Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

La nuit tombe et avec elle la brise froide de l'hiver, mais la brise est presque douce et vie en elle un brin de chaleur qui aspire à la vie. Les végétaux sont ravie, voici l'été. Opium n'aimait pas l'été, cette saison putride affaiblissait l'hiver même si la plus belle des saisons pourrait toujours son éternelle manteau blanc. Manteau en cette soirée tapisser de taches rouge, le tueur n'étant pas d'humeur à aller se reposer aussi tôt, avait fait le choix de traverser la calme forêt de brume et d'y chasser sa proie préféré : Un lièvre.

Couché sous un tronc d'arbre mort, le corps coté contre un amas de terre, le tueur dévorait sans trop se presser sa proie fraichement acquisse. La terre, aussi douce au toucher soit-elle, transmettait une chaleur agréable, il suffirait de creuser un peu pour s'y faire une tanière douillette et chaude en toutes saisons, pourtant, même si l'idée plaisait au tueur, il ne pouvait se résigné à quitter la tanière de glace que lui avait légué sa défunte mère. De plus l'étroite tanière était proche de cette de Meneldil, comparé à ce petite coin de douceur, le tueur ne pouvait donc quitter son logis actuelle. Alors que son repas fut déjà bien entamé, il tendit un bruit qu'il se répugna à entendre aussi tard dans la forêt sombre.

Un son de chute qui lui rappela des louveteaux ne savait regarder où ils posaient leur fichu petites pattes, mais le son fut trop lourd pour qu'un potentiel enfants se trouvent dans cette forêt, vu l'heure ils devaient être bien surveillé par les nourrices ou leur mère et le tueur à la patte blanche ne connaissait pas de louveteaux hivernaux obèse au point de passer pour un adulte. Il se résigna à se lever, délaissait sa proie avec regret et contourna le tronc d'arbre mort à la recherche de l'idiot qui faisait tant de bruit. Quel ne fut pas sa surprise quand ses yeux de glace se posèrent sur l'une des siens.

Le tueur à la mèche blanche soupira en secouant doucement sa tête de droite à gauche, désespéré de voir Vaneshka, une tueuse hivernal, qui avait fait preuves de négligence. Opium arrêta de secouer la tête inutilement et regarda sa "collègue", il était certes courant que les tueurs évoluent dans la pénombres et à toutes heures, mais en ses temps de troubles, il se demandait ce que la tueuse faisait là. Bien vite, cette intrigue quitta son esprit, il était dehors lui aussi et elle était peu être en marche pour les mêmes raisons que lui : Tranquillité et nourriture.

- Yop. - dit-elle.
- ... Bonsoir - Dit-il après un temps. Il ne dit rien sur ce qu'il venait de voir, il en avait déjà assez fait. - Il est rare que je vous quelqu'un de notre rang aussi tard dans la forêt de brume, sans être indiscret Vaneshka, que fais-tu là ?

- Mes affaires ne te regardes pas, je fais ce que je fais, et je ne fais pas ce que je n'ai pas à faire. Maintenant, pousse toi, et laisse moi rentrer chez moi. C'est pas parce que tu es Hivernal que je dois te respecter ou quoi que ce soit.

Opium fronça de façon infime les sourcils, dans l'obscurité ambiante cela ne se vit pas le moins du monde. Il fut contrarié de la réponse de la louve, certes il aurait répondue la même chose, mais le caractère orgueilleux du tueur le poussait à ne pas pardonner facilement ce genre de réponse qui plaisait son amour propre. Il méritait d'après lui, un certains respect dut à son rang et à son talent de tueur. Le tueur à la mèche blanche fit rouler les muscles de ses épaules sous son sombre pelage pour se décrispé, ce n'était pas le moment de blesser l'une des siens dans une remiser à l'ordre. Se petit mouvement fit tomber sa longue mèche blanche devant ses yeux de glace, il la remit d'un petit mouvement de tête, "ne jamais masquer un de ses sens", cela pouvait lui couté la vie.

Il expira longuement tout en dévisageant l'audacieuse tueuse qui commençait visiblement avec une place basse dans son estime, pas aussi basse que celle d'Adagio, un chasseur gris qui appréciait relativement peu, mais basse tout de même. Le tueur ne lui avait jamais parler et il se souvenait maintenant pourquoi il n'aimait pas parler aux autres loups, notamment les jeunes. Voilà ce que le tueur avait l'impression d'avoir devant les yeux, une toute jeune louve à peine sortie de l'age tendre ,et tant haie par Opium, de louveteau. Un éternuent parue vérifier ses pensés, la voilà enrhumé comme un piètre enfant qui ne serait survivre seul dans l'étendue geler de son propre pays, un louveteau qui encore beaucoup de chose à apprendre.

- Bon, c'est pas tout, mais je pense que nous avons tout deux des choses plus trépidantes à faire.

La louve le contourna et lui tourna le dos, le tueur ne bougea pas le moins du monde, mais ses yeux en revanche regardèrent du coté que la louve l'avait frôler. Où allais cette enfant inconsciente ? Où allait-elle ? Folle ou folie, mais quoi qu'il en soit, les grottes protectrice du vent froid n'était pas de ce coté.

- Vaneshka ... Les grottes qui forment nos foyer ne sont pas dans cette direction...

Laissant ses mots résonné entre les arbres, Opium se retourna à demi, regardant la réaction de l'étrange louveteau qui lui avait manquer de respect, foudroyant la malade du regard, ses muscles bander étant près à faire tous les mouvements que leur maitre leur demanderait. La curiosité gagna le coeur du tueur, elle n'était pas parti bien loin et le tueur n'appréciait pas tellement sa présence, mais alors que la lune montait dans le ciel noir, cette réflexion lui importait peu.

Elle se retourne, plonger dans l'ombre que crée par les arbres. Le tueur n'aimait pas ses yeux, une tueuse avait toutes les raisons du monde d'avoir de tel yeux, mais ce regard qu'elle lui lança avec de tel yeux, ce n'était pas bon, pas un regard de camarades, qu'il soit de rang ou de clan. Opium fronça les sourcils, détaillant du regard la louve. Autour de lui, une fine odeur de fer, comme le goût du sang. Un tueur sera le meilleur pisteur si on lui demande de retrouver un animal blesser, ils connaissent l'odeur du sang depuis leur plus tendre enfance, ils ont enregistré leur gout, leur odeur, leur substances, tout. Rien de bon ne s'annonçait de cette rencontre nocturne, le tueur en avait le pressentiment.

-Dis moi mon frère, que penses tu de cette guerre qui se prépare... Enfin, en a tu au moins entendu parlé, ou t'as t'on laissé dans l'ignorance... Je n'espère pas pour toi en tout cas, ce serait bien dommage, un loup aussi grand et puissant que toi.

Le tueur à la patte blanche fronça un peu plus les sourcils, "frère" peut de loup se permettait de l’appeler ainsi, il l'avait accepter, après tout ils faisait en quelques sorte partie de la même famille, mais dans sa bouche, cela paraissait moqueur. Et puis le sujet qu'elle avait relancer, avec tant de facilité et, peu être, un certains sarcasme. Opium n'était pas le meilleure loup qui lisait à travers les lignes, il l'avouait muettement, mais cette louve, il n'arrivait pas à la considéré comme une soeur d'arme.

- Ah oui, je ne crois pas avoir précisé un seul instant que j'escomptai me rendre à la tanière principale...

Il n'avait pas répondue, il se disait qu'elle pourrait surement monologuer sur l'humeur lui venait. Il fit entièrement volte-face, se dressant face à elle toute sa taille et de sa fierté.

- Qui n'est pas au courant de cette guerre ? Même les plus jeunes en ont entendue parler, elle n'annonce rien de bon, une suprématie par le printemps ne sera jamais une bonne chose, pour notre bien être c'est l'hiver qui doit dominer, tous le savent, mais notre mission n'est pas au choix, les tueurs sont les armes de l'ombre des alphas, l'aurais-tu oublier ? Nous n'avons pas tellement le choix, mais dit moi jeune louve, si tu ne rend pas à notre tanière pour te reposer avant de retourner chasser ou aider les troupes, où vas tu ?

Aucun sourire, pas une émotion, ses sourcils n'était plus froncer, mais la curiosité que peu lui connaissait c'était réveillé. Si la louve essayer de trahir le clan, cela pourrait très mal tournez pour elle comme pour lui et quand bien même elle cherchait à rejoindre un quelconque amant, elle devrait, pour le tueur, remettre ce rendez-vous à plus tard, une guerre les attendaient et pas une simple bataille accompagnez de petite musique guillerette.

- Beau gosse, je ne vais pas le répéter, et puis, tu es beaucoup trop curieux. Ta maman ne t'a jamais appris que c'était pas bien de fouiller dans les affaires des autres gens? Alors putain, une fois pour toute, laisse moi passer et retourne là d'où du viens!

Sa voix, ses paroles et son comportement lui tapait sur les nerfs. L'évocation de sa mère réveilla en lui une douleur profonde qui avait crue endormit, l'évocation de sa défunte génitrice par cette petite vipère le mit en colère, de quel droit évoquait-elle la douce Eternelle, qui de tout était depuis longtemps oublier comme les morts d'une prestigieuse bataille dont ont ne se souvenait que des héros. Son insolence insupportable firent hérisser l'échines du tueur, mais il savait qu'il ne pouvait se permettre de blesser sa consœur, ô combien elle mériterai une bonne leçon. Elle le dépasse, le défiant, mais elle tremble, elle tremble d'un sentiment électrique qu'elle transmet au tueur, le coeur du loup sombre se met à battre plus vite, elle va tenter quelques chose, il le sait, il le sent de par son flair et de par son coeur s'emballant. Mais il ne sait pas ce qu'elle compte faire et l'ignorance est l'une des choses qu'il haie le plus, il ne peux que garder un tempérament froid en attendant que Madame se décide à agir pour comprendre son excitation.

Elle éternue, faisant sursauter les muscles tendue du tueur, fausse alerte, stupide réaction de sa part, dont il ne supportait pas l'apparition. Une pensé fugace le parcourue, " une hivernal enrhumer" les situations comique n'avais pas finit de provoquer son exaspération. Mais contre une prétendue raison, la jeunesse malicieuse reste victorieuse de par son imagination plus ou moins débordante, sans pour autant innover la louve étrangement décoré se retourna vers le tueur, arborant un sourire fort déplaisant à son égard, trop plein d'orgueil et de provocation qui égratigna son alter ego.

- Hé ptit loup, j'espère que t'es bon à la course!

A ses mots, le tueur écarquilla les yeux, mais il n'eut le temps de réagir que la louve avait déjà sauter de cinq mètre en avant et détalait déjà à travers la sombre forêt. Elle l'avait trop taquiner, trop provoquer, le coeur du tueur était emplie de curiosité et de cette envie de vengeance si dure à oublier, il se lança à sa poursuite, bien qu'elle eut déjà prit beaucoup d'avance sur lui. Il était très mauvais coureur, mais contre cette jeune idiote, il se fit gonfler d'une bouffé d'adrénaline. Ses grandes pattes lui permettait de faire de longue fouler malgré son souffle court qui apparue bien vite, trop vite, la gueule grande ouverte, il absorbait l'oxygène à grande bouffé, celui-ci lui brulait les poumons à chaque fois, mais il ne pouvait se permettre de la perdre. Quand la vue fut obstruer par les ténèbres, Opium se fia à son flair, mais pour cela, il dut ralentir jusqu’à s’arrêter. Les lames du vent avait fait naitre aux creux de ses yeux fragile de fines larmes qui les protégeait avec mal, mais il ignora cette douleur, cette de ses poumons était d'autant plus violente, malgré cela, il reprit sa course, mais bien plus lentement qu’initialement. Pourquoi cette énergie que lui avait apporter l'éclair d l'excitation avait-elle disparue aussi vite ?

Le vent glaciale le brulait. Ses poumons était en feu et les lames d'air froide blessait les gencives du tueur à chaque foulé. Il avait dut mal à respiré, ais à bout de souffle, il continuait tout de même sa course à travers la forêt de brume, ne aillant du mal à se souvenir de la raison de cette course poursuite. L'audace ? L’insulte ? La curiosité ? Vaneshka ? Opium s’arrêta, haletant il regarda autour de lui. De petite et minuscules larmes se trouvait au coin de ses yeux que le vent avait lourdement frapper. Il avait chaud, il mourrait de chaud et sa tête commençait à tourné. Il ignora la douleur, se força à mettre tout ce qui handicapait de coté pour continuer la mission qu'il s'était lui même donner.

Il inspirait profondément, ne pouvant calmer calmer son souffle court alors il devait faire de son possible pour le surpasser et s'en servir pour détecter une odeur. Cela marcha, ses grandes bouffé d'air frais lui apportèrent les délicates odeurs amer de la jeune louve. Avalant sa salive et serrant les dents, Opium se lança dans sa direction. Il était loin de voler au dessus du sol, ses pattes étaient lourdes et sa tête tournait. Les arbres disparurent les un après les autres, le tueur émit l'hypothèse qu'il se rapprochait d'une clairière, mais laquelle ? Il était déboussoler. Cette idée lui donna envie de foncer droit dans un arbre pour retrouver ses esprits et ses capacités, cette rage lui donna la force d'avancer, d'escalader une petite bute de neige et de sauté quelques mètres en contre bas.

BAMMM !!

Le chute fut moins dure qu'il ne lu crue. De fines mèches recouvrait son museau noir, entrainant de multiples difficulté à retrouver son précieux souffle. Il ouvre brusquement les yeux quand l'odeur de la louve envahit ses narines, bien que que vu met quelques minutes à s’adapte, il la distingue déjà clairement et devine les évènements. Au pied de la bute de neige se trouvait Vaneshka immobile et en sautant par dessus celle-ci, il entra en collision avec elle. Se trouver la, juste au dessus d'elle était affreusement gênant pour le loup noir, qui poussa dans l'instant sur ses membres endoloris pour le relever et s'écarter de cette jeune vipère.

- Putain, tu peux pas faire attention où tu met les pattes!!!

Sous son pelage noir comme les ténèbres, le tueur est rouge de honte. Il ne lui était pas coutume de se retrouver dans une tel situation, outre dans son enfance la plus lointaine, il n'était jamais entrer en collision avec quelconque loups et encore moins des femelles. La phrase qui en était sorti de sa bouche n'avait pas lieu d'être, provoquant une graine de colère dans son esprit empourpré de gène. Il se haïssait, il haïssait ses faux pas et toutes les permissions qu'il se donnait. Que ce soit avec Meneldil ou avec quelconque loups, ce n'est pas ce qu'on lui avait appris et il détestait transgresser ses propres règles. Son souffles violent se calmait peu à peu, il en profita pour pousser un long soupir.

- Si tu n'as pas d'ordre de mission, tu n'as aucune raison de quitter l'hiver. - fit-il d'un ton colérique alors que son ventre se soulevait au rythme de ses fortes respiration.

Son coeur battait si vite, pourquoi l'odeur de ses mèches posé sur ses narines et la sensation de son corps contre le sien ne disparaissait pas. Il la haïssait.

- Guy, c'est vraiment pas contre toi, mais là, j'ai plus de temps à perdre, j'me casse, et c'est ma décision, personne n'a à s'en mêler. Maintenant, si tu veux me suivre, ok, c'est ton problème, mais à voir comment le petit toutou est essoufflé avec quelques mètres... Je ne tiens pas à avoir un loup mort dans mes pattes.

Non ! Elle ne peut pas, elle n'a pas le droit de partir. Ses mots, son comportement, tout son être même n'est là que pour poussé le tueur à bout. Opium n'avait qu'un désir, qu'une envie, c'était de lui sauté à la gorge et de remettre cette peste à sa place, mais que diable elle avait raison, son souffle ne revenait pas et son torse tout entier se pliait sous la douleur, même s'il la refusait, il ne pourrais pas la suivre d'avantage, il était taillé pour l'assaut bref et rapide, par pour la poursuite et la course d’endurance.
De dos, devant la clairière qui marquait la frontière, la jeune louve tourna la tête et fit un clin d'oeil insolent avant de dire ses mots :

- Sans rancunes gars, peut-être nous reverrons nous un jour. Je l'espère.

Tout d'un coup, le museau vers le ciel, elle hurle de tout son saoul, comme si elle le saluait tandis que le tueur à la patte blanche boue-bée si ont puis dire cela d'un loup qui respirait du mieux qu'il pouvait, la regardait et l'écoutait, impuissant.
D'un mouvement souple, propre à la femelle, elle s'élança et s'éloigna du tueur qui assit par obligation devait s'avoué vaincue. Il la laissait partir pour cette fois, de tout façon quoi qu'il aurait voulu faire un point de coté très douloureux l’empêchait de faire quelques efforts que ce soit.

Il ne regarda pas la tueuse qui s'arrêta une dernière fois pour faire ses adieux à la terre des ses pères, il s'en moquait bien de ses sentiments maintenant. Avec difficultés, il se leva, sera les dents pour ne pas exprimé à quel point il avait mal et se dirigea vers sa destination initiale, sa tanière qui se trouvait non loin des autres tanières du clan. Demain, il préviendrais Meneldil de cette traîtrise et il craignit alors pour elle. Cela n'allait pas l'aider à trouver le sommeil.

[On peut clore]