Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Voilà quelques semaines que j'eu quitté le nid familial... J'arrivai en dessous d'un saule pleureur. La neige tombait et le vent faisait on travaille. Il emportai ma mèche tout comme les branche de l'arbre. Je frissonnai, j'avais froid. L'hiver n'était pas la saison qui me réussissait le mieux. Malgré tout, le saule me protégeai de la neige. Je me roulai en boule pour essayer de garder le peu de chaleur qu'il me restai, mais ce ne marchai guère... La neige et le vent se combinèrent pour former une tempête. Mon souffle devenait vapeur qui disparaissait doucement dans le froid de la tempête. Je fermai les yeux, avec un peu de chance, je m’endormirai. Ou je rejoindrais le peu de personnes ont nos destins s'étaient croisés avant que j'arriver jusqu'ici. Quelques minutes plus tard, je ne bougeai plus. Je m'étais juste endormi. Mais je me réveillai un peu plus tard. La tempête m'avait épargné et elle s'était calmé. L'odeur du gibier vint me caresser les narines, mais je n'avais pas la force de chasser. Quelque petit flocons étaient venu teindre mon pelage de blanc. Je me levai et me secouai pour les enlever. J'éternuai subitement ! Génial ! Un rhume !

Je fus surpris par un grondement devant moi. Je sursautai et fis un pas en arrière. Était-ce un ange tombé du ciel ? Cela voudrait que j'étais mort de froid lord de mon sommeil ! J'écarquillé les yeux. Elle avait les couleurs d'un oiseaux, d'un geai bleu. Mon père m'en avait montré une fois. Mais que me voulait cette louve sois-disant nommé "Héra" ? Je grognai par mégarde.

-Que me veux-tu ? Dis-je d'un ton méfiant.

Une estivale ? De l'été ? Un louve de l'été ?! Elle était fille du dieu ou de la déesse de l'été ? Je n'en croyais pas un mots ! Et pourquoi bégaillait-elle ?

°Peut-être qu'on l'avais envoyé pour me surveiller, et elle est tombé de l'arbre par erreur et elle essaye de se rattraper. Elle ne va pas s'en sortir comme ça !°

Je me mis en positions d'attaque, près à lui bondir dessus. Lui faire la peau de défoulerais avant d'allais chasser. D'un coup, je n'eu plus froid du tout ! Un sourire malicieux se dessinait sur mon visage. La neige tombait toujours et le vent soufflait lui aussi. Mais... Peut-être que j'étais arrivé dans se fameux clan printanier ? Je lui demandais sans trop me méfier :

-Je suis bien sur le clan printanier ?

Je repensai à se qu'elle avait dit... "...Estival..." Il y aurait donc plusieurs clans ici ? L'été, l'hiver, l'automne et bien sûr le printemps ! Je souris en pensant que je pourrais rester ici. La convivialité devait être au rendez-vous. Unis devant un feu de bois. Ou alors une guerre entre ses quatre clans ? Non... impossible !

Je fus surpris quand une petite flamme tombait à mes pied avant de faire fondre a neige et de s'éteindre doucement. J'en conclue que son pouvoir était le feu. Puis, elle répondit à ma qestion "Non, tu es sur les terres des neutres : les terres libres. Au pied du Saule Pleureur." Puis elles se retournai comme pour partir, peut-être était-ce une ruse pour que je baisse pas garde ? Je souris, content d'avoir deviné.

°Elle ne m'aura pas comme ça !° Pensais-je sûr je de moi

Il neigeait doucement et le vent nous avait laisser un peu de répit. Mais il allait surement revenir très vite, Je devais partir au plus vite. Je lui demandai d'un ton pressé, comme inquiet, comme si j'étais suivis:

-Ou puis-je atteindre les terre du printemps ?

Cette louve ne m'inspirait pas confiance, peut-être que j'avais raison ? De toute façon, si j'avais tord, qu'est-ce que ça changerai ? Je devrais bientôt partir. Après réflexions, je me dis que j'étais peut-être sur les terre neutres d'autres clans ? Mon sourire disparu au fur et à mesure que mes pensées devaient être vrais... Je n'avais ps vérifier. Je soupirai, tête basse. Puis je revins à la réalité et dressé vivement la tête. Je regardai attentivement la louve.

Elle éternua une deuxième fois et une flammes plus grosse, cette fois si, apparu. Un bout de mes mèches en avait fait les frais. Je grognai fortement, elle allait me calciner petit-à-petit ?! Elle parti se percher sur une branche du grand arbre. Elle me narguais et je n'aimais pas ça du tout. Je me décidais tout de même de lui répondre, même si ce n'est surement pas ce qu'elle attendais :

-Mon nom ne te regarde pas, on ne se reverra surement pas. Je veux juste rejoindre les terres du printemps au plus vite ! Grognais-je tout en levant la tête.

Entre cette louve et moi, le courant n'allais surement pas passer. Mais... Est-ce que c'était vraiment une louve ? Jusqu'à présent, elle ne s'était transformé qu'en oiseaux, peut-être pouvait-elle prendre l'apparence de n'importe quoi ? Ce qui lui aurait permis de me suivre jusqu'ici ! Je fronçais les sourcils en la regardant. Mais pour qui faisait-elle tout ça ? Pourquoi moi ? Est-ce que mon intuition disait vrai ? Est-ce que j'étais mort et qu'elle était un ange venu me chercher ? Je me posais trop de questions qui de toute façon ne changerais rien. Je pourrais utiliser l'un de mes pouvoirs sur elle mais, je n'en vois pas l’intérêt. Une louve aussi insignifiante ! Je levais la tête et bombais quelque peu le torse en signe de supériorité.

Elle ne me laissait pas le choix, je montais sur son dos sans réfléchit. Puis une fois dans les airs, je commençais à penser qu'elle m’amènerais ans son repère ! Je me mis à crier ! De peur de tomber mais surtout de me retrouvé livré à moi même contre une bande de loups. Je ne pouvais pas le mordre sinon je tombais. Je pouvais juste crier. Le vent emportait ma mèche et sifflait dans mes oreilles. Il s’engouffrait dans ma gorge quand je criais, il décoiffait mon poil. Je pensais que voler était agréable mais pas du tout ! Je criai comme je pouvais, même si le son de ma voix se perdait dans l'infinité du ciel :

-Arrête ! Stoooop !

On voyait les arbre en dessous de nous et les nuages au dessus. Cette louve était doté d'une grande force pour être capable de me porter ! Mais qu'est-ce qu'elle voulait faire de moi ? Il fallait que j'arrête de me poser des questions, je saurais au moment venu. Mais cela ne m'empêchait pas de vouloir descendre. Je regardais en bas pour voir où elle m’amenait. Je n'en savais pas plus, on survolait juste des arbres qui cachaient une prairie ou un chemin, va savoir...