Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !


Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 :: HORS-JEU :: Archives Hiver Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Je pars... [libre à ceux qui veulent écrire quelques chose quoi ]
Invité
Invité
avatar
Mer 12 Déc 2012 - 15:28

La louve c’était levée de bon matin.
Aujourd’hui, elle partira,
Le cœur léger elle s’en ira.
Elle chassera le lapin,
Puis elle marchera dans la forêt de brume.
Tout droit elle ira,
Jusqu’à ce qu’elle ne soit qu’ éclairé que par lune.

Elle ne pleurera pas,
N’aura pas un pincement au cœur
Ni de rancœur.
Elle s’en va simplement,
Personne ne se souviendra d’elle
Surement …

Meme si elle fut belle,
Personne ne l’aimait.
Peut-etre trop parfaite ?
Ou bien trop orgeillleuse ?
Trop caprisieuse ?
Sa vie était faite,
Elle s’en va.

Loin des problèmes des saisons,
Loin des conflits permanent,
Elle quittera sa maison.
Elle ne crois plus a la paix, au bonheur
Elle les avaient attendu patiament
Mais l’heure était passée.

Ces pattes dans la neige,
Elle traçat ;
Sans cotège,
Sans amis,
Sans adieux
Elle partit.

Son chez elle disparaissait
Il était loin de ces yeux,
Cet endroit qu’elle aimait
Qui la protègeait ,
Il était maintenant loin.
Dans son dos.

Elle laissa une vie sans temoin,
Elle laissa son rang et son fardeau.
Le vent effaçat ces traces,
Tout comme elle effaçait sa vie.
Elle s’en débarasse
Sans le moindre avis.

Elle est parti,
Loin d’ici,
Sa grotte est a présent vide
D’un bleu livide.
Elle ne reviendra peut-etre plus,
Elle n’avait pas dit salut.
Mais elle laissa sa grotte sans vie.
Revenir en haut Aller en bas
Opium
Nobody
Opium
Espèce : Loup/louve
Masculin
Messages : 585
Date d'inscription : 12/08/2012
Âge : 29

Identité du personnage
Spécialité:
Total des PNs: 0 PN
Ven 28 Déc 2012 - 19:57

Alors que la brume recouvrait la forêt, alors que le tueur à la patte blanche marchait sans but dans cette forêt qui l'avait vu grandir et devenir ce qu'il était aujourd'hui, alors que la neige qui se pliait en silence sous ses pattes ne laissait de son passage que ses empreintes. Il crut entendre une mélodie triste, déchirante, une mélodie si triste qu'il ne pouvait l'ignoré, lui qui avait pourtant un coeur fait de glace. Il s’arrêta et leva le nez au vent. Vent charger de petits flocons et porteur d'une odeur qu'il ne connaissait sans pourtant en connaitre la propriétaire. Une femelle oui, mais où partait-elle. Il sentait son odeur et sentait ce sentiment qui la rongeait, il le ressentait d'avantage parce qu'il le connaissait et son instinct ne pouvait l'ignoré.

Il frotta son museau avec sa pattes blanches pour enlever les flocons qui s'étaient amassé et se lança à la poursuite de cette odeur de solitude et de fatalité. Il trottinait, de peur de ne pas aller assez vite, de peur d'aller trop vite, il cherchait cet être perdu qui était malheureux, trop malheureux, au point où il crue sentir sa propre odeur de louveteau orphelin. Il sauta par dessus un tas de pierre et inspectera les horizons blanc, donc les seuls être vivant étaient les arbres et encore, le vent se chargeait de plus en plus de flocons de plus en plus gros.

Il se prit à courir à la poursuite de cette odeur, frappant le sol de ses foulé apeuré, il voulait la rattrapé, mais rien n'y fit. Le vent tourna, avec lui la neige qui frappa maintenant avec violence le pelage noir du tueur solitaire. Les yeux grand ouverts, le chemin qu'il avait suivit n'était que blancheur, l'odeur qu'il avait suivit n'était plus que le froid de l'hiver. Il avait perdu celle qu'il aurait voulu connaitre, celle dont il ressentait la solitude, celle qui lui avait rappeler qui il avait été. Tout avait disparu.
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: