul. Tant pis. Il réfléchirait surement mieux. Le Bêta, après avoir effectuer ses tâches quotidiennes, -former des patrouilles et tout le tralala- fit mine de s'endormir dans sa tanière. Mais, lorsque tout le monde fut assoupit et qu'il n'était le seul à ne pas dormir, lorsque la lune avait atteint son zénith, Kronos ouvrir les yeux. Ses deux petits diamant brillaient aussi fort que l'astre d'argent. Il s’extirpa alors de son nid de mousse et de plume, et, d'un pas tranquille, il quitta le "camp". Kronos travers en trottinant assez rapidement le territoire en direction de ce fameux château hanté. Il s'arrêta pour se laisser guider par l'astre lunaire. "Hum... pleine lune, évident, évident" marmonna t-il dans sa barbe.

Il n'était alors qu'à quelque longtemps de queue de loup du château lorsqu'il entendu des personnages étranges parler et festoyait. Ses yeux bougèrent aussi vite que la lumière. Serais-se la peur ? La surprise ? Non. Il devait éclaircir ce mystère. D'un pas déterminer Kronos entendra dans le château qui était allumé et semblait habité. Lorsqu'il monta sur le pont et y pénétra ses souvenirs refire surface. Avant qu'il ne fasse son voyage dans le temps, il y avait était avec des amis. Ce château n'avait était qu'un tas de ruine. L'une entre eux, une louve bleu, leur répétait sans cesse qu'elle sentait une présence étrange. Et bien sur, personne ne la croyait, même pas Kronos. Et voilà que maintenant ce château était habité ! On y voyait plein d'objet de bipède. Des objets carré soutenu par des étranges bout de bois verni. Des objets rectangulaire long, enveloppé de nappe rouge bordeaux avec des gravures dorée de forme bizarre. Kronos n'avait aucune envie de quoi elle signifier. Il entendit ensuite un son, doux, mélodieux, ensorcelant. Il s'approcha.

Soudain une paire de pattes soutenu par des sortes de protections rouge lui barrèrent le passage. Il s'écarta et leva les yeux. C'était une bipède, de chevelure blonde qui lui était passer à côté sans lui prêter guère attention. Kronos s'écarta. Son attention était énormément porter sur les objets des bipèdes que les bipèdes eux même. Il vit soudain, dans un des couloirs. Un énorme pied bordé de la même façon que les tissus rouges. Il s'approcha et y vit sa propre image, mais dernière lui, il ne vit aucun bipède, juste les ruines d'antan. Il sursauta. Et recula sans regarder derrière lui. Les oreilles rabattus. Tout cela n'était pas logique ! Il était dans une seconde dimension. Un monde parallèle. Avait-il voyager dans le temps sans s'en rendre compte ? Son coeur battait à cent à l'heure. Kronos s'enfuit et se jeta dehors, tremblant d'émotion. Cela ne lui ressembler guère. Il devait y retourner ! Il n'avait pas peur ! Il devait éclaircir ce mystère ! Kronos cru même que ce cœur allait s'arrêter de battre lorsqu'on le persécuta. Les bipèdes l'allaient t-il enfin vu ? Il aurait aimer que la réponse soit positive, mais, lorsqu'il se retourna, il vit un loup beige portant l'odeur du bois sec et des feuilles mortes qui hurlait surexcité :

« T'as vu ça, t'as vu ça ? »

Le son étrange se fit plus fort, et les bipèdes semblait valser deux par deux. Kronos regarda leur expression. Ils semblaient tous à la fois heureux et terrorisé. Un long filet de glace lui parcourut le sang. C'est le loup de l'automne qui le ramena à la réalité :

« C'est des Humais ! Ça te dis d'aller voir à l'intérieur ? Alleeeeeeer ! S'il te plaît ! Tu es le seul loup que j'ai croisé de la soirée !! Aller ! Viens, ça peut être amusant, ils ne nous voient pas, en plus ! »

Amusant ? Qu'il y avait-il d'amusant à voir des deux pattes sortir d'une dimension parallèle. Oui, d'ailleurs pourquoi aujourd'hui ? Etait-ce un jour spécial pour les "humains" ? Son interlocuteur ne lui semblait pas bien fute-fute. Mais sa compagnie serai sans doute un atout à ses pensées. Il lui semblait jeune, ses yeux pétillaient de bonheur, et sa queue s'agitait comme un louveteau sur-exciter de voir le monde qui l'autour. Ce gamin ne pouvait rester en place, mais Kronos garda son calme.

« Mouuuua, c'est Aralion. »

Bon allez, il ne pouvait pas lui en vouloir, il était jeune et plein de vie, lui aussi avait était petit. Il pris son inspiration, son regard passer de la trappe du château encore ouvert à celui d'Aralion. Il devait y retourner. Il y avait quelque chose à faire, cette endroit n'était pas habité par hasard.

- Je m'appelle Kronos, Bêta Printanier.

Il devait absolument demander à Aralion ce qu'il voyait dans cette vitre qui refléter son image. Peut-être qu'il verrai la même chose que lui, ou alors simplement son propre reflet. Kronos inspira un coup et lui répondit :

- J'en vient, mais nous pouvons y retourner, je dois y retourner. Mais... *inspiration profonde* Sais-tu pourquoi ces bipèdes sont apparu ?

Bien sur que non il ne le savait pas. Sans attendre la réponse, Kronos se leva et passa par le pont comme à l'aller. Il s'assit à l'entrée du château et attendit qu'Aralion le rejoigne. Il pris son horloge sur sa patte droite et sa deuxième personnalité pris la parole : "Modifier ce qui à déjà était modifier est néfaste Kronos."
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Mer 30 Avr 2014 - 17:29

- Je m'appelle Kronos, Bêta Printanier.

Je me fichais que ce soit printanier. Qu'il soit Hivernaux, Estival, Automnal ou neutre. Et même LibreLunes ! Je m'en fichais, la seule chose que je voulais, c'était rentrée dans le château et de me mêlais à la foule. J'allais partir vers le château quand j'entendis Kronos inspirait un bon coup, comme si on se lançait dans une aventure dangereuse. Il dit alors :

- J'en vient, mais nous pouvons y retourner, je dois y retourner. Mais... Sais-tu pourquoi ces bipèdes sont apparu ?

Kronos avait l'air hésitant, il avait prit une deuxième grande inspiration. Il en venait ! Qu'il était courageux d'y être aller tout seul ! Kronos se leva alors. Je ne le vis même pas, trop occupé à regarder une deuxième couple d'humain passer. Je ne m'étais jamais sentit aussi... Aussi bien et excité depuis un bon moment. Cette aventure me sortais de ma vie monotone. Et j'en étais bien heureux. J'en avais marre de tout le temps m'entraîner pour essayer de contrôler mon pouvoir. Je lui avais même donner un nom. The Indestructible. Je soupirais et aller dire à Kronos que j'étais joyeux de l'avoir rencontré quand je me rendis compte qu'il n'était plus là. Je grognai de mécontentement. Il m'avait même pas attendue. Je me mis alors à trotter sur le petit pont qui séparer les deux parties en béton. Que c'était beau, malgré qu'il ne soit pas très grand. J’observai alors l'eau qui bougeait, puis mon reflet. Mes yeux vairons et mon toupet en bataille après ma chute dans la colline. Je soupirai et repartis en courant. J'arrivais alors à l'entrer du château, Kronos était assit, m'attendant. Je lui offrit un énorme sourire et dit, ironiquement :

« T'étais trop pressé pour m'attendre ? »

Puis j'observai le château. Je sentais mon coeur battre la chamade. D'un seul coup, j'avais un pressentiment. Un horrible pressentiment. Je plissais les yeux, observant tout autours de moi. Que ce passait-il ? Moi qui était si enthousiaste il a quelques secondes à peine. Je mis une patte devant moi. Puis je passais la tête dans l'entrée du château. J'écarquillais les yeux. Il... Il n'y avait plus rien. Plus château, plus de musique, plus d'humains dansant. Rien. Ce n'était qu'une hallucination. Déçu. J'étais terriblement déçu. Et en colère. Je sortis ma tête du château et fermais les yeux. J'essayais de contrôler ma colère. Contrôle-toi. Calme-toi. J'avais tout d'un coup un horrible mal de crâne, comme si on m'avais frappé. Je mordis ma lèvre. J'ouvris les yeux et regarda Kronos. La musique venait de reprendre, les humains étaient de nouveau là. Je sentais le sang bouillir dans mes veines.

« Tu savais qu'il n'y avait rien, en réalité. N'est ce pas ? »

Je me sentais tout tremblant. Terriblement en colère. Puis soudainement, j'arrêta de respirer et ma force ce décupla. Sens en prendre vraiment conscience, mon pouvoir venait de se déclancher. Je faisais plus musclé et beaucoup plus grand. Un grognement rauque sortit de ma gorge je montra les crocs :

« Tu savais tout ! Depuis le début ! »

Je sautais sur lui, grognant, la bave sortant de ma bouche. Puis soudainement, tout s'arrêta. Le noir se fit et je me sentis "dégonflé". Enfin. J'avais réussis à arrêter mon pouvoir, pour la première fois de ma vie. Je tombais à la renverse, anéantit par la force que mon pouvoir me procurée. Ma respiration était sacadée et je ne pouvais plus bouger. Je clignai des yeux et dit :

« Pourquoi tu m'a rien dis... »
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Mer 30 Avr 2014 - 22:50



« T'étais trop pressé pour m'attendre ? »

Avait dit avec ironie son interlocuteur. De la même manière qu'il lui sourit, Kronos ria dans un rire faussement franc. Aralion avait l'air d'avoir été vexé, mais ses réactions importait peu à Kronos. L'Automnal avait perdu son air et son comportement espiègle, comme s'il avait un mauvais pressentiment. Kronos attendit, il pourrait sans doute lui apprendre quelque chose. Lorsque qu'Aralion regarda à l'intérieur et que Kronos suivit son regard, la musique et les bipèdes avaient disparu. Le bêta printanier se secoua la tête ébahi. Il tenta de réfléchir à tout vitesse pendant que son compagnon de voyage luttait pour contrôler son excès de colère. Peut être que l'Automnal ne pouvait pas percevoir ce que Kronos ressentait. Peut être qu'il n'avait guère pu voyager dans cette espace temps ? Aralion réouvrit les yeux, son regard passa du château qui avait repris en activité à Kronos et lança :

« Tu savais qu'il n'y avait rien, en réalité. N'est ce pas ? »

Oui il savait que tout cela n'était qu'illusion, que tout cela vivaient à travers l'imagination des loups. Kronos s'était toujours senti plus ou moins proche des âmes défuntes. Mais Kronos ne savait pas pourquoi en regardant dans le miroir, tout était redevenu en présent, ni pourquoi ces bipèdes fantômes avaient disparu lorsqu'il avait tenté de regarder. Tout en essayant de se concentrer pour pouvoir élucider ce mystère, il fit son interlocuteur doubler de volume, et se faire plus grand, pourtant Kronos ne sentit aucune peur lui lacérer le ventre. Comme s'il y si attendait.

« Tu savais tout ! Depuis le début ! »

La rage eu raison d'Aralion, et renversa Kronos, qui garda son sang froid même en étant dominé par son compagnon de voyage. Il se contenta seulement de le regarder de ses prunelles de saphir, sans aucun sentiment. Ensuite, le loup se dégonfla et tomba à la renverse. Kronos se releva lentement. Pendant qu'il était au sol il eu le temps de réfléchir à la question sur le miroir, il se devait de lui donner des explications. La respiration d'Aralion était sacadée, il ne pouvais plus bouger. Tout en clignant des yeux, il dit :

« Pourquoi tu m'a rien dis... »

Kronos soupira et vint se placer près de lui. Même s'il savait ce que le pouvoir de son semblable pouvait être néfaste contre sa personne ou autodétruire son propriétaire. Les miroirs traduisaient pour lui, un monde parallèle et le reflet de la réalité.

- Parce que je n'étais sûr de rien. C'est beaucoup plus complexe que cela en à l'air, nos yeux nous trahisse. C'est tout ce qu'il faut savoir.

Non. Bien sur que non ce n'était pas la seule chose à savoir. Il était presque persuader qu'il était enfermé dans un monde parallèle. Et les miroir pouvait aussi jouer le rôle de porte. Quoi qu'il en soit c'était la clé du mystère. Enfin c'était ce qui le matérialiser. Kronos regarda Aralion. Il était prêt à y retourner.

- Veut-tu y retourner ? Je dois aller voir quelque chose. Mais avant n'oublie pas un truc, dans n'importe quel circonstance, ne les touche pas.

Kronos ne fit aucune remarque sur le pouvoir d'Aralion, il devina que cela lui détruisait sa vie à petit feu. Il se leva le premier et marcha en direction du château, jetant un coup d’œil dernier lui de temps à autre pour s'assurer que l'Automnal le suivait bel et bien...
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Sam 3 Mai 2014 - 20:06


- Parce que je n'étais sûr de rien. C'est beaucoup plus complexe que cela en à l'air, nos yeux nous trahisse. C'est tout ce qu'il faut savoir.

Il n'était sûr de rien et pourtant il l'avait vu. Je soupirai à mon tour. J'avais la tête qui tournait et les yeux dans les vagues. J'avais presque oubliée où j'étais. Toujours couché, sur le flanc, je levais la tête vers le ciel noir de la nuit. Il n'y avait pas d'étoile et pourtant pas non plus de nuage. Cette soirée était si étrange. Je fermais les yeux et me remis debout doucement. Je fixais un endroit au hasard, essayant de me concentrer dessus pour ne pas tomber mollement. J'inspirais profondément. Kronos avait raison, dans le fond, on était sûr de rien. Cela pouvait très bien être une hallucination, peut-être que l'on avait manger quelques choses de pas bon. Genre un lapin qui avait lui-même manger des champignons empoissonnés. Je me mis face à la porte du château et attendit que le mal de crâne que j'avais, passe lentement. Mais Kronos n'était pas d'avis à rester planter là.

- Veut-tu y retourner ? Je dois aller voir quelque chose. Mais avant n'oublie pas un truc, dans n'importe quel circonstance, ne les touche pas.

Trop tard, pensais-je. J'avais déjà voulue les toucher et j'étais passer au travers d'eux. J'avais eu un coup de froid et puis tout était redevenu comme avant. J'hochais la tête en guise de réponse. D'accord. C'était d'accord. Je voulais bien y retourner et voir ce qu'il se passait. Je me mis en marche, Kronos toujours en avant. Cette fois, j'avais passer tout mon corps à travers de la porte. Je ne pouvais plus faire marche arrière. Le château était énorme, immense, plus grand que dans mon imagination. J'eu un minuscule sourire. Il n'y avait plus rien. Plus de musique, plus de gens, plus d'agitation. Que nous deux. Je dis alors :

« Je les aient déjà toucher, Kronos. Ils m'ont traversés, comme si rien ne pouvais les arrêter. »

Mes paroles raisonnaient encore plus fort, faisant échos, bondissant contre les murs en béton. J'avais une petite hypothèse du comment et du pourquoi on voyait les les humains, si tard. C'était peut-être la lune, plus immense que jamais ce soir là, qui faisait office de projecteur. Peut-être que les rayons lunaires nous faisait voir tout cela pour nous raconter qu'il n'y a pas si longtemps, Four Seasons n'était pas habités que par des loups. Enfin. De tout les façons, je ne pensais pas qu'on puisse véritablement découvrir le comment du pourquoi.

J'avancais lentement mais surement, observant autours de moi, mes yeux s'habituant à la noirceur de l'endroit. Le château tombait en ruine. Tout était gris, poussiéreux, moisie. Cela n'avait rien avoir avec ce que j'avais vu dehors. Je m'arrêtais alors. Devant moi, un majestueux miroir. Brisé, craquelé. Grand comme une porte. Je regardais mon reflet, mes yeux vairons, mon toupet, mon front. Il n'y avait aucune ressemblance avec mes géniteurs. Sauf peut-être les deux triangles gris, qui me rapprochait de mon père. Et mes yeux vairons de ma mère. Mais je n'étais pas trop sûr. Peu à peu, je trouvais que je ressemblais à personne. A personne, sauf à moi. Je soupirai et repris la route, Kronos étant partit un peu en avance. Je dis alors :

« Que cherche-tu, au juste ? »

J'avançais quand soudainement, un énorme escalier s'étendit devant moi. Je regardais Kronos et le siffla pour qu'il regarde dans ma direction. Peut-être pourrions-nous monter. Peut-être trouveront nous ce qui cause tout ce chahut. Parce qu'une chose était sûr ! C'était que la musique ne venait pas de mon esprit. Tout le monde l'avait entendue. La musique avait été forte, comme si elle était là pour vous attirer. Je fis un pas en avant, grimpant sur une vielle marche en bois. Cela avait l'air solide. Je grimpais une autre et dis :

« Et si nous montions ? Nous chercherons en bas plus tard. Qu'en dis-tu ? »

J'eu, pour la première fois, un petit sourire au coin des lèvres. Cela me paraissait mieux de monter directement. Mais après, peut-être devront-nous nous séparer. Cela valait peut-être mieux. Vu ce qui était arriver tout à l'heure à l'entrée du château. Tien, en parlant de cela, Kronos n'avait fait aucune remarque à ce sujet. Je me mordis la lèvre et détourna le regard, observant le plancher, en haut. Puis je dis tout bas, le provoquant un peu.

« Sauf si tu n'a pas peur de rester en bas tout seul... »
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Sam 3 Mai 2014 - 23:02



« Je les aient déjà toucher, Kronos. Ils m'ont traversés, comme si rien ne pouvais les arrêter. »

Ces paroles semblèrent faire écho, comme dans un château vide. Pourtant, Kronos, lui voyait les bipèdes et entendait cette divine musique. Pourquoi Aralion ne voyait rien lui ? Le mystère régner en maître et le Printanier n'aimait guère les histoires sans fins comme celle là.

Tandis qu'Aralion avançait comme dans un château en ruine, Kronos prenais des précautions pour ne pas toucher les bipèdes. Il regarda à nouveau leur expression. Elle semblait avoir changer. Comme si quelqu'un les avaient obligé à danser. Les bipèdes étaient passer d'euphorie totale, à inquiet, puis à terrorisé. Kronos ne comprenais plus rien, mais décida de suivre son compagnon de voyage malgré tout.

Le stress commença à lui nouer le ventre, malgré son air supérieur qu'il affiché extérieurement. Soudain, il sentit une odeur divine lui envahir les narines. "Monsieur souhaitez vous prendre une cuisse de volaille ?" Il sursauta. Ce bipède moustachu et enrobé s'adresser à lui ? Et il le comprenait ?

Non Kronos, résiste. Ce n'est que ton imagination. Ce morceau de viande savoureux et faux. Ne le mange pas. Il ferma les yeux et se concentra un instant. L'homme avait disparu, mais les bipèdes étaient resté.

Il soupira de soulagement et trotta à l'endroit où il avait trouvé le miroir. Son cœur fit un bond dans sa poitrine lorsqu'il constata que le miroir n'était plus là. "Ce n'est pas possible." Il recula lentement, lorsqu'Aralion le fit sursauter :

« Que cherche-tu, au juste ? »

La minute d'avant, Kronos avait vu l'Automnal se regardait à travers une porte. Cela lui avait paru étrange mais il l'avait laisser faire. Kronos réfléchit. Et s'il s'était enfermé lui même dans un espace temps ? Après tout, il était le seul à posséder le pouvoir du temps, alors pourquoi Aralion ne voyait rien lui s'il n'y avait pas d'autre explication ?

- Un miroir.

Répondit-il. Son compagnon de voyage siffla ensuite - comme s'il n'avait pas entendu la réponse - et Kronos regarda dans sa direction. Il y avait un énorme escalier que Kronos n'avait pas vu auparavant. Peut être que les quadrupèdes trouveront les réponses à leur question en haut ? Kronos en doutait. Pourtant la musique paraissait plus forte ici. Elle l’assourdissait presque, rien à voir avec le son mélodieux sur lequel valser les bipèdes.

« Et si nous montions ? Nous chercherons en bas plus tard. Qu'en dis-tu ? »

Il eu un petit sourire, et son air supérieur l’exaspéra, mais il décida de ne pas y prêter attention. Il était déjà monter et avait sans doute commencer à explorer. Kronos avait lâcher son attention. Il s'était concentré sur un point fixe. Le yeux écarquillé par la surprise et sans doute par la peur. Le miroir était réapparu.

« Sauf si tu n'a pas peur de rester en bas tout seul... »

Kronos se secoua la tête et grimpa en quelque bond, pas très gracieux. Pourquoi toute ses choses disparaissait et apparaissait-elle d'un coup comme cela ?
Tandis qu'il avançait sans rien trouver Kronos, eu, comme un éclair de génie, comme si tout était soudain plus clair, cette solution lui paraissait si évidente ! Mais si impossible aussi. Il avait presque peur de paraître pour une fou. Mais la tentation d'étaler son savoir, et l’excitation d'avoir si soudainement, sans doute, résolu le mystère étaient plus forte que tout :

- A chaque fois que l'ont rentrent dans le château, ont modifient ce qu'il c'était déjà produit sans s'en rendre compte. Nous n'aurions jamais du être là. Et tu vois, le miroir là-bas, il n'est pas à sa place car d'autre loup de Four Seasons sont là. Et tu sais pourquoi nous ne les voyons pas ?

Il ne laissa pas le loup s'exprimer et continua son monologue :

- On ne les voient pas et ils ne nous voient pas, car nous sommes rentrer AVANT eux dans le château, ce qui as créer un monde parallèle entre eux et nous. Ce qui explique pourquoi TOI tu ne voit plus les bipèdes, car moi, j'y suis rentrer avant toi. Mais on continue de ce voir car la porte espace temps n'as pas eu le temps de se créer entre toi et moi, de plus, nous y sommes retourner ensemble.

Il marqua une pause devant l'expression indéchiffrable pour lui d'Aralion et il continua comme s'il apprenait les règles de la vie à un louveteau :

- Tu ne l'as sans doute pas remarqué, mais quand je suis rentré la première fois, les bipèdes semblait euphorique, puis paniqué quand j'y suis retourné, et la seconde d'après, ils semblaient terrorisé, comme s'il on les obligé à danser encore et encore, alors qu'ils demandent simplement à dormir.

Et d'autre détail que Kronos n'évoqua pas. Il ne parlait pas du bipède qu'il l'avait servi un morceau de volaille, ni du faite qu'il avait vu Aralion se regardait dans une porte. Il savait que tout cela se produisait entre eux car il y avait eu un écart entre l'entrée au château de Kronos et d'Aralion.
A présent le Printanier regarda son semblable. Le prenais t-il pour un fou ? Avait-il vraiment élucider le mystère ? Qu'allait-il leur arriver à présent ?



[Voilà :P A moins que tu es une autre idée mais j'ai penser que ce serai cool que les bipèdes empêchent nos loups de sortir, après c'est comme tu le sens si autre chose te trotte derrière la tête ^^]
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Sam 10 Mai 2014 - 0:16

- A chaque fois que l'ont rentrent dans le château, ont modifient ce qu'il c'était déjà produit sans s'en rendre compte. Nous n'aurions jamais du être là. Et tu vois, le miroir là-bas, il n'est pas à sa place car d'autre loup de Four Seasons sont là. Et tu sais pourquoi nous ne les voyons pas ?

Quoi ? Attend, chéri. Oui, je vois le miroir, mais quel rapport avec le faite qu'on modifie je sais pas trop quoi. Mon esprit était embrouillé. What the fuck, seriously. On modifie ce qu'il s'était produit. Haaaanw. Je venais de comprendre. En entrant, on avait arrêter le temps. Ou un truc du genre. C'est ça ? Et le truc du miroir... Là je savais vraiment pas de quoi il voulait parler. Je fis une moue boudeuse. Il pouvait parler français, quand même. J'allais répondre que non, je ne savais pas pourquoi, mais il continua. Je baissai les oreilles. Bon, va-y, continue.

- On ne les voient pas et ils ne nous voient pas, car nous sommes rentrer AVANT eux dans le château, ce qui as créer un monde parallèle entre eux et nous.

Encore un bug. Quoi ? On a un monde parallèle. Alors ça, ça ! Ca c'est trop cool. J'ouvris de grand yeux. Donc... En fait, tout ce qu'on voit, c'est un monde parallèle ! Nan ! Trop, trop de la balle, ce machin. Et donc... Ca voulait dire que... Nous n'étions pas dans notre monde, mais dans le leurs. Tout s'explique. J'allais dire quelque chose de complétement stupide et pas du tout interessan, mais il reprit :

- Ce qui explique pourquoi TOI tu ne voit plus les bipèdes, car moi, j'y suis rentrer avant toi. Mais on continue de ce voir car la porte espace temps n'as pas eu le temps de se créer entre toi et moi, de plus, nous y sommes retourner ensemble.

Attendez. Pose. Nous. Avons. Une. Porte. Espace. Temps. Là, c'est trop de la balle. Enfin. Je ne comprenais pas la moitié de ce qu'il me disait, mais le seul que je comprenais me suiffisais pour m'émerveiller. C'était vraiment bizarre, quand même. Pourquoi cette nuit là ? Pourquoi pas une autre ? Je plissais les yeux. C'était vrai, je ne voyais pas les humains, mais ça voulait dire que lui si ? Quel coup de bol. Je m'assis. Il me fallait un petit temps de réflexion, quand même.

- Tu ne l'as sans doute pas remarqué, mais quand je suis rentré la première fois, les bipèdes semblait euphorique, puis paniqué quand j'y suis retourné, et la seconde d'après, ils semblaient terrorisé, comme s'il on les obligé à danser encore et encore, alors qu'ils demandent simplement à dormir.

Hanw, donc quelqu'un les contrôler. Ou... Ou controler tout. Tout le monde et tout ce que l'on voyait ou ne voyait pas. J'allais me mettre debout quand un grand fracas retentit. Je me mis debout d'un bond, me tournant vers la porte. Elle... Elle venait de se fermer. Toute seule. Mon coeur se mit à battre un petit peut plus vite. Je grognais méchamment. C'était quoi ce binze. Puis le miroir tomba sur le sol, les éclats de vers volant vers moi. Un petit morceau rentra dans ma patte gauche. Je grognais de plus en plus. Les volets claquaient et les tout semblait tomber, se fracassant sur le sol avec un affreux bruit. Je baissais les oreilles et regardais Kronos, paniqué. Ma patte me faisais atrocement souffrir.

« Bravo, M.Le Génie ! Quel belle explication ! Et c'était censée faire ça ? »

Je me sentais complètement apeuré. Les poils de mon dos étaient hérissés et mes crocs sortit. Le serpent sur mon épaule se mit à briller intensément. Si quelqu'un ou quelque chose m'approchais, je lui glacerais le sang d'un coup de crocs. Je me sentais tout tremblant et le sang chaud qui coulait sur ma patte me donnait la force de rester debout. Puis la porte vola en éclat à son tour. J'allais trottinais vers la sortie quand un... C'était quoi, ça ? Un humain, complètement recouvert de sang et de... De... Complètement malade. Des yeux gris inhumains et des cheveux en bataille. Un de ses bras pendaient le long de son corps. Des os sortaient de son flanc. Beurk. C'était la chose la plus écœurante que je n'avais jamais vu. Tout d'un coup, je ne pus m'en empêcher, je me mis à vomir. Vomir tout ce que je pouvais.

Je me relevais, anéantis. Je regardais Kronos, alerté. Il fallait... Il fallait qu'il me mette en colère. C'était notre seul chance de nous en sortir. Des dizaines d'humain comme le premier se mettait a le suivre. Je criais alors :

« Kronos ! Mets-moi en colère ! »

Je le regardais dans les yeux :

« Aller ! Fais ce que je te dis ! »
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Sam 10 Mai 2014 - 23:43


L'air ahuri d'Aralion commença à lui taper sur le système. Les automnaux étaient-il tous aussi inculte ? Sans aucun savoir ? Il avait la sensation de passer pour un martien. Pourtant qu'il s'était exprimé avec des mots simples. Même un louveteau autiste aurait compris. Pourtant, il ne s'énerva pas. La violence ne résout rien. Il soupira sans s'en cacher. Pourquoi prendre la peine de lui expliquer ? Mieux valait partir de ce endroit oppressant le plus rapidement possible. Kronos ne croyait plus lui même en ses paroles, car il n'avait jamais cru aux surnaturel et chose infondé, son raisonnement était toujours basé sur des faits logique et physique. Et non pas sur du spirituelle. Pourtant, il savait que son raisonnement était le bon. Il ne doutait absolument pas de lui.

Alors que Kronos était subjugué dans ses pensées, il savait que les deux loups ne pourraient jamais sortir du château ensemble à cause de l'égard qu'i y avait eu. Ce qui déréglerai le temps réel. Ce qui serait donc pire. Ah pourquoi avait-il fallu qu'il enrichisse encore son savoir qui était déjà suffisamment étendue comme cela ? La curiosité était un vilain défaut et il le savait.

Soudain, il vit son compagnon de voyage complètement paniqué, les yeux rivés vers les volets somptueux du château. Puis il grogna en face de la porte, qui était ouverte. Comme si les bipèdes cherchaient à les enfermés. Le temps semblait faire machine arrière. Maintenant c'était Aralion qui voyait les éléments avant lui. A moins que les choses avaient déjà était de la sorte. Kronos ferma les yeux un instant et tenta de s'imaginer à la place d'Aralion sans succès. Ce dernier le toisa d'un regard complètement paniqué. Le Printanier remarqua que l'Automnal avait lever sa patte, comme si elle lui faisait mal. Kronos devait trouver une solution qui les sauverait tout les deux.

« Bravo, M.Le Génie ! Quel belle explication ! Et c'était censée faire ça ? »

Faire quoi ahuri ? Je te rappelle que nous somme en décalé. Nous ne vivons pas les événements au même moment. Non, il devait garder son calme. Il existait une solution pour mettre fin à ce carnage, mais Kronos ne l'apprécier guère, de plus, c'était une expérience qu'il n'avait jamais vécu. Comment être sur qu'il y arriverai ?

Un truc de porte fit sursauter Kronos. Elle s'était fermer toute seule. Les volets claquèrent et les bipèdes disparaissait peu à peu, il entendit le bruit sourd d'une horloge. DING ! DONG !

Sa tête lui tourna, et, il vit, défiler à grandes vitesse, des bipèdes, la château avec les nobles, puis d'autre noble, puis une famille plus moderne, encore plus moderne, des bipèdes qui jouaient, puis des bipèdes qui semblait chercher quelque chose, avec des joli ruban jaune qui faisait office de barrière devant la porte, puis, il vit un tas de ruine. Le château tel qu'il était avant l'apparition des fantômes.
Il avait beau ne plus voir les bipèdes, la sphère espace temps existait belle et bien.

Il regarda son compagnon de voyage. Il devait lui expliquer la solution à suivre pour survivre. Il avait vraiment mauvaise mine, et fixé quelque chose d'invisible au yeux du bêta. Il se releva, et la regarda avec un air de désespoir. Kronos le regarda et fut discret par de la divine musique. Cette fois, elle semblait s'accélérer, et les bipèdes accélèrent eux aussi leur pas de danse.

« Kronos ! Mets-moi en colère ! »

Aralion le regarda dans les yeux :

« Aller ! Fais ce que je te dis ! »

Pourquoi se mettre en colère ? Non, c'était la mauvaise solution. L'air désemparer d'Aralion le mit mal à l'aise. Son serpent brillait, sa fourrure était en bataille, et ses mâchoires empestait. Il avait dut vomir. Mais pourquoi ? Il ne comprenait pas le raisonnement de l'Automnal qui semblait encore vivre grâce à son adrénaline. Dans cette situation là, Kronos ne préférer pas user de son sarcasme habituel.

Le bêta crème posa une patte sur son épaule pour le rassurer. Il n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait voir. La grosse cloche retentit à nouveau et les aiguilles tournaient à l'envers DONG ! DING !

Il se plaça à côté d'Aralion, en tentant de ne pas prêter attention aux bruits et images anomaux qui valser devant lui. Ce moment là n'était qu'illusion. Enfin, peut être.

Maintenant, pour se sauver, Kronos devait utiliser son pouvoir. Il ne savait pas comment rétablir l'espace temps entre les deux loups, entre les deux loups de Four Seasons qui y était rentrer. Il devait créer une sphère entre eux, et remonter le temps en même -seulement pour les bipèdes- enfin de les renvoyer dans le passé en même temps qu'il préserver les autres aux présent. Et ainsi, les deux pattes danserai normalement à leur époque -comme si rien de se serai produit- et les loups qui visitaient actuellement le château, plus Aralion et lui, se retrouveraient ensemble. Le seul hic, était que les loups qui visitaient actuellement le château avec les bipèdes encore dansant -tant que Kronos n'avait rien fait- allaient se retrouvaient avec Aralion et le Bêta printanier, alors, ils seraient complétement perdu, et il allait devoir leur expliquer, cela pourrait aussi leur créer un choc.

Imaginer que vous vous retrouviez dans un endroit remplit de monde, et, la seconde d'après dans une ruine avec les gens de votre lycée par exemple ? Pas sympa...

Il ne voyait pas d'autre solution. Il vit qu'Aralion commençait à s'impatienter à et paniqué de plus en plus. Kronos lui lança, d'un ton calme, presque sage :

- A mon tour de te montrer mon pouvoir. Je peux nous sortir de là. Tout va redevenir comme avant.

Du moins j'espère. Il garda ce commentaire pour lui même. Il enferma Aralion dans une sphère, prit son horloge entre ses crocs. Ferma ses yeux. Et fit calquer sa patte droite -celle où l'inscription "horloge" apparaît-

Puis, tout défila de nouveau à l'envers. Il revit les scènes passaient avec le château, il ré entendit le bruit de l'horloge détraqué. Il vit même ce qu'Aralion avait vu. Un corps de bipède inerte sur le sol. Il eu un haut le cœur devant cette révélation. Tout était passé si vite.
Il entendit des ultras sons, des deux pattes qui hurlait, il sentit même l'odeur acre du sang. Plus le temps défilait, et plus l'espace temps se réduisait. Il arrivait même à voir les loups qui était entrée dans le château en même temps qu'eux -enfin sans être en même temps qu'eux- Une fois qu'il les aperçu, il fit un effort sur naturel pour créer de seconde sphère.

Il sentit ses membres se détacher de son corps et hurla. Les sphères éclatèrent. Les bipèdes avait disparu, Kronos les avaient vu retourner dans leur époque. Il vit aussi que les autres loups vivaient au même moment que lui et Aralion, puis, il sentit sa masse corporelle s'étalé sur le sol. Puis, tout devint noir.

Pendant qu'il était plongé dans une face d'inconscience la plus totale. Kronos vit que l'ancienne esprit de son pendentif lui était réapparu en rêve. Il l'entendit lui murmurer à l'oreille. "Très beau travail Kronos, tu as pris des risques considérable pour ramener le temps en son temps." Kronos savait que si il utilisait ce pouvoir trop puissant, ou qu'il l'utilisait mal, il pouvait vivre cinq minutes en cinq ans, ou bien devenir aveugle, perdre un de ses membres et autre véritable baliverne.
Maintenant, il était apaiser, il savait qu'il avait réussit à rétablir le temps. Ce qui était plus inquiétant, et qu'il allait devoir rassurer les loups étonnés, sans doute épouvanter de cette mésaventure qu'ils ne parviendraient pas à comprendre sans lui. Ce qui l'inquiétait le plus pour l'instant, il ne parvenait à se réveiller, malgré qu'il entendait la voix lointaine d'Aralion. Il tentait surement de le réveiller.

Quel idiot j'aurait du lui expliquer pour qu'il tranquillise les autres loups. Enfin, s'il avait compris. Allez faut que je me réveille. Aralion, ai l'intelligence de te servir de ton pouvoir si ça peut marcher.

Kronos sentit qu'Aralion lui...
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