Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Ils lui avaient confié une première mission. Garder l’enfant. Rien de compliquer et pourtant, elle n’avait su le faire correctement. Quelle pauvre sotte. Un demis loup qui lui avait filé entre les pates ; une honte. Elle imagine les pires situations que ce petit a pu rencontrer, s’il lui arrivait malheur ?! Elle s’en voudrait pour jusqu’à sa mort. Ce souvenir la rongerai, la tuerai à petit feu.
Maintenant, elle agit. Elle court à recherche du petit. La trace, ces yeux s’embrume ; elle pleure. Ces larmes coulent abondamment sur ces joues et s’envolent tel de petits diamants. Elle secoue la tête pour les faire disparaître, en vain. Plus elle imagine les pires scénarios plus les larmes sont grosses. Les petites traces se dirige vers un foret embrumé ; le territoire des hivernaux. Selon les contes de sa mère, les hivernaux sont sanguinaire et n’hésite pas à tuer un vagabond qui traîne sur leurs terres. Si le petit y est allé cela n’est qu’une question de temps avant qu’un tueur ne le trouve. Ces pensées font disparaître l’appréhension de rentrée en territoire ennemie. Elle fonce. Elle s’enfonce dans cette forêt mystérieuse : la forêt de brume.
Dans cette forêt tout semble identique de plus ce voile donne un aspect angoissant au lieu. May ne le remarque pas, ne le voit pas. Elle guette chaque petit indice du petit, voilà ce qui la préoccupe le plus. La louve suit les traces qui tourne à gauche puis à droite, à gauche, à droite pour s’arrêter net.
La vision des traces qui s’arrête figea May. Un frisson parcourut son dos, sa tête tourna ; elle tomba. Elle avait failli.

Elle est à terre. La neige recouvre son pelage marron, ces yeux se troublent ; elle pleure à nouveau. Pourquoi faut-il qu’elle pleure à chaque incident ? Elle ne le sait pas, elle s’en veut ; c’est tout. Elle a froid mais elle s’en fout. Elle a failli ; c’est fini. Pourquoi n’avait-elle pas réussie à le surveillé ? Ces yeux se fermèrent, sa vue devint noir. Elle partit. Ces frissons ont cessés, elle ne ressent rien mis à part ce sentiment d’échec et l’impression d’avoir trahi son clan. Pour elle s’est the end maintenant.
Lumière. Elle est éblouit par cette lumière, c’était donc ça le paradis ? Elle s’y voit déjà, sautant sur les nuages, voler : oh oui voler ! Son rêve de toujours, voler. Elle s’échappera de ces problèmes et évitera à quiconque de souffrir de sa faute. Elle rêvait lorsqu’un loup vient obscurcir ses pensées, un loup noir ébène à la patte blanche l’air méprisant d’elle, furieux.
Elle observe ce qui l’entoure, elle est à l’abri du froid glacial de l’hiver maintenant ; ce loup apathique même pour qui en temps normal sait voire la meilleur de chacun mais la... C’est enfouis trop profond pour que la louve puisse l’entrevoir néanmoins il l’avait sauvé. Donc logique, il ne lui veut aucun mal ; espérons car elle ne sera pas de taille contre ces griffes acérés.
Ses jambes sont encore toute endormies, elle ne peut les bouger. Pourtant, elle devait rechercher ce petit ; coute que coute ! Dans un ultime effort elle tenta de se lever ; en vain. C’était pathétique de la voire s’étaler comme cela au sol. Pathétique voilà ce qui résume sa vie. Incapable de se lever son seul issu est de s’apitoyer sur son sort. Ces yeux lui piquèrent, non elle ne pleura pas maintenant surtout pas devant cette inconnu ; NON. La première larme coula puis la deuxième, elle les cache du mieux qu’elle peut mais la troisième arrive puis la quatrième jusqu’à ce qu’il ni ai qu’un flot continue d’eau claire et translucide salé qui parcourt ses joues. Pourvu que l’inconnu de l’ai vue…