Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Aujourd'hui, on m'avait demandé de parcourir le territoire, car on avait repéré un intrus Automnal, et j'étais chargé de l'éliminer si je le trouvais, et de la façon que je voulais, je pouvais même m'éclater à le torturer si j'avais envie, ce qui me plaisait dans l'idée. C'était un travail des plus simple pour moi, il suffisait juste d'activée mon pouvoir pour tuer l'ennemi et le tour était jouer, et j'aurais le droit à une belle récompense en rentrant.

J'étais donc arrivée au pic du soleil après quelque heure de marche, il était encore tôt, mais pas assez pour moi, j'aurais pus partir à l'aube, mais sans aucune importance, j'étais de très mauvaise humeur à cause de ça, car je n'avais pas encore trouvé ce foutu loup galeux qui méritait la mort. Je détestais la pierre, car mes coussinets à peine soigner allait s'ouvrir avec la pierre qui râpait ma pauvre patte, et là où je m'étais fait mordre par le serpent me faisait toujours un peu mal, et j'avais toujours la cuisse légèrement enflée, ce qui paralysait légèrement ma patte arrière gauche, mais ça ne me ralentissait pas dans ma quête de tuer.

Au bout d'un moment, j'avais repéré une odeur de loup, il n'était pas loin se fumier. Il allait regretter d'avoir mis les pattes sur nos terres. J'avançais donc dans l'ombre d'un arbre, on ne pouvait que voir ma silhouette de louve gracieuse et mes yeux aux couleurs du sang. J'observais un moment le loup, qui c'était tourner vers moi, tant mieux se sera encore plus facile. J'avais fait un grand sourire, avant de sauter sur l'ennemi et de le plaquer au sol violemment, pour lui laisser aucune chance de fuite.

Une fois le loup au sol, j'avais remarqué qu'il ne portait pas l'odeur de l'ennemi rechercher, ni d'autre meute en tout cas. Je mettais ma patte à sa gorge, et regardant le sur le dos de haut et la tête bien droite pour avoir le dessus, je le regardais droit dans les yeux, j'avais la rage, car je ne pouvais pas vraiment le tuer, enfin pas tout de suite.
- Qui es-tu ? Réponds-moi, car aujourd'hui, je peux tuer tout ce qui se trouve sur mon passage. Même toi.

Je regardais le loup comme je pouvais, il avait le poil sombre et de beaux yeux verts, mais sans importance, il était un ennemi comme tous les autres, il fallait l'éliminer. J'exerçais le plus de pressions pour éviter qu'il ne puisse faire quoi que se soit, les seuls endroits où je ne pouvais pas, c'était à ma patte blesser et ma patte encore légèrement souffrante du poison. Mais je faisais de mon mieux pour le maintenir au sol et avoir ma réponse, je grognais et je faisais apparaître mes ailes, prêtes à le tuer ou bien à me défendre en fonction de la situation.

-Tu vas me répondre oui ?

Le loup gris n'avait pas l'air d'être très content, surtout comment j'étais avec lui, car pour dire, c'est assez humiliant quand une femelle, en plus, blesser arrive à ainsi contrôler un loup mâle en parfaite santés. J'étais assez fière, mais j'attendais sa réponse, s'il me ne la donnait pas, il finirait en cadavre sur le sol et qui baignerais dans son propre sang, que se serait marant de pouvoir tremper mes pattes après là dedans pour en recouvrir mon corps.
Je ricanais intérieurement, car en plus, j'avais besoin de me défouler sur quelque chose et activée ma folie si longtemps enfuie, en même temps vue que j'étais avec Lucian, c'était très dur de l'activer.

Je regardais le loup, prêt à le morde à m'amuser avec pour savoir qui il était, mais avant que je puisse faire quoi que se soit, lui m'avait donné dans le ventre et m'avais mi sur le dos les 4 pattes en l'air, je trouvais que ça faisait vraiment idiote et qu'il allait me le payer ça. Le loup mâle m'avait alors répondue à ma question, mais j'étais en colère contre se Requiem. Il allait goûter à mes crocs, ça, je le promets.

Je me levais donc et commençais à enlever les feuilles de mon magnifique pelage, et le loup gris faisait comme si de rien ne, c'était passer, ce qui me tapait encore sur les nerfs. Je le regardais mieux, cherchant une bonne prise pour le mettre à terre, à force de le regarder, je trouvais qu'il était mignon ce loup débile, mais surtout énervant. Ce loup était un ''LibreLune'', je ne connaissais pas cette meute et je m'en méfiais, et ce n'était pas ce qui lui donnait le droit de venir sur nos terres.
Je me mettais droite et fière avant de dire :
- Je ne vois pourquoi tu viens chez nous ! Tu n'as rien à faire ici !

Je me remettais en position d'attaque, je n'allais le laisser aussi bien s'en tirer, surtout qu'il avait osé salir mon magnifique pelage, mais j'allais salir le siens avec son propre sang et ses entrailles. Mes ailes qui étaient toujours grandes ouvertes, prête à utiliser mon pouvoir pour lui mettre une sacrée racler,
sauf qu'une horrible douleur venait m'arracher une grimace. Je regardais mes ailes, elles étaient rouges de sang, je les rentrais aussitôt, se n'était vraiment pas le moment de me lâcher. Une fois rentrée, je m'étais assise pour regarder mes marques blanches, qui elle aussi était en sang. Je grognais de fureur, se n'était vraiment pas le moment. Je léchais mes marques douloureuses avant de me retourner vers le loup. J'avais joué les idiotes, donc je me mettais en position de défense, on ne sait jamais ce que je peux faire un ennemi.

Je grognais de plus belle, avec ou sans pouvoir je pourrais l'achever. J'affichais un sourire malsain, car ma folie était déjà de retour, mais il ne fallait pas que j'en devienne le pantin et me contrôler, mais j'avais se sourire aux lèvres, et j'étais dans l'ombre, mes yeux rouges et mon sourire ressortaient de plus belle, tel une folle dans le noir qui va attaquer sa proie et la tuer.

HS:

Le loup commençait à dire une phrase que je n'aimais, il commençait de plus en plus à me taper sur les nerfs celui-là et en rajouter pour que je lui refasse la face, je me tenais toujours aussi droite la tête levée le plus possible, même quand il avait commencé à tourner autour de moi tel un rapace qui avait trouvé une proie, j'avais envie de lui donner un bon coup pour qu'il se retrouve à terre, mais ça pourrait attendre. Il croyait qu'il était supérieur à moi, il pourrait voir ma magnifique puissante quand j'aurais retrouvé mes magnifiques ailes pour utiliser le feu et l'air, il allait en baver et pas que un peu, je m'amuserais à le torturer, mais le moment n'était pas à penser à ça, juste de le regarder de haut pour lui faire comprendre que je n'étais pas si faible que ça.

- Pauvre petite Fleure...
Ce loup commençait vraiment à m'énerver avec ses phrases et à me taper sur les nerfs avec son attitude, surtout quand il me regardait dans les yeux, mais j'avais eux un moment d'intrigue pour le loup, il était spécial lui. Mais ça restait un vieux loup galeux qui ne savait pas faire grand chose, juste railler pour un rien, et énerver les gens quand il peut.

Il me plaquait au sol, il m'avait légèrement coupé le souffle à ce moment, j'avais à nouveau les 4 pattes en l'air et le museau du loup près du miens, cette situation commençait vraiment à m'exaspérer, mais en même temps, elle était marrante, je ne sais trop pourquoi. Je ricanais, même si j'avais du mal avec un loup qui était au niveau de ma poitrine, et qui faisait pression.

Je détendais mes muscles, je n'avais pas trop le choix d'un côté, je mettais ma tête en arrière, de telle façon à ce que mon nez touche le sol, la poussière venait dans mes narines et m'obligeait à éternuer de temps en temps. C'était horrible d'être dans cette position et d'avoir un loup qui m'empêchait de respirer normalement. Je commençais à rigoler et à dire en même temps :
- Hahaha, tu es bien marrant pour un simple loup qui n'est pas mon ennemi. C'était les ordres de tuer tout étranger, toi y compris, mais maintenant que tu m'as mis à terre. C'est plus drôle !
Je me nomme Aglaée, une tueuse des estivaux. Alors que vas-tu faire mignon petit loup maintenant que tu m'as mise à terre ?

Je levais ma tête pour me retrouver à nouveau nez à nez avec le loup, j'avais envie de jouer un peu avec lui, je ne sais pas trop pourquoi, mais c'était assez drôle ce jeu en tout cas, c'était différent de se que j'avais connue avant de le rencontrer. Je soupirais, c'était une débile pensée que j'avais eux là. Je regardais toujours le loup dans les yeux, comme pour lancer un défi, le quel, je ne savais pas.
Je léchais la joue de loup pour rigoler et essayer de l'énerver en même temps.



   

Le loup souriait toujours aussi débilement, j'avais envie de lui enlever se sourire, même de l'arracher, mais quelque part, j'aimais bien se sourire, c'est bizarre de dire ça, je trouve. Heureusement, il s'était enfin levé, peu de temps après que je lui avais dit quelque mot, au moins je n'étais plus compresser par le poids du mâle, et je pouvais enfin respirer à nouveau correctement.

Il me regardait toujours dans les yeux, ça ne me gênait pas tellement. Il avait commencé à parler, j'aimais bien sa voix, elle était très jolie, mais une autre voix que je connaissais était tout aussi jolie, et il disait qu'il ne pouvait faire qu'une bouchée de moi, c'est ce qui croit, au passage j'admirais les magnifiques couleurs du mâle, il faut dire qu'il avait un magnifique gris suivit de couleur verte sur son pelage qui avait l'air doux, il était bien musclée, on pouvait le voir, c'était un beau loup il faut dire, et on peut pas vraiment se le cacher ça qu'il était vraiment mignon.

Il commençait à tourner autour de moi tel un oiseau qui a repéré une jolie proie à déguster, mais c'est lui qui va déguster plus tard quand j lui aurais mieux une sacrée raclée. Il se léchait même les babines, je me disais qu'il passerait un mauvais quart d'heure lui s'il continue comme ça, je lui donnerais une bonne leçon, mais un peu plus tard, je voulais avant tout jouer un peu avec lui.

Il frôlait son museau au mien, lui, il voulait vraiment une baffe ou quelque chose dans le genre, mais je ne faisais rien, je restais de marbre tout en regardant tout ce que faisait le loup, on ne sait jamais, surtout avec des loups comme ça.

Je ne pouvais pas quitter les yeux verts du beau mâle, je sentais qu'il jouait un jeu dangereux, mais c'était soit s'énerver contre lui et se retrouver encore une fois à terre soit jouer un peu avec lui, je préfère encore m'amuser avec lui, j'avais surtout compris ça quand il m'avait passé sa queue au niveau du menton, et qu'il m'avait susurré quelque mot, qu'est-ce que j'allais faire hein ? Il va voir lui... ! Une magnifique idée était venue m'éclairer, s'il veut jouer, il va jouer lui.

Il s'était éloigné de moi, il avait peur ? J'allais le rejoindre, et je ne le quittais pas des yeux. Je m'étais mise aussi à tournée autour du loup une fois assez proche, je mettais mon pelage contre le siens, afin que quand je tourne, je pouvais le toucher, je ricanais un peu, je me disais qu'il ne fallait pas rentrer dans son jeu comme ça, mais c'était si drôle. Je m'étais mise à faire la même chose que lui, à passer ma queue grise foncée et blanche sous son menton et à chaque fois je le regardais dans les yeux, avec un joli regard en plus, je lui faisais même les yeux doux de temps en temps.

Au bout d'un moment, je le plaquais au sol, sur le dos, pour exécuter ce que j'avais en tête, je rigolais, mais en même temps, je montrais que je n'avais pas l'intention de l'attaquer, enfin du moins comme il pense.
- Tu me demandes ce que j'allais faire hein ? Tu vas très vite avoir la réponse...
J'approchais mon museau contre le siens, puis je l'embrassais tendrement.

Après je m'enlevais, puis je commençais à me lécher les babines, mais dans mon esprit, je me disais que c'était vraiment dégoutant, mais très drôle. Je m'amusais comme une petite folle avec ce loup vraiment très spéciale.

Je me couchais sur son ventre après un long moment à être au-dessus de lui, approchant ma tête contre la sienne, je n'étais pas complétement sur le loup, car mes pattes avant était sur lui pour qu'il ne bouge pas et mes pattes arrière étaient sur le sol.
Je m'approchais de son oreille pour lui dire :
- Alors tu aimes mon petit traitement de faveur, Requiem ?

Je regardais le loup dans les yeux, il avait de beaux yeux verts, mais pas aussi beaux que ceux de Lucian, mais je pensais à quoi là ? Ce n'est pas le moment de penser à lui... Je devais surveiller le loup, surveiller ses moindres faits et geste, car on jouait à un jeu très dangereux, nous deux.

Je posais mon museau sur sa poitrine, et je regardais le regardait toujours dans les yeux, je faisais mon regard le plus mignon possible, je voulais voir sa réaction et continuer de jour avec lui.
Je l'aimais finalement ce loup, même s'il était vraiment très bizarre...
   

Le loup gris, après quelques paroles était venu m'embrasser pendant plusieurs longue secondes, je ne savais pas trop quoi penser à ce moment-là, alors je m'étais laissé faire et j'avais fermé les yeux. Une fois que je ne le sentais plus, je le regardais, j'avais les oreilles en arrière et j'étais aussi toute rouge. Je ne savais plus vraiment trop quoi penser, alors je restais comme j'étais et je ne lâchais le loup mâle du regard. Lorsque moi, je l'avais embrassé, ça ne m'avait pas fait ça, alors pourquoi je me comportais ainsi quand c'était lui ? Je ne savais pas vraiment, et ça commençait à m'énerver.

Je restais sans bouger et sans lâcher le jeune mâle du regard, j'étais déboussolé, je ne savais plus vraiment quoi penser... Je l'aimais bien et le jeu qu'on jouait aussi, je ne savais plus vraiment quoi faire, j'étais bloquée. Mais très vite, j'avais eu une idée, le jeu pourrait continuer et je pourrais continuer à m'amuser, je lui souriais.

Je regardais ses pattes arrières puis d'un coup sur celle de droite pour qu'il tombe à gauche, une fois le loup à terre, je me tournais vers lui et je lui tirais une oreille, je le regardais dans les yeux, on aurait vraiment dit une grosse peluche à se moment-là, avec des yeux trop mignon.

- Tu es ma grosse peluche et mon jouet maintenant !

Je venais alors lui faire un gros câlin comme une immense peluche, j'en avais besoin, car je sentais que je n'aurais pas de tels réconforts avant bien longtemps, alors j'en profitais et je savourais chaque instant, ses poils étaient tout doux comme une immense peluche, même si les piques de son collier venaient légèrement me faire mal, je m'enfichais, j'étais bien comme ça, tous les deux allonger sur le sol, moi qui faisais un câlin au loup gris, je ne demandais rien de plus à ce moment.

Je me rappelais de Lucian à ce moment, pourquoi maintenant ? Je ne sais pas, sûrement parce que je sentais que j'aimais autant les deux mâles, même s'ils étaient totalement opposés en couleur et caractère, et s'il se rencontrait pendant que j'étais là ? Je m'en fiche royalement, car pour moi ça n'arriverait jamais...

Quelque chose de couleur blanche et qui flottait un peu plus loin avait attiré mon attention, je lâchais mon étreinte pour aller voir ce que c'était. La petite chose qui flottait était du pollen de pissenlit, il avait dû être emporter par le vent, car d'autre arrivait, c'était très joli. Je faisais en sorte que quelqu'un venait se poser doucement sur mon museau, puis je les faisais s'envoler à nouveau. Je me tournais vers le loup gris puis je disais d'un voix infantile :

- C'est joli non ?

HS:

J'avais encore le doux pollen blanc sur le museau, je m'amusais avec, puis j'avais alors entendu Requiem prononcer de douces paroles à mon égard, au début, je ne savais pas trop quoi répondre, que voulait dire exactement ses paroles ? Je ne savais pas trop au début, mais peu à peu, je commençais à comprendre, le loup gris m'aimait ? Pourquoi ça me gênait alors que c'était sûrement réciproque ? Sûrement parce qu'il y avait aussi le loup beige, j'étais un peu perdue sur le coup...

Finalement, je m'étais retournée, puis j'étais allée à nouveau enlacer le loup gris, pour le moment, j'étais avec lui et non le mâle beige. Je m'étais mon museau dans son doux pelage, avant de dire timidement :

- C'était mignon ce que tu as dit tout à l'heure...

Je ne savais pas quoi dire de plus, et j'étais très bien comme ça, mon museau dans son pelage. C'était débile, surtout une pour une tueuse, devenir aussi douce qu'une simple louve n'était une habitude chez nous, surtout pour moi, qui ne montrait jamais ses sentiments.

- Je peux rester comme ça ? Pour le moment, je n'ai pas envie de m'enlever...

Ma voix était plus douce qu'avant, je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrivais plus à lui parler avec une voix forte et grave, pleine de haine. J'aimais deux personnes, j'étais faible à ce niveau-là, je le reconnais. J'étais comme en sécurité comme ça, je n'avais pas vraiment envie qu'il parte ou quelque chose comme ça, mais un jour, il fallait bien se séparer non ? De plus, il était un Libre Lune et moi une Estival, je ne sais pas exactement ce qu'il faisait, mais je pense que c'était aussi interdit d'aimer un Libre Lune, que une autre meute voisine, mais pour le moment je m'enfichais, personne nous regardait et donc personne ne pouvait savoir.

Je relevais la tête après un long moment, je regardais à nouveau les yeux de Requiem, ses beaux yeux verts que j'aimais beaucoup, j'avais rougi, je ne sais pour quelle raison, dire que tout était qu'un simple jeu avant, et que c'était seulement pour faire enrager le loup gris. Je venais alors lui lécher sa joue, une léchouille bien baveuse d'ailleurs.

Je mettais mon museau près du sien et dit à contre cœur en baissant la tête et mettant mes oreilles en arrière :

- Je pense... Qu'il est temps pour moi de rentrer, je... j'étais partie en mission... Et puis... Si je ne rentre pas... Bas, on va commencer à se poser quelque question... Parce que je n'ai pas pour habitude de traîner...

J'arrêtais de parler, je ne savais vraiment pas quoi dire d'autre, et me mettre dans tous ses états juste pour dire un au revoir, mais en même temps, je ne sais pas quand j'allais le revoir, et puis c'était sûrement la dernière fois, je ne sais pas. J'étais un peu perdue au niveau de mes sentiments...

Je commençais donc à desserrer mon étreinte, je regardais à nouveau les beaux yeux verts du loup, je commençais à de plus en plus les aimer ses magnifiques yeux émeraude. Mon museau était toujours aussi près, je n'avais pas vraiment envie de partir. Je venais alors l'embrasser un moment, pourquoi je ne sais pas, j'ai envie tout simplement.

Après se très long baiser, bas oui il faut bien en profiter, je tournais les talons et je commençais à marcher lentement vers le buisson pour repartir vers le camp de ma meute. Je traînais un peu les pattes comme pour attendre quelque chose, mais bon, il fallait y aller. Je traînais ma queue au sol, et mes oreilles étaient en arrière, je poussais un long soupire avant d'aller dans le buisson en face de moi.