Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

J'aime tellement la vie, que si je devais la perdre, j'en mourrais...

C’était des rares jours ou, je devais aller surveillée les terres neutres. C’était aussi un des rares jours ou j’étais si anxieuse. Si je rencontrais un inconnu ? Ou pire, un ennemie ? Je n’aurais pas d’autres solutions que de l’éliminé. Et oui, je devrais le tuer car cette ‘mission’ étais une mission de repérage qui devait restée secrète.

J’étais donc partie de ma tanière priant pour que je ne rencontre personne. Priant pour que mon adversaire soit plus rapide que moi. Priant pour ne tuer personne même si au fond de moi j’étais une tueuse. Une tueuse qui n’hésiterait pas tuer sa propre famille si je le devais. D’un côté j’obéirais même aux ordres de la mort de l’autre, si l’on me demanderait de le faire sans que la victime n’a vraiment commis pas quelque chose de grave ou même s’il ni a aucune raison de l’éliminé ; je pourrais bien désobéir. J’étais comme ça. Je me range du côté qui semble le plus juste pour moi et si par malheur l’on essaie de me faire taire pour toujours… ma vengeance risque d’être terrible. En bref, il ne faut pas me chercher car je n’hésiterais pas à tuer.

Je marchais donc depuis plusieurs heures lorsque je j’arrivais à un lac. Lac qui étais peuplé de plusieurs plantes venant des quatre saisons ou plutôt des trois puisqu’il ni a pas de plante spécifique de l’hiver. Ainsi j’avais commencé mon tour d’observation. Rien.

Le sable entre mes coussinets. L’air si chaud et si étouffant de l’été. Je peinais à marcher dans cette ‘fournaise’. Fournaise pour moi, une hivernale qu’est habituée au blizzard et a la neige. Je marchais donc avec beaucoup de difficulté quand j’aperçus un loup ailée couché sur le sable.

Un frisson d’effroi apparus dans mon dos. S’il m’avait vu, j’allais devoir le tuer.