Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Assit sur une pierre en haut d'une des frontière du clan hivernal, Opium observait l'horizon blanc. un horizon si pur et si beau, si vivifiant pour ce tueur né de la plus cruelle des saisons. L'hiver dominait toujours FourSeason et les tueurs étaient réquisitionné. Une guerre se préparait et il serai là, au coté de sa douce alpha pour la soutenir et combattre à ses cotés. Quel meilleure moment que celui-ci ? Être son confident certes, mais pour Opium, tout les sourires, toute la confiant de Meneldil était le plus beau des cadeaux que le ciel pouvait lui offrir. Il se leva et trottina vers les terres inoccupé. Elle lui avait accorder un jour de repos, alors il irai servir le clan en faisant un léger tour sur les terres recouverte du voile sacrée de sa saison.

Un peu d'exercice lui fera du bien, pensa t-il, et il eut raison. Il trottina un long moment avant de commencer à avoir chaud et d'avoir le souffle court. Meneldil aura besoin de loup en parfaite condition physique prochainement alors des qu'il eut repris sont souffle, il reprit sa course en ignorant les lapins qui passaient par là. Mais une odeur le happa, désagréable, détestable pour un loup dont les fleurs donnait la nausée. L'odeur caractéristique d'une estival. En temps normal le tueur aurai grogner et aurai continuer son chemin, il n'était pas sur son territoire après tout, mais une conversation avec un être qui lui était cher, la tueuse Ness, lui avait apprit que les estivaux avaient profondément blesser sa meilleure amie en tuant les parents de cette dernière. S'il tuait cette estival en serait-elle heureuse ? Opium se retourna et parti en direction de l'odeur, vers les falaise de Sérégon.

Le vent soufflait avec une violence inhabituel et même pour le tueur sombre qui avait de bon aplomb, il avait du mal à tenir en place. La jeune fleur qu'Opium avait sentie ne voulais pas se montré et le vent n'était pas là pour l'aider, où était donc cette peste qui périrait bientôt ? Un cris ! Un couinement désagréable parvins avec peine aux oreilles sensible du tueur. Un appel à l'aide. Aussitôt, Opium planta ses quartes pattes au sol, leva la tête et les oreilles et écouta attentivement, le cris reviens. Du bord de la falaise. Elle devait avoir une sacrée voix et une sacrée chance pour s'être faite entendre du tueur alors que le vent faisait bien plus de bruit qu'elle. C'est avec méfiance et envie qu'il s'approcha du bord de la falaise, son sang allez bientôt coller. Il se pencha un peu et la vie, la peur dans ses grand yeux vert. Son pelage clair mettait en évidence des couleurs plus sombres telle que le brun, mais aussi quelques couleur excentrique qu'Opium n’apprécia guère comme le bleu qui se mariait parfaitement sur cette fine louve. Il la regarda de son regard de glace, sans plus d'émotion.

Il était tellement impatient de tuer une estivale et de la ramener à Ness, mais voilà ce qu'il trouvait à la place. Une fine louve à peine adulte, en danger de mort. Pitoyable. Il n'avait cas la regarder et elle mourrait, le tueur fonça les sourcils et jurea mentalement. Ce n'était pas faisable être aussi faible, Opium ne permettrai pas tant de faiblesse, de plus si un estival devait mourir, sa sera de ses crocs ou ceux de sa douce amie. Il grogna, mais personne ne l'entendit avec la rage du vent qui voulait faire basculer le loup noir. Il releva la tête et la tourna en direction du vent et l’humilia mentalement, le défiant du regard, bien qu'il ne fut pas humain. Il planta chacune de ses pattes dans le sol, enfouissant ses griffes dans le peu de terre présente sur la falaise et se pencha vers ce pitoyable estival auquel il regrettait déjà le sauvetage. Il planta ses crocs dans la nuque de la louve, transperçant peu être la peau de cette dernière, mais il s'en moquait bien s'il la blessait, elle n'allais pas se plaindre alors qu'elle c'était décider, avec un peu de temps, à l'aider. De toute sa force, il la remonta sur la terre plus ou moins ferme, mais il ne la lâcha pas là, la traina de force vers un coin où le vent ne les embarquerai pas. Celui-ci soufflait avec toujours autant de fureur et plaquait la mèche blanches du tueur devant ses yeux, ainsi sa vision était-elle restreinte, tout comme son ouïe et son odorat, mais il savait où il voulais allez. Quand il trouvait l'endroit protéger qu'il désirait, il lâcha enfin l'estival et garda un horrible goût de fleur dans la bouche.

- Je ... te remercie.

Opium ne dit rien, ne fit rien d'autre que de la regarder. Elle était fine et plutôt gracieuse pour une estivale, mais loin de lui ses idées que beaucoup de loups mâles pourraient avoir. Il ne l'avait sauvé que pour Ness, les estivaux n'avait pas le droit de mourir ainsi, mais sous les crocs de l'hiver, sous les crocs de Ness. A la pensé de la louve bicolore dont les yeux envoutant furent marquer d'une tristesse sans borde à l'évocation de ses parents morts, assassiné, Opium eut un regard méprisant pour la louve, mais ce regard se perdit assez facilement dans toute la haine que le loup avait pour les autres clan.

- J'ignore quel projet tu nourris... Mais je préfère une mort dans un combat qu'écrasée au pied de la falaise.

Le silence était son père, mais pour une fois le tueur hivernal fit entendre son mécontentement ou sa révolte muette par un petit grognement, suivit d'un petit soupir vif et sonore. Pour qui ce prenait cette petite insolente ? Pourquoi diable tuera t-il cette louve maintenant qu'il l'avait sauver, elle devrait plutôt être un cadeau pour Ness ou un otage pour Meneldil, bien que le loup doutait que son alpha apprécie ce présent. Il la fixa droit dans les yeux pendant un long moment, ne laissant que le vent exprimer sa rage derrière lui. Elle était bien une estivale, cette odeur de fleur qui la suivait et ses yeux aussi vert que les jeunes pousses. Opium se retiens de partir d'elle à grands pas.

- Je n'aurai pas prit la peine de te sauver si c'est pour te tuer par la suite sans plus de raison - dit-il une pointe de haine dans la voix.

Le tueur le leva, dominant la louve de toute sa taille et fit volte face, il avait passez assez de temps avec cette louve du clan opposé pour être de très mauvais poil.

- Je ne comprends pas, ça n'a aucun sens !

Un autre loup à sa place aurait émit un faible grognement, rouler les yeux et secouer la tête en continuant à avancer, ou alors se serai arrêter pour expliquer à cette jeune enfant se qu'était "l'honneur", mais l'autre loup n'était pas Opium et s'il ne fit pas ses gestes il les pensa très fort. Au lieux de se retourner et d'expliquer avec tout son venins se que la louve désirait tant, il se força à réfléchir par où il devrait passer pour rentré chez lui avec le vent qui balayait avec rage la falaise et ses alentours. Être bloquer en territoire estivale serai la pire des punitions, et si Ness sentait cet odeur sur son pelage, qu'est-ce qu'elle en penserai ? Alors qu'il se forçait à penser à d'autre chose, négligent la petite et faible louve, celle-ci lui tapa sur les nerfs encore une fois faisant fuir ses réflexions.

- Qu'est-ce qui peut bien motiver tes actes...

Il se stoppa, les oreilles s'agitant entre la colère et la neutralité. Les estivaux n'étaient donc jamais contents de leur sort ? Elle était vivante et elle continuait à harceler le tueur pour des informations futiles étant donner qu'il ne l'avait sauver que pour Ness, pour que se soit elle qui la tue. Il quitta des yeux la forêt verdoyante pour planter son regard de glace dans les yeux vert pomme et si vivant de cette petite survivante. Il resta à la regarder un moment, se calmant avant de lui cracher au visage toutes les monstruosité possible et de la tuer. Non, cela devra être Ness. Il inspira profondément et se tourna à demi, pour ne pas lui montré son dos indéfiniment.

- Se qui motive mes faits et gestes ne te concerne pas. - dit-il d'une voix glacial - Estime toi heureuse que se ne soit pas moi qui tes traquer à la place du vent, sinon tu serais déjà morte depuis longtemps... Rentre chez toi !

Il aurait put faire volte face et reprendre son chemin, mais il resta là à la juger du regard et à attendre qu'elle bouge, qu'elle parte, qu'elle lui obéisse.

Ses yeux de glace foudroyèrent ses yeux verts pomme, ses yeux florissant, vivant, une estivale dans le regard. Les babines d'Opium vibrèrent quelques peu, dire que les loups de ce clan avait fait du mal à sa meilleure amie. La pauvre avait perdu ses parents si jeune, plus vieille qu'a l'age où le tueur avait lui même perdu le seul membre de sa famille, sa mère, mais l'attachement qu'il vouait à la louve le rendait alors colérique. Elle était la, planter sur ses deux pattes à attendre, il était là joncher sur une pierre, la dominant de toute sa taille, à attendre.

- Très bien. Je ne te retiendrai pas plus longtemps dans ce cas.

Pourquoi avait-il attendue ? Pourquoi l'avait-elle sauver d'une mort certaines ? Il n'était pas clément, loin de la. Le sang l’excitait, l'envie de meurtre dominait bien plus chez lui qu'autre chose, son respect et son amour allait à l'hiver et seulement à lui, alors pourquoi ? Pour Ness. Il se persuada que c'était que pour cette louve bleuté dont il c'était prit d'affection qu'il avait sauver cette louve sableuse dont l'odeur de fleur caressait les narines du loup sombre. Il poussa un petit grognement et fit rouler ses muscles sous son pelage épais.

- Ne te fait pas happer par le vent une seconde fois. Je ne viendrai plus te sauver. - dit-il avant de faire volte face, et se contourner un buisson pour se diriger vers son chemin divin, suivant le vent frais, l'hiver, sa saison, sa patrie.