Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

La truffe au sol, Opium sentait la douce odeur de la viande. La futur carcasse n'était qu'autre qu'un cerf âge. Pour une fois depuis un moment, Opium avait accepter de venir aider la troupe de chasse après qu'une petite femelle lui avait timidement demander de les aider. Combien de temps faisait-il qu'il n'avait pas eu de mission ? Il avait l'impression que c'était une éternité.
Tuer lui manquait, il n'attendait qu'une chose, planter ses crocs fins et tranchant dans la chair, faire couler son venin de glace et se faire aussi silencieux que la neige. Cette penser pouvait parraitre monstrueux, mais pour un tueur comme le loup noir c'était normal. Il était fébrile, il allais pouvoir tuer. Il ne lâchait pas la bête des yeux bleu, presque banc, leur clarté faisait penser que ses yeux étaient fait de glace, ressortant d'avantage sur son pelage noir, où le blanc avant sa place uniquement sur sa pattes avant droite et une mèche entre ses deux oreilles. Il était plutôt maigre aussi, de se fait il n'était pas tailler pour la chasse, cette tuerie n'était qu'un cas exceptionnel. Habituellement Opium tuait des lièvres ou des oiseaux quand il le pouvais, les autres animaux comme les cerfs pouvait l’envoyer valser s'il le voulais. Il était née pour être précis et discret, voila tout.
Quand il se comparait à un membre de la troupe, il se trouvait facilement à l'égard. Il n'était pas spécialement petit, mais on le trouvais facilement plus fragile quand il était à coter d'Adagio, un loup bleu. Il ne l'avait pas vu souvent, il faut dire aussi qu'Opium se tien rarement en compagnie des autres loups, trop bruyants à son gout. Il se demandait d’ailleurs pourquoi un loup comme lui manquait de muscles, c'était incohérent, un chasseur devait avoir assez de muscle pour tenir sur de longue distance et pouvoir mettre les proie au sol. Sa mission lui fut donner. Atteindre les pattes de l'animal, ou alors, en tueur expert, lui couper la jugulaire avec les lames de rassoir que formait ses crocs.

Il se mit en position derrière une petit bute de neige en activent son pouvoir de silence, ainsi plus aucun de ses pas ne ferait plus de bruit que celui de la neige touchant le sol. Il ne voulais pas faire de bruit, il pouvait se vanter s'il le voulais d'être le tueur le plus silencieux de leur Alpha hivernal et il voulais continuer à sens venter, alors ce n'était pas un cerf qui allais dire le contraire.

En repensant à cette cachette, c'était une bonne idée qu'elle soit ici. Même si la bute de neige était relativement petite, elle cachais les partie blanche d'Opium et le sol de la forêt cachais son corps noir. S'il n'avait pas un sang-froid à toutes épreuves, il n'aurait jamais tenue aussi longtemps si prés d'une proie sans lui sauter à la gorge. Cela aurait fait échoué toute l'attaque et en plus il n'aurait pas put tuer sa victime. Patient, invisible à toute les oreilles, coucher à coter d'un loup bien plus grand que lui, le tueur silencieux attendait le signal divin qui mettrait un terme à la vie de l'animal.

Quand le silence prit place dans la forêt, Opium eu même quelque regret quand il entendit le signale. Son coéquipier gris parti avant lui vers ce futur diner. Poussant sur ses pattes arrière, il le suivit. Les pattes touchait à peine le sol, cette impression de voler fit monter encore d'avantage l’adrénaline qui coulais dans ses veines. Chacun de ses pattes n'était pas aussi parfait que le silence, mais comparé au grand cervidé qui fuyait pour sauver sa vie, il était silencieux. Adagio, le loup qui lui servait de compagnon de chasse utilisa ses pouvoirs. D'un minuscule flocon se transforma entre ses crocs en une arme tranchante qui parti dans les pattes de leurs proie. Les deux flocons géant, s'il vais pour but de couper les pattes de l'animal, ratèrent complétement leur objectif. Ils frôlèrent les pattes du cerf, qui trébucha plusieurs fois. Un avantage certains pour les loups. Opium se tenant à droite d'Adagio devait passer devant lui pour aller atteindre la gorge de sa proie, mais celui-ci lui bloquait le passer. Il serra les dents se rappelant les douce chasse en solitaire, il accéléra pour le doubler par devant. Le tueur au silence soupçonnait les grande pattes du loup gris de lui donner cette vitesse, mais plus musclé elle aurait put lui donner d'avantage de vitesse. C'était le cas des pattes d'Opium, il accéléra donc pour passer devant Adagio, seulement les deux loup de se virent pas et il accident dramatique manqua de se produire. Opium utilisation son bon coup de saut pour léviter quelques instant au dessus d'Adagio et éviter ses crocs contre son flanc ou alors son pouvoir. Pour sur il avait eu peur que cet idiot de chasseur ne le découpe en deux, mais ses sentiments, il savait en jouer. Ainsi la colère qui surviens après qu'il eu atterri de nouveau sur le sol de la forêt lui permit d'avoir une énergie nouvelle pour rattraper la chasse. Il sprinta, il ne pouvais plus que face cela maintenant. Il passa à la gauche d'Adagio cette fois et ses crocs blanc mis à jour il ne quitta pas un quart de seconde sa cible des yeux, la gorge du cerf. Puissant dans ses dernières force, il accéléra encore et sauta avec fougue sur la gorge de l'animal. Il plongea ses crocs dans sont coup avec la grâce de l’assassin. Son venin de glace se rependit tout autour de la zone où il avait mordu le cerf et celui-ci brumant ce vit perdre sa voix, ses cordes vocale attaquer par le froid. Le cerf aurait très bien plus répliqué, mais fort heureusement, les chasseurs étaient et serait toujours là, ils mirent la bête à terre. Opium lui ne lâcha pas sa proie, temps qu'il sentirait les battement de son coeur sous ses crocs, temps qu'il sentirait le sang couler encore et encore dans sa gorge, il ne la lâcherait pas. Qu'est ce qu'il aimait ce gout métallique quand il touchait sa langue. Ses yeux de glace regardèrent l'animal qui agonisait, il eu envie de sourire, mais ne le fit pas, à la place il resserra son emprise sur la gorge du cerf. Quand il mourut enfin, il le lâcha et releva la tête, la gueule en sang, sans plus d'expression sur le visage. Tel était le signe distinctif, qui montrait que jamais on ne pourrait confondre Opium avec un chasseur. Le manque complet de sentiments pour ses proies.

Immobile. Sa langue pendant sur le sol froid de la forêt. Les yeux blancs. Pas de doute, il l'avait bien tuer. L'adrénaline du tueur redescendait peu à peu, avec beaucoup de regret. Une chasse comme celle-ci ne satisfaisait pas les envies belliqueuse du tueur. Plus il regardait la tête de l'animal mort, plus il se revoyait en pleine action, à lui sauter à la gorge et à sentir le sang descendre avec une facilité déconcertante dans sa gorge. Opium soupira. Tout était aller trop vite.

Il n'allais pas félicité les chasseurs pour leur travail et il fit en sorte de tenir les autres à distance respectable de lui. Quel travail en équipe misérable avait-il fait. Il avait faillit se faire tuer parce celui qu'on lui avait assigner comme coéquipier et il lui en voulais de ne pas l'avoir laisser passer. Au fond de lui, il savait que tout deux était en faute, même lui même avait surement fait plus de fautes dans cette attaque que le loup gris, mais il refusait de l'admettre et avait des envies sanguinaire envers le grand loup gris, mais le voyant essouffler, il essaya de se calmer. Tuer un animal déjà à bout de force n'était pas digne d'un tueur comme lui. Surtout si ce n'était pas lui qui l'avait mit dans cet état.

Le chef du joyeux groupe prit la parole et tous reprirent le voyage vers le camps. Les chasseurs, plus fort et massif qu'Opium s'organisèrent pour trainer la carcasse. Il regard la bête trainer sur le sol, être sans aucune vie, laissant gouler son sang sur le sol emplie de vie de la forêt de brume. Il suivit le groupe de loin, faisait mine de surveillé leur arrière, bien que les loups savaient très bien qu'il ne faisait rien d'autre que les suivre. Il n'était pas assez fort pour porter le cerf, d'ailleurs sont coéquipier non plus, ou alors était-il faignant, quoi qu'il en soit il viens le coller à l'arrière du groupe. Qu'est qu'il détestait ça, la compagnie. Il avait vécu en parti seule depuis la mort de sa mère et ... et quoi aussi ? Ce "et ..." lui donna un mal de crane inexpliquée. Il n'arrivait pas à penser à cet élément manquant sans avoir mal à la tête. C'était à n'y rien comprendre. La voix d'Adagio ne vins pas arranger les chose. Elle résonna dans sa tête comme si on sonnait un gong. Ce qui ramena l'humeur d'Opium à celle d'un cafard écraser.

- Mon travail était de tuer. Ce que je fait continuellement, et cette chasse n'aurait pas frôler le massacre si tu ne m'aurais pas gêner.

Froid comme à son habitude, l'amabilité d'Opium n'était pas la plus connue d'hiver. Le plus souvent cassant, le loup sombre n'avait pas l'habitude de parler ou encore d'être aimable avec les loups du clan. Seul Kiba avait tout son respect et il ne parlait que pour lui faire ses rapport et accepter une mission. C'était bien le seul loup qu'Opium portant ne serait-ce qu'un peu dans son coeur. Les autres étaient morts, oublié ou alors n'était très loin d'avoir ses amitiés. Il soupira sans le cacher, le visage sombre de tout sourire glacé sur un manque expression, les yeux marquer de rancœur. Cette rancœur lui passerait vite, mais le manque de missions mettait Opium dans tout ses états. Il voulait tuer, mais si Kiba ne revenait pas rapidement, il craignait pour la suite des événements.

Il dut se faire violent, pour ne pas le mordre, pour le pas lui montrer les crocs et grogner, mais il ne put empêcher ses babines de trembler sous l’effet de la colère. Il détestait ce loup gris et son assurance et sa négligence. Il avait l'air de se moquer que son coéquipier aurait été blesser, mais pour qui se prenait-il ? Il était un chasseur et si un jour il aurait blesser réellement un de ses coéquipier, qu'aurait-il fait ? Il n'avait néanmoins pas tord sur le fait que c'était à Opium de se mettre en bonne position, mais la négligence du loup gris lui resta dans la gorge. Il n'aimait pas parler, mais sur ce coup il ne se fit pas prier pour réprimander Adagio.

- Bien et si ce n'était pas moi mais un de tes coéquipier et qu'il aurait été réellement blesser ? Oh, je suis sur que tu aurais dit " Au pire c'est le seul blesser". Avant de critiquer mes positions apprend à travaillez réellement en équipe. - il laissa un silence bienfaiteur installer entre eux deux, le temps pour le loup sombre de récupéré de cette prise de parole rageuse, puis reprit - Je ne sais peu être pas bien évoluer en équipe, mais moi au moins je sais très bien faire le travail qu'il met demander.

Sur ses mots, il accéléra, laissant le loup gris seul à l'arrière. Adagio faisait peu être très bien son travail, le tueur silencieux n'en savait rien et ne l'espionnerait surement pas pour s’assure de son travail, mais si cette phrase pouvait le blesser, Opium en serait heureux. De plus, ce loup était certes grand, mais à peine la chasse terminé il avait été essouffler et ses pattes manquait cruellement de muscles. Il Opium était moins glacial il aurait bien rit de la carrure du chasseur. Il trottina à coter de la carcasse pensant être tranquille. Chacun de ses pas inspirait un silence délectable et fort agréable pour qui savait l'écouter. Un bonheur pour les oreilles qui permettait, quand il n'était pas en groupe comment en se moment, d'entendre les oiseaux chanter.

Il était clair, simple et évident, que le courant entre les deux loup n'était pas le meilleure du monde. Comment certains loup pouvaient-ils passer leur vies entouré de tel personne. Bavarde, insolente et avec un tel manque de respect. Il le détestait. Il détestait tout les loups qui voulais lui tenir compagnie. Il détestait tisser des liens. Parler avec les autres. Il ne regretta pas d'avoir tuer le cerf, mais il regretta d'avoir accepter cette chasse en groupe. Du coin de l'oeil, Opium pouvoir voir Adagio à son opposé. Ce loup l'agaçait plus que quiconque, autant dire qu'Opium était soulager qu'il ne face équipe avec lui qu'une fois. Pourtant, peu être qu'un jour les chasseurs reviendrais lui demander de les aider ? Cet événement avait dégouter Opium de la chasse en groupe, pendant un long moment tout du moins. Il avait hâte de retourner chasser ses lapins et ses oiseaux, qui n'avait rien sur les os et qui était difficile à attraper.

Le temps passa trop doucement pour Opium, lui qui voulais quitter la troupe au plus vite il se sentait pourtant obliger de les accompagner jusqu'au camp. Et puis même s'il mangeait relativement peu, il avait le droit à sa part. Le bruit ! Qu'est ce qu'il détestait ça le bruit, bien plus que les foules c'est bien le bruits qu'Opium détestait le plus. En arrivant dans le camps il crut qu'il allait devenir sourd. Il fit la grimace à l'attaque de tout ses sons dangereux. Il préféra s’éloigner toute suite. Il alla se placer sur une pierre aussi solitaire que lui, se coucha en attendant que tout le monde est prit une part. Il retournerait chercher sa maigre part quand tout les loups aurait choisir la leur et se serait battue entre eux. Son lapin mort en pleine forêt lui manquait.

Up ♪

Le Rp est fini, c'est à archiver !
Oui on aurait dû le dire plus tôt.