Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
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Etrangers du Printemps mais curieux [PV Suachy]
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Jeu 17 Avr 2014 - 20:57




Des rumeurs circulaient hors du territoire printanier, celles comme quoi un monde étrange apparaissait dans un bâtiment datant de l'âge des bipèdes, disparus aujourd'hui, semble-t-il. Ces rumeurs avaient attirées l'attention de bien des loups et parmi eux, se trouvait le loup Estival qu'était alors Lucian. Bien que toujours neutre, il ne résistait jamais à une aventure, dangereuse ou non, elles étaient toujours importantes pour lui et étaient un moyen de se distraire. Drôle de passe-temps, mais des plus agréables pour le coeur gelé du canidé. Ce château hanté se trouvait sur les terres des Printaniers, et, après maintes réflexions, l'Estival décida de franchir les frontières. Silencieux et des plus discret, l'étant tout aussi de nature, il se faufila jusqu'à cet endroit qui l'avait attiré. Cela avait été dur, car, certes le loup ne faisait que peu de bruit, mais, il n'en était pas de même pour son compagnon Reron qui avait eut énormément de mal à se taire. Pipelette, ce trajet avait été épuisant psychiquement pour lui, car, il n'avait pas pu parlé, chanté ou rire afin d'éviter tous regards curieux et suspicieux à leurs égards.

Lucian et Reron avaient réussi leur premier chalenge. Maintenant l'aventure n'attendait plus qu'eux, bien qu'elle ait débuté dès leur traversé de la frontière. La peluche prit son souffle et poussa la grande porte d'entrée du bâtiment. Il grinça et, ne perdant pas de temps, le loup beige se faufila dedans, ne prenant pas la peine de laisser à son compagnon orange le temps de clore les portes. Les deux compères s'échangèrent un regard. Ils étaient d'accord, ils devaient explorer ce lieu sinistre mais des plus intéressant. Ils commencèrent par l'escalier centrale. Posant en douceur les pattes sur les marches, celles-ci grincèrent malgré eux et Lucian comprit qu'il devait les monter d'une traite pour éviter le maximum de bruit. Il se dépêcha et face à cette hâte, des volutes de poussières s'échappèrent de la moquette qui recouvrait les marches. Arrivé en eux, il s'ébouriffa, chassant cette poussière mais, dans un vieil endroit comme celui-ci, cela ne servait à rien. Regardant à droite puis à gauche, Reron lui indiqua de prendre à gauche. C'est ainsi qu'ils commencèrent l'exploration du couloir de gauche du premier étage. Le canidé au pelage clair ne tarda pas à être plus sombre, la poussière semblait l'apprécier et les moutons et toiles d'araignées vinrent habillés sont pelage uni. Son compagnon n'y échappa pas, orange flash, il le devint plus sombre et ça, il n'aimait pas. La peluche s'énervait, se battant avec les toiles d'araignées, la saleté n'était décidément pas son fort, contrairement à Lucian qui semblait se fichtre royalement de ce changement de couleurs par la poussière.

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Jeu 17 Avr 2014 - 21:17

Une certaine rumeur, circuler, sur un certain châteaux, qui était en terres printanières. J'étais une petite curieuses qui terre printanière ou pas, je devais aller jetais un coup d'oeuil dans se châteaux, personne ne voulais venir avec moi, alors je décidas de partir seul. Je partis en volent, je réussis à traverser tous les territoires. [je finis demain]
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Ven 18 Avr 2014 - 18:32

Une certaine rumeur, circuler, sur un certain châteaux, qui était en terres printanières. J'étais une petite curieuses qui terre printanière ou pas, je devais aller jetais un coup d'oeuil dans se châteaux, personne ne voulais venir avec moi, alors je décidas de partir seul. Je partis en volent, je réussis à traverser tous les territoires. Je me posas en douceur, devant se grand châteaux, j'étais épuisée mais petite ailes elle aussi était épuisée. Je marchas vers la grande porte centrale, je la poussas mes petite pattes, puis je rentras, il y avait de la poussière à qui en voulait, je regardas et non loin je vue un loup aux pelages beige claire et un petite peluche trop belle orange. Je me construit avec un peu de sable un protection contre les toiles d'araignées et cette horrible poussière qui me rentras dans la truffe, j'éternuais à chaque fois, arriver devant la petite peluche je agrandis ce "parapluie" pour les couvrir, et je leurs dit :
- OOOOOO IL EST TROP MIGNION !!!!!!!
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Ven 18 Avr 2014 - 19:10


Un silence lugubre était présent ... Enfin, si on éliminait les bruits fais par le vieux parquets qui se mettait à geindre lorsque l'on déposait une patte dessus ... Les deux compères continuaient leur exploration, Lucian reniflant un eu partout, éternuant lorsque de la poussière venait se mêler aux odeurs et venait titiller sa truffe. Reron touchait à tout, se secouant les pattes après pour chasser son ennemi qu'était la poussière : il était maniaque d'une certaine manière. Tout était calme, ils ne parlaient pas, gardant le silence, pris dans leur concentration liée à leur excitation face à l'aventure.

- OOOOOO IL EST TROP MIGNON !!!!!!!

Ils sursautèrent et se retournèrent d'un bloc vers la petite qui s'était approchée d'eux et même trop près. Lucian se recula tandis que Reron penchait la tête. Ils ne l'avaient pas sentis approcher pour cause : trop concentrés sur leur exploration. Ils n'avaient pas été prudents et heureusement, c'était une Estivale, son odeur leur apportait au moins ça.

- Bravo petite, tu as réussi à nous surprendre.

Reron était heureux car elle le trouvait mignon, c'était la première fois qu'une louve, un enfant plutôt, lui fasse un tel compliment.

- Quel est ton nom ?

Ils étaient intrigués par la petite et ils détaillèrent le sable qui formait un parapluie au-dessus d'eux, bloquant la poussière dans son action de les salir. Puis, ils reportèrent leurs regards sur l'Estivale. Elle était encore bien jeune et elle avait un beau pelage doré en plus d'ailes améthystes.
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Sam 19 Avr 2014 - 12:21

Je regardais avec de grands yeux, la petite peluche me fascinais, je vis que le loup beige qui était toute aussi beaux que la petite peluche super méga mignonne, il ne pouvait parler, il était soit mue soit il cultivé la fleur du silence, une fleur que moi Suachy n'arriverais jamais à cultiver car j'étais une grande adepte du bavardage. La petite peluche prit la parole et dit "- Bravo petite, tu as réussi à nous surprendre. " Un léger sourire apparue sur mes lèvres, moi qui étais d'habitude vraiment pas douée pour ne pas me faire remarquer, je venais de réussir à m'améliorer! Puis il reprit la parole et dit "- Quel est ton nom ?" Mon nom, attend c'est quoi déjà mmmhhh à oui! Suachy, je prit à mon tour la parole et dis :

- Suachy c'est mon nom mais tu peut m'appeler Sua' car tes le plus beaux ! Aussi non c'est quoi ton nom ?

Je vis que les deux êtres étaient intrigués par le parapluie de sable, je fis un forme de la peluche, avec mais après quelque minute le sable s'écrasas sur moi, je poussas un léger soupir, je n'arriverais jamais à contrôler se fichu pouvoir de mes deux ! Le sage apparue, et mes moustache aussi, il parler à ma place et dit :

- La peluche est plus douce la pêche, et plus protectrice que une mère puma, le vieux singe place sa confiance en elle !  

Puis il disparue, je comprenais pas tous se qu'il dit mais, je savais qu'il aimer bien la petite peluche. Je souris alors .
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Sam 19 Avr 2014 - 12:57


Les deux compères regardaient de nouveau le parapluie, puis lorsque la petite se présenta, ils la détaillèrent de nouveau. Son pelage était éclatant et, elle était bien mignonne, elle avait vraiment une bouille qui plaisait à Reron qui, malgré son côté sournois, il avait de lui tirer les joues, mais il ne le pouvait pas avec ses pattes de mousse. Suachy, c'était un prénom qui leur disait rien ... Et elle était Estivale ... Hmm, ils devraient creuser cette piste pour en apprendre davantage sur elle. Enfin, pour le moment, Lucian la regardait afin de se souvenir parfaitement d'elle.

- Tu as un beau prénom, Su'a. Je te présente Lucian, et moi, je suis Reron.

Reron souriait au maximum que ses fils jaunes épais le lui permettaient. Quand à Lucian, il gardait son silence car, il savait parfaitement le garder, si bien qu'il ne se souvenait même plus de sa propre voix, c'était un vague souvenir qui remontait à lorsqu'il était encore un petit louveteau. Tant de souvenirs refirent surface mais, ils furent vite chassés, car, il n'y avait que peu de bons, ils étaient tous mauvais. Il esquiva un frisson en repensant à des choses affreuses. Il n'en parlerait à personne, peut-être à celle qu'il aimera mais, en serait-il capable ? Bref, là n'était pas le moment de songer à ça.

Le parapluie de sable se brisa et des particules sableuses vinrent salir les deux compères. Reron grogna tandis que la canidé ne disait rien. Ils regardèrent la petite, des moustache apparurent sur le bout de sa truffe, ce qui fit rire énormément la peluche orangée qui la trouvait bête ainsi. Mais, Su'a venait de complètement changer. Les compagnons écoutèrent ce qu'avait à dire le sage qui s'exprimait depuis la gueule de la petite Estivale.

- Je vous remercie, noble sage. Vos propos me touchent bien que je ne sois que mousse.

Reron hocha la tête, comme signe de remerciement. C'était Lucian qui lui avait tout expliqué car, il arrivait à déchiffrer et à faire sien de tels paroles. Décidément, le loup étonnera toujours la peluche !
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Sam 19 Avr 2014 - 14:43

Je le regardais toujours avec mes grand yeux, la peluche était vraiment mignonne, sa couleurs orange tangerine, ces longues oreilles jaune de cobalt, sa tâche blanche neige sur son coter gauche, son boutons vert bouteille qui lui servait d'oeuil, il avait un petit queue violet améthyste. Je vis qu'il voulait, me prendre dans ces bras, mes la mousse qui n'était pas assez "durs" ne pouvait le faire bouger, il me dit "- Tu as un beau prénom, Su'a. Je te présente Lucian, et moi, je suis Reron." Reron, me plaisais beaucoup comme prénom, cela lui aller très bien! Après le passage de mon sage que j'aime tant, il lui dit "- Je vous remercie, noble sage. Vos propos me touchent bien que je ne sois que mousse. " Je lui communiquas le message, et il les remercias, surtout Reron. Je prit alors la parole et dis :


Le vieux sage place sa confiance en Reron et vous remercie, et Reron j'adore se nom **


Une idée vient dans ma petite tété, si on remplacer la mousse qu'il y avait dans le corps de Reron, par du sable, cela l'aiderait à être plus agile et avoir plus de liberté de mouvement, malheureusement il y avait que le grand sage qui savait faire sa, je l'avait déjà vue plus d'une fois! Je pris la paroles et dis:
- Reron, pourquoi tu est fait de mousse ?
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Sam 19 Avr 2014 - 15:29


Lucian fixait la petite. Une fois de plus, il n'était plus le centre de l'attention, Reron fascinait tout le monde du fait que ce soit une peluche mais qui parle et bouge indépendamment de sa volonté. Une question naquit dans son esprit, est-ce qu'un jour, une personne s'occupera de lui et non de son ami ? Il noya très vite cette pensée sous forme de question au lus profond de son coeur, là où résidait le peu de sentiment qu'il avait, le peu de pensées qu'il avait. Il s'en fichait. Reron était beaucoup plus important que lui et puis, comme cela, il n'avait pas besoin de parler, chose qui l'arrangeait d'une certaine manière.

- Merci Sua', tu es une adorable petite !

La créature orange semblait avoir pris en affection la petite Estivale pour une raison qui échappait au loup. C'était la première fois que son ami parlait avec autant de gentillesse à un canidé. Il y avait eut Espoir quelques jours plus tôt mais, Reron l'aimait pour son humour, pas pour sa personne ... C'était quelque chose de compliquer à expliquer avec des mots. Lucian regardait les deux bavards discuter, gardant son vœux de silence.

- Pourquoi ? Pour la simple et unique raison que mon esprit ne peut habiter que ce qui est fait de mousse.

C'était la première fois que la peluche disait une telle information à une connaissance. Sua' avait du l'envouter sans le savoir mais, ce n'était pas le problème du loup qui beige qui ne pensait qu'à continuer l'aventure.
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Dim 20 Avr 2014 - 11:21

J'étais comme en harmonie avec Reron, il était si gentille avec moi, c'était un des premier depuis mon arriver ici, le vieux sage m'avait dit que la vie n'était pas que fleur de cerisier, le dernier loup à m'avoir traiter de la sorte, c'était mon père, se loups aux yeux de la couleur de l'onyx, le pelage de couleur calcédoine, il tenait beaucoup à moi, je tenais beaucoup à lui, j'eu le réflexe de le prendre dans mes pattes. Je voyais ces images, ces humains qui les tuèrent sous mes yeux, les cris de ma mère, de mon père! Je laissais couler une larme qui traversa mon visage, j'étais entre ces pattes et je pris la parole :  

- Papa tu me manque ...


Puis je regardais dans ces yeux, ces magnifique yeux de la couleur de la lavande, je plongeais mon regard dans le sien, j'étais comme morte dans ces pattes, quand je me rappelais ces durs souvenirs d'avance, j'étais comme morte, après quelques minutes, je me repris en mains, je sortis de ces pattes, essuyas mes yeux souris et dit:

- Oublié se que j'ai dis, il ne faut pas que je me plonge dans se passé horrible et plutôt que je vive ma vie aux jours le jours !  
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Dim 20 Avr 2014 - 17:51


Le loup beige regarda la petite. Elle attrapa son ami Reron entre ses pattes et se logea dans les pattes du canidé. Il réagissait pas, les contacts physiques ne lui faisant guère plus d'effet qu'une lèche ou que de simples mots. Elle murmura quelques mots qui firent dresser ses oreilles sur la tête. Son père lui manquait donc ... Qu'est ce que c'était le manque ? Il n'en savait rien. Reron lui lança un regard puis la petite le lâcha en s'éloignant de ses pattes. Elle avait retrouvé du poil de la bête et affichait un grand sourire. La peluche orangée se posa sur la tête du loup beige. Tout deux regardèrent la petite louve. Oublier ce qu'elle venait de dire ? Hmm, ils le pouvaient mais ils le feraient pas. Pourquoi ? Aucune idée, ils se contentaient de garder inscrits dans leurs mémoires toute les paroles, mots, expressions que leur entourage prononçaient ou faisaient.

- Nous savons ce que c'est d'avoir un passé horrible, nous ne t'en reparlerons plus.

L'histoire de Lucian n'était pas un secret, il avait été battu petit à cause de sa provenance. Il était né dans une de ces familles qui ne laissaient que peu de chances d'avoir des descendants heureux. Pour celle de Reron, elle n'était pas non plus très gai mais, il ne la racontait à personne, après tout, il avait lui-même des ombres sur certains souvenirs et qui croiraient les dires du peluche ? Personne. le monde doit simplement penser que Lucian est ventriloque et que c'est lui qui est Reron, mais c'était complètement faux.
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Dim 20 Avr 2014 - 21:21

Je le regardais avec cette tristesse dans les yeux, mon coeur n'était plus remplis d'amour mais de haine, cette haine de m'avoir prit ces être chères mes parents, mes yeux se remplis de haine, il n'était plus de se roses bonbon, qui refléter ma joie, cette joie que je m'efforcer de garder, pour ne plus être blessée, comme je l'avais étais. Mes yeux était devenue roses pâle, cette rage que je gardais en moi depuis des années alors sortir, mon âme aller tomber dans les profondeurs des ténèbres. Je me mettais à regarde Lucian d'un façons qui aurait donner des frissons à n'importe qu'elle guerrier. Un sourire sadique apparue sur mes lèvre, puis le sage prit la parole :

- L'âme d'un enfant peu être plus violente que c'elle d'une mère puma à la recherche de son petit.

Il voulait les prévenir, de se que j'aller faire, la rage et la haine qui aller sortir de moi. Mes parents, qui sous mes yeux, le matin du premier jours de l'hiver, sous se grand cerisier, se cerisier qui était d'un doux roses, quelques heures plus tard était plus rouge que le sang; ces hurlements dans ma tété, ma mère qui était là, à hurler mon nom, à hurler cette phrase "- Suachy, part, ma fille, ne les laisse pas, vis ta vie ! " Cette phrases qui retentit dans ma tété, je bougeais ma tété d'un façons étrange et je pris la parole :

- Pourquoi ne m'on t-il jamais porter secours, pourquoi se destin, ces dieux que j'ai admirer toute mon enfance, ne sont jamais venue m'aider jamais ...

La rage elle montait je la sentais, le sable n'étais plus de cette couleur habituelle, il était plus sombre, et plus abondants, des larmes coulait touts le long de mon visage, puis je me rappelais, de mon père, la personne, qui m'apprit, à croire à la vie, à Theanos, cette déese qui veilla sur moi depuis le jour de ma naissance jusqu'à ma mort, elle qui me donnas se dons, elle n'était jamais là pour moi, le sable formait un épée, je ne me contrôler plus, c'était cette haine et cette rage qui rester depuis bien trop long temps, c'était eux qui avez prit mon corps. Mon âme étais enfermée dans cette grande pièce noir, je pris la parole et dis:  

- PART LUCIAN !! ILS VONT ARRIVER A ME PRENDRE !

Je m'écroula aux sol, le sable me recouvras. Après quelques seconde, ils avaient réussis, je me mis débout sur mes pattes, avec se sourire sadique, l'épée tombas sur eux, puis un tourbillon de sable remplis la pièce, se qui vit casser les meubles, j'hurlais de peur, je ne voulais pas leurs faire de mal, je les regardais, le sage calma mon esprit, doucement mais après quelques minutes, il réussis je m'écroulas à terre, le sable disparue, et je redevient claire, je les regardas avant de fermer les yeux ...
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Lun 21 Avr 2014 - 12:33



L'air se chargeait ... Il devenait menaçant. Le passé de la jeune estival défilait devant ses yeux, les deux compagnons le savaient, ils le sentaient. Elle parlait ... Leur adressait-elle la parole ? Ou était-elle bloquée dans les songes du passé ? Troubles, pleurs et haines se faisaient sentir dans ses propos. Le sage qui reposait dans son âme les prévint du danger mais pourtant, aucun d'eux ne bougea, même pas d'un peine un centimètre. Tous deux connaissaient la douleur lancinante du passé, les plaies qu'elle laissait après son passage et qui nous pourchassaient pendant des temps et des temps jusqu'à ce que nous ne devenions que poussière, que notre âme quitte ce monde fait de joie et de peine, d'espoir et de désespoir. Reron s'aventura dans un chemin difficile mais, malgré le sable sombre les menaçant, il s'exprima :

- Les Dieux nous protègent depuis leurs paradis d'ébène. Ils ne sont que des entités protectrices, ils ne peuvent interagir avec nous car, ils bouleverseraient le chemin qu'est le destin. Nos Dieux ne nous ont jamais aidés mais, nous savons qu'ils veillent sur nous, nous le savons car notre coeur à foi en eux. Nous leurs faisons confiance et, leurs des choix dangereux, nous savons qu'ils nous aident dans ce choix.

Reron parlait avec amabilité, après tout, il parlait des Dieux qui régissaient les terres d'où il venait avec Lucian. Combien de fois avaient-ils été se recueillir aux temples ? De nombreuses fois et, ils croyaient toujours en eux bien qu'ils ne reçurent jamais la moindre d'aide d'eux. La petite s'était calmée tendis qu'il prononçait ces mots plein d'espoir. Elle avait s'en doute été calmée par le sage qui demeurait dans son âme. Elle leur lança un regard avant que ses yeux ne se ferment. Les deux compères se regardèrent et, dans un entendement silencieux, ils s'approchèrent. Lucian se pencha tandis qu'il enroulait le corps fébrile de la petite dans sa queue reptilienne. Il la souleva du sol et la déposa sur son dos.

- Reprenons notre exploration avec elle !

Le feu de curiosité réanimait les deux des deux compères. Ils reprirent leurs route, le loup beige faisant attention aux débris laissés par les meubles brisés. Il avança le long du couleur, laissant derrière eux la sombre scène qui venait de se dérouler, comme si elle n'avait été qu'un songe.
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Lun 21 Avr 2014 - 14:55

J'étais toujours, dans se petit coma, je rêvais, de lui, de cet homme qui m'avait sauver la vie, qui m'avait tant donner, Kiouy, le seul qui ma pris pour se que j'étais, lui qui m'a fait découvrir la vie, cette vie, qui n'est pas douce comme la pêche, elle qui est n'est pas comme un arc-en-ciel, elle qui peut être comme les fleurs du cerisier japonnais, et en quelques secondes devenir aussi rouge que la fraises espagnol, ou aussi noir que le charbon. Je le voyais il s'approchait de moi, il me prit dans ces bras et me chuchotas "- Ne pleure pas, je suis là avec toi" Je souriais, je ne voulais plus partir, je voulais rester dans ces bras à tous jamais. Mais je savais que se n'étais point possible, après quelques minutes, je me réveilla. J'étais sur le dos de Lucian, son pelage était si doux et si confortable, je voyais Reron, cette petite peluche si douce, je la pris dans mes pattes, et je lui dit :

- Mmm tu es si doux, tu ces que je t'aime bien toi !

Je l'aimais bien cette petite peluche, elle arrivais à me comprendre, et elle était si gentille enfin il, car je penses que c'était plutôt un garçons, je l'aimais bien, j'aimais bien aussi son odeur, il était doux comme tous !
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Lun 21 Avr 2014 - 21:43


Le loup continuait son chemin, avançant avec une certaine lenteur, chose qui ne lui plaisait pas, mais, il portait la petite sur son dos et, il pouvait accélérer car elle pouvait tomber de son dos. C'était un risque et c'était la raison de la marche plus lente que d'habitude du loup. La jeune estivale ne tarda pas à se réveiller après s'être un peu agitée dans son sommeil. Elle profitait du pelage doux de moelleux du mâle qui la portait puis, elle attrapa Reron qui se laissa faire, chose inhabituel. La peluche semblait être de bonne humeur aujourd'hui, mais, lorsqu'elle changerait d'humeur, Lucian savait que la petite Suachy risquait de ne plus être la bienvenue. C'était ainsi que les sauts d'humeur se produisaient chez cette créature orangée.

- Tu veux bien me lâcher ? Je ne suis pas un doudou.

Le loup beige pensait justement à cela que l'attitude de Reron changeait un peu. Il avait raison, il n'était pas un doudou, le pauvre le voilà qui se retrouvait prisonnier des pattes d'une jeune enfant. Le canidé lança un regard à son compagnon, lui disant de se calmer, après tout, ils avaient décidés de l'emmener avec eux dans leur exploration. Lucian tourna dans un couloir plus étroit, il y faisait noir. Un petit temps puis le voilà qui s'habituait à l'obscurité. Il évita ainsi des dangers grâce à sa vision nocturne qu'avait tous les canidés.
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Mar 22 Avr 2014 - 21:18

Reron me dit "- Tu veux bien me lâcher ? Je ne suis pas un doudou. " Je le lâchai donc et part la même occasion je vis que Lucian, avais du mal à avancer et cela le gênais, je sautais donc de son dos, et le suivais derrière lui. La phrase de Reron, ne m'avait point touché, j'étais plus durs que de la roche, je ne voulais plus pleurais devant eux, je ne voulais plus pleurais du tout, la vie se valait la peine de vivre, sans son passé, et je croit plus que tout, que ma déesse protectrice, Theanos, elle m'avait redonnée la joie qui me peuplé de nouveaux, un grand sourire apparue sur mes lèvres, je croyais de nouveaux à cette vie, à ceux souffle de vie, que je n'allais surtout pas perdre, ma vie à me lamentais sur mon passé, je voulais rencontrer, parler, ressentir, tomber amoureuses. Bref toutes les choses d'une vie qui faut la peine d'être vécue ! Je prit la parole :

- Lucian et Toi, vous êtes comme sa depuis la naissance ?

A ce moment là, je revis les images du vieux sage et moi, une larme voulait parcourir mon visage, mais j'en avais décider autrement, je voulais devenir forte, j'avançais alors dans un pièce grande, sombre, je vis une petite lumière faible, elle ressemblait à un de ces êtres qui peuplait les terres, il y a de sa, des millier d'années, je dis alors:

- Reron, tu étais un loup avant ?

Je voulais en savoir plus, beaucoup plus sur les amis et autres personnes de mon entourages, je me miss à regarder la petite lumière.
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Jeu 24 Avr 2014 - 19:06



Le loup beige sentit la petite s'agiter sur son dos, prète à sauter de celui-ci. Il ralentit afin que ce saut ne devienne guère dangereux pour les pattes encore fragiles de Sua'. Il lui lança un regard, puis reprit son allure normale, faisant un léger bruit de cause de ses griffes à la pointe revenant vers l'intérieur. Reron la fixait, s'assurant qu'elle ne les perde pas, car, ils seraient bien embêter si elle tombait entre les crocs de printaniers, déjà que pour eux c'était risqué alors pour une petite Sua' seule, ça le serait davantage.

- Que veux-tu dire ? Nous ne nous connaissons que depuis quelques années, c'est Lucian qui m'a fait venir dans ce corps, d'une certaine manière.

La peluche lança un regard à son compagnon qui continuait son chemin, ne prêtant qu'une infime partie de son ouïe à leur discussion. Cependant, à la deuxième question, le loup beige lança un regard à Reron qui était surpris de cette question mais, il y répondit :

- Non. je n'es jamais été un loup. Mais, j'ai eu un corps fait de chair et de sang.
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Ven 25 Avr 2014 - 18:42

Je regardais Reron, quand il me répondit "- Que veux-tu dire ? Nous ne nous connaissons que depuis quelques années, c'est Lucian qui m'a fait venir dans ce corps, d'une certaine manière.
" Donc Lucian l'avait fait venir d'un certaine manière, j'aurais tellement voulue avoir un compagnon comme Reron, quand je posais ma question, Lucian regardait Reron avec surprises puis Reron dit "
- Non. je n'es jamais été un loup. Mais, j'ai eu un corps fait de chair et de sang.
"
Donc il n'a jamais était un loup, peut être avait était il un être à deux pattes, ou un autres créatures étrange, mais ce ni ne m'intéresser plus, la lumière s'intensifia et d'un seul coups, elle prit l'apparence humaine d'une jeune femme, avec les cheveux bouclés, la peaux douce et une robe d'une splendeur à couper le souffle, puis un autres petite lumière se transformas, à un homme, avec des cheveux lisse et court. Il lui prit la main, et ils se miraient à danser! Je pris la parole et dis :

- Reron je peut ?!

Avant qu'il ne me disse quoi que se soit, je m'avanças vers eux, l'humaine me posas un regard protecteur et continuais sa dance.
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Oui, tu peux le mettre aux archives, merci. :3
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