Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
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Toi... Qui est-tu, que fait-tu, pourquoi me regarde-tu ainsi ? [Jason]
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Sam 2 Juin 2012 - 19:29

Après le réveille :

Il n'y avait personne, il n'y avait rien, juste moi sur un bord de plage. Ou étais-je ?
Je n'en sais absolument rien. Je ne me rappelle de pratiquement rien. Juste que je m'appelle Ambre et que je suis une estivale, la future Alpha, qui plus est. Mais tout le reste, ce que j'ai fais hier, qui je connais, tout ça, c'est le trou noir. Néant.

J'essaye de me levais tant bien que mal, mais ma tête me fais mal et je ne sais même pas ou aller. J'ai faim, mon ventre gronde sous la faim. J'essaye encore de me levait mais mon épaule est griffait de partout, mon mal de tête persiste. J'essaye de me souvenir, mais juste l'image d'un loup ébène sur un loup gris me vienne à l'esprit. Qui sont-ils ?

Quelques mois plus tard :
J'ai grandis, et je suis une adulte. J'ai oublier, et je vis très bien, aujourd'hui...
Y a t'il un mal ?

Je cours aussi vite que je le peut. Mes pattes sont longues, très longues et je peut ainsi courir vite. Je n'ai pas d'endurance, mais avec de l'entrainement, sa devrait aller. Je cours encore et encore. Je ne sais pas ou je veut aller, mais j'y vais. Je n'ai rien prévue pour aujourd'hui, juste d'aller visiter les territoires ennemis.

Je cours, langue pendante, frange volant loin derrière moi. Le vent me fouettait le visage, mais je n'en avait rien à faire, j'aimais la liberté que j'avais à ce moment. Des moments si petits, si banales, mais qu'ils faut chérir comme Noël. Je cours encore et un point de côté se forme, je ralentis, je me met à marcher doucement, reprenant mon souffle. J'étais quand même arriver au territoire printanier sans m'arrêter ! Quel exploit !

Je suis prêt d'un sol pleureur, le soleil se couche lentement devant moi alors que je sens une odeur bizarre. Une odeur glacer qui elle même me glace le sang. Un hivernal en territoire printanier... C'est - comment dire - bizarre. Je relève la tête. L'odeur, cette odeur... Elle me rassure, elle me fait frisonner. Pourquoi ? Je ne reconnais plus personne, alors pourquoi maintenant ? Je tourne doucement la tête et je voit un loup gris. Il a l'air bizarre. Il me regarde fixement.

Je me lève. Je suis presque aussi grande que lui. Nous sommes face à face et nous nous regardons. Il ne dit rien, me regarde encore et encore. Il a un peu de cicatrices partout, mais ce qui me choque, c'est la couleur de ses yeux. Ce gris qui peut être si banale m'hypnotise. Je ne sais plus quoi penser de tout ça. Il me fait me retrouver dans une situation bizarre. Je souffle alors, pour ne pas casser l'ambiance:

Qui est-tu, que fait-tu, pourquoi me regarde-tu ainsi ?
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Sam 2 Juin 2012 - 20:12

Après mon réveil, je m’étais retrouvé dans la douce neige, couvert de plaies en tout genre. Ma première pensée avait été à Ambre. Pendant longtemps, trop longtemps à mon goût, je ne l’avais pas revu, je n’avais même pas cherché à la retrouver. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que j’avais un affreux pressentiment.


Quelques mois plus tard.

Allongé sous le grand saule pleureur, je regarde les « lianes » qui retombe, poussés par l’apesanteur, vers le sol. J’étais resté ici longtemps, une heure,deux heure, trois heure... Aucune idée, mais longtemps.
Une odeur douce et fruitée vint à ma rencontre. Cette odeur... Ambre. Ambre était là. Quelque chose de mystique, -le hasard, le destin ?- quelque chose qu’un simple loup ne peut pas contrôler, nous avait réunit, ici, sous ce majestueux saule pleureur.

Je me relève doucement, puis je suis l’odeur. Je la vois, dos à moi. Elle est si belle, si parfaite... Je la regarde, n’osant pas bouger plus. Elle se retourne et plante son regard vairon dans mes yeux gris.Je la regarde encore, -elle a bien grandit, elle es maintenant adulte- elle est plus haute et fine qu’avant. Tant de sentiments, que je n’avais plus ressenti depuis notre dernière rencontre, refirent surface. Une grande joie s’empare de moi. Doucement, elle me souffle :

- Qui est-tu, que fait-tu, pourquoi me regarde-tu ainsi ?

Mon cœur se brise, la joie s’en va, laissant place à une profonde tristesse. Ambre, ma Ambre, ne se rappelle plus de moi. Je me sentais sans force, sans aucune envie. D’une voix triste et désespérée, je souffle :

- Ambre... C’est moi, Jason...

Je plantai mes yeux gris métalliques dans les siens, peut être que mon regard si spécial pourrait lui redonner la mémoire ? Après tout, des yeux comme les miens, on n’en croise pas tout les jours. Je suis désespéré, j’ai peur, peur de la perdre, peur qu’elle ne se souvienne pas de moi, pas de l’amour que je lui portais, que je lui porte encore et que je lui porterais toujours. Si elle m’a oubliée, je pense bien que je ne pourrais pas continuer à vivre normalement...
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Dim 3 Juin 2012 - 16:44

Ce loup. Il m'a l'air tellement familier mais tellement étranger. Depuis ce fameux réveille, je ne me souviens vraiment, mais absolument, de rien. Il a juste quelques fois ou j'ai des "images" de loups qui me traverse l'esprit, mais elle sont flou, très flou. Je vois juste, de temps à autres, surtout pendant mon sommeil, une ombre, de couleur grise. Elle semble venir vers moi, et des que je peut enfin percevoir ses formes, c'est le trou noir. Je n'ai jamais réussie à contrôler ça...

Les yeux gris joyeux du loup devienne triste, presque amer. La phrase à franchis mes lèvres sans vraiment que je la contrôle. C'est juste qu'il me fixait d'une manière... Amoureuse, joyeuse, tendre. Moi, j'en suis bien désoler, mais je ne le connais pas. Ou alors, je ne le connais plus... Et là est toute la différence. D'un souffle, comme un soupir, sa voix rauque et remplis de tristesse s'adresse moi :

- Ambre... C’est moi, Jason...

Je dresse les oreilles, elle remues dans tout les sens. D'abord sur le côtés, puis derrière, pour enfin arriver en avant. Comment connait-il mon prénom. Mes yeux brilles, ils sont grands ouvert de surprise. Il plante alors son regard dans le mien. J'ai une envie de lui sauter au coup et de l'embrasser, mais je ne le connais pas. Même son prénom ne me dit rien.

Il doit surement être désespérait... Pauvre loup, il me fait pitier. Je lui lance un petit regard désoler et je secoue doucement la tête de droite à gauche. Non, vraiment, je ne le reconnais pas, je ne le connais pas, je ne sais rien de lui, juste qu'il s'appelle Jason, maintenant qu'il me l'a dit. J'ouvre doucement la bouche, retournant m’asseoir prêt du saule pleureur. Le soleil était d'une magnifique couleur rouge/orangé. Je respirais à fond et je dis :

- Je suis désoler Jason, je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas. Maintenant, s'il vous plait, laissez-moi...
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Dim 3 Juin 2012 - 21:17

Mon cœur se serrait de plus en plus. Ambre, la belle louve, future alpha, et surtout la louve que j’aimais le plus au monde ne me reconnaissait pas.

- Je suis désoler Jason, je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas. Maintenant, s'il vous plait, laissez-moi...

Je voulu mourir, oui, mourir, en entendant ces mots. j’avais l’impression que des millions de couteaux me transperçaient le cœur. Tuez-moi, je vous en supplie... Ma vie n’avait plus de sens. Sans elle, je n’était qu’un simple corps dénué de sentiments. Des larmes coulaient sur mes joues sans même que je ne tente de les retenir.

Sans prononcer un mot, je recule un peu. Je pleurs, sans aucunes hontes, car il n’y a pas de honte à aimer. Je l’aime, plus que tout, plus que ma propre vie et elle ne se souvient même plus de moi... Si c’est pour vivre dans l’ombre, autant mourir. Cela abrégerait ma souffrance. Mon cœur saignait, j’avais mal.
De ma voix rauque, emplit de tristesse et de désespoir, je dis :

- Ambre... Je te connais, et plus encore, je t’aime... J’ai faillis perde mon rang par amour pour toi, j’ai faillis mourir, tué par un colosse... Mais je suis resté en vie pour rester plus longtemps près de toi, pour te voir heureuse. Mais tu m’as oublié... Finalement, j’aurais préféré mourir...

Des larmes salés coulaient en flot de mes yeux gris, je lui avais livré tout ce que j’avais sur le cœur, mais malgré ça, je me sentais toujours lourd... Finalement, je finis par lui dire :

- Ambre, si tu le veux bien, j’aimerais essayer une dernière chose pour te faire retrouver la mémoire...

J’espérais de tout mon cœur qu’elle accepte, et encore plus que ça marche. A part ça, je ne voyais pas d’autres solutions...
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Lun 4 Juin 2012 - 23:30

Tu pleures, tu cries, tu tapes, mais au final, ça ne changeras rien.

Mon coeur se mit à battre plus fort quand je perçus les pleures silencieux du loup gris. Jason... Il ne méritait d'être traiter comme je le traiter. Apparemment j'étais plutôt importante à ses yeux, mais aux mien, il n'était rien. Mes yeux fixaient le coucher de soleil qui s’étendre devant moi. Des larmes étaient venus se nicher aux creux de mes yeux. Je suis très émotive... Comment faire pour le faire comprendre sans lui faire de mal ? Et puis, qui il était pour moi ? Qui je suis pour lui ? Qu'avons nous fais ensemble ? Quelle est notre lien ? Il a l'air si important...

J'inspire tandis que le soleil est presque coucher. Je ne sais pas comment lui avouer. J'ai tellement peur de le briser encore une fois, une fois de trop car ce ses pleures ne cesse pas. J'ai envie de lui dire de ne pas pleurer pour moi, car je n'en vaut pas la peine, mais se serais mentir, enfin presque. Mais d'un coup, alors que je veut rajouter un truc à ma phrase, sa voix rauque, sa gorge nouée par les pleures, son désespoir me transperce :

- Ambre... Je te connais, et plus encore, je t’aime...

Je baisse la tête, la secoue violemment. Je ne veut pas en entendre plus, je souffre encore plus, mon souffle s’accélère, mon coeur rate un battement. Je me lève d'un bond, prête à partir, mais d'abord, je veut savoir, comprendre...

J’ai faillis perde mon rang par amour pour toi, j’ai faillis mourir, tué par un colosse... Mais je suis resté en vie pour rester plus longtemps près de toi, pour te voir heureuse. Mais tu m’as oublié... Finalement, j’aurais préféré mourir...

Je reste de marbre, les larmes s'en vont avec le vent mais mes yeux reste humides. Mes yeux brilles de tristesse, de compation, de surprise. Je ne sais pas quoi faire. Le soleil est encore là, le ciel et l’atmosphère ne vont pas ensemble. Le paysage est tellement beau, tellement romantique, mais avec le drame qui se joue maintenant, ça ne va pas, ça ne colle pas. Mourir... Il préférerait mourir que vivre avec dans l'esprit, l'image d'une louve qu'il aimait mais qui l'a oublier. Qu'est-ce qu'on ferais pas par amour. Moi je ne connais pas ça, enfin, je ne connais plus, d'après se qu'il vien de dire.

Je l'entend reprendre son souffle et me souffler doucement, une phrase qui me fait mal. Tu pleures, tu cries, tu tapes, mais au final, tu ne changeras rien. C'est que je me dis, au plus profond de moi. Il veut essayer, et je n'ose pas lui dire oui. Je prend peur. Et si en vrai, il me mentait ? Si il voulez juste essayer un truc avec moi ? Hein ?! Je n'ai pas confiance, je ne sais rien de lui, et lui il me connais parfaitement. Mais qui est-il, bon sang ? Je grogne méchamment et me retourne, lui sautant dessus. Je lui crache violemment à la figure se que je pense :

- Bon, maintenant, ça suffit ! Arrêtez de jouer comme-ça avec mes sentiments ! Je ne vous connais pas, bon sang ! Je ne me souviens pas de votre tête, n'y de vos paroles, n'y de rien, n'y de personne depuis que je me suis réveiller sur la plage !

Je me relève doucement, lui lançant un petit regard désolée. Je me suis emportais trop vite. Je soupir de fatigue. Je tourne doucement le dos à Jason. Il a l'air tellement choquer, quand d'un coup, une image net de nous deux, entrain de s'embrassé amoureusement me vient à l'esprit. Je sors de mes images si soudain. J'entre ouvre la bouche, ne sachant que dire. Et si je me fessais de fausse idée, hein ? Si je ses images n'étaient que des "rêves"...

Je relève la tête, regarde le soleil rouge, le ciel et les nuages aux teintes rosées. Je souris tristement. Pourquoi aujourd'hui, pourquoi maintenant ? J'ouvre la bouche pour laisser une larme venir y couler. Son gout est salée, très salée, elle me sèche la gorge. Ma gorge se noue, et j'essaye de parler :

- Je... Je me suis réveiller, un jour, ou une nuit, je ne sais plus vraiment, et je me trouver sur une plage, des blessures un peu partout, un peu comme vous. J'avais un sacré de mal de crâne, et puis, soudainement, je me suis souvenu de rien, juste que je suis Ambre et que je suis la future Alpha estivale. Tout les gens, mes parents, je ne les reconnais pas, ou plus.

Je ne sais même pas si le loup gris est encore là, juste à côté, mais je parle, pour me donner une raison de lui avoir grogner et sauter ainsi dessus. J'ai tellement honte. Le rouge me monte au joue rapidement et je me tourne vers lui sans le regarder. Je ne sais même plus quoi lui dire. Rien. Peut-être n'a t-on plus aucunes chances de s'aimer, lui et moi... En tout cas, moi je n'y crois pas. J'ai tout oublier, tout "laisser derrière moi" si puis-je dire.

Je soupir lentement, m'attendant à se que Jason parte, en me disant adieu, comme tout bon loup respectueux le ferait, mais il est là, il attend, ou il réfléchit, je ne sais pas trop. Je vois bien dans ses yeux qu'il s'apprête à envoyer une réplique, à faire un geste, un bruit, mais lequel ? Je prend de nouveau peur, mon coeur bat à la chamade. Oh mon dieu...
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Mer 6 Juin 2012 - 0:03

Spoiler:



J’attends, le souffle court, une réponse de la belle louve qui ne se rappelait plus de moi. Encore, des larmes salés coulent sur mes joues sans que je ne puise les retenir. Cet instant qui aurait dût être magique, cet instant de retrouvailles, a tourné au cauchemars.

Sans que je ne sache pourquoi, la louve grogne puis me bondit dessus, me faisant tomber à la renverse. Puis elle me crache ces mots qui me font si mal, ces mots qui me transperce le cœur.

- Bon, maintenant, ça suffit ! Arrêtez de jouer comme-ça avec mes sentiments ! Je ne vous connais pas, bon sang ! Je ne me souviens pas de votre tête, n'y de vos paroles, n'y de rien, n'y de personne depuis que je me suis réveiller sur la plage !

Je veux qu’elle arrête de parler, je ne veux plus entendre cette triste vérité. Je ne peux pas supporter l’idée qu’elle m’ait oubliée et pourtant... Je secoue la tête, je ne peux pas, je ne veux pas... Je veux que tout redevienne comme avant, qu’elle m’aime, que notre bonheur soit si parfait qu’il déteigne sur les autres... Mais la triste réalité me souffle le contraire, que c’est finit, que c’est trop tard.

Elle se relève, me lance un court regard désolé, puis s’éloigne un peu, me tournant le dos. Je comprend qu’elle ne veuille pas me voir. Je dois passer pour un fou. Un parfait inconnu qui vous avoue sa flamme, ça fait peur. Mais je l’aime plus que tout, moi...

- Je... Je me suis réveiller, un jour, ou une nuit, je ne sais plus vraiment, et je me trouver sur une plage, des blessures un peu partout, un peu comme vous. J'avais un sacré de mal de crâne, et puis, soudainement, je me suis souvenu de rien, juste que je suis Ambre et que je suis la future Alpha estivale. Tout les gens, mes parents, je ne les reconnais pas, ou plus.

Je reste là, ne sachant comment réagir. Dans le fond, je m’en doutais que c’était de la faute au loup noir aux yeux rouges. Je le hais, plus que tout. Je lui voue une haine sans limite. Je veux qu’il souffre autant que je souffre là... Je secoue vivement la tête. Non, même si je le déteste, je ne dois pas pensé à ça... Je ne suis pas comme lui.

Je finis par remarqué que j’étais toujours sous ce grand arbre. Que faire ? L’occasion est présente, je peux le faire, là, maintenant... Je le fais ? Je ne le fais pas ? Une partie de moi me crie d’y aller, de saisir la chance qui se tiens devant moi, puis une autre partie de moi a peur, elle me souffle de ne pas le faire, que ça aurait des conséquences...
Toujours indécis, je réfléchissais intensément. Quelque chose me pousse à le faire, ma bonne ou ma mauvaise conscience ? Aucun indice ne me permet de le déterminer...

Qui ne tente rien n’a rien. Voilà la phrase qui m’a poussée à le faire. Une simple phrase va peut être changer ma vie. Six mots, vingt et unes lettres, un sens. Et cela va peut être changer le court de ma vie.

D’un coup, je m’approche de Ambre et pose mes lèvres sur les siennes. Mon cœur bat la chamade, je ressens une nouvelle fois ces sensations bizarres, douces et heureuses, mais ce n’est pas vraiment pareil... Puis j’ai peur. Peur de la façon dont elle va réagir. j’ai tenté le tout pour le tout, j’ai peux être tout perdu...
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Mer 6 Juin 2012 - 16:35

Mon coeur battait plus vite que la normale, ma respiration était saccadée, nos souffles ne fessait plus qu'un. J'avais vu le coût venir à dix milles, et comme une abrutie, je suis rester là, à ne rien faire, à me laisser faire. Mais qu'est ce que je suis bête, quelques fois... Je sent son odeur d'hivernal prêt de moi et je frisonne. C'est si froid, si doux, si rassurant. Qui est-il pour que je sois dans un pareil état ? J'ai encore peur. La peur ne me quitte plus, mais je lui fais "confiance"... Ses lèvres sont froides, mais me réchauffe. J'ouvre de grand yeux, prête à le repousser, mais l'envie, la passion... C'est tellement bizarre comme sensation. Je soupir doucement alors que ses lèvres se sépares des miennes.

Je le regarde dans les yeux, les larmes arrives en courant. J'ai mal. Comment a-t-il pus me faire ça ? Comment a-t-il eu le culot de m'embrasser ainsi ? Je baisse les oreilles, retrousse les babines. Non... Ne me dites pas qu'il l'a fait. Il m'a embrassé, comme-ça, sans doute, sans hésitation, et... Il m'a fait mal. Je me recule doucement, quand des images me frappent de plein fouet. Je suis comme dans une boîte d'image, et elles défilent sous mes yeux. Alors, petit à petit, je me souviens. Je me souviens de ma vie "d'avant". Tout ses gens, ma mère, Ita, Nijnihell... Mais il y a surtout, surtout, Jason...

Alors que je suis perdue dans toutes ses images si soudaine, les larmes coulent de mes yeux vairon. Mon regard est perdue dans le vide, sans expression, ma bouche entre-ouverte, et les larmes coulent encore. Je me souviens... Bon dieu, je me souviens de lui, de moi, de nous. De se que nous avons traversés, de nos baiser, de nos combats contre la mort. Maintenant je comprend mieux son désarrois quand je lui est dit de partir, que je ne le connaissais pas. Mais j'ai encore peur. Ma peur est plus forte, et les images disparaissent comme elles sont venus. Je fermes la bouche, tourne le regard vers Jason et je souffle doucement :

- Comment avez-vous osez ? Non, non, mais vous... Vous êtes complètement malade ! Je m'emporte, j'explose, tout ses sentiments en même temps... Si ce n'est pas en français qu'il faut que je vous parles, je vous parlerais en chinois, mais part pitier... Par piter, Jason, laisse-moi seule. Je t'en prit, j'ai besoin d'air... De temps.

Je me retourne, et je pars. Je part en courant, les larmes coulent plus que tout à l'heure. Je me souviens, mais j'ai peur. Peur de lui, de moi, de se nous que nous formons. Pourtant, je sais que je ne me fais pas d'idée, mais j'ai besoin de temps, de réfléchir à ses soudaines images. Mes paroles au début étaient violentes, froides, méchante, mais la peur et la tristesse on vite pris le dessus. Alors qu'il fait nuit, les étoiles se mettent à briller. Je m'arrête, aletente, et j'explose, je hurle, je crie, je tape, mais ça ne changeras rien, je le sais. Je hurle jusqu'à m'en casser la voix. Je hurle ma douleur, mon désespoirs.

Je suis au bord d'un lac, le vent souffle doucement sur mon visage, je ne sais pas quoi faire. Je me couche, et j'attend. J'attend le jour pour revenir chez moi...
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Jeu 7 Juin 2012 - 20:58

D’abord, elle ne me repousse pas, elle prend part au baiser, mais sans vraiment y participer. Bizarre, j’aurais plutôt pensé qu’elle me repousserait violemment. Mais non, elle resta là, ses lèvres si douces contre les miennes.

Puis elle se retire en soupirant doucement. Elle recule, elle baisse les oreilles, retrousse les babines. Puis, d’un coup, elle s’arrête et semble fixer quelque chose qu’elle seule peut voir. Son regard se perd dans le vide, elle reste comme ça pendant quelques instants. Puis des larmes coulent de ses si jolies yeux. Je m’en veux. Je m’en veux de lui avoir fais ça, de l’avoir fait pleurée, encore. Je ne suis qu’un bon à rien. Je n’aurais jamais dû entrer comme ça dans sa vie.

- Comment avez-vous osez ? Non, non, mais vous... Vous êtes complètement malade ! Si ce n'est pas en français qu'il faut que je vous parles, je vous parlerais en chinois, mais part pitié...

Je pleur encore, des torrents de larmes coulent de mes yeux grisés. J’ai mal, mal d’avoir fais ça, mal d’être tombé amoureux. L’amour tue, elle nous tombe dessus sans prévenir et nous fait souffrir au plus profond de notre âme. Toujours en pleur, la belle louve continue :

Par pitié, Jason, laisse-moi seule. Je t'en prit, j'ai besoin d'air... De temps.

Du temps. Le temps me tuera, trop attendre son retour sera fatal pour moi. Mais elle en avait besoin. Elle s’en va en courant, je la suis. Je cours, je cours à en perdre haleine. Quand j’arrive enfin non loin du grand lac, je le voie, couchée dans l’herbe. Je ne sais pas ce que je dois faire : l’approcher ou attendre ? Finalement, je décide de m’asseoir, caché derrière un grand arbre, et d’attendre un peu.

Pendant presque une heure, je réfléchis, mais je ne trouve aucune solution, rien. J’ai beau me retourner la cervelle, rien n’y fait.
Doucement, je sors de derrière mon arbre, puis je me dirige vers elle. j’ai peur, je tremble de tout mon corps. Mais pourtant, je continue. Je m’arrête à bonne distance d’elle, puis je lance, hésitant :

- Am... Ambre ?..
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Jeu 7 Juin 2012 - 21:18

Les étoiles brillaient, c'était presque romantique avec la pleine lune, mais j'étais seule, en compagnie de mes larmes seulement. Les oiseaux étaient dans leurs nids, dormant tranquillement. Les canards et les cygnes ne caquetaient plus, eux non plus. Seul le souffle du vent accompagnais le bruit de mes sanglots. Pourquoi cette journée avait tournée au drame alors qu'elle avait commencée si douce, si calmement ? Hein, vous pouvez m'expliquez, vous ?

Je m'énerve contre moi-même, comme une idiote, et les grognement remplaces les larmes. Comment ai-je pus être aussi stupide, aussi conn* ? Pourquoi l'avoir lasser faire ? Pourquoi ne pas l'avoir repousser ? Hein?! Encore une fois, vous pouvez m'expliquez ? Bien sur, je le sais, je suis amoureuse, mais je ne veut pas me l'avouer... Pas maintenant, pas aujourd'hui, pas de suite.

Sa fait presque une heure que nous sommes là. Oui, nous, parce que je sens Jason, il est là, dans les parages. Mais cette fois, je n'ai pas la force, n'y le courage de partir en courant, de fuir son amour... Parce qu'il est réciproque. Mon coeur bat à la chamade, mes pattes me font mal et ma respiration accélère... Sa voix souffle faiblement mon nom, et c'est à cette instant que je me retourne vivement pour lui faire fasse. Je n'ai pas besoin de mot, tout ce lis dans mes yeux, et si il me connait, alors il doit savoir me lire. Dans mon regard, on lis du regret, de la passion, de l'amour, mais aussi de la peur...

Je m'approche doucement de lui, nos visages sont proches, j'essaye de lui sourire, mais c'est plus une grimace qu'autre chose... Je lui sautais alors, presque au coup, lui manquant de tomber. Ou plutôt, il est tomber, et se retrouve maintenant sous moi. Je le regarde dans les yeux avant de m'emparais de ses lèvres si dures, si froides, mais que j'aime tant. Je souris. Je suis sure qu'il n'a rien compris...
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Ven 8 Juin 2012 - 21:13

Je tremble encore, de tout mon corps. j’ai peur de sa réaction. Je ne bouge pas, je la regarde simplement. Que va-t-elle faire ? Que va-t-elle dire ? Elle est la seule personne que j’ai aimé de ma vie, je ne veux la perdre pour rien au monde. Et pourtant, la vie est cruelle, car elle m’inflige des douleurs que personne ne veut avoir à supporter...

Elle se retourne d’un coup, je sens une douce passion m’envahir, un amour fort et incassable. Je l’aime et je l’aimerais toujours... Pourquoi suis-je comme ça ? Pourquoi je ne peux plus me passer d’elle ? Qui suis-je pour avoir à supporter les blessures douloureuses de l’amour ? Toutes ces questions auxquelles je n’aurais pas de réponses...
Elle me regarde dans les yeux, et je peux y lire des choses que je n’aurais jamais cru revoir, de la tendresse, de l’amour, de la passion, du regret, mais aussi de la peur... Peur de quoi ? Peur d’encore avoir à supporter des épreuves comme celles que l’on a put rencontrer ? Ou alors simplement de moi, et surtout de ce que je représente pour elle ?

Elle viens vers moi, je ne sais pas quoi faire, je ne bouge pas. Je la regarde tout simplement s’approcher, puis tenter un petit sourire. J’aimerais tellement pouvoir lui redonner un vrai sourire, franc et amoureux, mais j’ai l’impression que cela est impossible...

Elle se jette sur mi et me fais tomber à la renverse. Puis elle m’embrasse passionnément, je ne comprends plus rien ? Je... Elle... Nous ? Un Nous serait-il de nouveau envisageable ? Je l’aime, mais elle, m’aime-t-elle ? A en croire se baiser, oui, mais... Oh, et puis je me pose beaucoup trop de questions, autant profiter de l’instant présent. Je prend part au baiser, retrouvant ainsi toutes les sensations de la première fois. Cette joie, cet amour, ces papillons dans l’estomac... Je crois être en plein rêve.
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Sam 9 Juin 2012 - 21:20

Spoiler:

Je crois rêvais, mais non, ce n'est pas un rêve, c'est la réalité. Nos lèvres sont bien scellés, nos coeur battes un rythme d'enfer, nos souffles deviennes court, nos langues dans la salsa, et nos estomac sont pleins de papillon. Bien sur, c'est ce qu'il aurait dû arriver, si je l'aimais vraiment. Bien sur, la mémoire m'est revenue, mais je ne l'aime pas. Mes sentiments se sont échapper, j'ai juste retrouver la mémoire. Moi je souffre, mais lui est plongé dans le bonheur, et c'est tout ce qui m'importe. Je ne veut plus le voir souffrir... Pourquoi ? Parce que je ne supporte pas de voir les gens êtres triste à cause de moi. Et même si ce n'est pas à cause de moi, je n'aime pas ça...

Je me défais de lui, de ce nous qui règne dans ses yeux. Je vois bien qu'il espère. Mais subitement, je secoue doucement la tête, les larmes me montent aux yeux. Je ne peut décidément pas contrôler mes émotions. Je ne peut pas le laisser espérer ce "nous" qui n'existe plus, pour moi. Je le regarde dans les yeux, me redresse. Moi qui croyais que se baiser aller de nouveau me faire avoir des sentiments pour lui... Mais non, je me suis sacrifiée pour rien. Oui, pour rien. Même si lui, ça lui a donné de l'espoir, moi, ça m'a fait souffrir. Énormément souffrir.

Je reprend lentement mon souffle, les étoiles brillent, mais des nuages venue de nul part arrive en courant, et l'orage s'installe. Le vent deviens presque violant alors que nous sommes face à face, lui et moi, assis à quelques mètres. Ma barrière de sécurité. Il s'approche, je mord. Il recule, je lui parle. Cette espace est juste parfait pour moi. Le silence est pesant. Moi, je le regarde dans les yeux, je ne pleure plus, mon visage est neutre, stoïque, alors que lui est... Je ne sais pas. Déçu. Oui, déçu est le mot juste.

Je veut prendre la parole, mais je ne peut pas, une boule s'est crée dans ma gorge, et mon estomac joue les montagne russe. Je continue alors de le regarder, quand soudain, un orage éclate. Une lumière blanche surgit devans nos yeux et le ciel gronde, comme si il était en colère. Je commence alors à regardée le ciel. Les nuages cache la lune et les étoiles, il fait sombre, très sombre. Puis, alors qu'on si attend le moins, il pleut. Mais pas une petite pluie. Une pluie forte, violente. Les orages ne cesse de grognaient. Le ciel est-il avec Jason ? Je prend alors la parole, je veut m'exprimer :

- Jason, je tien vraiment à m’excuser. J'ai retrouver la mémoire, je sais qui vous êtes, mais les sentiments se sont envolés, depuis. Je vous demande pardon, jamais je n'aurais penser que j'avais été... Amoureuse.
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Sam 9 Juin 2012 - 23:14

Spoiler:

Mais tout rêve à une fin, on doit tous se réveiller un jour. Et le réveil peut être très dur. Elle se recule, j’ai peur, encore. J’espère, oui j’espère. Mais elle secoue la tête, ses yeux se remplissent de larmes. Qu’est ce qu’il y a ? Non, ne me dites pas que... Oh non...

Le ciel se remplit de gros nuages noirs, l’air devient glacial, le vent souffle fort. L’orage approche... Ambre est assise en face de moi, elle me regarde dans les yeux, ans aucunes expressions sur le visage. Quant à moi, je reste neutre, mais quelque peu déçu.

L’orage fini par éclater vraiment, le tonnerre gronde, des éclairs surgissent du ciel noir. La lune finit complètement cachée, il commence à pleuvoir violemment, de plus en plus fort. J’ai le vent dans le dos, mon pelage vole dans tous les sens.

- Jason, je tien vraiment à m’excuser. J'ai retrouver la mémoire, je sais qui vous êtes, mais les sentiments se sont envolés, depuis. Je vous demande pardon, jamais je n'aurais penser que j'avais été... Amoureuse.

Contrairement à ce que l’ont pouvait penser, je ne pleur pas. J’avais déjà assez pleuré. Ce n’est pas que je ne veux pas pleuré, c’est que je n’y arrive plus. Pourtant je souffre, je meurs intérieurement. Mais mon visage reste neutre, sans sentiments. J’explose intérieurement, je crie, je hurle ma douleur, mais seulement dans mon esprit. Extérieurement, je reste planté là, devant Elle.

Et même si cela ne se voit pas, j’ai mal. Si on me connaît rien qu’un peu, on peut voir ma souffrance infinie dans mes yeux. Mes yeux gris métal qui l’ont fait chavirer, mais qui maintenant ne lui font plus rien. Doucement, je recule, en lui soufflant de ma voix à la fois grave et douce :

- Ambre... Je t’aimerais toujours. Adieu.

Puis je pars en courant, le plus loin possible. Des millions de pensées me traversent l’esprit. Je n’ai plus envie de rien, juste de... Mourir. Voilà, mourir. Quand j’y pense, c’est sûrement la meilleure des solutions. Ça me soulagerais de bien des peines. Voilà. Je sais ce que je vais faire. Mais avant ça, il faut que je passe une dernière fois au désert de glace. Ce n’est peut-être pas le plus bel endroit de Four Seasons, mais c’est à cet endroit où je me suis réveillé la première fois. Ce lieu représente beaucoup pour moi.

Je cours donc vers les terres hivernales. Quand j’arrive enfin au grand désert gelé, je m’arrête de courir pour adopté une allure un peu plus lente. J me faufile entre les grands pics de glace, puis je finis par m’asseoir dans la neige douce.

Je relève la tête pour pousser un long hurlement de douleur. Je crie mon désespoir, ma peine, mon Amour perdu. Mon cœur se fissure, mon âme pleur en silence. Je transmet tout ça dans un simple hurlement, un cri de peine infinie. Je partage une dernière fois ma douleur à ce monde si dur.

Puis je baisse la tête, quelques larmes coulent de mes yeux. Je pleurs en pensant que je vais partir de ce monde. Pourtant, ça ne me fait pas changer d’avis. Je vais enfin en finir. J’ai déjà essayer une fois, mais quelqu’un avait été là pour me retenir... Blue...
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